Une étoile dans ma nuit
Récit érotique écrit par Sire Kurt [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-08-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une étoile dans ma nuit
Bonjour, je me présente, Kurt. L'histoire que je vais vous raconter est véridique.
Il m'arrivait régulièrement de fréquenter des conférences en tous genres, par curiosité et pour enrichir mes connaissances.
Aussi, je me suis retrouvé un soir à écouter une féministe nous faire un exposé sur la place de la femme dans notre société.
J'admets m'y être rendu avec un certain a priori, la vision de cette femme, un peu forte, et... classieuse, je m'attendais à un réquisitoire contre le gente masculine.
Cependant, elle s'exprimait avec une grande éloquence et ses propos résonnaient en moi, m’enjoignant à embrasser sa cause.
A mesure que se déroulait cette conférence, ma fascination pour cette femme grandit, tant et si bien que finalement, je la trouvais rayonnante, tout simplement belle.
Voyant que se profilait la fin de son intervention derrière ce pupitre, déjà je ressentais un sentiment de manque, je voulais plus.....d'elle.
Quand il fut l'heure de quitter la salle, un organisateur nous invita à nous rendre dans le hall, afin de prendre un verre, et une petite collation.
C'est alors que je me suis aperçu avec bonheur que l'objet de ma récente fascination faisait partie des personnes présentent.
Un impérieux besoin de l'aborder s'imposa à moi, pas question de laisser passer ma chance.
Mon audace porta ses fruits, s'en suivi une agréable discussion avec cette... Alice. Il était évidant pour nous deux que le... courant passait entre nous.
J'appris alors qu'elle résidait dans un hôtel à proximité pour la nuit et qu'elle reprenait la route dès le lendemain.
Invité par ses soins à boire "un dernier verre", je l'ai suivie dans sa chambre, quelque peu intimidé par cette femme.
Une fois la porte refermée derrière nous et la veste de son tailleur pendu sur le dossier d'une chaise, les premiers mots à sortir de sa bouche était:
"domine moi!"
Déjà intimidé, ces mots ne font que rajouter à mon trouble.
Je ne lui réponds pas, m'approche d'Alice, déboutonne son chemisier, et fait tomber un à un ses vêtements.
Sans cesser de me perdre dans son regard je me déshabille à mon tour devant elle qui me regarde fixement.
Me voila en boxer, je m'approche, la touche, mes doigts effleurent sa peau douce, la parcoure.
Ses épaules, son dos, ses fesses, ses hanches, son ventre, puis ses seins, et son cou, Alice frissonne, je le ressens sous mes doigts.
Elle se plaque alors contre mon corps, ses bras autour de mon cou, m'enivrant des effluves de son parfum.
Enfin, je prononce les premiers mots depuis que j'ai pénétré dans sa chambre:
"laisse moi faire."
Alice me libère de son étreinte, et cherche à me déchiffrer en se replongeant dans mon regard, sans y parvenir.
La poussant, je fais chuter son corps de toute sa hauteur sur le lit, l'installe confortablement avant de me placer entre ses jambes.
Je l'embrasse, la lèche, de son cou en descendant lentement vers sa boite de pandore.
Sa respiration devient haletante. Deux de mes doigts se frayent un passage dans son antre humide et ma langue s'attarde sur son bouton d'amour.
Pendant plusieurs minutes de ce traitement, sous l'action conjuguée de mes doigts et ma langue, ma belle se contracte.
Une de ses mains a fermement serré le drap, l'autre est dans mes cheveux, ses fesses ne touchent plus le lit, raidit, Alice se livre entièrement à ce traitement.
Quand soudain, ses gémissements cessent, laissant place au cri, son corps tremble de spasmes, un doux liquide se répand dans ma main et sur ma langue.
Ma belle, est à présent complètement amorphe dans le lit, totalement détendue, contrastant avec la raideur de son corps précédant l’explosion.
Doucement, elle reprit son souffle, et comme si elle reprenait subitement le contrôle de son corps, cherchant mes yeux du regard.
Ont resta à se regarder un moment, quand sa main droite entreprit de libérer mon sexe qui, il faut bien l'avouer était serré dans ce boxer.
Alors qu'elle entame un délicieux va et vient avec sa main autour de ma verge, Alice approche sa bouche de mon membre viril.
"pas tout de suite."
Elle me regarde, visiblement contrarié, mais n'insiste pas. Apres l'avoir relevé du lit, ses jambes étaient visiblement encore faibles, mal assurées.
Je la prends entre mes bras, la plaque contre le mur, soulevant son bassin, elle enlace alors ses bras autour de mon coup.
Mes mains la soulève à porté de mon sexe et je la pénètre. Alice enroule ses jambes autour de moi.
De plus en plus vite, et de plus en plus fort, je m'introduisais toujours plus profondément dans l'intimité de ma partenaire.
A nouveau, ma belle allait avoir un orgasme, ses jambes et ses bras me serraient bien davantage, mais ma surprise se localisa ailleurs.
En effet, alors que sa tête était collé contre la mienne, à ma gauche, ses dents se sont refermé sur mon trapèze, la pression augmentant à la mesure de l'intensité de sa jouissance.
Passé l'effet de surprise, l'étreinte d'Alice se réduit lentement, tandis que je sentais son doux liquide s'écouler de mon sexe à ma jambe droite.
Sachant que ma partenaire aurait des difficultés à se tenir sur ses jambes, je la dépose dans le lit comme je l'aurais fait avec un nouveau-né.
Une fois reprit ses esprits, ma belle, me regarda fixement, j'essayais de comprendre ce regard, l'interpréter.
Des qualificatifs me venaient: reconnaissant, inquisiteur, sournois, diabolique, malicieux...
Bref, je ne n'étais pas en mesure de traduire ce que ses yeux me lançaient, ou peut être trop de choses, aussi je me résous à lui retourner un regard interrogatif.
Finalement elle me dit:" Je veux que tu jouisses dans ma bouche."
Acquiescent de la tête, le signale était donné, ma belle Alice s'approche et s'agenouille devant moi, approchant doucement sa bouche de ma verge.
C'est alors que je m'écarte marchant à reculons, sans jamais cesser de plonger mes yeux dans les siens, et ce jusqu'a m'installer dans un fauteuil à l'angle de la pièce.
Toujours à genoux, ma belle se laissa tomber sur ses mains. C'est maintenant à quatre pattes qu'Alice parcoure le chemin jusqu'a moi.
Avec la grâce d'un félin, mon amante me fixe du regard, chemin faisant, jusqu'à faire disparaître ma verge dans sa bouche.
La dextérité de ma belle Alice eue rapidement raison de moi, elle comprit alors l'imminence de mon éjaculation.
Par simple pression de ses lèvres contre mon gland, elle s'assura de l'étanchéité de l'ensemble.
Ma tête tombe en arrière et je me livre complètement, me laisse entièrement aller dans la bouche de ma belle.
Relevant la tête, je me replonge dans les yeux d'Alice qui me regardait toujours fixement.
Esquissant un sourire, mon amante avale l'intégralité des fruits de ma jouissance.
Je veux me relever, mais cette fois se sont mes jambes qui sont cotonneuses.
Aussi j'abdique, et me répand dans le fauteuil, où Alice me rejoint.
Son souffle chaud sur ma poitrine m'emplit de bonheur et nous nous endormons ainsi.
Comme elle me l'avait dit, le lendemain elle est partit pour une autre ville.
Souvent je repense à cette nuit, à cette femme, et bien que la nostalgie me serre le cœur, un sourire se dessine sur mon visage.
Qui sait, peut être qu'un jour, il me sera donné de revoir ma féministe, Alice, et qu ‘elle me donnera de nouveau accès aux pays des merveilles.
Il m'arrivait régulièrement de fréquenter des conférences en tous genres, par curiosité et pour enrichir mes connaissances.
Aussi, je me suis retrouvé un soir à écouter une féministe nous faire un exposé sur la place de la femme dans notre société.
J'admets m'y être rendu avec un certain a priori, la vision de cette femme, un peu forte, et... classieuse, je m'attendais à un réquisitoire contre le gente masculine.
Cependant, elle s'exprimait avec une grande éloquence et ses propos résonnaient en moi, m’enjoignant à embrasser sa cause.
A mesure que se déroulait cette conférence, ma fascination pour cette femme grandit, tant et si bien que finalement, je la trouvais rayonnante, tout simplement belle.
Voyant que se profilait la fin de son intervention derrière ce pupitre, déjà je ressentais un sentiment de manque, je voulais plus.....d'elle.
Quand il fut l'heure de quitter la salle, un organisateur nous invita à nous rendre dans le hall, afin de prendre un verre, et une petite collation.
C'est alors que je me suis aperçu avec bonheur que l'objet de ma récente fascination faisait partie des personnes présentent.
Un impérieux besoin de l'aborder s'imposa à moi, pas question de laisser passer ma chance.
Mon audace porta ses fruits, s'en suivi une agréable discussion avec cette... Alice. Il était évidant pour nous deux que le... courant passait entre nous.
J'appris alors qu'elle résidait dans un hôtel à proximité pour la nuit et qu'elle reprenait la route dès le lendemain.
Invité par ses soins à boire "un dernier verre", je l'ai suivie dans sa chambre, quelque peu intimidé par cette femme.
Une fois la porte refermée derrière nous et la veste de son tailleur pendu sur le dossier d'une chaise, les premiers mots à sortir de sa bouche était:
"domine moi!"
Déjà intimidé, ces mots ne font que rajouter à mon trouble.
Je ne lui réponds pas, m'approche d'Alice, déboutonne son chemisier, et fait tomber un à un ses vêtements.
Sans cesser de me perdre dans son regard je me déshabille à mon tour devant elle qui me regarde fixement.
Me voila en boxer, je m'approche, la touche, mes doigts effleurent sa peau douce, la parcoure.
Ses épaules, son dos, ses fesses, ses hanches, son ventre, puis ses seins, et son cou, Alice frissonne, je le ressens sous mes doigts.
Elle se plaque alors contre mon corps, ses bras autour de mon cou, m'enivrant des effluves de son parfum.
Enfin, je prononce les premiers mots depuis que j'ai pénétré dans sa chambre:
"laisse moi faire."
Alice me libère de son étreinte, et cherche à me déchiffrer en se replongeant dans mon regard, sans y parvenir.
La poussant, je fais chuter son corps de toute sa hauteur sur le lit, l'installe confortablement avant de me placer entre ses jambes.
Je l'embrasse, la lèche, de son cou en descendant lentement vers sa boite de pandore.
Sa respiration devient haletante. Deux de mes doigts se frayent un passage dans son antre humide et ma langue s'attarde sur son bouton d'amour.
Pendant plusieurs minutes de ce traitement, sous l'action conjuguée de mes doigts et ma langue, ma belle se contracte.
Une de ses mains a fermement serré le drap, l'autre est dans mes cheveux, ses fesses ne touchent plus le lit, raidit, Alice se livre entièrement à ce traitement.
Quand soudain, ses gémissements cessent, laissant place au cri, son corps tremble de spasmes, un doux liquide se répand dans ma main et sur ma langue.
Ma belle, est à présent complètement amorphe dans le lit, totalement détendue, contrastant avec la raideur de son corps précédant l’explosion.
Doucement, elle reprit son souffle, et comme si elle reprenait subitement le contrôle de son corps, cherchant mes yeux du regard.
Ont resta à se regarder un moment, quand sa main droite entreprit de libérer mon sexe qui, il faut bien l'avouer était serré dans ce boxer.
Alors qu'elle entame un délicieux va et vient avec sa main autour de ma verge, Alice approche sa bouche de mon membre viril.
"pas tout de suite."
Elle me regarde, visiblement contrarié, mais n'insiste pas. Apres l'avoir relevé du lit, ses jambes étaient visiblement encore faibles, mal assurées.
Je la prends entre mes bras, la plaque contre le mur, soulevant son bassin, elle enlace alors ses bras autour de mon coup.
Mes mains la soulève à porté de mon sexe et je la pénètre. Alice enroule ses jambes autour de moi.
De plus en plus vite, et de plus en plus fort, je m'introduisais toujours plus profondément dans l'intimité de ma partenaire.
A nouveau, ma belle allait avoir un orgasme, ses jambes et ses bras me serraient bien davantage, mais ma surprise se localisa ailleurs.
En effet, alors que sa tête était collé contre la mienne, à ma gauche, ses dents se sont refermé sur mon trapèze, la pression augmentant à la mesure de l'intensité de sa jouissance.
Passé l'effet de surprise, l'étreinte d'Alice se réduit lentement, tandis que je sentais son doux liquide s'écouler de mon sexe à ma jambe droite.
Sachant que ma partenaire aurait des difficultés à se tenir sur ses jambes, je la dépose dans le lit comme je l'aurais fait avec un nouveau-né.
Une fois reprit ses esprits, ma belle, me regarda fixement, j'essayais de comprendre ce regard, l'interpréter.
Des qualificatifs me venaient: reconnaissant, inquisiteur, sournois, diabolique, malicieux...
Bref, je ne n'étais pas en mesure de traduire ce que ses yeux me lançaient, ou peut être trop de choses, aussi je me résous à lui retourner un regard interrogatif.
Finalement elle me dit:" Je veux que tu jouisses dans ma bouche."
Acquiescent de la tête, le signale était donné, ma belle Alice s'approche et s'agenouille devant moi, approchant doucement sa bouche de ma verge.
C'est alors que je m'écarte marchant à reculons, sans jamais cesser de plonger mes yeux dans les siens, et ce jusqu'a m'installer dans un fauteuil à l'angle de la pièce.
Toujours à genoux, ma belle se laissa tomber sur ses mains. C'est maintenant à quatre pattes qu'Alice parcoure le chemin jusqu'a moi.
Avec la grâce d'un félin, mon amante me fixe du regard, chemin faisant, jusqu'à faire disparaître ma verge dans sa bouche.
La dextérité de ma belle Alice eue rapidement raison de moi, elle comprit alors l'imminence de mon éjaculation.
Par simple pression de ses lèvres contre mon gland, elle s'assura de l'étanchéité de l'ensemble.
Ma tête tombe en arrière et je me livre complètement, me laisse entièrement aller dans la bouche de ma belle.
Relevant la tête, je me replonge dans les yeux d'Alice qui me regardait toujours fixement.
Esquissant un sourire, mon amante avale l'intégralité des fruits de ma jouissance.
Je veux me relever, mais cette fois se sont mes jambes qui sont cotonneuses.
Aussi j'abdique, et me répand dans le fauteuil, où Alice me rejoint.
Son souffle chaud sur ma poitrine m'emplit de bonheur et nous nous endormons ainsi.
Comme elle me l'avait dit, le lendemain elle est partit pour une autre ville.
Souvent je repense à cette nuit, à cette femme, et bien que la nostalgie me serre le cœur, un sourire se dessine sur mon visage.
Qui sait, peut être qu'un jour, il me sera donné de revoir ma féministe, Alice, et qu ‘elle me donnera de nouveau accès aux pays des merveilles.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Superbe et terriblement excitant
Votre récit reflète bien la nostalgie mais également l'intensité de cette expérience.
J'ai surtout apprécié la pudeur, la sobriété mais la précision avec lesquelles vous avez exprimé vos
ressentis
Bz
J'ai surtout apprécié la pudeur, la sobriété mais la précision avec lesquelles vous avez exprimé vos
ressentis
Bz