Une envie irrésistible

- Par l'auteur HDS MathieuB -
Récit érotique écrit par MathieuB [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Une envie irrésistible Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-04-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Une envie irrésistible
Ça me reprit en rentrant du travail. Encore ce fantasme ! J’eu une pointe d’excitation à l’idée de le mettre à exécution.
J’avais envie de me sentir femme.
Je savais que dans quelques minutes, j’allais passer devant un conteneur de vêtements. Je passais régulièrement devant et j’avais déjà remarqué que de temps en temps, des sacs s’entassaient devant le conteneur trop plein. Jamais je n’avais osé m’arrêter mais j’avais souvent imaginé trouver des vêtements de femme. Peut-être cette fois oserais-je ? Je me sentais plus excité que d’habitude, l’appel était plus profond et plus irrésistible que les fois précédentes…Je m’approchai de mon objectif et ralentis. Mon cœur s’accéléra à la vue des deux sacs posés devant le conteneur. J’avais de la chance. Je ralentis encore. Je n’avais jamais tant hésité à assouvir cette envie. Je me convainquis qu’il ne me coutait rien de m’arrêter un moment et je me garai donc tout près des sacs. Je sortis de la voiture et regardai autour de moi, les rues semblaient désertes. Les plusieurs habitations qui jonchaient les environs me rendirent nerveux. Je savais pourtant que le meilleur moyen d’être discret était d’agir le plus normalement du monde, quitte à faire tout le bruit qu’il fallait.
Une pulsion me saisit, et sans réfléchir d’avantage, j’ouvris le coffre de la voiture pour y glisser les deux sacs. Je le refermai aussitôt, rentrai à l’abri de cet habitacle et démarrai au plus vite. Je tremblais. Je voulais m’arrêter rapidement pour découvrir quels trésors renfermait mon butin mais je pris mon mal en patience et ne me stoppai qu’une fois à l’abri des regards. J’étais sur le côté d’une route de campagne très peu fréquentée.
Je me saisi du premier sac et l’ouvris dans la voiture. Je fus vite déçu de ne trouver qu’une vieille veste, des bottes de jardinage et quelques vêtements de travail en piteux état. En prenant le deuxième sac, j’avais peur d’être déçu. Mais mon vœu s’exhaussa. Le sac contenait une myriade de vêtements féminins. Je pris tout mon temps pour les découvrir. Les premiers tissus dont je me saisis furent de petites robes fines. L’une d’entre elle me fit particulièrement de l’œil. Elle était courte et sans manche, avec des motifs à fleur aux couleurs pastelles. Je trouvai ensuite un sac à main en tissu rose très girly et des chaussures à talons trop petites pour moi. Puis mes yeux s’écarquillèrent. Une dizaine de sous-vêtements en tout genre me rendit presque fou. Je ne pus m’empêcher de prendre ces culottes, ces tangas et ces strings et de me caresser le visage avec. Je les reniflai et en léchai même quelques-uns.
Je n’y tenais plus, je voulais m’habiller en femme. Je me convainquis que l’obscurité de la soirée me protègerait de la vue des autres et j’ôtai mon t-shirt pour enfiler la robe à fleur. Cela me procura beaucoup de plaisir et je voulu aller plus loin. J’enlevai alors mes chaussures, mes chaussettes et mon pantalon. Je regardai autour de la voiture. Personne. Mon slip était de trop, je m’en débarrassai. Je fus alors surpris par ma propre queue. Elle était belle et grosse, bien dure. Je la caressai un peu et eu envie de la sucer. Je n’étais hélas pas assez souple et n’arrivai à peine qu’à la lécher du bout de la langue, ce qui m’excita déjà beaucoup. Je choisis ensuite un beau string rouge à dentelle et l’enfilai tout doucement. Je profitai longuement de cette sensation que procura ce bout de tissu entre mes fesses.
Je voulais que ce moment ne s’arrête pas et je décidai donc de rouler un peu, habillé en femme. J’écoutai quelques morceaux girly de Beyoncé, Shakira et Britney Speirs en chantant. Je me sentais si bien. J’adorais la sensation de ne porter qu’un bout de tissu qui ne descendait pas assez bas pour cacher mes jambes. Et le toucher de mes fesses directement sur la robe me donnait un sentiment de liberté. Qu’il était bon d’être une femme !
Après quelques kilomètres de plaisir, j’eu envie d’aller plus loin. J’avais envie de sortir de ma cachette et de faire quelques pas hors de la voiture. Mais j’avais toujours trop peur du regard des gens. Je me souvins alors qu’on m’avait parlé d’un secret. J’avais laissé trainer cette information dans un coin de ma tête, n’assumant pas vraiment les opportunités qu’elle m’offrait. Il existait des lieux de rencontre gay. On m’avait notamment parlé d’un parking sur le bord d’une nationale mais je n’avais jamais osé y mettre les pieds. Pourquoi ne m’y rendrais-je pas maintenant ? Je pourrais toujours ne pas m’y arrêter si je ne m’y sentais pas à l’aise.
Je me détournai donc de la maison et pris la direction du parking, qui était pourtant à presque une demi-heure de chez moi. A chaque intersection, je ralentissais et me demandais si je ne ferais pas demi-tour. Mais je finissais chaque fois par me convaincre d’aller jusqu’au prochain carrefour, et je ressentais à chaque fois une petite dose d’adrénaline. Lorsque je m’engageai enfin sur la nationale, je ne tenais plus. Qu’étais-je en train de faire ?
La distance qui sépare la bande de lancement que je venais de prendre et le parking ne doit pas dépasser un kilomètre. Elle me parut pourtant beaucoup plus longue. J’étais tellement effrayé de ce que je faisais que je ne roulais qu’à 70 sur cette route pourtant limitée à 120. Je réussis pourtant à retrouver mon calme et ralentis à l’approche de mon objectif. J’enclenchai le clignotant et me déporté doucement. Je ralentis encore et pénétrai dans le parking, l’excitation me faisant presque perdre tous mes moyens.
Il n’y avait personne sur ce parking. Je ressentis d’abord un léger soulagement qui fut très vite balayé par un sentiment de déception. J’aurais finalement peut-être voulu être vu faire quelques pas en robe. Je m’arrêtai quand même et souffler un moment. Je ne voulais pas être venu jusqu’ici pour rien. J’enfilai donc les talons trop petits que j’avais trouvé plus tôt et sorti faire un tour. Je profitai de l’aire de pique-nique aménagée et je pris une démarche féminine pour me déplacer. Je me sentais belle et sexy.
Mon cœur s’accéléra à nouveau. Une voiture arrivait de la nationale et ralentissait. Son clignotant indiquait que son conducteur avait l’intention de s’arrêter ici. J’étais trop loin de la voiture pour y retourner. Je me mis face à un arbre pour uriner. Je pris alors conscience que je pissais debout, habillé en robe. Bien que la situation aurait dû me sembler ridicule, je me sentis excité.
Un homme descendit de la voiture et s’approcha de l’aire de pique-nique. Je ne le voyais pas mais je sentis son regard se poser sur moi et je ne pus m’empêcher de commencer à me toucher. J’étais matée. Il s’approcha de moi tout doucement et je me retournai vers lui. Il devait avoir la quarantaine, avait un petit ventre et il me regardait en se caressant à travers son pantalon.
Je ne saurais pas dire ce qu’il m’a pris à ce moment. Je n’étais plus maitre de moi-même. Je m’approchai de lui et commençai à caresser sa queue à travers son jeans. Il prit ma bite en main et je ressentis une pointe de jalousie. Moi aussi je voulais sentir son pénis entre mes doigts. Il m’aida à le débrailler et je profitai encore d’un moment à sentir son organe à travers son slip.
Je ne tenais plus ! J’ôtai son slip et pu enfin prendre sa queue en main. Quelle sensation ! Quel plaisir d’avoir une queue autre que la mienne en main ! Je fis de petit vas et viens avec ma main puis j’eu envie de m’approcher de son sexe. Je m’agenouillai pour profiter. Quelle belle queue il avait ! Je lui caressai les couilles en le branlant. Mais j’avais envie de plus.
Je ne savais pas ce que cet homme, que je n’avais jamais vu, et à qui je n’avais même pas dit bonjour, voulait. Sans poser de question, je décidai de prendre les devants et approchai mes lèvres de son pénis pour y déposer un baiser sensuel. Un très fin filet de bave relia ma bouche à son chibre, ce qui me rendit fou de plaisir. L’homme ne semblant pas être contraire à mes avances, je m’approchai à nouveau, cette fois pour lécher tout doucement son gland. Son sexe sentait un peu la bite, faisant encore monter mon excitation d’un cran. Petit à petit, je me mis à lécher l’ensemble de sa queue langoureusement. Je continuais aussi à lui faire de petits baisers. J’étais comme déchainé, possédé, amoureux fou de cette queue. N’y tenant plus, j’engouffrai son gland en bouche et commençai de petits vas et viens accompagnés de succions. J’y laissais de la bave et le bruit de cette pipe me faisait perdre pied. Je me mis à quatre pates et me cambrai tout en le suçant. Je soulevai ma robe et m’infligeai de petites fessées d’une main. Les gémissements de plaisir que je poussais n’avaient d’autre choix que de sortir par mon nez.
Je le suçais de plus en plus profondément et il m’aida même en tenant ma tête fermement et en basculant frénétiquement son bassin. Son gland au fond de ma gorge m’étouffait presque mais j’en ressentais pourtant un plaisir intense. Je me sentais féminine. J’étais une femme. J’étais sexy. Mais surtout, j’étais une salope. Je ne me souciais pas du plaisir que pouvait ressentir cet homme. J’étais focalisé sur mon plaisir, sur cette queue et sur ma perversité. J’étais sa chose, son objet sexuel, sa petite salope prête à tout pour pouvoir jouir de sa queue.
Je le sentis arrivé à l’orgasme et bien qu’il fît un geste pour se retirer afin de ne pas me jouir dessus, je l’obligeai à rester en face de moi. Il s’achevait à la main pendant que je continuais de lui lécher le gland. Quand enfin il jouit dans un gémissement, je fus surpris par la quantité de sperme qu’il me déversa dessus. J’en eu plein la bouche, plein les lèvres, et plein la moustache. C’était délicieux. Je jouai un instant avec ma langue et sa semence.
Il me regarda un instant, affalée au sol comme une trainée, heureuse d’avoir pu sucer sa belle queue et récolter sa semence. Il me souhaita une bonne soirée, ce qui me surpris et je lui retournai son souhait d’une petite voix. Alors qu’il s’éloignait vers sa voiture, je commençai à me lécher les babines. Son sperme dégoulinait autour de ma bouche et je me remis à me toucher. Il ne me fallut pas longtemps pour jouir, excité par tout ce sperme et par ce beau phallus que je venais de sucer.
La jouissance me libéra enfin de mes pulsions et je pu reprendre mes esprits. Que venait-il de se passer ? Moi qui avais pourtant toujours été attiré par les filles, je venais de sucer un mec. J’aurais surement éprouvé de la honte si j’avais été plus jeune, mais la vie m’avait appris qu’il fallait en profiter et qu’on n’avait que le bien qu’on se faisait. Je souris donc en pensant à ce qui venait de se passer et, même si l’excitation était retombée, je continuai à me lécher les lèvres et à apprécier cette odeur et ce goût de sperme qui, j’en étais déjà persuadé, me manquerait bien vite.

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