Une épilation sex appeal - histoire érotique

Une épilation sex-appeal,
Depuis quelques semaines mon chéri, coquin invétéré, m'incite sans cesse à participer à un petit jeu érotique, anodin et plaisant : raconter sans artifices nos fantasmes mutuels. Enfin , soyons clairs, j'ai l'intime conviction qu'il est beaucoup plus intéressé par le récit détaillé de ses désirs libertins afin de m'entrainer et m'habituer à des pratiques de plus en plus libres. C'est une récurrence l'envie qu'il a de me voir m'ébattre avec la gente féminine. Je ne suis pas bi et n'ai aucune attirance sexuelle pour les femmes je le lui dit encore et encore, et pourtant il n'a de cesse d' alléguer qu'il suffirait que je me laisse tenter pour adorer. Je le lui laisse croire mais n'en suis nullement convaincue. Cependant la lecture de ses écrits décrivant les caresses voluptueuses de nymphettes bien faites sur mon corps abandonné dans la chaleur accueillante d'un sauna Toulousain commence à faire tomber mes barrières cabotines. Finalement quand bien même je reste persuadée que seul les attributs d'un mâle peuvent m'entraîner à l'extrême extase je me laisse à penser qu'il doit être agréable de découvrir les courbes voluptueuses d'une amante .
C'est dans cet état d'esprit , circonspect mais ouvert, certainement mutin, que je me rends dans mon institut de beauté dont l'enseigne est un signe : « libertine esthétique ». Carine me reçoit courtoisement à son habitude,légèrement maquillée, sa jolie poitrine mise en valeur par un top turquoise subtilement transparent. Des effluves de violettes taquinent mes narines à chacun de ses gracieux mouvements, et elle m'invite à me déshabiller dans un cabinet au décor chaleureux.
Je fais glisser rapidement ma robe et ma lingerie assortie, et m'allonge avec ravissement sur la serviette immaculée, douce et fraiche qui recouvre la table. J'aime ces moments précieux où l'on se laisse aller entre les mains expertes de nos esthéticiennes, nous ne leur rendons pas suffisamment hommage pour le bien être qu'elles nous apportent.
Aujourd'hui je viens pour une épilation complète, de la tête aux pieds, et bien évidemment pour que mon sexe et ses alentours soient débarrassé de toute pilosité. Je sais que certain d'entre vous ne trouve pas cette nouvelle tendance très glamour, voire malsaine. Les parties intimes des femmes ainsi préparées ressemblent trop à celles de petites filles . Je le conçois évidemment et accepte volontiers ces critiques naturelles, mais si je pratique cette éradication totale c'est par goût et non par mode et puis rappelons que l'épilation intégrale remonte à l'Egypte antique et était un signe de distinction.
A tort , je me sens plus propre, plus pure, plus nette . Je sais le poil n'a pas de caractère obscène ni sale, il faut que je consulte , j'y pense, ce sera sans doute le thème d'une prochaine histoire. Et puis je plais ainsi à mon compagnon de jeux, ce qui ne gâte rien. Personnellement, je n'apprécie guère avoir sur le bout de ma langue des phanères pubiens lors de mes pérégrinations buccales. Tout comme il est désagréable de sentir les chatouillements de ses intrus « kératineux » dans mes narines lors de mes danses phalliques : messieurs si vous souhaitez que vos amantes et amants vous prodiguent des fellations mémorables disciplinez vos toisons et pour les plus courageux faites en disparaître une infime partie.
Me voilà confortablement installée, nue et à la disposition de Carine. Je suis un peu, heu...beaucoup gênée par cette situation qui n'est pas une première certes , mais je n'arrive toujours pas à accepter mon corps et ses défauts. Il faut vraiment que je consulte. Alors je ferme les yeux, du coup je souris, je pense à Jeff et à ce qu'il penserait s'il me voyait en pareille situation. Je suis certaine que cette vision et les scénarii qu'il envisagerait auraient un effet immédiat sur la consistance de son gourdin. Certainement une érection majestueuse qu'il s'empresserait de soulager par des caresses appropriées. Mon doudou est maître dans l'art de l'onanisme et j'ai beaucoup à apprendre de lui.
De fil en aiguille, gagnée par la torpeur du lieu et de mes coquines pensées, mon esprit gambade dans des limbes libertines. Carine commence ses travaux de gommage, je sens la chaleur sur ma peau, et l'odeur suave de la transpiration qui perle sur sa peau diaphane. Ma respiration s'emballe, je suis partagée entre l'envie de me laisser aller à cette découverte, et la peur d'être prise en défaut par la belle qui pourrait ne pas apprécier du tout de tels égarements. Je décide de me laisser aller , après tout je ne fais rien de répréhensible . Elle a déjà prodigué ses talents sur mes sourcils et mes aisselles. Mon intimité est déjà toute humide. Le désir subtil, l'envie de sexe s'insinue en moi. J'en veux à mon partenaire . A cause de lui me voilà dans uns situation inconfortable intellectuellement mais tellement excitante et alléchante.
Carine me demande de me tourner sur le ventre afin de poser des bandes de cire sur mes jambes. Ce changement de position, le frottement du tissu éponge sur mon pubis, déclenche des sensations divines qui provoquent immédiatement de délicieuses ondes de plaisir et une lubrification généreuse de mon bas ventre.
Sait elle la diablesse l'embrasement que provoquent ses attouchements sur moi, ou est elle totalement hermétique aux chamboulements de mes sens.
Voici qu'elle en arrive aux parties les plus charnues de mon anatomie . Je sens déjà ses mains sur mes fesses rebondies. Pour atteindre ma rosette brune elle écarte avec douceur mes globes généreux. Elle dépose une noisette de cire chaude autour de ma pastille et le contact de l'appareil et de ces doigts agiles me font tressaillir de plaisir, je gémis dans ma serviette en espérant n'être pas trop bruyante .
Carine me demande si ça va, si elle ne me fait pas mal. Je n'ai qu'une envie, lui dire de continuer, style « fais moi mal encore, j'adore, continue », mais j'articule un ridicule « non ». C'est un délice d'être entre les mains de cette jeune femme, délicate dans ses gestes et sa façon d'être. Mes lèvres intimes sont gonflées, mon bas ventre palpite de désir, j'attends avec impatience qu'elle me demande de me retourner pour défricher mon mont de vénus. Imaginer ses mains sur cette partie de mon corps m'émoustille, m'enflamme, m'attise.
L'instant tant attendu arrive, Carinne enfile des gants en latex comme une seconde peau. Le bruit sec que font les gants en épousant les mains de ma galante, attise mon imagination. Je rêve de pénétration et un jet d'éjaculat me surprend dans mes rêveries érotiques. Je suis stupéfaite par cette réaction aussi soudaine que incontrôlée. Je rougis de honte . Mais c'est bon la honte. Carine se retourne. Un temps d'arrêt. Elle ne dis rien, prend plusieurs lingettes et se met à nettoyer mon plaisir si simplement exprimé. J'ai laissé mes yeux fermés et me laisse emporté à nouveau par la jouissance. Imaginez la situation, limite étude psy, on remonte dans sa prime enfance quand on en était aux langes. C'est certain il faut que je consulte, mon esprit s'égare.
Un peu de talc sur mes lèvres gorgées et trop lubrifiées et mon esthéticienne préférée ôte délicatement mais fermement toute trace de toison superflue. La délicieuse s'attarde avec perversité sur chaque centimètre de ma peau ce qui me met dans tous mes états . J'ai du mal à me retenir. J'ai une sauvage envie de prendre sa main pour qu'elle officie . Je voudrais tant qu'elle me masturbe, qu'elle investisse mon antre chauffée à blanc. Je voudrais sentir sa langue sur mon clitoris érigé en son honneur. Être prise sur cette table et exploser de plaisir dans la bouche d'une fille aussi charmante. Elle n'hésite pas à utiliser une pince à épiler pour achever son œuvre hédoniste. Les picotements des follicules ainsi arrachés sont l'apothéose. J'ai un orgasme gigantesque. Je suis femme fontaine et Carine est inondée de foutre . Elle ne peut plus ignorer l'effet qu'elle me fait.
En grande professionnelle qu'elle est, elle ne dit mot. Elle prend une serviette, éponge mon bas ventre, je n'ose pas croire, j'ai du rêver, mais il me semble qu'elle a déposé un baiser furtif sur mon intimité. Elle termine par un onguent parfumé qu'elle étale sur ma peau. Ainsi parée elle me dit que je peux me rhabiller et sorts du salon.
Livrée à moi même je ne sais qu'elle doit être mon attitude, je décide d'agir de la même façon que mon hôtesse, et ne laisse rien paraître.
Je reviens à l'accueil pour payer cette magique prestation. C'est 50 euros dit elle avec un magnifique sourire qui découvrent des dents parfaites. Je sens mon entre cuisse qui n'humidifie à nouveau , je suis insatiable, j'ai peut être pris goût à la gente féminine et ses jeux amoureux. Je tends le billet à Carine qui me dit candidement : je vous attends le mois prochain pour le même traitement .
Traitement galant ou pas je ne raterais sous aucun prétexte ce rendez vous libertin.