une fantasie robinsonne (part 1)

- Par l'auteur HDS giventofly -
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Récit libertin : une fantasie robinsonne (part 1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-08-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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une fantasie robinsonne (part 1)
Cela faisait un mois depuis le naufrage. Les premiers temps avaient été très difficiles pour les quatre rescapés. Il avait fallu apprendre à survivre, à s’abriter, à trouver une source d’eau douce, de la nourriture. Mais l’île s’était avérée plutôt généreuse tant au niveau de son climat que de ses ressources, et les quatre jeunes étaient robustes et en forme. Bien sur ils avaient tous perdu un peu de leurs rondeurs avec le temps, peu habitués à tant d’exercices physiques, et à une nourriture bien moins riche que dans la civilisation. Mais ils avaient fini par trouver un équilibre, et même par admettre qu’ils devaient s’attendre à être là pour un bon moment, l’île étant assez éloignée des routes maritimes habituelles. On s’était organisé, pour le logement comme pour les tâches à effectuer, on avait retrouvé beaucoup de choses que l’épave continuait à faire échouer sur la plage, des provisions, des vêtements, toutes sortes d’objets. Une forme de vie quotidienne avait pris son cours, et des besoins longtemps enfouis avaient fatalement fini par surgir. Stéphane ne se souvenait plus à quel moment il avait recommencé à se masturber, mais le fait est que c’était rapidement devenu un besoin quotidien. Grand, bien bâti, brun de peau et de cheveux, il avait toujours eu pas mal de succès avec les filles du haut de ses 24 ans. Mais de filles ici point. Ses compagnons étaient trois garçons plus ou moins du même âge et tout aussi hétéro que lui. Il lui restait donc sa main et son imagination.
Et puis il y eu ce jour-là. Il avait décidé de se diriger vers une superbe plage en fer à cheval, blottie entre de gros rochers, lisses, peut-être pour s’y baigner, peut être pour y pécher. Il ne portait qu’un short en jeans et un bandana lui retenait les cheveux qu’il avait toujours portés assez longs. En approchant de la plage il s’arrêta en bordure de jungle. Emmanuel était là, à genou sur le sable, dos à la mer, portant juste un slip de bain. Stéphane ne sait pas pourquoi il ne se fit pas remarquer, peut-être l’attitude ambiguë de l’autre qui, à l’évidence, se pensait seul. Quand il le vit se caresser la poitrine, il s’agenouilla d’instinct à son tour et se dissimula derrière un buisson. Emmanuel était aussi blond qu’il était brun, le cheveu plutôt court, imberbe lui aussi et plutôt mince. Stéphane observait ses mains glisser sur sa poitrine, ses doigts pincer doucement ses tétons. Il ressentit aussitôt une excitation inattendue pour lui. Il n’avait jamais eu de désir pour un garçon, mais l’intimité de l’instant, et la chasteté que leur situation lui imposait faisait son œuvre et tout en regardant son compagnon, il sentit son sexe durcir et trouva la sensation très agréable. Elle devait être agréable aussi pour Emmanuel dont le maillot maintenant se déformait d’une bien jolie bosse. Stéphane l’observa se caresser le ventre et soudain plonger la main dans son slip. Il le vit se toucher ainsi quelques secondes, jeter un œil alentour et faire glisser son slip le long de ses cuisses. Il devait être à une vingtaine de mètres et Stéphane voyait parfaitement sa queue dressée, son gland rose et humide. Il ne la quittait pas des yeux quand Emmanuel l’empoigna et commença à se branler doucement. Stéphane bandait lui aussi comme un bœuf. Il s’assit sur le sable, le dos contre un tronc d’arbre, et ouvrit son jean pour libérer son membre impatient. Il gardait un œil sur Emmanuel qui avait accéléré le mouvement tout en posant sa main sur sa propre bite. Il était surpris de l’excitation qu’il ressentait mais commença tout de même à se caresser. Sur la plage il entendit Emmanuel gémir et le vit soudain éjaculer sur le sable, de longues giclées blanches. Tout cela décupla son désir et il se touchait encore quand il vit Emmanuel se retourner pour laver ses doigts dans la mer, offrant à son regard son joli cul ferme. Stéphane s’adossa un peu plus à l’arbre et entrepris de se branler plus vigoureusement, fermant les yeux quelques secondes, lui sembla-t-il. Quand il les rouvrit, Emmanuel se tenait devant lui, un petit sourire se dessinant sur ses lèvres. Stéphane restait sans bouger, sa queue toujours entre ses doigts. Sans un mot Emmanuel s’agenouilla près de lui. Il écarta doucement sa main. Stéphane se sentait sans défense, offert au regard de son ami, les jambes un peu écartées, sa queue jaillissant de son jean. Emmanuel fit glisser ses doigts sur les couilles de son compagnon, remonta le long de la hampe, titilla le gland, puis empoigna doucement la queue tandis que Stéphane gémissait. Le jeune blond le branla tendrement, les yeux fixés sur le membre. Stéphane lui-même le regardait faire, fasciné par cette main d’homme qui le caressait. Il vit à peine venir la jouissance, poussant un cri rauque tandis que le sperme jaillissait, maculant son propre ventre et coulant sur les doigts de l’autre. Sous le coup de l’orgasme, Stéphane ferma à nouveau les yeux. Quand il les rouvrit, Emmanuel avait disparu. Stéphane était encore tremblant quand il se leva pour aller se baigner et se laver de sa semence. Sur le chemin du retour vers le camp, il se demandait encore comment il allait gérer le regard de ses compagnons, persuadé que ce qu’il venait de faire allait se voir d’une manière ou d’une autre. Et le regard d’Emmanuel…
Ils allaient tous devoir sérieusement songer à s’organiser aussi sur ses besoins aussi naturels que les autres. Stéphane réfléchissait déjà à une solution, tout en rougissant rien qu’en y pensant…
Le soir venu ils se retrouvaient tous autour d’une table de bois brut, à partager plutôt en silence un repas frugal. En dehors d’Emmanuel les deux autres étaient plus âgés, Erwan était un grand quinquagénaire assez bien bâti et dégarni, Régis, la quarantaine, plus trapu et chauve. Stéphane les observait à la dérobée avec un regard différent ce soir-là, voyant doucement ses compagnons d’infortune comme de potentiels partenaires de jeux sexuels, une pensée qui ne lui avait jamais traversé l’esprit avant. Il laissa son esprit divaguer, se demandant si les deux plus anciens n’avaient jamais porté un regard concupiscent sur son jeune corps, s’il avait déjà été l’objet de leur fantasmes, et cette pensée le fit immédiatement bander dans son short. Il en rougit et le regard furtif d’Emmanuel le laissa penser que celui-ci devinait ses pensées. Ils ne s’étaient pas adressé la parole depuis leur petite séquence près de la plage, Emmanuel semblait timide, un peu honteux mais Stéphane ne pouvait s’empêcher de penser sentir son regard sur lui parfois. Il était là, dans la douceur du soir, entouré de trois hommes dans le besoin, et il sourit intérieurement en se sentant soudain sexy… Il lui fallut un peu de temps, et d’obscurité, avant de se lever discrètement. La conversation portait surtout sur les tâches du lendemain, mais l’île était bien alimentée en eau et en nourriture en sus de ce qu’on avait pu sauver des cales du bateau de conserves et les quatre compagnons avaient somme toute beaucoup de temps devant eux. La nuit tombée, ils s’attardaient peu avant de rejoindre leur abri respectif. Installé dans sa couche à la leur d’une chandelle, Stéphane commença à se dénuder, le haut tout d’abord, puis il entreprit de déboutonner son short, et, dans un élan érotique, il se mit sur le ventre et se cambra fortement, levant son cul en l’air avant de faire glisser le jean sur ses fesses. Un léger bruit et il se demanda si quelqu’un n’était pas en train de l’observer. Cela l’excita encore plus, il imaginait le regard plein de désir de Régis sur son joli cul… Mais il souffla tout de même la lanterne avant de rester un temps silencieux, dans l’obscurité, aux aguets. Il piocha du bout des doigts un flacon de lotion crème qui se trouvait près de son lit et qui lui permettait de réhydrater sa peau malmenée par le soleil. Il avait en tête un autre usage. Allongé nu sur le ventre, dans le noir, il déposa une petite noix de crème sur le bout de ses doigts, et le glissa dans la fente de ses fesses. C’était une sensation nouvelle pour lui, il ne s’était encore jamais caressé à cet endroit, ses doigts exploraient sa fente, puis s’attardaient sur son anus. Il se cambra à nouveau et le visage de Régis l’observant dans le noir surgit dans son esprit. Il adorait l’idée que l’homme bourru puisse être caché pas loin à le mater pendant qu’il se caresser le cul. Sa queue bandait contre le drap. Son majeur crémé titillait maintenant son anus étonnamment serré. Il entreprit de se détendre, avant de pousser doucement le doigt en lui. Le sphincter résista quelques secondes puis se laissa faire et son doigt s’enfonça. C’était moins le fait de se doigter que d’imaginer ce que l’autre pouvait ressentir en le regardant qui bouleversait le jeune. Au contact du tissu du lit sa queue tendue comme un arc subissait des spasmes de plaisir. Il commencer à bouger son doigt en lui, l’entrant et le sortant doucement. Il se tourna sur le dos et écarta au mieux ses jambes. Pour faciliter l’accès à son anus, il glissa son oreiller sous ses fesses. Nu, les jambes écartées, dans la nuit moite, sa peau doucement caressée par la lueur de la lune, il se sentait terriblement sexy et crevait d’envie que Regis soit là, dans l’obscurité, le bouffant des yeux en se secouant la bite. L’image de la queue d’Emmanuel lui vint à l’esprit, et il se demanda s’il il pouvait l’accueillir en lui… Il se badigeonna deux doigts et entreprit de les enfoncer, son anus se montra moins rétif, gobant les deux goulument, si goulument qu’il poussa un soupir d’aise et commença doucement à se doigter le cul, il sentait son anus écartelé, il sentait la douleur, il sentait ses entrailles réagir à la fouille, il imaginait Régis sortir de l’obscurité pour retirer ses doigts et enfoncer sa queue en lui. Il se mit à jouir presque sans s’en rendre compte, étouffant un feulement de bonheur quand son sphincter se contracta sur ses doigts tandis qu’il sentait les giclées de son sperme s’éparpillaient sur son ventre, son torse, une goutte atteignant même son menton…
Repus il se laissa aller en arrière dans une pose indécente de salope vaincue… Le bruit le fit sursauter, il crut entendre quelqu’un trébucher en s’éloignant… Le cœur battant, il espéra qu’il n’avait pas imaginé cela avant de fermer les yeux et de s’endormir, couvert de son sperme.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très bon récit
En attente d une suite erotique et exotique

Histoire Erotique
Très bon récit
En attente d une suite erotique et exotique

Un contexte bien plus recherché que l'éternelle rencontre sur un spot de cruising, ce n'est pas fréquent, mais avec le mix ortho-grammaire qui reconstitue mes cônes et mes bâtonnets en plus, c'est assez rare pour que je m'installe dans un coin pour la suite. Belle lecture, merci ;-)



Texte coquin : une fantasie robinsonne (part 1)
Histoire sexe : Une rose rouge
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