Une expérience étonnante - histoire érotique

Il y a quelques années et alors que j'avais 19 ans, je partis en vacance avec la famille d'un ami d'enfance dans leur résidence secondaire au bord de mer.
Je passais donc mes journées à la plage à bronzer et profiter de cette eau chaude mais un jour, j'eus envie de faire une autre activité. Mon pote me parla alors des bois collé à la plage qui était idéal pour faire une petite randonné et cela tombait à pic car j'avais envie de me dégourdir les jambes.

Alors que je déambulais dans ces bois, j'eus une envie pressante, je quittais le chemin et alors que je cherchais un coin tranquille, je fus surpris d'entendre une voix m'invectiver.

- Alors jeune homme, vous vous êtes perdu ?

Je vis alors trois femmes ayant la soixantaine ou presque en train de bronzer et surtout elles étaient toutes les trois nues !

- Vous avez perdu votre langue ?

Celle qui me parlait était blonde, de taille moyenne avec une petite poitrine qui avait l'avantage de ne pas trop tomber.

- Euh... Non pas vraiment, en fait j'avais une petite envie pressante et je cherchais un coin tranquille. Bafouillais-je

- Eh bien le hasard fait bien les choses, vous vous êtes égaré dans la partie non textile de la plage et des bois.

Me dit une femme avec des cheveux gris et avec quelques rondeurs dont une poitrine assez opulente.

- Ah, je ne savais pas. Du coup, je ne vais pas vous gêner plus longtemps.

- Mais non voyons, restez un peu avec nous. En plus, j'ai une solution pour votre envie pressante.

- C'est à dire ? Lui demandais-je intrigué.

- Soulagez-vous devant nous. Me dit la blonde.

- Excellente idée ! Dit une autre des femmes.

- Pardon ? Dis-je très surpris.

- J'ai toujours aimé voir un homme pisser alors, je vous propose 30€ si vous pisser devant nous.

Étrangement, l'idée d'être l'objet de ses femmes me plaisait et en plus, étant encore étudiant, je ne disais pas non à 30€.

Après hésitation, je retirais mon short de bain, j'étais maintenant moi aussi nu devant trois femmes bien plus âgées que ma mère. Me voilà donc entrain de pisser devant ses femmes qui n'en rataient pas une miette. Une fois terminé, la femme blonde repris la parole.

- Vous avez bien mériter cet argent, tenez.

Je m'approchais d'elle pour prendre les billets tandis que je vis la seule des trois qui ne m'avais pas encore adresser la parole prendre un mouchoir pour nettoyer mon sexe. Bien entendu je me laissais faire. Ses gestes étaient doux et commençaient surtout à me faire de l'effet. Elle avait une poitrine bien lourde et semblait la moins jeune du groupe mais également la plus coquette tant elle était bien coiffé et bien maquillé. De plus, sa coupe au carré et ses cheveux noir lui allait à merveille. Je finis enfin par entendre le son de sa voix.

- A ce que je vois, la situation commence à vous plaire alors j'ai à mon tour une proposition à vous faire. Je vous donne 40€ pour vous masturber devant nous jusqu'à être bien raide.

- Intéressant ! Dit la blonde.

- Euh... Mais... Et si...

- N'ayant pas peur, il y a peu de chance que quelqu'un d'autre vous voit et en plus, c'est une zone assez libertine, il y a une petite heure, on entendait un couple se donner beaucoup de plaisir un peu plus bas.

- Donc même si on était vu, personne ne serait choqué. Rétorqua celle aux cheveux grisonnants.

Après avoir rangé les billets dans mon sac, je saisis mon sexe et commença à me masturber avant d'être très vite interrompue.

- Si je peux me permettre, vous allez trop vite, ralentissez pour nous laisser profiter un maximum du spectacle.

Je repris par la suite mes mouvements mais en y allant bien plus lentement. Cette situation de me masturber devant ces femmes pour de l'argent avec en plus le risque d'être vu par n'importe qui était à la fois bizarre et excitante. Je m'aperçus alors que celle qui avait les cheveux gris était entrain de se masturber également, cette vision m'excitais d'autant plus. Ma bite était maintenant bien raide.

- Jeune homme ? Me dit celle qui se masturbait quelques seconde plus tôt.

- Oui ? Demandais-je surpris.

- En fait on a un petit jeu chaque été sur cette plage, lorsque un homme nous plaît, on tente de le séduire et de l'exciter avant de lui faire une proposition. Alors je vais vous faire cette proposition, par laquelle de nous trois aimeriez-vous vous faire sucer ?

Très heureux par la tournure des événements, mon choix se porta rapidement vers celle qui avait les cheveux noir.

- Je suis très heureuse par ton choix, on va bien s'amuser tous les deux.

Après s'être levé, elle s'approcha de moi et commença un massage de ma queue, mêlant pression, lent va et vient, et caresses. Ses caresses étaient somptueuses, je sentais que l'afflux sanguin était de plus en plus intense. Tout en continuant, elle repris la parole alors que j'étais déjà aux anges.

- Tu as déjà fait des cochonneries avec une femme aussi âgée que moi ?

- Non.

- Et ça te fait quoi de savoir que dans quelques instant, tu vas te faire sucer par une vieille ?

- Ça m'excite terriblement.

- Je suis très heureuse d'être ta première vieille et tu as quel âge ?

- 19.

- C'est la première fois que je vais avoir dans la bouche la bite d'un homme ayant une aussi grande différence d'âge par rapport à moi.

- Si ça te gêne, tu peux me laisser ta place. Dit la blonde en rigolant.

- Pas question, il m'a choisi, sa bite est mienne !

Elle commença par titiller mon gland du bout de sa langue.

- Tu apprécies ?

Sans même attendre de réponse de ma part, elle passa maintenant sa langue de mes testicules jusqu’au gland, puis du gland jusqu'à mes testicules. Les deux autres femmes n'en perdaient pas une miette et se caressaient l'une et l'autre. Dans le même temps, celle qui s'occupait de moi enserra ses lèvres sur l’extrémité de ma bite avec une extrême lenteur avant de les faire glisser vers le bas. Faisant disparaître centimètres après centimètres ma verge dans sa bouche, je sentis alors cette fabuleuse humidité recouvrir mon sexe. Il n'y avait pas à dire, elle était entrain de me sucer comme une reine. J'étais plus qu'heureux de l'avoir choisi !

Joues creusées, langue infatigable, elle continuait de me sucer, je sentais sa langue ainsi que ses lèvres puis le fond de sa gorge sur mon gland gonflé par le plaisir. Tandis qu'elle accélérait ses mouvements, un bruit de succion de plus en plus fort se faisait entendre.
Je posais mes mains sur ses cheveux, ne résistant pas à lui donner des petits coups de reins dans la bouche. Alors qu'une de ses mains me masturbait, l'autre me malaxait mes bourses. A ce rythme, je n'allais pas tenir longtemps tant mon plaisir était immense mais j'en voulais plus. Je voulais lui faire l'amour.

- Et si on passait à l'étape suivante ? Lui demandais-je.

- Cela ne va pas être possible, désolé, car vois-tu hier j'ai ramené un homme dans ma chambre et nous l'avons fait toute la nuit. Malheureusement, je n'ai plus l'âge d'enchaîner les amants chaque jour.

- Je prends ta place avec plaisir ! Dit la celle avec les cheveux gris.

- Et moi alors ? Dit la blonde.

- Je vais te faire un petit cunni pendant qu'ils s'amusent tous les deux. Lui répondit la brune.

De mon coté, la troisième femme était déjà collé à moi, ses bras autour de mon coup. Elle m'embrassa intensément sans perdre de temps. Mes lèvres ne quittaient plus les siennes. Elle prit l'initiative d'introduire sa langue dans ma bouche. D'abord timidement, comme si elle voulait goûter. Puis plus goulûment. Nos bouches béantes et humides laissaient tournoyer nos langues avec frénésie. Encerclant la taille de ma belle, je la serrais contre moi. Sentant sa poitrine s’écraser contre la mienne. Puis tout à coup, elle mis fin à ce moment délicieux en s'écartant un peu de moi.

- Elles m'ont donné envie, je veux un cunni moi aussi !

Je m’agenouillais entre ses cuisses bien ouvertes mes yeux fixant les siens, je couvris son ventre de baisers, de même que ses cuisses avant de m'occuper de son intimité, une douce fente aux lèvres légèrement débordantes sous un élégant triangle de poils. La tenant par les chevilles, je la fouillais de plus en plus profondément, remontant de temps à autre titiller son petit bouton.

Je voyais son visage se déformer sous chaque coup de langue. J'adorais ses gémissements d'extase, ainsi que le goût de ses sucs intimes. Je sentais qu'elle n'était pas loin d'atteindre un orgasme. Alors, ma bouche la crucifia, j'aspirais maintenant son clito, ma langue s'affolait autour puis dessus. Tout à coup, elle se cambra. Sa main derrière ma tête plaque ma bouche sur son sexe ouvert, visqueux. Son corps entier était sous l'emprise de ma bouche, j'entendais ses râles de jouissance qui sortaient de sa gorge sans discontinuer.

- Prends moi tout de suite ! Je te veux en moi !

- Vous avez une capote ?

- Non mais je suis clean et je ne risque pas de tomber enceinte alors vas-y, je suis à toi !

Tout en me disant cela, elle ne perdait pas de temps et pris ma queue bien dur afin de la placer à l'entrée de son sexe. J'entamais de lent va et vient dans un premier temps avant d'accélérer progressivement le rythme. Au bout de quelques minutes, elle me demanda de me retirer afin de s'allonger sur le dos jambe écarté. Je me dirigeais rapidement vers elle, permettant à ma queue de retrouver le chemin de son sexe bien ouvert afin de reprendre là ou nous nous étions arrêter.

- Oui baise moi, enfile moi, comme la grosse cochonne que je suis ! Criait-elle

L'entendre parler de la sorte m'excitais encore plus. Du coup, j'accélérais encore le rythme, la faisant gémir de plus en plus. Les cuisses écartées, je la pilonnais par d’intenses coup de reins infligeant à son clitoris, un massage en règle.

- tu aimes te faire baiser par un jeune ? Lui demandais-je.

- Ouiiii, j’aime être possédé comme une chienne en chaleur par un p'tit jeune.

- Donc je continue ?

- Oui ! Vas y fort, défonces moi !

Je continuais donc de la limer avec vigueur. Et au vue des spasmes de ma belle, elle aimait ça. Elle se dandinait sur le sol, remontant de temps à autre, son bassin et décollant ses fesses, de notre couche de fortune afin de, certainement, mieux sentir ma bite s'engouffrer en elle. Tout en se caressant, par intermittence, sa jolie poitrine. Les malaxant dans un mouvement circulaire.

- Vas-y, gicle, jute, inonde-moi... Je veux sentir ton jus !

J'allais de plus en plus profond en elle tandis qu'elle remuait son bassin pour bien sentir mon sexe. C’en fut trop et je laissais tout partir, lui envoyant de longues giclées de foutre. Mes cuisses étaient alors trempées de notre plaisir commun. A ce moment là, la seule des femmes avec qui je n'avais rien fait se dirigea vers nous. Après un rapide baiser avec son amie, elle se baissa afin de me nettoyer à l'aide sa bouche.
Une fois rhabillé, je laissais ses dames reprendre leur occupation afin de reprendre ma randonné, et dire que je ne sais même pas leur prénom.