Une femme au foyer tout à fait soumise 3
Récit érotique écrit par Monique2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-05-2006 dans la catégorie Plus on est
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Une femme au foyer tout à fait soumise 3
<p>UNE FEMME AU FOYER TOUT A FAIT SOUMISE 3
Un jeudi vers les 14 heures le téléphone sonna, au bout du fil c’était mon mari (( Bonjour chérie, pour ce soir je t’amène pour le dîné une collègue de bureau, tu fais comme j’aime pour me satisfaire sur tous les points, on arrive vers les 19 heures, bon à ce soir je t’embrasse.)) Il m’amène une collègue a dîner tient mon mari veut se payer une partie a trois, et il dit « pour me satisfaire », traduction pour moi, c’est a poil avec juste un petit tablier blanc pour le service. Je ne suis pas une accro des femmes. Il m’est arrivée dans ma jeunesse de coucher deux ou trois fois mais je préfère une bonne grosse queue qu’une chatte, et je préfère une partie a trois avec deux mecs que d’avoir partager un mec avec une autre fille, mais mon mari est le seul a décidé et je serais toujours soumise à ses envies. Je préparai tout pour le dîner et vers les 19 heures 30, mon mari et sa collègue arrivent. Je suis nettement impressionnée. La femme qui accompagne mon maître, j’estime son age a une 50 d’années, doit mesure au moins 1m75, et peser dans les 90 à 100 kg. Elle a une paire de seins qui doivent faire 100 à 110 de TP, elle porte des lunettes a monture noire, elle a des cheveux noir jais. Elle a fait une tresse qui lui descend jusqu’aux fesses. Elle porte un veste de costume noire sur une jupe noire, courte assez serrée sur ses cuisses et un chemisier blanc. Je me tiens devant eux à poil avec mon tout petit tablier blanc, très intimidée par cette femme, je devrais être habituée depuis le temps. Mon mari adore me mettre dans des situations pas possibles, c’est ça qui l’excite. (( Tu vois Odile, que ma femme est tout ce qu’il y a de plus soumise et je pense que tu pourras t’amuser avec elle)) ((je suis tout à fait d’accord avec toi, tu peux lever ton tablier ma chérie que je puisse voir cette chatte que tu nous cache.)) Je m’exécute sur-le-champ, (( une chatte rasé quel délice. J’en salive d’avance))ils s’installèrent dans le salon Odile sur le canapé et mon mari dans le fauteuil, je leur servi l’apéritif et les amuses gueules, (( Eh Odile ! Ça ne te plairait pas te faire brouter la chatte tout en buvant l’apéritif) ) ((tout a fait, et vient là ma chérie pour m’enlever ma culotte)) elle se leva, et je me mis à genoux à ses pieds. Je passe mes deux mains sous sa jupe, et je lui attrape la culotte que je descends a ses pieds. Elle remonte sa jupe jusqu'à la taille et se rassoit, elle écarte ses grosses cuisses, elle a une chatte très poilue. J’avance la tête et je constate un sexe très ouvert avec de grosses lèvres et un clitoris très proéminent, il est vraiment plus ouvert que le mien malgré toute les queues que me suis enfilée. Ma bouche et mon nez sont dans cette chatte qui sent très fort cela ne me gène pas, après avoir sucés les queues de mes couvreurs en fin de journée ça ne sentait pas la rose. Je rentre la langue au plus profond, et je commence a m’activer le plus rapidement possible. Elle appuie une main sur ma tête, et continue de boire de l’autre, et de parler à mon mari. Elle a l’air d’apprécier de plus en plus, elle mouille, et j’ai le visage de plus en plus trempé. Au bout d’un certain temps. (( La salope elle va me faire jouir )) elle pose son verre et m’appuie sur la tête avec ses deux mains, elle jouie, je suis trempée ça coule jusque dans mon cou. Je continue à la lécher et de boire son jus, elle me retire la tête de sa chatte et me roule une pelle sa langue fouille l’intérieur de ma bouche, puis elle se met à me lécher le visage. Après cette apéritif nous passons a table. Je pars à la cuisine sortir la viande du four, mon mari ri et parle avec Odile, je tends l’oreille (( ma chère Odile, j’ai toujours admiré depuis que je te connais ta poitrine, combien fait tu de tour )) ( (je m’étais rendue compte de ton admiration pour mes seins je fais du 105c, mais de toute façon ta femme étant à poil je ne vois pas pourquoi j’en ferais pas autant et vous les cacheraient plus longtemps ce serai une torture n’est ce pas ? ) ) J’arrivais avec les plats et je m’assis pour d’admirer le strip-tease. Elle se leva et défit sa jupe puis déboutonna les boutons de son chemisier, et défit son soutien gorges. Une paire de seins énormes surgirent. C’était vraiment tentant de les palper. Mon mari ne put résister, il se leva et fit le tour de table et les pris a pleine mains, Odile me dit (( ne sois pas jalouse ma chère, tu as de gros nichons toi aussi et je suis impatiente de te les lécher )) le repas se déroula dans une très bonne ambiance. Odile remit sur ses épaules son chemisier mais on pouvaient toujours admirer ses deux gros seins qui balançaient de droite à gauche chaque fois quelle bougeait. Mon mari était aux anges, une grosse pute avec d’énormes nichons complètement à poil devant lui, et sa salope de femme à sa gauche à poil aussi, avec de gros nichons qui n’étaient pas si ridicules face aux obus d’Odile. Après le repas, ils s’installèrent dans le salon à la même place que pour l’apéritif. Je leurs servit le café que nous bûmes tout en discutant. Mon mari me demanda un cognac et quand il fut servi, il nous dit, (( ça serait agréable de me faire un petit spectacle par exemple un 69 sur le canapé qu’est ce que vous en dites les filles ) )Odile s’allongeât de suite la chatte face à mon mari les jambes écartées, je me mis-tête pêche et nous commençâmes chaque une a nous lécher elle était très douée et me faisait déjà mouiller. Mon mari allait d’un cote à l’autre, pour admirer les ébats qui l’excitaient au plus haut point. Il s’amusât à nous mettre ses doigts dans le cul. (( Tu sais Odile que ma femme à le cul beaucoup plus dilaté que toi) )elle s’arrêtât de me lécher (( Et ! Combien de mecs lui on défoncé le cul) ) (( oh ça ! Difficile a dire, mais c’est toi qui me disais dans la voiture que tu avais l’habitude de te défoncer la rondelle avec un gros gode, voir même un concombre alors ?)) (( Oui c’est exacte, mais Monique tu te fais enculer combien de fois par semaine ))et elle se remit à me lécher, (( de 7 à 10 fois par semaine, il y a eu des jours ou je me suis fait enculer 8 fois dans la même journée )) ((Ton mari a raison quand il te décrit comme une grosse pute et comme il dit un sac à foutre))nous nous remîmes sérieusement a nous lécher de plus en plus violemment, ce fut moi qui jouie la première je me mis a crier tellement c’était bon, tout en creusant les reins pour coller le plus ma chatte à sa bouche. Odile m’aspirait avec sa bouche, pour récupérer le plus de jus possible. Elle adore ça, autant que moi j’aime le foutre, et c’est pas peu dire. Après cet orgasme, je me remis à lécher Odile et je rentrais ma langue au plus profond de sa chatte. Après un bon bout de temps, elle se mit a jouir comme une fontaine j’en avais plein le visage, mon mari se pencha sur moi pour m’embrassée et pour dire que j’étais la reine des salope avec ma langue, et Odile approuvât et me félicitât pour mes qualité de lécheuse. Je lui dis, que je m’étais beaucoup entraînée avec tout les queues que j’avais léchées et sucées ces derniers mois,(( Bon, si ont allait dans la chambre les filles , vous m’avez donné un spectacle super, mais je veux participer activement, on monte ?)) Nous étions toutes les deux d’accords pour continuer, et j’étais décidée pour jouir encore plus. Nous montâmes à l’étage, Odile demanda si elle pouvait prendre une douche à mon mari, tout en se retournant sur moi, (( bien sur tu peu prendre une douche, et d’ailleurs je vais la prendre avec toi, j’ai envie de profiter de ton corps )) Odile me regarda avec regret, ce qui fit sourire mon mari, et pour bien faire comprendre à Odile qui est le maître, et qui est l’esclave, il me dit en me regardant droit dans les yeux (( toi, le sac a foutre tu vas aller nous chercher à boire, Odile adore le champagne )) je fis demi-tour, et descendis presque en courant l’escalier, j’entendis Odile lui dire qu’il ne devrait pas me parler ainsi, et lui de répondre que j’étais totalement soumise a lui, et que j’aimais ça. C’est vrai j’aime ça, être son esclave et plus il m’humilie, surtout devant d’autres personnes, ou en m’obligeant a faire des chose que je n’aime pas comme, coucher avec des vieux, ou m’offrir à des inconnues, et plus j’aime lui obéir. En remontant avec le plateau, je les entendais, mon mari lui disait qu’il aimait lui savonner les seins, je ne rentrais pas dans la salle d’eau et les attendais assis sur le lit. Il sortit de la pièce, et mon maître s’allongea sur le lit (( Odile j’aimerais que tu t’occupes de ma queue avec ma grosse salope de femme )) je me mis sur la gauche de mon mari à quatre pattes et engloutis sa queue (( Odile, arrête de regarder les nichons pendant de Monique et vient )) elle s’allongeât a droite et se mit à lui sucer les couilles, on a continué chacune un notre tour a le sucer, puis on s’est mises à le branler avec notre bouche chacune de notre coté le long de sa queue. Au bout d’un certain temps mon mari nous arrêta et se mit à se branler et déchargea sur le visage d’Odile très surprise, et pas habituée par autant de sperme. (( Monique, fait moi disparaître tout ce foutre )) je me mis à la lécher consciencieusement, et a avalé tout, elle en avait plein dans la bouche (( allonge toi Monique, et toi Odile crache le reste de foutre dans la bouche )) je m’exécutais, et Odile mit sa tête juste au-dessus de moi et se débarrassa du reste de foutre qui coula dans ma bouche et je l’avalais avec plaisir. Je me rendis compte qu’Odile n’aimait pas trop ça, alors je lui pris la tête pour l’embrasser et je lui lavais tout l’intérieur de la bouche, elle souriait après. (( Tu vois Odile, elle adore le foutre, et depuis qu’elle est avec moi, elle en a avalé des litres, maintenant ma grosse salope pour me faire pardonner, tu vas lui bouffer la chatte )) Odile était allongée sur le dos moi à quatre pattes, elle écarta les jambes remonta les genoux au maximum. Je me mis à lui lécher la chatte avec force, mon mari s’était allumé une cigarette, et nous regardait très intéressé. Au bout d’un long moment Odile jouit, le visage tout inondé, je m’apprêtais à relever la tête, quand je sentis ses deux mains sur ma nuque, (( continue, salope a me lécher, tu es vraiment une grosse chienne ton mari a raison, je n’ai jamais vue une poufiasse aussi …….Putain c’est bon, continue )) et je continuais, je lui mettais la langue au plus profond de sa chatte, et sa dura un certain temps, elle m’appuyait sur la tête de ses deux mains, et ça commençais à me faire mal, mon mari avait retrouvé sa vigueur, (( dit Odile, ça te plairais que je te mette ma queue dans cul, ça te changerait de ton concombre )) (( bien sur, mais pour reposer la grosse pute, c’est elle qui va s’allonger, c’est normal pour cette salope d’être en dessous. )) Elle se retira du lit, et elle me dit (( toi le sac a foutre, tu t’allonges sur le dos les pieds sur les oreillers )) Odile avait changé, et elle me prenait pour son jouet, mon mari souriait ça lui plaisait. Je me mis rapidement en place, Odile se mit tête bêche, mon maître mit un coussin sous la tête, pour être à hauteur de la chatte, puis écarta les grosses fesses d’Odile. Il rentra brutalement sa bite dans le cul d’Odile, elle poussa des cris, (( allons Odile ! Si tu avais pris autant de bites dans cul que Monique, tu ne crierais plus )) mon mari me fit un clin d’œil, et me tira la langue, je compris toute suite, et me mis a lécher la chatte d’Odile, elle haletait à chaque coup de boutoir de mon mari. De temps en temps, je lui suçais les couilles, Odile pris tout doucement du plaisir, et elle se mit a me lécher. Elle gémissait de plus en plus fort, et je sentais son jus couler dans ma bouche, puis brutalement elle se raidit je sentir ses cuisses se crispées, et elle jouit en criant. Elle faisait bouger sa tête dans tous les sens, je voyais ses gros seins bougés aussi au rythme de son plaisir. Elle reprit ses esprits, et tourna la tête vers mon mari (( putain mon salaud, tu m’a vraiment défoncé. Je ne suis pas prête de l’oublié, tiens j’aimerais bien que tu décharges sur la gueule de cette pute )) (( tes désirs sont des ordres, aller grosse salope à genoux )) Odile se releva, elle attrapa mes tétons, (( ma salope de chienne, dépêche toi, tu a du foutre a avalé )) Je me relevais et me mis a genoux face à mon maître qui se branlait énergiquement. J’ouvris la bouche en grand et tirais la langue, il déchargea sur mon visage et dans ma bouche. Je me mis prestement à récupérer le foutre, et me le mettre dans la bouche puis j’avalais avec délice, (( elle aime ça, cette grosse chienne ))dit Odile. Nous avons fini la bouteille de champagne, Odile demanda à mon mari s’il pouvait descendre chercher son sac, ce qu’il fit et il nous dit qu’il profiterait pour remonter une autre bouteille. Odile me demanda de lui sucer les seins, elle les prit dans ses deux mains, et me les présenta. J’ouvris en grand la bouche pour lui aspirer le téton et un peu du reste vu la grosseur de ses nichons. Mon maître remonta un instant plus tard et tendit le sac qui ressemblait plutôt à un cabas, elle le prit, et en sortit un sac plastic qu’elle ouvrit, dedans il y avait un gode ceinture, et me fit un grand sourire quand elle me le mit sous le nez, (( il n’y a pas que ton mari qui peut s’occuper de ta chatte et de ton cul, je suis sur que tu vas aimer )) mon mari nous servit du champagne. Odile me demanda de me mettre a quatre pattes sur le lit de façon qu’elle puisse rester debout pour me prendre. Le gode était plus long et plus gros que la queue de mon mari. Elle mit ses mains sur mes hanches, et rentra son pieu dans ma chatte et commença à limer de plus en plus vite, je commençais à gémir rythmé par son va et vient, (( alors ma grosse chienne, tu aimes mon manche qui défonce ta chatte, et en plus moi je peux faire ça pendant des heures )) je me mis a jouir comme une folle, je n’arrivais plus a retenir mes cris, et elle continuait de plus belle. Elle n’arrêtait pas de m’enfoncer son gode c’était une folie, (( tu sais Monique, montre en mains ça fait au moins 15 minutes qu’elle te baise, Odile tu devrais changer de trou, tu vas m’abîmer sa chatte, )) (( il n’y a pas de risque de surchauffe, si tu voyais comment elle mouille cette salope, ça coule sur le lit, mais tu as raison, je vais lui mettre dans le cul )) elle retira son gode, et écarta mes fesses, le fit rentrer dans mon cul et le va et vient reprit sans aucune pitié pour moi. Très vite je me remis à jouir, ça n’arrêtait pas, elle se déchaînait, et me défonçait le cul de plus en plus. Je n’en pouvais plus, mes bras ne me supportaient plus, je m’effondrais la tête sur le lit le cul en l’air, et elle continuait son œuvre de destruction. Au bout d’un temps qui me parut une éternité, elle s’arrêta, et retira son pieu de mon cul, je m’écroulais totalement vidée, je vis le visage de mon maître au-dessus de moi tout près, il me sourit, (( recors battu, elle t’a enculer pendant 25 minutes, on va te laisser te remettre, tu devrais te mettre au lit tu l’a bien mérité )) je les entendais descendre, je me mis à ramper pour rentrer dans le lit, je me glissais sous les couvertures, et je m’endormis tout suite. Le lendemain matin, je me réveillais à 11 heures, il n’y avait plus personne à la maison, je descendis dans la cuisine, et en passant devant le téléphone, je remarquais qu’il avait un message, j’appuyais sur le bouton, (( bonjour Monique, ton maître est très satisfait de toi, après que tu te sois endormie, je me suis fait pomper la queue par Odile, mais à coté de toi elle manque vraiment de pratique. N’oublie pas que ce soir nous allons voir Patrick, à l ‘Hosto, tu es vraiment la reine des putes )) si mon maître est satisfait, alors je suis heureuse. Bon pour le moment, j’ai vraiment besoin d’un grand bol de café, et pour Patrick c’est une autre histoire.
MONIQUE.
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Un jeudi vers les 14 heures le téléphone sonna, au bout du fil c’était mon mari (( Bonjour chérie, pour ce soir je t’amène pour le dîné une collègue de bureau, tu fais comme j’aime pour me satisfaire sur tous les points, on arrive vers les 19 heures, bon à ce soir je t’embrasse.)) Il m’amène une collègue a dîner tient mon mari veut se payer une partie a trois, et il dit « pour me satisfaire », traduction pour moi, c’est a poil avec juste un petit tablier blanc pour le service. Je ne suis pas une accro des femmes. Il m’est arrivée dans ma jeunesse de coucher deux ou trois fois mais je préfère une bonne grosse queue qu’une chatte, et je préfère une partie a trois avec deux mecs que d’avoir partager un mec avec une autre fille, mais mon mari est le seul a décidé et je serais toujours soumise à ses envies. Je préparai tout pour le dîner et vers les 19 heures 30, mon mari et sa collègue arrivent. Je suis nettement impressionnée. La femme qui accompagne mon maître, j’estime son age a une 50 d’années, doit mesure au moins 1m75, et peser dans les 90 à 100 kg. Elle a une paire de seins qui doivent faire 100 à 110 de TP, elle porte des lunettes a monture noire, elle a des cheveux noir jais. Elle a fait une tresse qui lui descend jusqu’aux fesses. Elle porte un veste de costume noire sur une jupe noire, courte assez serrée sur ses cuisses et un chemisier blanc. Je me tiens devant eux à poil avec mon tout petit tablier blanc, très intimidée par cette femme, je devrais être habituée depuis le temps. Mon mari adore me mettre dans des situations pas possibles, c’est ça qui l’excite. (( Tu vois Odile, que ma femme est tout ce qu’il y a de plus soumise et je pense que tu pourras t’amuser avec elle)) ((je suis tout à fait d’accord avec toi, tu peux lever ton tablier ma chérie que je puisse voir cette chatte que tu nous cache.)) Je m’exécute sur-le-champ, (( une chatte rasé quel délice. J’en salive d’avance))ils s’installèrent dans le salon Odile sur le canapé et mon mari dans le fauteuil, je leur servi l’apéritif et les amuses gueules, (( Eh Odile ! Ça ne te plairait pas te faire brouter la chatte tout en buvant l’apéritif) ) ((tout a fait, et vient là ma chérie pour m’enlever ma culotte)) elle se leva, et je me mis à genoux à ses pieds. Je passe mes deux mains sous sa jupe, et je lui attrape la culotte que je descends a ses pieds. Elle remonte sa jupe jusqu'à la taille et se rassoit, elle écarte ses grosses cuisses, elle a une chatte très poilue. J’avance la tête et je constate un sexe très ouvert avec de grosses lèvres et un clitoris très proéminent, il est vraiment plus ouvert que le mien malgré toute les queues que me suis enfilée. Ma bouche et mon nez sont dans cette chatte qui sent très fort cela ne me gène pas, après avoir sucés les queues de mes couvreurs en fin de journée ça ne sentait pas la rose. Je rentre la langue au plus profond, et je commence a m’activer le plus rapidement possible. Elle appuie une main sur ma tête, et continue de boire de l’autre, et de parler à mon mari. Elle a l’air d’apprécier de plus en plus, elle mouille, et j’ai le visage de plus en plus trempé. Au bout d’un certain temps. (( La salope elle va me faire jouir )) elle pose son verre et m’appuie sur la tête avec ses deux mains, elle jouie, je suis trempée ça coule jusque dans mon cou. Je continue à la lécher et de boire son jus, elle me retire la tête de sa chatte et me roule une pelle sa langue fouille l’intérieur de ma bouche, puis elle se met à me lécher le visage. Après cette apéritif nous passons a table. Je pars à la cuisine sortir la viande du four, mon mari ri et parle avec Odile, je tends l’oreille (( ma chère Odile, j’ai toujours admiré depuis que je te connais ta poitrine, combien fait tu de tour )) ( (je m’étais rendue compte de ton admiration pour mes seins je fais du 105c, mais de toute façon ta femme étant à poil je ne vois pas pourquoi j’en ferais pas autant et vous les cacheraient plus longtemps ce serai une torture n’est ce pas ? ) ) J’arrivais avec les plats et je m’assis pour d’admirer le strip-tease. Elle se leva et défit sa jupe puis déboutonna les boutons de son chemisier, et défit son soutien gorges. Une paire de seins énormes surgirent. C’était vraiment tentant de les palper. Mon mari ne put résister, il se leva et fit le tour de table et les pris a pleine mains, Odile me dit (( ne sois pas jalouse ma chère, tu as de gros nichons toi aussi et je suis impatiente de te les lécher )) le repas se déroula dans une très bonne ambiance. Odile remit sur ses épaules son chemisier mais on pouvaient toujours admirer ses deux gros seins qui balançaient de droite à gauche chaque fois quelle bougeait. Mon mari était aux anges, une grosse pute avec d’énormes nichons complètement à poil devant lui, et sa salope de femme à sa gauche à poil aussi, avec de gros nichons qui n’étaient pas si ridicules face aux obus d’Odile. Après le repas, ils s’installèrent dans le salon à la même place que pour l’apéritif. Je leurs servit le café que nous bûmes tout en discutant. Mon mari me demanda un cognac et quand il fut servi, il nous dit, (( ça serait agréable de me faire un petit spectacle par exemple un 69 sur le canapé qu’est ce que vous en dites les filles ) )Odile s’allongeât de suite la chatte face à mon mari les jambes écartées, je me mis-tête pêche et nous commençâmes chaque une a nous lécher elle était très douée et me faisait déjà mouiller. Mon mari allait d’un cote à l’autre, pour admirer les ébats qui l’excitaient au plus haut point. Il s’amusât à nous mettre ses doigts dans le cul. (( Tu sais Odile que ma femme à le cul beaucoup plus dilaté que toi) )elle s’arrêtât de me lécher (( Et ! Combien de mecs lui on défoncé le cul) ) (( oh ça ! Difficile a dire, mais c’est toi qui me disais dans la voiture que tu avais l’habitude de te défoncer la rondelle avec un gros gode, voir même un concombre alors ?)) (( Oui c’est exacte, mais Monique tu te fais enculer combien de fois par semaine ))et elle se remit à me lécher, (( de 7 à 10 fois par semaine, il y a eu des jours ou je me suis fait enculer 8 fois dans la même journée )) ((Ton mari a raison quand il te décrit comme une grosse pute et comme il dit un sac à foutre))nous nous remîmes sérieusement a nous lécher de plus en plus violemment, ce fut moi qui jouie la première je me mis a crier tellement c’était bon, tout en creusant les reins pour coller le plus ma chatte à sa bouche. Odile m’aspirait avec sa bouche, pour récupérer le plus de jus possible. Elle adore ça, autant que moi j’aime le foutre, et c’est pas peu dire. Après cet orgasme, je me remis à lécher Odile et je rentrais ma langue au plus profond de sa chatte. Après un bon bout de temps, elle se mit a jouir comme une fontaine j’en avais plein le visage, mon mari se pencha sur moi pour m’embrassée et pour dire que j’étais la reine des salope avec ma langue, et Odile approuvât et me félicitât pour mes qualité de lécheuse. Je lui dis, que je m’étais beaucoup entraînée avec tout les queues que j’avais léchées et sucées ces derniers mois,(( Bon, si ont allait dans la chambre les filles , vous m’avez donné un spectacle super, mais je veux participer activement, on monte ?)) Nous étions toutes les deux d’accords pour continuer, et j’étais décidée pour jouir encore plus. Nous montâmes à l’étage, Odile demanda si elle pouvait prendre une douche à mon mari, tout en se retournant sur moi, (( bien sur tu peu prendre une douche, et d’ailleurs je vais la prendre avec toi, j’ai envie de profiter de ton corps )) Odile me regarda avec regret, ce qui fit sourire mon mari, et pour bien faire comprendre à Odile qui est le maître, et qui est l’esclave, il me dit en me regardant droit dans les yeux (( toi, le sac a foutre tu vas aller nous chercher à boire, Odile adore le champagne )) je fis demi-tour, et descendis presque en courant l’escalier, j’entendis Odile lui dire qu’il ne devrait pas me parler ainsi, et lui de répondre que j’étais totalement soumise a lui, et que j’aimais ça. C’est vrai j’aime ça, être son esclave et plus il m’humilie, surtout devant d’autres personnes, ou en m’obligeant a faire des chose que je n’aime pas comme, coucher avec des vieux, ou m’offrir à des inconnues, et plus j’aime lui obéir. En remontant avec le plateau, je les entendais, mon mari lui disait qu’il aimait lui savonner les seins, je ne rentrais pas dans la salle d’eau et les attendais assis sur le lit. Il sortit de la pièce, et mon maître s’allongea sur le lit (( Odile j’aimerais que tu t’occupes de ma queue avec ma grosse salope de femme )) je me mis sur la gauche de mon mari à quatre pattes et engloutis sa queue (( Odile, arrête de regarder les nichons pendant de Monique et vient )) elle s’allongeât a droite et se mit à lui sucer les couilles, on a continué chacune un notre tour a le sucer, puis on s’est mises à le branler avec notre bouche chacune de notre coté le long de sa queue. Au bout d’un certain temps mon mari nous arrêta et se mit à se branler et déchargea sur le visage d’Odile très surprise, et pas habituée par autant de sperme. (( Monique, fait moi disparaître tout ce foutre )) je me mis à la lécher consciencieusement, et a avalé tout, elle en avait plein dans la bouche (( allonge toi Monique, et toi Odile crache le reste de foutre dans la bouche )) je m’exécutais, et Odile mit sa tête juste au-dessus de moi et se débarrassa du reste de foutre qui coula dans ma bouche et je l’avalais avec plaisir. Je me rendis compte qu’Odile n’aimait pas trop ça, alors je lui pris la tête pour l’embrasser et je lui lavais tout l’intérieur de la bouche, elle souriait après. (( Tu vois Odile, elle adore le foutre, et depuis qu’elle est avec moi, elle en a avalé des litres, maintenant ma grosse salope pour me faire pardonner, tu vas lui bouffer la chatte )) Odile était allongée sur le dos moi à quatre pattes, elle écarta les jambes remonta les genoux au maximum. Je me mis à lui lécher la chatte avec force, mon mari s’était allumé une cigarette, et nous regardait très intéressé. Au bout d’un long moment Odile jouit, le visage tout inondé, je m’apprêtais à relever la tête, quand je sentis ses deux mains sur ma nuque, (( continue, salope a me lécher, tu es vraiment une grosse chienne ton mari a raison, je n’ai jamais vue une poufiasse aussi …….Putain c’est bon, continue )) et je continuais, je lui mettais la langue au plus profond de sa chatte, et sa dura un certain temps, elle m’appuyait sur la tête de ses deux mains, et ça commençais à me faire mal, mon mari avait retrouvé sa vigueur, (( dit Odile, ça te plairais que je te mette ma queue dans cul, ça te changerait de ton concombre )) (( bien sur, mais pour reposer la grosse pute, c’est elle qui va s’allonger, c’est normal pour cette salope d’être en dessous. )) Elle se retira du lit, et elle me dit (( toi le sac a foutre, tu t’allonges sur le dos les pieds sur les oreillers )) Odile avait changé, et elle me prenait pour son jouet, mon mari souriait ça lui plaisait. Je me mis rapidement en place, Odile se mit tête bêche, mon maître mit un coussin sous la tête, pour être à hauteur de la chatte, puis écarta les grosses fesses d’Odile. Il rentra brutalement sa bite dans le cul d’Odile, elle poussa des cris, (( allons Odile ! Si tu avais pris autant de bites dans cul que Monique, tu ne crierais plus )) mon mari me fit un clin d’œil, et me tira la langue, je compris toute suite, et me mis a lécher la chatte d’Odile, elle haletait à chaque coup de boutoir de mon mari. De temps en temps, je lui suçais les couilles, Odile pris tout doucement du plaisir, et elle se mit a me lécher. Elle gémissait de plus en plus fort, et je sentais son jus couler dans ma bouche, puis brutalement elle se raidit je sentir ses cuisses se crispées, et elle jouit en criant. Elle faisait bouger sa tête dans tous les sens, je voyais ses gros seins bougés aussi au rythme de son plaisir. Elle reprit ses esprits, et tourna la tête vers mon mari (( putain mon salaud, tu m’a vraiment défoncé. Je ne suis pas prête de l’oublié, tiens j’aimerais bien que tu décharges sur la gueule de cette pute )) (( tes désirs sont des ordres, aller grosse salope à genoux )) Odile se releva, elle attrapa mes tétons, (( ma salope de chienne, dépêche toi, tu a du foutre a avalé )) Je me relevais et me mis a genoux face à mon maître qui se branlait énergiquement. J’ouvris la bouche en grand et tirais la langue, il déchargea sur mon visage et dans ma bouche. Je me mis prestement à récupérer le foutre, et me le mettre dans la bouche puis j’avalais avec délice, (( elle aime ça, cette grosse chienne ))dit Odile. Nous avons fini la bouteille de champagne, Odile demanda à mon mari s’il pouvait descendre chercher son sac, ce qu’il fit et il nous dit qu’il profiterait pour remonter une autre bouteille. Odile me demanda de lui sucer les seins, elle les prit dans ses deux mains, et me les présenta. J’ouvris en grand la bouche pour lui aspirer le téton et un peu du reste vu la grosseur de ses nichons. Mon maître remonta un instant plus tard et tendit le sac qui ressemblait plutôt à un cabas, elle le prit, et en sortit un sac plastic qu’elle ouvrit, dedans il y avait un gode ceinture, et me fit un grand sourire quand elle me le mit sous le nez, (( il n’y a pas que ton mari qui peut s’occuper de ta chatte et de ton cul, je suis sur que tu vas aimer )) mon mari nous servit du champagne. Odile me demanda de me mettre a quatre pattes sur le lit de façon qu’elle puisse rester debout pour me prendre. Le gode était plus long et plus gros que la queue de mon mari. Elle mit ses mains sur mes hanches, et rentra son pieu dans ma chatte et commença à limer de plus en plus vite, je commençais à gémir rythmé par son va et vient, (( alors ma grosse chienne, tu aimes mon manche qui défonce ta chatte, et en plus moi je peux faire ça pendant des heures )) je me mis a jouir comme une folle, je n’arrivais plus a retenir mes cris, et elle continuait de plus belle. Elle n’arrêtait pas de m’enfoncer son gode c’était une folie, (( tu sais Monique, montre en mains ça fait au moins 15 minutes qu’elle te baise, Odile tu devrais changer de trou, tu vas m’abîmer sa chatte, )) (( il n’y a pas de risque de surchauffe, si tu voyais comment elle mouille cette salope, ça coule sur le lit, mais tu as raison, je vais lui mettre dans le cul )) elle retira son gode, et écarta mes fesses, le fit rentrer dans mon cul et le va et vient reprit sans aucune pitié pour moi. Très vite je me remis à jouir, ça n’arrêtait pas, elle se déchaînait, et me défonçait le cul de plus en plus. Je n’en pouvais plus, mes bras ne me supportaient plus, je m’effondrais la tête sur le lit le cul en l’air, et elle continuait son œuvre de destruction. Au bout d’un temps qui me parut une éternité, elle s’arrêta, et retira son pieu de mon cul, je m’écroulais totalement vidée, je vis le visage de mon maître au-dessus de moi tout près, il me sourit, (( recors battu, elle t’a enculer pendant 25 minutes, on va te laisser te remettre, tu devrais te mettre au lit tu l’a bien mérité )) je les entendais descendre, je me mis à ramper pour rentrer dans le lit, je me glissais sous les couvertures, et je m’endormis tout suite. Le lendemain matin, je me réveillais à 11 heures, il n’y avait plus personne à la maison, je descendis dans la cuisine, et en passant devant le téléphone, je remarquais qu’il avait un message, j’appuyais sur le bouton, (( bonjour Monique, ton maître est très satisfait de toi, après que tu te sois endormie, je me suis fait pomper la queue par Odile, mais à coté de toi elle manque vraiment de pratique. N’oublie pas que ce soir nous allons voir Patrick, à l ‘Hosto, tu es vraiment la reine des putes )) si mon maître est satisfait, alors je suis heureuse. Bon pour le moment, j’ai vraiment besoin d’un grand bol de café, et pour Patrick c’est une autre histoire.
MONIQUE.
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