Une fellation surprise - histoire érotique

** Cette histoire se déroule dans la ville où étudie Kim. Nicolas, son petit copain, est venu lui rendre visite pour une semaine. Étant le premier jour de la semaine, Kim est allée à l'école pendant que Nicolas lui resta à l'appartement pour télétravailler. **
Après une longue journée de réunions, je me suis accordé le droit de me donner quelques bons temps en solitaire en attendant le retour de Kim. A mon habitude, je décide de mettre un peu de musique en fond, et me déshabille avant de m'installer sur le lit. Je repense alors à la dernière nuit qu'on a passé, où les draps humides témoignaient de l'ardeur de nos ébats. Je ferme alors les yeux, sentant la chaleur monter au niveau de mon entrejambe. Ma main se dépose instinctivement sur mon sexe, déjà bien congestionné. Voulant gravir progressivement les différents paliers du plaisir, je commence par effleurer du bout de mes doigts sa courbe voûtée, avant de stimuler la couronne de mon gland. Seul moi sait à quel point cette zone m'est sensible. Puis après quelques minutes, je décide de me prendre en main et de faire de lents va-et-vient, répartissant mon liquide pré-séminal sur toute la surface. L'impatience me prends petit à petit, et c'est alors que j'accélère la cadence, libérant de ma bouche quelques râles de plaisir sourds. Je suis tellement plongé dans mes pensées perverses que je ne fis pas attention au temps et à la présence de Kim, cachée derrière la porte entrouverte depuis le début pratiquement. Tu as décidé de profiter en silence du spectacle qui t'est offert en glissant une main sous ta robe. L'accès à ton intimité n'a pas été difficile, puisque je t'interdis de porter de sous-vêtements en ma compagnie.

Après avoir suffisamment profité de cette scène de voyeurisme, tu décides d'entrer dans la chambre, totalement dévêtue. Je quitte immédiatement le monde de mes fantasmes pour m'engouffrer dans un sentiment léger de honte. J'essaie de me justifier mais tu fais signe de me taire. Tu me fais comprendre que tu as su profiter du manège, en me mettant tes doigts couverts de cyprine dans ma bouche. Le parfum de ton intimité me fait disparaitre ce sentiment inconfortable pour laisser place à un désir charnel.

Je t'attrape alors pour t'embrasser passionnément, et tente de glisser ma main au niveau de ton bas-ventre. Mais tu en décides autrement et retires immédiatement ton bassin de ma portée. Tu veux te concentrer sur mon plaisir et uniquement le mien. Tu continues à m'embrasser, avant de déplacer tes baisers de plus en plus bas. Tu arrives alors face à cette verge que tu aimes tant, humidifiée par cette situation. Tu déposes alors tes lèvres dessus et aspire légèrement, pour mesurer à quel point cette situation me rend dur. Satisfaite, tu décides de sortir ta langue pour stimuler mon gland. À peine m'as-tu attouché que je sens un plaisir émergent m'envahir. Tu l'as bien compris, et en joues. Tu alternes entre les baisers et les coups de langue. Se basant sur tes observations de tout à l'heure, ta langue vient se glisser au niveau de ma couronne. Jamais je n'ai ressenti de telles sensations avec des caresses buccales. Tu décides alors de me torturer, en limitant le nombre de passages à ce niveau et les remplaces par un souffle chaud. Je deviens fou.

Puis tu me prends en bouche, et fais disparaitre le premier quart de mon sexe. Les coups de langue mêlées à une petite aspiration viennent toujours plus me stimuler. Je mouille beaucoup, et le goût de mon excitation vient envahir tes papilles. Ce n'est pas pour autant que tu comptes arrêter, au contraire. Tu commences à réaliser des mouvements de haut-en-bas afin de créer des frottements avec tes parois buccales électrisantes. Je suis maintenant débordé, et j'ai du mal à me contenir, surtout que tu l'as bien remarqué et accélères alors le rythme. La jouissance est proche, mon visage se déforme de plaisir, et ... Plus rien. Il était encore trop tôt pour que je puisse jouir, enfin selon toi ... Une fois ma respiration calmée, tu abaisses ton visage au niveau de ma bourse, très sensible à ce moment-là. Tu lèches l'entièreté de la surface doucement, et prend de temps à autre mes boules en bouche. Je ne tiens plus en place.

Tu poursuis ton spectacle à sensations en descendant toujours plus bas jusqu'à arriver devant mon bouton d'or. Je ressens un peu de gêne, n'ayant pas l'habitude d'être dans cette position. Ce sentiment se décuple lorsque tu débutes un anulingus. Prendre un tel plaisir de cette manière-là m'était inconcevable. Mais petit à petit, je me laisse porter par ces divins stimulis, faisant disparaitre mes dernières pensées malaisantes. Ta langue commence à se fatiguer, et se fait remplacer par ton index qui tourne autour maintenant de mon entrée. Tu réalises des pressions modérées qui annoncent la couleur de la suite des événements. Tu viens alors m'embrasser pour me mettre en confiance et introduit ta première phalange. Je suis complètement perturbé. Tu réalises de petits à-coups qui ne me laisse pas indifférent. Ton doigt s'enfonce de plus en plus profondément en moi, et se trouve juste en face de ma prostate. Tu effectues alors un mouvement en crochet pour venir faire pression sur ma paroi. Je suis déboussolé, et ne sais plus où donner de la tête avec toutes ses informations à la fois. Pour en rajouter une couche, tu décides de me reprendre en bouche tout en continuant tes assaillements par derrière. Cette fois-ci je sens que je suis de nouveau au bord de l'explosion, et t'informe que ça ne va pas tarder. Contrairement à d'habitude, où tu viens me finir à la main, tu redoubles d'efforts pour accélérer la cadence. C'est dans un râle de plaisir intense que je viens déverser ma semence dans ta bouche. Tu continues tes va-et-vient pendant quelques secondes, pour aspirer la moindre goutte restante, avant de tout avaler. Tu viens alors m'embrasser passionnément et me chuchote à l'oreille : "A mon tour ...".