Une grosse surprise
Récit érotique écrit par Mic79 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-03-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Une grosse surprise
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Notre couple fonctionne bien et nous sommes caudauliste depuis de nombreuses années. Ma Nicole a 49 ans et moi 56 ; elle a une fille de 29 ans que nous voyons de temps en temps, mais j’avoue peu connaitre sa vie en dehors de la famille et sa mère en parle peu.
Les grandes vacances ont été l’occasion de la recevoir et je dois dire que j’ai découvert une jeune femme très cultivée, agréable à côtoyer et qui plus est avec un très joli corps ; très souvent j’ai pu l’admirer lors de nos séances autour de la piscine, d’autant plus qu’après quelques jours, elle a quitté son maillot, sans doute parce que nous étions nus nous aussi. Mais jamais aucune conversation sur sa vie privée ; j’avoue que j’ignorais si elle avait un compagnon. Afin de satisfaire ma curiosité je me suis décidé à en parler à Nicole et c’est ainsi que j’ai appris qu’elle avait une amie avec qui elle vivait depuis trois ans le sujet en serais resté là si Béatrice (c’est son nom) ne m’avait demandé de me parler. Un peu surpris je lui proposais de nous retrouver l’après-midi, moment où je savais être seul.
A son arrivée, j’ai pu constater qu’elle était tendue ; le sujet devait être un peu plus sérieux que je ne le prévoyais.
« J’ai un grand service à te demander…… promets-moi de me laisser aller jusqu’au bout……. »
« Pas de problème, mais j’espère que cela n’est pas trop grave »
« Non….simplement un peu délicat pour moi « un grand silence je la laisse prendre son élan
« Voilà, tu sais que je vis avec une jeune femme que j’aime ; maman t’en a parlé je le sais par contre, ce que tu ne sais pas c’est que nous avons envie d’avoir un enfant, mais j’ai du mal à accepter l’adoption. J’aimerais que cet enfant soit de moi. Tu vas me dire que cela ne pose pas de problème, il suffit que je me trouve un homme pour le faire, le seul problème, c’est que je ne veux pas m’offrir à n’importe qui « je suis surpris de la tournure de la conversation et j’ai peur de découvrir la suite
« Ou veux-tu en venir ? » À nouveau grand silence puis elle se lance
« J’aimerais que ce soit toi qui me féconde « le coup de bâton !
« Je ne pense pas que ce soit une bonne solution et de plus j’aime ta mère et je ne voudrais briser notre couple en faisant l’amour avec toi » et à nouveau un coup de bâton
« Elle est au courant et elle est d’accord ; tu me fécondes et cela simplement »
Je ne sais plus que répondre et afin de retrouver mes esprits je rentre à la maison non sans lui avoir dit que j’allais en parler avec sa mère. Je découvre alors que non seulement sa mère est au courant, mais qu’elle a donné son accord, me faisant totalement confiance sur la suite des événements et que de plus cet enfant serait encore plus près de nous et sans risque qu’un étranger le réclame plus tard.
« Accepte et je crois que cela fera plaisir à tout le monde »
Je reste sans voix et je décide de prendre du recul et de réfléchir à cette proposition des plus singulières. Personne ne m’en reparle pendant trois jours. C’est devant l’apéro que je fais ma proposition :
« je comprends ton désir de te faire féconder sans risque pour l’avenir de ton enfant, mais je pense qu’il est dangereux que je sois le géniteur ; par contre comme sans doute ta mère te l’a dit, nous avons des amants lors de nos jeux souvent à trois et je te propose d’organiser une soirée, à la date qui sera la bonne pour ta fécondation avec deux amis et moi ; eux ne saurons pas le but de cette soirée et toi tu seras assurée d’être engrosser en toute sécurité ; car personne ne pourra dire, même pas moi qu’il est le futur père. Une seule question : as-tu déjà eu des rapports avec un homme ?»
« Oui avant de découvrir que j’aimais les femmes ; maman a dû t’en parler je pense « je regarde Nicole et je constate qu’elle semble un peu gênée et je pense qu’il va falloir en parler entre nous.
« Alors que penses-tu de ma proposition »
« Laisse-moi y réfléchir ; je te donne ma réponse demain ! »
Le soir venu, allongé nu sur le lit, j’attends que Nicole arrive, car si j’ai bien compris elle ne m’a pas tout dit sur les relations de sa fille ; quand elle arrive je constate qu’elle a décidé de passer plutôt par le sexe que par la discussion ; effet elle a revêtu un très joli déshabillé, noir et transparent, ce qui n’est le cas que lorsqu’elle a de grosses envies. Malgré ses approches, je restais de marbre :
« Je crois que tu me dois quelques explications ! » elle referme sur elle le vêtement et elle s’assoie sur le lit, les bras croisés sur ses genoux.
« c’était avant de te connaitre, bien avant ; Béa avait 18 ans et à cette époque elle avait un petit ami ; celui-ci plus vieux avait des vues sur moi et il ne manquait pas de me le faire savoir, par tous les moyens, n’hésitant pas à me ploter, y compris en présence de Béa qui ne semblait pas gênée ; afin de le faire stopper ses avances, qui je dois le reconnaitre me procurer un certain plaisir (c’était un bel homme et à voir la bosse qui se formais parfois sous son short, il était bien membré), j’ai eu un entretien avec ma fille qui m’a confirmer les envies de Mr à savoir me baiser, elle que cela ne la gênait pas car elle n’était pas amoureuse de lui ; simplement pour le plaisir ; c’est alors qu’elle m’a annoncé qu’en réalité, elle avait envie de faire l’amour avec une femme. La suite, tu peux le deviner, j’ai cédé, en pensant qu’après il me laisserait tranquille ; là encore je me suis plantée car non seulement, il m’a prise en plusieurs occasion, y compris en présence de ma fille ; il prenait un malin plaisir à lui faire voir mon plaisir lors de ses assauts ; de plus et en faisant des comparaisons avec les envies de ma fille. Je dois reconnaitre qu’il a su me faire jouir, me prenant plusieurs fois par jour, dans tous les endroits et dans toutes les positions ; il avait pris le contrôle de mon corps et je ne pouvais rien lui refuser.
Jusqu’au jour ou Béa m’a appris qu’elle avait rompu suite à une rencontre avec une jeune institutrice et qu’elle était devenu non seulement sa maitresse, mais en plus qu’elles étaient folles amoureuses l’une de l’autre et que dorénavant, elles vivaient ensembles. Mr a bien essayer de me relancer, mais c’est à cette époque que tu es entré dans ma vie et je ne l’ai plus jamais revu. Voilà tu sais tout. »
Si son récit me surprends, je n’en bande pas moins et la renversant sur le lit, j’écarte son déshabillé et sans préliminaire, je m’enfonce d’une seule poussée ; sa chatte est pleine de cyprine et je n’ai aucun mal à l’amener vers le plaisir ; je suis surpris de la rapidité de sa jouissance et j’en déduis que son récit a dû réveiller de bons souvenirs. Il faudra que nous en reparlions. J’éjacule dans son ventre en le traitant de petite salope que j’adore
Le lendemain matin, Béa les traits tirés, elle a très mal dormi, arrive au petit déjeuné et me regardant droit dans les yeux elle me donne son accord pour l’organisation de sa soirée.
« Voilà ce que je te propose : une soirée à trois, rien que pour toi ; ils sont sains, je les connais bien, et pour eux tu ne seras qu’une de mes conquêtes ; ils sont habitués à nos jeux sexuels ; par contre ils ne sauront rien de toi, donc pas de problème pour l’avenir ; si cela marche, ton enfant sera aussi notre petit, à ta mère et à moi ; cela fait longtemps que ta mère attend d’être grand-mère. Cependant par respect envers mes amis, tu dois savoir que ta soirée sera très chargée, et pour être très clair, attends toi à être baisée plusieurs fois ; ce sont de bons pointeurs et je te promets que ce n’est pas le sperme qui va te manquer ; toujours d’accord ? »
Son visage est rouge, et les yeux baissés elle accepte d’un petit oui ; sur ses entrefaites sa mère arrive et la prenant dans ses bras, elle lui fait un gros bisou sur les lèvres (tiens encore une nouveauté) et lui chuchote : » j’aimerais bien être à ta place » ; ce n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd.
Afin de ne pas faire de relation avec notre foyer, j’ai proposé à un ami de nous recevoir chez lui, lui décrivant « ma conquête » et son envie de se faire prendre par plusieurs hommes. Bien entendu, il a accepté et c’est sans aucune difficulté que j’ai trouvé le troisième. Les deux sont biens montés et de plus ils savent mener une femme à la jouissance, tout en ayant une grande rapidité pour rebander après avoir jouit. À notre arrivée, nos deux compères ne peuvent s’empêcher de siffler leur admiration ; il faut dire que sous un simple imper, elle ne porte que ses sous-vêtements, à savoir un string et un soutien seins, laissant apparaitre ses mamelons ; je ne sais si c’est par appréhension ou par excitation, toujours est-il qu’ils sont saillants, pointant au milieu d’une corolle rouge.
Par prudence, je fixe les règles : pas de sodomie, pas d’éjaculation dans la bouche, par contre libre accès à sa chatte, sans réserve et autant de fois qu’ils le veuillent, avec obligation de lui juter dans le con. Un peu surpris les compères, je dois le reconnaitre mais le fait qu’elle soit à leur disposition leur fait vite oublier les limites. Et ils attaquent sans ambages, l’un lui caressant l’entre jambe en écartant le bord du léger rempart, l’autre la faisant mettre à genoux pour qu’elle embouche le membre tendu devant elle. Un regard désespéré vers moi, mais je ne bronche pas, bien au contraire je viens lui triturer les pointes déjà saillantes et elle ne peut retenir un gémissement malgré la queue qui lui emplie la bouche. Profitant de la position, Paul présente son sexe bandé à l’entrée de la grotte longtemps abandonnée par un sexe masculin et quand d’une seule poussée, il la pénètre elle quitte le mandrin qu’elle suçait pour laisser échapper un cri de douleur ; il faut dire que le pieu est puissant, gros et le gland volumineux lui écarte sans pitié les lèvres, puis se retirant il s’enfonce à nouveau, jusqu’à la garde ses couilles venant taper contre le fessier perforé ; l’agrippant par les hanches, il se déchaine, la limant puissamment alors que jean lui tiens la tête la forçant à le sucer ; à coté je ne peux m’empêcher de bander même si je pense que pour elle la soirée va être difficile car je connais bien les deux lascars. Et la suite devait me le confirmer.
Soudain jean se cabre « putain je vais lui remplir la moule » s ‘enfonçant le plus possible , il libère sa semence, sans savoir que peut-être il vient de la féconder, puisqu’elle est en période fertile ; à peine sorti , il est remplacé par Paul qui frustré de n’avoir pu lui remplir la bouche se venge sur sa chatte ; il faut dire que graissé par la semence précédente, il s’enfonce sans difficulté et il la baise sauvagement, la traitant de petite salope, bonne à se faire remplir ; bizarrement, elle ne se braque pas, je dirais même que son plaisir du sexe d’homme remonte à la sur face car à chaque fois que Paul se retire, elle recule son fessier à la rencontre du membre ; à mon tout je lui donne ma queue à sucer et c’est avec n grand sourire qu’elle me gobe, enfonçant le membre jusqu’aux couilles ; il m’est bien difficile de me retenir et je dois parfois me retirer pour nr pas juter, moi aussi je tiens à l’ensemencer, même si mes germes sont moins vaillants sans doute que ceux de mes jeunes acolytes ; pendant ce temps Paul la pilonne sans pitié ; son bassin claque sur le fessier offert et elle a beaucoup de mal à tenir en place ; soudain il s’arrête et l’ allongeant sur le sol, il lui remonte les jambes sur ses épaules et il l’enfourche brusquement ; elle ne peut retenir un cri de surprise , mais sous les assauts de son amants elle commence à gémir, non pas de douleur mais de plaisir ; ses yeux se révulsent et sa jouissance éclate, puissante, retenue depuis des années son plaisirs du male est de retour et quand à son tour ,il éjacule elle le retient dans son ventre, secouée par les spasmes du plaisir. Enfin il se retire, et la semence s’écoule entre ses cuisses.
Me tendant la main, elle m’attire, « viens me faire jouir, j’ai envie de ta queue dans mon ventre que tu as fait revivre » : écartant ses cuisses elle m’offre sa chatte béante et ma queue n’a aucune difficulté à la pénétrer ; contrairement aux deux autres pénétrations, elle m’offre ses lèvres pour un baser langoureux ; mais mon excitation est trop grande pour que je puisse me retenir et à mon tour je la féconde à grands jets.
Pour elle la soirée n’est pas terminée et c’est elle sera encore saillie deux fois par chacun de ses amants d’un soir, et c’est épuisée qu’elle remonte en voiture vers notre maison. Alors que nous arrivons devant la grille, elle pose sa main sur le mienne : « merci pour cette soirée j’espère être pleine d’un de mes amants, peut-être de toi ; de toute façon tu m’as permis de retrouver le plaisir du mâle et si je suis toujours amoureuse de mon amie et que j’ai toujours envie de vivre avec elle, je pense e que j’aurais à nouveau envie parfois d’un homme ; et pourquoi pas toi car j’ai envie de te retrouver si Maman est d’accord » et c’est par un langoureux baiser qu’elle ne quitte.
Quand je rentre dans le salon les deux femmes s’embrassent et j’entends ma femme lui dire ‘ »j’espère que ce soir , tes males ont pu t’engrosser et nous serons heureux d’avoir un petit dans notre famille ; je t’aime « .
Il y aura sans aucun doute une conversation entre nous et une suite à cette folle soirée.
9 mois plus tard, elle accouchait d’un superbe bébé, un sexe entre les jambes et me regardant droit dans les yeux Béa me dit « j’espère qu’il saura s’en servi aussi bien que son grand père. La famille s’est agrandi donc et son amie est souvent venue à la maison, sans aucune agressivité ; et ma belle-fille est restée une amante intermittente.
Notre couple fonctionne bien et nous sommes caudauliste depuis de nombreuses années. Ma Nicole a 49 ans et moi 56 ; elle a une fille de 29 ans que nous voyons de temps en temps, mais j’avoue peu connaitre sa vie en dehors de la famille et sa mère en parle peu.
Les grandes vacances ont été l’occasion de la recevoir et je dois dire que j’ai découvert une jeune femme très cultivée, agréable à côtoyer et qui plus est avec un très joli corps ; très souvent j’ai pu l’admirer lors de nos séances autour de la piscine, d’autant plus qu’après quelques jours, elle a quitté son maillot, sans doute parce que nous étions nus nous aussi. Mais jamais aucune conversation sur sa vie privée ; j’avoue que j’ignorais si elle avait un compagnon. Afin de satisfaire ma curiosité je me suis décidé à en parler à Nicole et c’est ainsi que j’ai appris qu’elle avait une amie avec qui elle vivait depuis trois ans le sujet en serais resté là si Béatrice (c’est son nom) ne m’avait demandé de me parler. Un peu surpris je lui proposais de nous retrouver l’après-midi, moment où je savais être seul.
A son arrivée, j’ai pu constater qu’elle était tendue ; le sujet devait être un peu plus sérieux que je ne le prévoyais.
« J’ai un grand service à te demander…… promets-moi de me laisser aller jusqu’au bout……. »
« Pas de problème, mais j’espère que cela n’est pas trop grave »
« Non….simplement un peu délicat pour moi « un grand silence je la laisse prendre son élan
« Voilà, tu sais que je vis avec une jeune femme que j’aime ; maman t’en a parlé je le sais par contre, ce que tu ne sais pas c’est que nous avons envie d’avoir un enfant, mais j’ai du mal à accepter l’adoption. J’aimerais que cet enfant soit de moi. Tu vas me dire que cela ne pose pas de problème, il suffit que je me trouve un homme pour le faire, le seul problème, c’est que je ne veux pas m’offrir à n’importe qui « je suis surpris de la tournure de la conversation et j’ai peur de découvrir la suite
« Ou veux-tu en venir ? » À nouveau grand silence puis elle se lance
« J’aimerais que ce soit toi qui me féconde « le coup de bâton !
« Je ne pense pas que ce soit une bonne solution et de plus j’aime ta mère et je ne voudrais briser notre couple en faisant l’amour avec toi » et à nouveau un coup de bâton
« Elle est au courant et elle est d’accord ; tu me fécondes et cela simplement »
Je ne sais plus que répondre et afin de retrouver mes esprits je rentre à la maison non sans lui avoir dit que j’allais en parler avec sa mère. Je découvre alors que non seulement sa mère est au courant, mais qu’elle a donné son accord, me faisant totalement confiance sur la suite des événements et que de plus cet enfant serait encore plus près de nous et sans risque qu’un étranger le réclame plus tard.
« Accepte et je crois que cela fera plaisir à tout le monde »
Je reste sans voix et je décide de prendre du recul et de réfléchir à cette proposition des plus singulières. Personne ne m’en reparle pendant trois jours. C’est devant l’apéro que je fais ma proposition :
« je comprends ton désir de te faire féconder sans risque pour l’avenir de ton enfant, mais je pense qu’il est dangereux que je sois le géniteur ; par contre comme sans doute ta mère te l’a dit, nous avons des amants lors de nos jeux souvent à trois et je te propose d’organiser une soirée, à la date qui sera la bonne pour ta fécondation avec deux amis et moi ; eux ne saurons pas le but de cette soirée et toi tu seras assurée d’être engrosser en toute sécurité ; car personne ne pourra dire, même pas moi qu’il est le futur père. Une seule question : as-tu déjà eu des rapports avec un homme ?»
« Oui avant de découvrir que j’aimais les femmes ; maman a dû t’en parler je pense « je regarde Nicole et je constate qu’elle semble un peu gênée et je pense qu’il va falloir en parler entre nous.
« Alors que penses-tu de ma proposition »
« Laisse-moi y réfléchir ; je te donne ma réponse demain ! »
Le soir venu, allongé nu sur le lit, j’attends que Nicole arrive, car si j’ai bien compris elle ne m’a pas tout dit sur les relations de sa fille ; quand elle arrive je constate qu’elle a décidé de passer plutôt par le sexe que par la discussion ; effet elle a revêtu un très joli déshabillé, noir et transparent, ce qui n’est le cas que lorsqu’elle a de grosses envies. Malgré ses approches, je restais de marbre :
« Je crois que tu me dois quelques explications ! » elle referme sur elle le vêtement et elle s’assoie sur le lit, les bras croisés sur ses genoux.
« c’était avant de te connaitre, bien avant ; Béa avait 18 ans et à cette époque elle avait un petit ami ; celui-ci plus vieux avait des vues sur moi et il ne manquait pas de me le faire savoir, par tous les moyens, n’hésitant pas à me ploter, y compris en présence de Béa qui ne semblait pas gênée ; afin de le faire stopper ses avances, qui je dois le reconnaitre me procurer un certain plaisir (c’était un bel homme et à voir la bosse qui se formais parfois sous son short, il était bien membré), j’ai eu un entretien avec ma fille qui m’a confirmer les envies de Mr à savoir me baiser, elle que cela ne la gênait pas car elle n’était pas amoureuse de lui ; simplement pour le plaisir ; c’est alors qu’elle m’a annoncé qu’en réalité, elle avait envie de faire l’amour avec une femme. La suite, tu peux le deviner, j’ai cédé, en pensant qu’après il me laisserait tranquille ; là encore je me suis plantée car non seulement, il m’a prise en plusieurs occasion, y compris en présence de ma fille ; il prenait un malin plaisir à lui faire voir mon plaisir lors de ses assauts ; de plus et en faisant des comparaisons avec les envies de ma fille. Je dois reconnaitre qu’il a su me faire jouir, me prenant plusieurs fois par jour, dans tous les endroits et dans toutes les positions ; il avait pris le contrôle de mon corps et je ne pouvais rien lui refuser.
Jusqu’au jour ou Béa m’a appris qu’elle avait rompu suite à une rencontre avec une jeune institutrice et qu’elle était devenu non seulement sa maitresse, mais en plus qu’elles étaient folles amoureuses l’une de l’autre et que dorénavant, elles vivaient ensembles. Mr a bien essayer de me relancer, mais c’est à cette époque que tu es entré dans ma vie et je ne l’ai plus jamais revu. Voilà tu sais tout. »
Si son récit me surprends, je n’en bande pas moins et la renversant sur le lit, j’écarte son déshabillé et sans préliminaire, je m’enfonce d’une seule poussée ; sa chatte est pleine de cyprine et je n’ai aucun mal à l’amener vers le plaisir ; je suis surpris de la rapidité de sa jouissance et j’en déduis que son récit a dû réveiller de bons souvenirs. Il faudra que nous en reparlions. J’éjacule dans son ventre en le traitant de petite salope que j’adore
Le lendemain matin, Béa les traits tirés, elle a très mal dormi, arrive au petit déjeuné et me regardant droit dans les yeux elle me donne son accord pour l’organisation de sa soirée.
« Voilà ce que je te propose : une soirée à trois, rien que pour toi ; ils sont sains, je les connais bien, et pour eux tu ne seras qu’une de mes conquêtes ; ils sont habitués à nos jeux sexuels ; par contre ils ne sauront rien de toi, donc pas de problème pour l’avenir ; si cela marche, ton enfant sera aussi notre petit, à ta mère et à moi ; cela fait longtemps que ta mère attend d’être grand-mère. Cependant par respect envers mes amis, tu dois savoir que ta soirée sera très chargée, et pour être très clair, attends toi à être baisée plusieurs fois ; ce sont de bons pointeurs et je te promets que ce n’est pas le sperme qui va te manquer ; toujours d’accord ? »
Son visage est rouge, et les yeux baissés elle accepte d’un petit oui ; sur ses entrefaites sa mère arrive et la prenant dans ses bras, elle lui fait un gros bisou sur les lèvres (tiens encore une nouveauté) et lui chuchote : » j’aimerais bien être à ta place » ; ce n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd.
Afin de ne pas faire de relation avec notre foyer, j’ai proposé à un ami de nous recevoir chez lui, lui décrivant « ma conquête » et son envie de se faire prendre par plusieurs hommes. Bien entendu, il a accepté et c’est sans aucune difficulté que j’ai trouvé le troisième. Les deux sont biens montés et de plus ils savent mener une femme à la jouissance, tout en ayant une grande rapidité pour rebander après avoir jouit. À notre arrivée, nos deux compères ne peuvent s’empêcher de siffler leur admiration ; il faut dire que sous un simple imper, elle ne porte que ses sous-vêtements, à savoir un string et un soutien seins, laissant apparaitre ses mamelons ; je ne sais si c’est par appréhension ou par excitation, toujours est-il qu’ils sont saillants, pointant au milieu d’une corolle rouge.
Par prudence, je fixe les règles : pas de sodomie, pas d’éjaculation dans la bouche, par contre libre accès à sa chatte, sans réserve et autant de fois qu’ils le veuillent, avec obligation de lui juter dans le con. Un peu surpris les compères, je dois le reconnaitre mais le fait qu’elle soit à leur disposition leur fait vite oublier les limites. Et ils attaquent sans ambages, l’un lui caressant l’entre jambe en écartant le bord du léger rempart, l’autre la faisant mettre à genoux pour qu’elle embouche le membre tendu devant elle. Un regard désespéré vers moi, mais je ne bronche pas, bien au contraire je viens lui triturer les pointes déjà saillantes et elle ne peut retenir un gémissement malgré la queue qui lui emplie la bouche. Profitant de la position, Paul présente son sexe bandé à l’entrée de la grotte longtemps abandonnée par un sexe masculin et quand d’une seule poussée, il la pénètre elle quitte le mandrin qu’elle suçait pour laisser échapper un cri de douleur ; il faut dire que le pieu est puissant, gros et le gland volumineux lui écarte sans pitié les lèvres, puis se retirant il s’enfonce à nouveau, jusqu’à la garde ses couilles venant taper contre le fessier perforé ; l’agrippant par les hanches, il se déchaine, la limant puissamment alors que jean lui tiens la tête la forçant à le sucer ; à coté je ne peux m’empêcher de bander même si je pense que pour elle la soirée va être difficile car je connais bien les deux lascars. Et la suite devait me le confirmer.
Soudain jean se cabre « putain je vais lui remplir la moule » s ‘enfonçant le plus possible , il libère sa semence, sans savoir que peut-être il vient de la féconder, puisqu’elle est en période fertile ; à peine sorti , il est remplacé par Paul qui frustré de n’avoir pu lui remplir la bouche se venge sur sa chatte ; il faut dire que graissé par la semence précédente, il s’enfonce sans difficulté et il la baise sauvagement, la traitant de petite salope, bonne à se faire remplir ; bizarrement, elle ne se braque pas, je dirais même que son plaisir du sexe d’homme remonte à la sur face car à chaque fois que Paul se retire, elle recule son fessier à la rencontre du membre ; à mon tout je lui donne ma queue à sucer et c’est avec n grand sourire qu’elle me gobe, enfonçant le membre jusqu’aux couilles ; il m’est bien difficile de me retenir et je dois parfois me retirer pour nr pas juter, moi aussi je tiens à l’ensemencer, même si mes germes sont moins vaillants sans doute que ceux de mes jeunes acolytes ; pendant ce temps Paul la pilonne sans pitié ; son bassin claque sur le fessier offert et elle a beaucoup de mal à tenir en place ; soudain il s’arrête et l’ allongeant sur le sol, il lui remonte les jambes sur ses épaules et il l’enfourche brusquement ; elle ne peut retenir un cri de surprise , mais sous les assauts de son amants elle commence à gémir, non pas de douleur mais de plaisir ; ses yeux se révulsent et sa jouissance éclate, puissante, retenue depuis des années son plaisirs du male est de retour et quand à son tour ,il éjacule elle le retient dans son ventre, secouée par les spasmes du plaisir. Enfin il se retire, et la semence s’écoule entre ses cuisses.
Me tendant la main, elle m’attire, « viens me faire jouir, j’ai envie de ta queue dans mon ventre que tu as fait revivre » : écartant ses cuisses elle m’offre sa chatte béante et ma queue n’a aucune difficulté à la pénétrer ; contrairement aux deux autres pénétrations, elle m’offre ses lèvres pour un baser langoureux ; mais mon excitation est trop grande pour que je puisse me retenir et à mon tour je la féconde à grands jets.
Pour elle la soirée n’est pas terminée et c’est elle sera encore saillie deux fois par chacun de ses amants d’un soir, et c’est épuisée qu’elle remonte en voiture vers notre maison. Alors que nous arrivons devant la grille, elle pose sa main sur le mienne : « merci pour cette soirée j’espère être pleine d’un de mes amants, peut-être de toi ; de toute façon tu m’as permis de retrouver le plaisir du mâle et si je suis toujours amoureuse de mon amie et que j’ai toujours envie de vivre avec elle, je pense e que j’aurais à nouveau envie parfois d’un homme ; et pourquoi pas toi car j’ai envie de te retrouver si Maman est d’accord » et c’est par un langoureux baiser qu’elle ne quitte.
Quand je rentre dans le salon les deux femmes s’embrassent et j’entends ma femme lui dire ‘ »j’espère que ce soir , tes males ont pu t’engrosser et nous serons heureux d’avoir un petit dans notre famille ; je t’aime « .
Il y aura sans aucun doute une conversation entre nous et une suite à cette folle soirée.
9 mois plus tard, elle accouchait d’un superbe bébé, un sexe entre les jambes et me regardant droit dans les yeux Béa me dit « j’espère qu’il saura s’en servi aussi bien que son grand père. La famille s’est agrandi donc et son amie est souvent venue à la maison, sans aucune agressivité ; et ma belle-fille est restée une amante intermittente.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Et pourtant elle est vrai mic79
Brillante digression originale et bien menée autour d'une situation improbable, sans doute rarissime, plaisamment teintée d'un candaulisme de bon aloi. Bravo