Une double pénétration particulière
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-02-2011 dans la catégorie A dormir debout
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Une double pénétration particulière
Pour une fois mon chéri a envie de baiser dans l’après midi. Habituellement il aime se masturber à cette heure. J’aime le voir faire, surtout quand jailli son sperme. J’ai l’habitude d’aller avec une amie justement tous les jours chez elle, vers cette heure, pour baiser entre filles. Il le sait fort bien puisque je lui ai interdit de venir avec moi, la seule fois qu’il m’a vue dans les bras d’une autre femme, il a voulu la baiser devant moi. Ca ne me dérangeais pas du tout, je me masturbais. Par contre elle ne le voulait pas sauf dans la bouche.
Enfin je vais accomplir mon devoir conjugal.
Je commence par me déshabiller entièrement sans fioriture, il connais mon corps par cœur, comme je connais le sien. Il a un gros intérêt : sa bite longue est assez grosse. C’est d’ailleurs pour ça que j’aime quand il me sodomise, il me fait du mal au début et il me fait partir dans des orgasmes extraordinaires ensuite. Je suis couchée bien avant lui, j’ai mis mes mains sous la tête pour être surélevée et bien voir sa bite quand il bande. Je me dis tant pis, tu baiseras avec ton amante un autre jour. C’est dommage, j’adore quand nous baisons ensemble avec elle, tout est écrit d’avance, y compris les imprévus.
Je vois la pine grossir de plus en plus, elle se lève comme pour me dire bonjour. Elle devient grosse, avec les veines bien apparentes, c’est une bite de compétition. Aujourd’hui j’ai envie qu’il me la mette dans le cul. J’aime la sodomie parce que je peu me masturber pendant que sa queue fait des vas et vient dans mon ventre.
Je me mets en levrette, me mouille la pastille comme il me convient. Je le sens quand il vient sur moi, il va me la mettre comme si j’étais un animal, ce que je suis quand je me comporte comme une salope. Je prends sa queue pour la mettre moi-même à l’endroit voulu. Il aime quand je le guide ainsi et moi aussi, je vérifie sa grosseur. Il commence à entrer. J’ai mal à l’anus pendant que le gland passe. Ensuite pour lui comme pour moi, ce n’est que du plaisir et quel plaisir. Il rentre presque toute sa bite dans mes intestins. Il me fait du bien partout, dans le ventre et dans la poitrine. Je n’ai jamais compris pourquoi quand je baise, ou que je me branle, avec lui ou ma copine j’ai toujours ce plaisir qui remonte loin du bas ventre. Je sens ses poils contre mes fesses, c’est un peu de piment dans notre étreinte. Ma main droite caresse le clitoris pour allier les deux plaisirs différents.
Je sens sa pine grossir un peu plus dans le cul. Il ne va pas tarder à jouir. Je n’aime pas qu’il jouisse trop vite, sinon je suis obligée de le faire bander à nouveau. Je sais bien comment faire, pour moi c’est du temps perdu quoique pour lui c’est une jouissance de plus. Alors je le laisse jouir dans mon ventre. Je sens sa queue avoir des spasmes dans l’anus, il me semble sentir son sperme gicler en moi.
Quand il sort cette fois il bande encore pas mal et il me tend la bite vers la bouche. J’aime le sucer quand il a fini de me sodomiser, ne demandez pas pourquoi, j’aime ce gout particulier.
Il reste couché sur le lit, la bite toujours raide. Pourtant il a jouit, je viens de le sucer. Alors puisque nous devons baiser aujourd’hui, je me met sur lui, à cheval sur sa pine. Je lui fait face pour que nous puissions nous voir. Je m’accroupis sur sa queue, avec les mains je la mets juste sur le vestibule et je m’assois sur lui. Sa bite entre comme dans du beure dans ma chatte. Je reste assise sans bouger sans doute plus de 5 minutes. Il me caresse les seins toujours aussi bien, toujours d’une façon très érotique. Mes tétons sont caressés, légèrement pincés. Je le laisse faire tout en sentant ma cyprine couler vers son ventre. S’il continu ainsi, entre sa bite dans le con et ses caresses, je ne vais pas tarder à jouir encore. Je commence à remuer, non pas en allant et venant sur la bite, mais en pivotant légèrement. Je peux ainsi faire passer sa queue partout dans ma cage. Je sens monter un orgasme plus costaud que l’autre. Je me laisse aller à ce nouveau plaisir. Nous jouissons ensemble, je jouis même mieux quand je sens le jet de foutre jaillir dans mon conduit, là bas tout au fond.
Je me met à ses cotés, pour qu’il me câline un peu, j’ai besoin parfois de ce genre de preuve d’amour. C’est alors qu’il me dit :
- J’ai oublié une chose qui t’intéresse.
- Quoi donc ?
- Un copain doit venir tout à l’heure. Il est d’accord, si tu le veux pour venir te baiser devant moi et que nous te fassions ensemble une double pénétration. J’ai pensé que tu apprécierais de nous avoir tous les deux dans ta chate.
- Tu aurais pu me le dire plus tôt, je n’aurai pas tant baisé avec toi tout à l’heure.
L’idée ne me déplait pas. Je ne sais pas comment je ferai avec ta bite et la sienne dans ma chatte à la fois, je vais avoir mal au ventre. Enfin je verrai bien. Tiens, il me tarde qu’il soit là. Comment est sa bite ?
- Je ne sais pas trop, sans doute comme la mienne.
- Tu seras avec lui dans ma chatte : deux bites d’hommes qui baisent un même con, c’est comme si vous vous branliez.
- Oui, je sais, mais si on se branle se sera dans ton corps de pute.
Nous n’avons pas le temps de trop discuter, un coup de sonnette. Il se lève pour aller ouvrir pour revenir, lui nu, bandant, et son copain habillé. Je suis moi, nue sur le lit, les jambes ouvertes pour qu’il voit toute ma foufoune. Je me lève pour l’accueillir. Je vais l’embrasser sur la bouche en touchant son sexe, à travers le pantalon. Il bande déjà. Je la trouve un peu moins grosse que celle de mon époux.
Nous sommes enfin nus et allongés. Pour me faire mettre par deux bites j’ai trouvé la solution; faire comme pour une double pénétration. Je me coucherai sur mon nouvel amant qui me mettra et mon mari passera par derrière comme pour m’enculer, sauf qu’il me la mettra au même endroit. Je me mets sur le premier, me baise seule, quand je l’ai bien au fond, je me couche sur lui. Je me sens déjà bien remplie. Enfin je sens mon mari venir sur moi. Il pourrai se tromper et m’enculer. Il sait exactement où il va, il suit simplement la bite que j’ai déjà en moi. Il force pour ouvrir ma chatte le plus possible. Il me fait mal sauf quand il arrive à tout mettre. J’ai le vagin défoncé par la grosseur des deux bites. Je sens les mouvements désordonnés des deux pines. Et enfin le plaisir arrive quand les deux sont dans le même tempo. C’est comme si j’avais une bite d’âne dans mon sexe. Je me surprends même à suivre les vas et viens. Ce qui m’étonne est de sentir les deux bites jouir ensemble. Mes spasmes sont bloqués par la présence des deux pines accolées.
J’avais eu mal au début, maintenant je ne voudrai pas qu’ils cessent de me baiser tous les deux dans le même trou.
Finalement je ne regrette pas de ne pas avoir été voir mon amante. Elle sera étonnée de ma performance.
Enfin je vais accomplir mon devoir conjugal.
Je commence par me déshabiller entièrement sans fioriture, il connais mon corps par cœur, comme je connais le sien. Il a un gros intérêt : sa bite longue est assez grosse. C’est d’ailleurs pour ça que j’aime quand il me sodomise, il me fait du mal au début et il me fait partir dans des orgasmes extraordinaires ensuite. Je suis couchée bien avant lui, j’ai mis mes mains sous la tête pour être surélevée et bien voir sa bite quand il bande. Je me dis tant pis, tu baiseras avec ton amante un autre jour. C’est dommage, j’adore quand nous baisons ensemble avec elle, tout est écrit d’avance, y compris les imprévus.
Je vois la pine grossir de plus en plus, elle se lève comme pour me dire bonjour. Elle devient grosse, avec les veines bien apparentes, c’est une bite de compétition. Aujourd’hui j’ai envie qu’il me la mette dans le cul. J’aime la sodomie parce que je peu me masturber pendant que sa queue fait des vas et vient dans mon ventre.
Je me mets en levrette, me mouille la pastille comme il me convient. Je le sens quand il vient sur moi, il va me la mettre comme si j’étais un animal, ce que je suis quand je me comporte comme une salope. Je prends sa queue pour la mettre moi-même à l’endroit voulu. Il aime quand je le guide ainsi et moi aussi, je vérifie sa grosseur. Il commence à entrer. J’ai mal à l’anus pendant que le gland passe. Ensuite pour lui comme pour moi, ce n’est que du plaisir et quel plaisir. Il rentre presque toute sa bite dans mes intestins. Il me fait du bien partout, dans le ventre et dans la poitrine. Je n’ai jamais compris pourquoi quand je baise, ou que je me branle, avec lui ou ma copine j’ai toujours ce plaisir qui remonte loin du bas ventre. Je sens ses poils contre mes fesses, c’est un peu de piment dans notre étreinte. Ma main droite caresse le clitoris pour allier les deux plaisirs différents.
Je sens sa pine grossir un peu plus dans le cul. Il ne va pas tarder à jouir. Je n’aime pas qu’il jouisse trop vite, sinon je suis obligée de le faire bander à nouveau. Je sais bien comment faire, pour moi c’est du temps perdu quoique pour lui c’est une jouissance de plus. Alors je le laisse jouir dans mon ventre. Je sens sa queue avoir des spasmes dans l’anus, il me semble sentir son sperme gicler en moi.
Quand il sort cette fois il bande encore pas mal et il me tend la bite vers la bouche. J’aime le sucer quand il a fini de me sodomiser, ne demandez pas pourquoi, j’aime ce gout particulier.
Il reste couché sur le lit, la bite toujours raide. Pourtant il a jouit, je viens de le sucer. Alors puisque nous devons baiser aujourd’hui, je me met sur lui, à cheval sur sa pine. Je lui fait face pour que nous puissions nous voir. Je m’accroupis sur sa queue, avec les mains je la mets juste sur le vestibule et je m’assois sur lui. Sa bite entre comme dans du beure dans ma chatte. Je reste assise sans bouger sans doute plus de 5 minutes. Il me caresse les seins toujours aussi bien, toujours d’une façon très érotique. Mes tétons sont caressés, légèrement pincés. Je le laisse faire tout en sentant ma cyprine couler vers son ventre. S’il continu ainsi, entre sa bite dans le con et ses caresses, je ne vais pas tarder à jouir encore. Je commence à remuer, non pas en allant et venant sur la bite, mais en pivotant légèrement. Je peux ainsi faire passer sa queue partout dans ma cage. Je sens monter un orgasme plus costaud que l’autre. Je me laisse aller à ce nouveau plaisir. Nous jouissons ensemble, je jouis même mieux quand je sens le jet de foutre jaillir dans mon conduit, là bas tout au fond.
Je me met à ses cotés, pour qu’il me câline un peu, j’ai besoin parfois de ce genre de preuve d’amour. C’est alors qu’il me dit :
- J’ai oublié une chose qui t’intéresse.
- Quoi donc ?
- Un copain doit venir tout à l’heure. Il est d’accord, si tu le veux pour venir te baiser devant moi et que nous te fassions ensemble une double pénétration. J’ai pensé que tu apprécierais de nous avoir tous les deux dans ta chate.
- Tu aurais pu me le dire plus tôt, je n’aurai pas tant baisé avec toi tout à l’heure.
L’idée ne me déplait pas. Je ne sais pas comment je ferai avec ta bite et la sienne dans ma chatte à la fois, je vais avoir mal au ventre. Enfin je verrai bien. Tiens, il me tarde qu’il soit là. Comment est sa bite ?
- Je ne sais pas trop, sans doute comme la mienne.
- Tu seras avec lui dans ma chatte : deux bites d’hommes qui baisent un même con, c’est comme si vous vous branliez.
- Oui, je sais, mais si on se branle se sera dans ton corps de pute.
Nous n’avons pas le temps de trop discuter, un coup de sonnette. Il se lève pour aller ouvrir pour revenir, lui nu, bandant, et son copain habillé. Je suis moi, nue sur le lit, les jambes ouvertes pour qu’il voit toute ma foufoune. Je me lève pour l’accueillir. Je vais l’embrasser sur la bouche en touchant son sexe, à travers le pantalon. Il bande déjà. Je la trouve un peu moins grosse que celle de mon époux.
Nous sommes enfin nus et allongés. Pour me faire mettre par deux bites j’ai trouvé la solution; faire comme pour une double pénétration. Je me coucherai sur mon nouvel amant qui me mettra et mon mari passera par derrière comme pour m’enculer, sauf qu’il me la mettra au même endroit. Je me mets sur le premier, me baise seule, quand je l’ai bien au fond, je me couche sur lui. Je me sens déjà bien remplie. Enfin je sens mon mari venir sur moi. Il pourrai se tromper et m’enculer. Il sait exactement où il va, il suit simplement la bite que j’ai déjà en moi. Il force pour ouvrir ma chatte le plus possible. Il me fait mal sauf quand il arrive à tout mettre. J’ai le vagin défoncé par la grosseur des deux bites. Je sens les mouvements désordonnés des deux pines. Et enfin le plaisir arrive quand les deux sont dans le même tempo. C’est comme si j’avais une bite d’âne dans mon sexe. Je me surprends même à suivre les vas et viens. Ce qui m’étonne est de sentir les deux bites jouir ensemble. Mes spasmes sont bloqués par la présence des deux pines accolées.
J’avais eu mal au début, maintenant je ne voudrai pas qu’ils cessent de me baiser tous les deux dans le même trou.
Finalement je ne regrette pas de ne pas avoir été voir mon amante. Elle sera étonnée de ma performance.
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8 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je n'ai jamais tenté ça mais toutes celles et ceux qui ont déja essayé dans mon entourage m'on dit que c'était hyper jouissif. En tout cas après lecture, je suis toute excitée et me laisserait bien tenter :-D
lors de notre dernier trio ,comme mon épouse n aime et ne supporte pas trop la sodomie ,nous lui avons fait une double vaginale.elle s est empalée sur moi ,je l ai attirée contre mon torse pour me régaler de ses seins et notre ami ,est venus par au dessus ,lui fourrer sa bite en même temps que la mienne .je peux vous dire que mon épouse a éclater de jouissance .dommage que notre amis , n a pas pu l inonder de son sperme .déja qu avec le mien et son jus a elle , c était l inondation ,ça aurais été super de tout mélanger .
un conseil ,dès que vous avez l occasion essayez
un conseil ,dès que vous avez l occasion essayez
Réitérant les propos de "mu" ci-haut, le plaisir ne se limite pas chez les bites, mais
également chez la chatte. Et ce que je ne veux pas oublier : malgré la "fin de
jouissance", on reste attiré ce qui a pour effet, que manger un foutre mélangé est un
plaisir supplémentaire et irréplaçable . Autant pour le femme qui adore les langues,
dont elle sait qu'elles sucent une quantité de foutre hors du commun.
également chez la chatte. Et ce que je ne veux pas oublier : malgré la "fin de
jouissance", on reste attiré ce qui a pour effet, que manger un foutre mélangé est un
plaisir supplémentaire et irréplaçable . Autant pour le femme qui adore les langues,
dont elle sait qu'elles sucent une quantité de foutre hors du commun.
Les histoires qui racontent l'extrème plaisir que deux bites font ensemble dans un con
qui est familier aux amants, sont rares. Je n'ai vu cela qu'une seule fois dans le
club à M. admiré par deux couples qui s'empressaient à en faire une copie
immédiatement après. Depuis lors, j'ai pu convaincre plusieurs fois des partenaires
au club, qui se sont félécités par après, surtout que la formule tend à être doux avec
la femme pénétrée. Le club lui-même est connu pour ses 'actifs'.
Mun
qui est familier aux amants, sont rares. Je n'ai vu cela qu'une seule fois dans le
club à M. admiré par deux couples qui s'empressaient à en faire une copie
immédiatement après. Depuis lors, j'ai pu convaincre plusieurs fois des partenaires
au club, qui se sont félécités par après, surtout que la formule tend à être doux avec
la femme pénétrée. Le club lui-même est connu pour ses 'actifs'.
Mun
Les lecteurs ci-devant ont raison : autant pour ma femme que pour moi, sentant la
touche des deux bites se frottant, c'est plus que merveilleux, ma femme m'avouait, que
son con n'avait jamais été rempli que par les deux bites ensemble. Pour de qui me
concerne, le contact avec cette autre bite m'a même fait penser à la sucer. Le moment
où mon ami et moi se sont mis à éjaculer, le plaisir de pouvoir percer dans le foutre
d'un ami dans le con d'une amie c'est une vraie aubaine. Je m'imaginais, que la femme
de mon ami qui voyait les deux pines se frotter doit avoir jouie également. Ma femme,
l'objet de nos ébats, ne cesse de raconter les moments célestes de la double
jouissance. Conseil : mouvements de va-et-vient plus lents, plus accentués, plus
doux. Cette réaction est rédigée ensemble avec ma femme !
touche des deux bites se frottant, c'est plus que merveilleux, ma femme m'avouait, que
son con n'avait jamais été rempli que par les deux bites ensemble. Pour de qui me
concerne, le contact avec cette autre bite m'a même fait penser à la sucer. Le moment
où mon ami et moi se sont mis à éjaculer, le plaisir de pouvoir percer dans le foutre
d'un ami dans le con d'une amie c'est une vraie aubaine. Je m'imaginais, que la femme
de mon ami qui voyait les deux pines se frotter doit avoir jouie également. Ma femme,
l'objet de nos ébats, ne cesse de raconter les moments célestes de la double
jouissance. Conseil : mouvements de va-et-vient plus lents, plus accentués, plus
doux. Cette réaction est rédigée ensemble avec ma femme !
Dernièrement, j'avais un contact au club échangisteet qques minutes avant de commencer
à baiser ma nouvelle amie, un gars s'approchait. C'était clair qu'il était le mari de
la petite et il proposait de la baiser ensemble dans son con. Ma femme assistait à
l'évenement et je voyais briller dans ses yeux l'étonnement. Mais cela se faisait
presque sans difficulté, bien au contraire et un profond plaisir faisait étinceller
tous les yeux. Sentir décharger une bite contre le mienne etait indescriptible,
pouvoir sentir autant en jouissant contre une bite malléable la répétition qu'on
souhaitait à l'instant. Nous avons tous les quatre lèché du foutre. Mais le degré de
notre fatigue était à l'avenant !
à baiser ma nouvelle amie, un gars s'approchait. C'était clair qu'il était le mari de
la petite et il proposait de la baiser ensemble dans son con. Ma femme assistait à
l'évenement et je voyais briller dans ses yeux l'étonnement. Mais cela se faisait
presque sans difficulté, bien au contraire et un profond plaisir faisait étinceller
tous les yeux. Sentir décharger une bite contre le mienne etait indescriptible,
pouvoir sentir autant en jouissant contre une bite malléable la répétition qu'on
souhaitait à l'instant. Nous avons tous les quatre lèché du foutre. Mais le degré de
notre fatigue était à l'avenant !
Je n'ai jamais cru que c'éteit possible : à deux sentir la bite de mon ami qui frotte la
mienne dans son con ! Le moment suprème était bien me moment où mon copain commençait
à jouir. On était tous le trois dans un ciel à peine discriptible. Par après on a
mangé furieusement tous les trois un paquet de foutre inoubliable. Suivez mon conseil :
si vous avez une femme avertie et un bon copain : n'hésitez pas !
mienne dans son con ! Le moment suprème était bien me moment où mon copain commençait
à jouir. On était tous le trois dans un ciel à peine discriptible. Par après on a
mangé furieusement tous les trois un paquet de foutre inoubliable. Suivez mon conseil :
si vous avez une femme avertie et un bon copain : n'hésitez pas !
Très bon récit qui m'a énormément excité. J'ai pris un énorme plaisir en lisant cette
merveilleuse histoire. j'aurais beaucoup aimé être l'ami...
merveilleuse histoire. j'aurais beaucoup aimé être l'ami...