Une hôtesse...parfaite (2)
Récit érotique écrit par Trixie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-05-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une hôtesse...parfaite (2)
— Trixie, tu peux nous rejoindre dans mon bureau, avec mon PC portable. Tu as bien copié le film !
J'enfilai mon trench rouge et me dirigeai vers le bureau de Boulier. A mon entrée, N'Doumbé fit pivoter son fauteuil pour me faire face, Boulier se précipita derrière moi pour m'aider à ôter ma gabardine. En me la quittant, il me rabattit les bras dans le dos, ce qui dégrafa le clip de ma veste et fit jaillir mes deux seins hors de ma tunique. Un large sourire fit remonter les bajoues du vieux pharmacien noir.
— Vous pouvez rester ainsi mademoiselle Trixie, dit N'Doumbé, c'est un plaisir sans fin de pouvoir contempler vos deux magnifiques seins. Et je dois vous dire que comme l'avait dit Monsieur Boulier, j'ai adoré que votre puits de compétence, ait permis à mon gros bâton d'Asclépios de faire comme le serpent et de se faufiler à l'intérieur. C'était génial !! Au fait Monsieur Boulier, vous savez qu'en Afrique, il y a plein de MST. J'ai été très intéressé par votre production de préservatif. J'aimerai, si cela était possible, en tester un. Mais je doute que vous ayez ma taille.
— Mais si, mais si... monsieur N'Doumbé, nous fabriquons des XXL, et je serai très heureux de pouvoir satisfaire à votre demande. Mais avant buvons un café. Trixie pouvez-vous donnez nous àtous un peu de cette potion magique. Je trouve qu'il n'y a que vous qui savez préparer ce nectar, qui revigore les sens.
Obéissante, j'ajoutai discrètement dans leurs tasses une cuillère de bois bandé, et une demi pour moi. Je me doutai de ce qui allait suivre ! Boulier tout excité de penser à me voir à nouveau baiser par le vieux pharmacien, m'ordonna.
— Dans le second tiroir de mon bureau, prenez la boite de capotes très grandes tailles et donnez la à monsieur le pharmacien. Voilà, ouvrez-la, vous voyez sur la notice, ces préservatifs sont faits pour des tailles supérieures à 26 centimètres et à des diamètres de plus de 6 centimètres, ils sont très fins, mais très résistants et lubrifiés pour faciliter la glisse.
— Oui, ils ont l'air pas mal, je pourrai en essayer un ?
— Mais bien sûr, bien sûr. Trixie voulez-vous aider monsieur N'Doumbé.
Je m'approchai en souriant, il dégrafa la ceinture de son pantalon, se souleva et tandis que je le lui quittai, il se débrouilla pour trouver la fermeture éclair de ma jupe, la descendit et celle-ci tomba sur le sol. Boulier lui, ôta ma veste, mon corps seulement paré de mes bas et de mon porte-jarretelles fit briller leur yeux de convoitise.
— Vous êtes merveilleuse, votre nudité rehaussée par vos bas et votre porte-jarretelles me fait déjà bander. Si Monsieur Boulier le permet, une toute petite fellation et nous passons à l'essayage, il faut que mon sexe soit bien dur et ait atteint sa taille maximale. Voila, voilà... votre bouche fait des merveilles, encore un petit peu, oh c'est bon ! Parfait... présentez la capote... oui... vous êtes experte. Mon gland est enveloppé, déroulez là... parfait... voilà, ce que vous pouvez être douce... il est loin d'arriver à la base de ma bite... mais la taille est parfaite, oui... continuez à me caresser.
— Vous voulez que je continue la fellation ?
— Euh non... Monsieur Boulier puis-je l'essayer pour ce qu'elle a été conçu ?
— Pas de problème...
— Il faut que je teste la finesse et la solidité et je pense avoir la meilleure partenaire pour cet essai. Trixie veux-tu bien enjamber mes cuisses. Mais petite coquine, je ne vais pas pouvoir tester la lubrification, ta chatte coule déjà comme une fontaine... Oui...descend... descend... plus bas... encore... voilà elle est toute entrée... Donne-moi tes seins que je morde tes tétons.
Je soulevai mes globes fermes et lui les présentai, sa bouche engloba mes aréoles à tour de rôle, puis il m'embrassa furieusement.
Boulier entendit mes cris passionnés, alors que je commençai des soubresauts rapides et violents sur la queue qui était en moi. N'Doumbé eut une sorte de sifflement sauvage, laissant transparaître à travers lui, son avidité pour moi. Jean-Paul quitta son pantalon et s' approcha discrètement de notre couple, voyant que N'Doumbé avait délaissé mes seins, il passa ses deux mains hésitantes de chaque côté de mon corps et se saisit des objets de sa convoitise.
Un NON retentissant jaillit de la gorge du noir. Boulier se retira précipitamment. Le vieux pharmacien noir, me fit lever, tourner et il m'empala à nouveau furieusement sur le pieu enrobé de caoutchouc.
N'Doumbé commença à trembler follement. Tout son corps noir s'enflamma, dans une explosion de désir intense et profond pour mon corps, mon cœur, mon esprit et mon âme.
Il plongea sur moi en me serrant ses bras comme un étau autour des côtés de mes seins en les poussant très fort pour rapprocher mes globes entre ses biceps, tout en enroulant ses mains noires géantes autour de mon cou derrière ma tête, comme s'il voulut m'enfermer dans cette position pour mieux me posséder.
La seconde dose de bois bandé agissait, N'Doumbé était dans un état sexuel second, il voulut posséder entièrement le corps de la jeune blonde qu'il baisait et lui faire sentir qu'elle était pour l'instant sa possession à tous les égards. L’élixir agissait pour moi aussi, je me laissai manipuler annihilée par un désir de jouissance qui me tordit le ventre.
Je saisis frénétiquement ses vieux bras, N'Doumbé commença à me pénétrer fort et profondément. avec de puissants coups. Chaque palpitation chaude des longs centimètres noirs de son gros et dur pénis africain étirèrent mes parois vaginales. A chaque pénétration, je hoquetai de plaisir.
Le taureau noir déchaîné, me tira en arrière sur ses hanches et en même temps pilonna avec sa queue ma chatte en la frappant si fort que les impacts me traversèrent le corps et résonnèrent dans ma tête.
Je criai de plaisir à chaque percussion de son rouleau de chair noire, contre ma jeune chair blanche.
Je gémis, gargouillai et bavai, mon cœur battit à tout rompre dans ma poitrine.
Il se leva d'un seul coup, repositionna ses bras pour me tirer le épaules en arrière.
— Ne résiste pas, respire lentement et prends ma grosse queue entièrement dans ta chatte, tu la sens bien là... elle est presque au fond...
Dit-il, en me pliant vers l'avant afin de l'enfiler encore plus profondément dans mes entrailles. Il hurla de convoitise, sentant ma chatte mouillée enserrer étroitement sa tige noire de plus en plus énorme tandis qu'il continua à me marteler. A chaque impulsion, ses lourdes et chaudes couilles vinrent se briser derrière mes jambes tremblantes. Il poussa avec force son phallus dans les replis de ma chatte ou bouillonnait mon foutre doux et crémeux. Il sortit entièrement sa bite ruisselante.
— Très bien ce préservatif... mais je préfère sans... !!
D'un geste rageur, il ôta la capote et la jeta au sol. M'entendre crier le plaisir lorsqu'il enfonça à nouveau, son sexe monstrueux ne fit que rendre sa grosse bite noire plus dure, il pénétra très fort et très profondément l'intérieur de ma chatte humide et son prépuce cramoisi, gonflé de sang, dut atteindre mon point g au plus profond de ma chatte et me fit hurler encore une fois de jouissance et tordre mon corps de plaisir. Maintenant, je ronronnai doucement, laissant échapper de profonds soupirs de contentement sexuel.
Il était mon maître, j'appartenais entièrement à sa grosse bite noire.
Je gémis à nouveau et je m'ouvris pour recevoir dans mon ventre, les décharges épaisses, collantes et chaudes du sperme, qu'il éjacula avec un grognement de vainqueur en fixant Boulier qui ne finissait pas de se masturber devant un coït aussi intense, il était au bord de l'éjaculation, il s'approcha et vida son sperme gluant sur mes seins.
Il nous fallut un bon quart d'heure pour récupérer...
— Mademoiselle Trixie est une hôtesse hors pair, elle a su utiliser tous ses trésors pour me satisfaire... Et me décider à passer commande ! Vous avez là, une secrétaire parfaite et dévouée, n'est ce pas Monsieur Boulier ! J'espère pouvoir l'apprécier encore plus au cours de la soirée... Mais il est tard... Si nous allions à mon hôtel, vous pourriez me faire visionner dans ma chambre le petit documentaire dont vous m'avez parlé.
— Merci, de ces compliments, vous me flattez monsieur N'Doumbé, je suis touchée.
— Mais non Trixie, vous êtes merveilleuse, en tous les domaines et puis vous pouvez m'appeler Luzolo, ça veut dire Amour en congolais et vous savez, tous les hommes du Congo ont beaucoup d'amour à donner, vous venez d'en avoir la preuve...
— Oui, allons-y, Trixie, vous conduirez. Nous allons en ville, il y a un peu plus de vingt minutes de trajet pour arriver à l'hôtel Mercantor, on prend la voiture de fonction, tenez les clés, me dit Boulier.
La conversation roula ensuite sur divers sujets, au bout dune heure, Boulier donna le signal du départ. Il faisait encore un grand soleil, pour conduire, je quittai mon trench. Il fit monter N'Doumbé devant, je m'installai à la place du chauffeur, ma jupe s'ouvrit jusqu'à mon mont de vénus et offrit au vieux noir une vue splendide sur ma chatte rasée, je ne la remis pas en place. Je lançai le monteur, et en mettant ma ceinture, j'accrochai la fermeture de ma veste et le clip de ma tunique s'ouvrit découvrant à moitié le globe d'un sein. Luzolo s'en aperçut, mes yeux se portèrent sur sa bite, elle était de nouveau énorme, il vit là ou se porta mon regard, il extirpa son énorme sexe, une pointe de désir me tordit le ventre. J'avais pourtant joui deux fois dans la journée. Le bois bandé était très efficace !
La main gauche de N'Doumbé se posa doucement sur mon genou, ses doigts caressèrent le nylon de mon bas, ils remontèrent lentement le long de ma cuisse vers mon sexe dénudé.
— Non, non Luzolo, dis-je à mi-voix... je conduis !
— Oui, mais c'est tentant. Ta chatte attire ma main comme un aimant.
— Que se passe-t-il ? Demanda le grand Jean-Paul, en passant sa tête entre les sièges — Rien, rien. Monsieur Luzolo me complimentait sur ma lingerie, il voulait la voir, car il veut offrir la même à sa femme !
— Ohhhh oui, je vois. Eh bien Trixie, Monsieur N'Doumbé est notre client, je pense que l'on se doit de satisfaire toutes ses demandes.
— Toutes mes demandes et tous mes caprices Monsieur Boulier ?
— Oui... Monsieur, dans la limite du raisonnable ! Répondit-il en souriant.
Luzolo fut conforté par cette réponse, sa main commença à tirer lentement sur le pan de ma veste, qui plaqué par la ceinture de sécurité cachait mon sein droit, le tissu glissa dévoila le globe ferme, la caresse du tissu sur ma peau, érigea le téton brun qui surgit en une longue pointe brune dure. La main gauche du vieux noir, écarta ma jupe en plein et se plaqua sur mon sexe offert, son majeur entra dans mon conduit vaginal, sa main droite malaxa mon téton, son immense bite se darda vers le plafond, il le caressa doucement en me souriant.
— Putain, Trixie ce que tu es mouillée, je peux te tutoyer. Mais ça à l'air de te plaire que Monsieur Boulier assiste mon doigter, je vois que tu surveilles ses réactions dans le rétroviseur !
— Oh oui, répondit l'intéressé, la tête toujours entre les sièges.Elle n'en a pas l'air, mais c'est une petite garce. Elle aime faire bander les hommes, elle adore se désirer, je pense que vous avez eu un aperçu de ses talents.
En disant cela, Boulier attrapa le pan gauche de ma veste et dénuda mon autre sein.
Nous étions en ville, je ne pus pas rouler vite, c'était en plus l'heure de sortie du travail, il y avait pas mal de monde sur les trottoirs. Je ne pus pas réagir, il fallait que je fasse attention à ma conduite, je roulai dans une rue étroite à sens unique et à une seule voie, avec pas mal de circulation.
Je fus obligée de concentrer mon attention sur les deux-roues qui circulaient autour de nous, ma vitre était à moitié descendue. Un feu rouge m'obligea à stopper.
— C'est vrai ce que dit Monsieur Boulier ? Tu aimes faire bander les hommes ? Vérifions...
Et devant la dizaine d'hommes qui attendaient pour traverser, Luzolo défit rapidement l'attache de ma ceinture de sécurité, qui s'enroula sur le montant de la porte. Le manège ne passa pas inaperçu par la moitié des piétons, qui oublièrent de traverser. Le feu rouge s'éternisa. Ma veste grande ouverte exposa mes seins, ma jupe toujours remontée au maximum, découvrit mes cuisses ou courraient les lanières du porte-jarretelles et offrit ma chatte rasée aux regards des passants, je fus pétrifiée et n'esquissai aucun geste. Machinalement, je verrouillai les portières.
Mais le regard envieux de tous ces hommes qui fixèrent mes seins et mon sexe m'excitèrent, le bois bandé y était sûrement pour quelque chose, mais pas que ! Je me traitai de Salope, mais ce petit jeu me tordit à nouveau le ventre de désir, je cédai à ce attrait malsain... je verrouillai les portes de la voiture.
— Luzolo, tu es incorrigible, enlève ton doigt de ma chatte.
— Oui, mais toi, c'est vrai, tu adores faire bander les mecs !! Tu mouilles, Laisse-les nous mater, écarte un peu plus les jambes. Et puis tu sais, moi aussi ça m'émoustille, d'enfoncer mes doigts de nègre dans ta chatte devant une flopée de blancs ! Regarde-je me masturbe ! Dis-tu pourras rester ainsi pour le reste du parcours, j'espère qu'il y aura beaucoup d'autres feux rouges, avec plein de petits blancs pour me regarder !
— Ok, à condition que tu ne me touches pas en roulant, sinon on risque un accident.
— Oui, mais branle moi !
Le feu passa au vert, mais je ne pus pas avancer, un homme s'était planté devant la voiture et trois autres approchèrent de ma portière, alléchés par le spectacle. Ils se tripotèrent à travers leurs pantalons, leurs bouches m'envoyèrent des baisers.
— Salope, petite pute de blonde. Tu te laisses tripoter par un vieux fossile noir, tu mériterais qu'on te saute, pétasse ! Salope tu vas jouir avec ses doigts, putain il se masturbe le vieux !
Je jetai un coup d œil à Luzolo, cela dut l'exciter il se branla avec plus de vigueur et avait toujours deux doigts dans ma chatte, ma main partit à la rencontre de sa queue noire qui pointait toujours avec ardeur hors du pantalon et avec un regard plein de défi envers les trois gars, je masturbai la vieille mais colossale bite de mon passager, Luzolo sortit ses doigts plein de foutre de ma chatte et les suça avec délice, en les regardant d'un air narquois.
Les gars en furie s'approchèrent tout près de ma fenêtre à demi ouverte, un essaya d'ouvrir la portière.
— Salope, tu n'as pas honte te faire baiser par un vieux croûton noir, il pourrait être ton grand-père, il est tout fripé l'ancêtre. Tu es une vraie débauchée, une vraie petite pute et tu te fais mater par l'autre derrière, Salope !
— Il est vieux et noir d'accord, mais vous avez vu sa bite, elle trois fois plus grosse que les vôtres... et je peux vous dire qu'elle me fait jouir comme une folle...
— Oui, oui branle moi, branle moi plus vite, je, je vais éjaculer ! Ouaaahhhhh c'est bon !
Ma main droite s'activa sur la hampe noire, soudain celle-ci se contracta, un petit geyser de sperme gicla vers le plafond et coula sur mes doigts, je les portai à,ma bouche et les suçai avec délice.
— Délicieux, le sperme du vieux noir ! Allez salut les petits morveux !!
La voie fut libre, le feu vert, je démarrai en trombe, les laissant ébahis par ce qu'ils venaient de voir. Nous arrivâmes à l'hôtel sur le coup de 20 heures. Le temps de faire les formalités, déposer les bagages, il était 20 heures 30.
— Allons au restaurant, dit le pharmacien congolais, je meurs de faim. J'ai réservé un petit salon, où nous serons tranquilles...
Le serveur, un jeune homme à l'air timide nous installa à une petite table ronde dans un salon désert, je pris place à gauche du vieux noir. Nous bûmes une bouteille de vin blanc entière pour l'apéro, la tête me tourna un peu.
— Nous irons regarder tout à l'heure dans ma chambre, le petit documentaire sur la visite de ce matin que Monsieur Boulier à tournée. Au fait, Trixie, je te remercie de la réponse que tu as faite à ces hommes au feu rouge, c'est vrai ce que tu leur as répondu, tu l'aimes ma grosse bite, j'ai bien apprécié que tu me fasses éjaculer devant eux ! Tu es merveilleuse.
— Oui, j'adore ta grosse bite noire, dis-je en rougissant un peu.
— Je crois bien que c'est vrai aussi ce qu'a dit Jean-Paul, que ça t'émoustilles te faire désirer par les mecs, de les faire bander, tu étais déchaînée devant eux !
— Oui, j'aime bien voir le désir dans les yeux des hommes lorsqu'ils me regardent, ma libido est triplée, si ils me matent pendant un acte sexuel, c'est plus fort que moi !
— Bien, donne-moi ta main, là sous la serviette, tu sens comme ma bite est à nouveau grosse, caresse la. C'est bizarre, auparavant, je n'avais jamais eu d'érections aussi fortes, ni aussi rapprochées. C'est ta beauté et tes petits jeux qui me font ça ! Mais j'ai vraiment éprouvé du plaisir lorsque les blancs m'ont regardé te tripoter tout à l'heure, tellement de plaisir que cela m'a fit jouir, on va recommencer ! Vous n'y voyez pas d’inconvénient Jean-Paul.
— Moi non, bien au contraire !
— Et toi Trixie ?
Moi, je prenais de plus en plus de plaisir à ces jeux pervers. Depuis l'incident du feu rouge, une boule de feu se tordait dans mon bas ventre, sûrement que les deux doses de bois bandé ingurgitées aujourd'hui et l'alcool bu n'arrangeaient pas les choses. Je m'entendis répondre positivement à sa demande.
Aussitôt, sa main droite, écarta mes cuisses, remonta très haut la jupe pour bien dégager mon sexe, son majeur inquisiteur s'y engouffra, après quelques pénétrations, il le retira poisseux, et le suça avec délice. Il me demanda d 'écarter le plus possible les pans de ma veste pour laisser apercevoir la moitié de mes aréoles, j'obéis. Le velours vert du fauteuil commença à être mouillé sous mes jambes.
— Parfait ! Le serveur ne peut rien rater, ni en haut, ni en bas, il va pouvoir admirer ton anatomie magnifique ! Ça t'excites ? Tu veux jouer le jeu, jusqu'au bout...
— Oui, ça m'excite, tu l'as vu en me faisant un doigter ! Comme l'a dit Jean-Paul je suis une petite garce, une vraie petite pute qui de plus aime les noirs avec des grosses queues ! J'ai adoré que tu me baises deux fois aujourd'hui et de te branler et te faire jouir au feu rouge. Tu aimes comme je caresse ta grosse bite, sors tes couilles !
— Je peux te caresser la chatte demanda jean-Paul.
— Oui répondit N'Dombé, mais pas quand le serveur est là ! Il faut qu'il puisse profiter de la vue !
Celui-ci arriva pour servir les entrées, la bienséance fait qu'il doit servir d'abord les dames, il passa sur ma gauche, Il eut un mouvement de surprise, il fit comme si de rien n'était.
Mais son regard revenait toujours sur mes cuisses découvertes, la jupe était ouverte jusqu’à la naissance de ma chatte, dévoilant les jarretelles blanches. Il servit Luzolo, puis Jean-Paul et revint à côté de moi, une grosse bosse était en train de se matérialiser à hauteur de son sexe, il repartit à regret.
— Au prochain plat, il aura droit à un petit plus, dit Luzolo — Oui, quoi ? Demandai-je— Le bout de ton téton, au fromage les deux tétons ensembles, ce n'est pas difficile, ils ne demandent qu'a jaillir et nous gardons le meilleur pour le dessert.
Cela se passa comme prévu, à chaque plat suivant, un coup d'épaule et mes mamelons surgirent.
— Défait le clip de ta veste, et écarte les pans, voilà on apprécie mieux tes seins ainsi, putain il sont vraiment beaux ! Dit Luzolo. Ça t'excite toujours autant de te faire mater par le garçon ?
— Oh oui en plus devant vous deux c'est extra, ma chaise est trempe de ma mouille !
Le dessert allait arriver.
— Écarte tes jambes au maximum, dévoile bien ta chatte rasée, écarte les lèvres.
J'obéis, j'offris ma chatte béante à la vue du garçon de restaurant, une tâche de plus en plus grosse maculait le velours de la chaise entre mes jambes, le serveur ne chercha pas à cacher son érection et lorgna maintenant sans vergogne mon sexe dénudé et glabre. Il s'enhardit même, en servant le dos de sa main frôla les tétons érigés de mes seins complètement dénudés.
Le garçon passa à nouveau sur ma gauche et s'immobilisa pour me servir, Luzolo fit tomber sa serviette, se tourna vers moi, me prit la main et me la posa sur sa bite tendue, je le masturbai doucement calotta et décalotta l'énorme sexe noir. Le serveur figé n'en crut pas ses yeux.
— Ooooohhhh, putain je n'en ai jamais vu une aussi grosse, s'exclama le jeune homme.
Le vieux avança sa grande main noire, vers ma chatte, son majeur et son index pénétrèrent mon conduit intime qui laissa échapper un flot de foutre, pour mieux accepter la caresse, je me renversai sur le dossier de la chaise, mes deux seins tressautèrent complètement hors de ma veste. On aurait dit que le temps s'était arrêté, de longs soupirs sortirent de ma bouche, entre mes yeux mi-clos j'entrevis le serveur tétanisé à coté de moi. La grosse bite noire palpita dans ma main. Mon plaisir monta, monta, mon corps fut pris d'un tremblement incontrôlable et je jouis. Avec un râle de plaisir, ma main droite enserra fortement la grosse bite de Luzolo qui allait jouir, ma main gauche saisit le sexe tendu du garçon à travers son pantalon et le pressa avec force, je sentis les soubresauts de son éjaculation. Il repartit à toute vitesse vers les cuisines rouge comme une pivoine.
— Putain ! Ça t'a plu Trixie. Tu as joui, ouiiii continue à me branler, je vais éjaculer, prends, prends dans ta bouche, avale mon sperme.
Au moment même ou le serveur revint, toujours rouge, pour servir les desserts, je me penchai pour recueillir le flot de liquide tiède qui gicla de l'énorme phallus noir. Je relevai la tête et regardant le jeunot, j'ouvris la bouche et tirai la langue pour lui montrer la quantité phénoménale de sperme que le vieux noir avait éjaculé dans ma bouche et le déglutis avec délice. Je n'avais pas mis de l'ordre dans ma tenue, mes seins étaient toujours dehors et ma chatte ruisselante offerte à ses regards. Il avait les yeux exorbités par ce qu'il venait de voir.
— Alors, demanda Luzolo... ça t'a plu mon garçon ?
— Oh oui, Monsieur, Oh oui, c'était super ! Mademoiselle est vraiment magnifique, merveilleuse, il n'y a pas de mots pour qualifier sa beauté ! j'en garderai le souvenir toute ma vie.
— Bon, dit Luzolo, tu veux un pourboire.
— Oui Monsieur, je veux bien.
— Tu peux caresser les seins de Mademoiselle Trixie, approche, voilà c'est bien fait rouler ses mamelons entre tes doigts, tire les, regarde comme ils aiment ça, ils ont doublé de volume. Trixie recule ta chaise.Tu veux les sucer ? Oui, c'est bien, mordille les, regarde elle apprécie. Allez petit, mets toi à genoux entre ses cuisses et régale toi avec son nectar.
— Je... je ne sais pas si elle voudra !
— Mais si, voilà. C'est ça ! Aspire bien son clitoris, bien...bien regarde elle tremble, enfonce ta langue dans sa chatte, lèche bien, encore, encore, tu aimes ? Tu bandes ? Sors ta bite !
— Oh oui Monsieur. Oh ouiiiii ! je... je crois que je vais en... encore jouir !
— Lève toi jeune homme, Trixie regarde comme il bande, suce le jeune homme, fais le éjaculer...
J'eus à peine le temps de saisir son pénis dans ma bouche, qu'il déchargea, en tremblant de tout son corps, sa semence dans ma bouche, j'aspirai le bout de son gland, il hurla de plaisir.
— Hélas, mon garçon, les meilleures choses ont une fin, apporte moi l'addition. S'il te plaît.
On repartit à l'hôtel et on se retrouva tous les trois dans la chambre du pharmacien noir. Boulier installa son PC.
— Vous voulez voir la vidéo de suite Monsieur N'Doumbé ? C'est votre habillage dans le sas, c'est très réussi !
— Oui, vous me faites une copie, sur cette clé usb cela me fera un super souvenir !
A table, les doigts de notre hôte, la situation inédite, cela m'avait fait jouir certes, mais le début de cunnilingus du jeune homme avait ravivé mon envie de sexe. J'avais déjà visionné le film au moins deux fois et j'en étais l'actrice principale. Les deux hommes installés devant le PC discutèrent et avaient commencèrent à regarder la vidéo. Assise sur le lit, au bout d'un moment je soupirai bruyamment. Luzolo se leva et se vint vers moi. Il me caressa la joue.
— Tu t'ennuies ma petite chérie on dirait, je vais m'occuper de toi !
— Oui, j'ai encore envie de ta grosse bite noire !
Il me poussa gentiment sur le lit, il se mit à genoux devant moi. Sépara doucement mes genoux, et ses mains se glissèrent sous ma jupe, il en écarta largement les pans. Les grandes mains noires commencèrent une lente reptation sur mes bas, ellespassèrent sous les lanières blanches, frôlèrent mon sexe bien épilé, caressèrent mon ventre sous la dentelle de la ceinture de mon porte-jarretelles, et firent sauter l'agrafe de ma jupe. Il la fit glisser sous moi, le long de mes jambes et la laissa choir sur la moquette.
— J'adore te voir seulement vêtue ainsi... tes jambes sont magnifiques et ton porte-jarretelles met ta chatte en valeur, tu as raison de l'épiler entièrement et de laisser ta chatte sans poil, c'est plus érotique.
Sur ma jambe droite, ses grosses lèvres lippues remplacèrent ses mains, il déposa des baisers jusqu'à ce qu'il arrive, en haut du bas et sa langue commença à me lécher la cuisse en remontant vers mon sexe qui devint de plus en plus moite. Il bava d'excitation, sa salive coula sur l'intérieur de ma cuisse. Son appendice buccal passa l'aine de ma cuisse, je frissonnai, mon vagin palpita et attendit d'être empli par cette grosse langue rose, qui prit son temps en léchant le pourtour. Ce fut d'abord son nez épaté qui se faufila entre mes grandes lèvres, puis elles furent écartées par ses deux pouces. J’eus un soubresaut de plaisir lorsque sa langue força mes petites lèvres pour pénétrer dans mon conduit vaginal. Avec son pouce et son index, il décapuchonna mon clitoris et la pointe de sa langue vint titiller ma petite excroissance rose, lorsqu'il l'aspira et que ses incisives la mordillèrent délicatement, ce fut comme si une décharge électrique me traversait le corps, je hurlai de plaisir.
Je tins sa tête à deux mains essayai de positionner sa bouche aux endroits sensibles, là ou je voulais sentir sa langue. Il était très attentif, chaque fois que ses caresses me firent gémir, il les prolongea, les appuya jusqu'à ce que mon corps se tende en arc de cercle.
Jean-Paul cessa de regarder le film, il quitta son pantalon et se masturba en nous regardant. Lorsqu'il entendit mon premier cri de plaisir, excité, il monta à genoux sur le lit à côté de moi. Ses mains s'activèrent à dégrafer le clip de ma veste, il se débrouilla de me l'ôter, je n'eus plus que mes bas et mon porte-jarretelles.
Cette vision l'excita, Il se pencha sur moi, sa langue força mes lèvres et se noua à la mienne, je lui rendis son baiser, tandis qu'il me malaxait les seins. Sous les attouchements des deux hommes, ils devinrent de plus en plus durs. Il me pinça assez fortement les tétons et les étira sans ménagement, et sa bouche s'en empara. Il les suça, les aspira, les mordilla à tour de rôle, il engloutit mes aréoles gorgées de sang...
— Ouiiiii, oouuuuuiiii mordille moi bien les bouts, juste les bouts... ouiiiii ainsi... continue... continue... Ooooohhhh que c'est bon....
Tout en continuant son merveilleux cunnilingus, Luzolo se déshabilla.. je ne sus pas comment il s'y prit mais je me retrouvai les jambes largement écartées à la verticale, il était toujours à genoux. Je sentis sa langue qui quitta ma chatte et glissa vers mon petit trou intime ridé, elle lécha lentement le pourtour, et par petite touche, il en inséra le bout à l’intérieur, de la salive coula et son majeur entra doucement dans mon conduit anal, il enfonça entièrement son long doigt. Au bout d'une dizaine de va-et-vient, son index vint s'ajouter, lorsqu'il les sentit coulisser parfaitement, l'annulaire les rejoignit, mon ampoule rectale palpita autour des trois intrus.
Je ne pus plus ni gémir, ni exprimer mes sentiments, Jean-Paul enjamba mon torse, et ma mit sa bite dans la bouche, me demandant de la sucer. J'éprouvai une telle sensation de plaisir et une telle envie de sexe, sûrement à cause au bois bandé, que je m'appliquai à lui faire la fellation demandée.
— Bon, si nous passions aux choses sérieuses, regardez comme je bande et mes couilles sont à nouveau pleines de sperme...
— Oui, les miennes aussi répondit Jean-Paul.
— Eh bien, il vous faut les vider, dis-je en riant !
— C'est ce nous allons faire ma peite chérie.Jean-Paul à vous l'honneur, couchez-vous sur le dos, laissez pendre vos jambes hors du lit, très bien ! Trixie grimpe sur ses cuisses et laisse le, enfoncer sa queue dans ta chatte, ouiiiii, comme cela. Vas-y Jean-Paul, baise-la, enfonce bien ta bite.
Droit derrière moi, N'Doumbe se mit à mes caresser les seins, sa bouche se posa dans mon cou, sa langue me lécha les épaules, il me mordilla le lobe des oreilles.
— Je vais te sodomiser, petite Salope, me murmura-t-il, j'en rêve depuis ce matin. Tu as déjà eu une bite noire aussi grosse que la mienne dans ton anus ? Je suis sûr que tu vas aimer...
— Ouiiiii, un noir m'a déjà sodomisé, avec une bite aussi grosse que la tienne !
— Salope alors, c'est vraiment vrai, tu adores les noirs, dit Boulier en continuant a s'agiter dans ma chatte.
Le vieux noir me donna un baiser fougueux, apparemment satisfait que je veuille bien le laisser faire et me demanda de me pencher en avant sur le torse de Jean-Paul, qui me besognait avec force.
Je lui obéis et lui présentai mes fesses ou mon petit trou palpitait comme s'il était avide d'avaler l'énorme pieu noir qui s'approchait.
Luzolo, cracha dans sa main et enduisit son phallus avec sa salive, puis il en fit couler un long filet dans mon anus. Avec deux doigts, il écarta l'ouverture, son énorme gland mauve se colla à l'orifice béant.
Jean-Paul comprit, sa bite enfoncée au plus profond de mon vagin, il cessa ses pénétrations pour permettre à l'énorme sexe noir de pourfendre mon rectum.
Le vieux pharmacien noir poussa lentement, mais fermement, mon ampoule rectale se retourna, le gland disparu dans l'orifice. Il me tint aux hanches à hauteur de mon porte-jarretelles, il enfonça quatre ou cinq centimètres du rouleau de chair noire, puis les ressortit, recommença en poussant plus loin la pénétration.
Jean-Paul m'embrassa à pleine bouche. Sous le plaisir que me donnait Luzolo, je lui mordis la langue. Le phallus gigantesque glissa de plus en plus profondément dans mes entrailles.
— Oouuuuiiii, ça y est petite Salope, je t'ai enfilé toute la longueur de ma bite. Tu aimes ça hein ?
Putain, c'est la première fois que je baise une blanche, par devant par derrière. Jean-Paul tu as bien mis ta caméra en route pour que je montre à mes copains congolais, comment le vieux Luzolo fait l'amour à une merveilleuse jeune blanche, blonde aux yeux verts et surtout qu'elle raffole de ma grosse queue ! Tiens, tiens, tu la sens bien ma queue dans ton cul.
Le bois bandé faisait son effet, cela se traduisait pour mes deux partenaires, par un léger priapisme, La drogue leur donnait une érection intense et prolongée et ce pendant plusieurs heures. Quant à moi, mes pulsions sexuelles étaient décuplées. Même en ayant joui trois ou quatre fois aujourd'hui... J'étais heureuse de subir cette double pénétration. Ils me besognèrent longtemps, Luzolo sentit qu'il allait éjaculer. Il se pencha sur moi...
— Je veux éjaculer dans ta chatte, cela transcende ma libido, avec tout le sperme que j'ai deversé en toi, peut-être que je vais t'engrosser !! Non ! Tu as pris la pilule, mais je peux rêver ? Je peux rejoindre Jean-Paul dans ton vagin ?
J'avais déjà fait cette expérience d'une pénétration vaginale avec deux jeunes noirs, je n’avais pas détesté et l'aphrodisiaque ingurgité m'empêchait de lui dire non.
Il demanda à Jean-Paul de cesser ses mouvements, et tint son pénis dur comme du fer d'une main ferme, il le fit entrer après quelques essais, dans ma chatte trempée et béante. Ils accordèrent leurs coups de reins, sans discontinuer je gémis de plaisir.
Leurs respirations s’accélèrent, leurs coups de boutoir se firent plus rapides et plus violents. Ce fut Jean-Paul qui céda le premier.
— Tiens Salope, tiens... Ouuaaaaahhhh putain que c'est bon, tiens ! Oh putain, je n'ai jamais joui comme ça !! Il faudra qu'on recommence. Il t'en reste encore du bois bandé dans ton flacon., c'est trop bon ! Je veux à nouveau te baiser comme ça, tu demanderas à Gérald !!
Luzolo toujours en moi, attendit que Boulier ait fini d'éjaculer et me fit rouler sur le côté, couché derrière moi, son sexe comme un piston, me martela encore et encore.
— Putain, je rêvais de te voir pénétrée par une bite noire et bien, je suis gâté. Il y a la grosseur et la longueur et je ne m'étais pas trompée petite Salope, tu adores les noirs ! Même vieux et laids, marmonna Boulier.
N'Doumbé souleva ma jambe gauche et enfonça plusieurs fois son membre rigide jusqu'à ce que ses testicules touchent mes fesses, puis il me saisit les nichons et les serra fortement. Mon corps se tendit en arc de cercle, j'explosai de jouissance criant mon plaisir, alors que les premiers spasmes de son phallus éléphantesque déversèrent son sperme chaud et visqueux, au fond de moi.
— Regarde, regarde Jean-Paul ce que le vieux, noir et laid comme tu dis, déverse comme sperme dans la chatte de la petite blonde...
Trois giclées étaient parties au fond de mon vagin, il retira son énorme mandrin, laissa son méat au bord de mes lèvres. Cinq ou six spasmes déversèrent le reste du liquide translucide et épais.
— Merde c'est bon d'éjaculer dans ta chatte Trixe ! Jean-Paul admire mon sperme de noir qui coule au bord de sa chatte, regarde bien, je vais le pousser à l’intérieur. Oh putain que c'est bon., tiens, tiens, il m'en reste encore !
Il sortit sa queue poisseuse, se leva me la présenta, mes lèvres s'enroulèrent autour du mandrin noir pour le sucer. Il était vraiment tard, après une rapide toilette nous prîmes congé.
— Bien, c'était parfait, je passerai demain, pour signer le contrat et surtout pour dire au revoir à Mademoiselle Trixie !
J'enfilai mon trench rouge et me dirigeai vers le bureau de Boulier. A mon entrée, N'Doumbé fit pivoter son fauteuil pour me faire face, Boulier se précipita derrière moi pour m'aider à ôter ma gabardine. En me la quittant, il me rabattit les bras dans le dos, ce qui dégrafa le clip de ma veste et fit jaillir mes deux seins hors de ma tunique. Un large sourire fit remonter les bajoues du vieux pharmacien noir.
— Vous pouvez rester ainsi mademoiselle Trixie, dit N'Doumbé, c'est un plaisir sans fin de pouvoir contempler vos deux magnifiques seins. Et je dois vous dire que comme l'avait dit Monsieur Boulier, j'ai adoré que votre puits de compétence, ait permis à mon gros bâton d'Asclépios de faire comme le serpent et de se faufiler à l'intérieur. C'était génial !! Au fait Monsieur Boulier, vous savez qu'en Afrique, il y a plein de MST. J'ai été très intéressé par votre production de préservatif. J'aimerai, si cela était possible, en tester un. Mais je doute que vous ayez ma taille.
— Mais si, mais si... monsieur N'Doumbé, nous fabriquons des XXL, et je serai très heureux de pouvoir satisfaire à votre demande. Mais avant buvons un café. Trixie pouvez-vous donnez nous àtous un peu de cette potion magique. Je trouve qu'il n'y a que vous qui savez préparer ce nectar, qui revigore les sens.
Obéissante, j'ajoutai discrètement dans leurs tasses une cuillère de bois bandé, et une demi pour moi. Je me doutai de ce qui allait suivre ! Boulier tout excité de penser à me voir à nouveau baiser par le vieux pharmacien, m'ordonna.
— Dans le second tiroir de mon bureau, prenez la boite de capotes très grandes tailles et donnez la à monsieur le pharmacien. Voilà, ouvrez-la, vous voyez sur la notice, ces préservatifs sont faits pour des tailles supérieures à 26 centimètres et à des diamètres de plus de 6 centimètres, ils sont très fins, mais très résistants et lubrifiés pour faciliter la glisse.
— Oui, ils ont l'air pas mal, je pourrai en essayer un ?
— Mais bien sûr, bien sûr. Trixie voulez-vous aider monsieur N'Doumbé.
Je m'approchai en souriant, il dégrafa la ceinture de son pantalon, se souleva et tandis que je le lui quittai, il se débrouilla pour trouver la fermeture éclair de ma jupe, la descendit et celle-ci tomba sur le sol. Boulier lui, ôta ma veste, mon corps seulement paré de mes bas et de mon porte-jarretelles fit briller leur yeux de convoitise.
— Vous êtes merveilleuse, votre nudité rehaussée par vos bas et votre porte-jarretelles me fait déjà bander. Si Monsieur Boulier le permet, une toute petite fellation et nous passons à l'essayage, il faut que mon sexe soit bien dur et ait atteint sa taille maximale. Voila, voilà... votre bouche fait des merveilles, encore un petit peu, oh c'est bon ! Parfait... présentez la capote... oui... vous êtes experte. Mon gland est enveloppé, déroulez là... parfait... voilà, ce que vous pouvez être douce... il est loin d'arriver à la base de ma bite... mais la taille est parfaite, oui... continuez à me caresser.
— Vous voulez que je continue la fellation ?
— Euh non... Monsieur Boulier puis-je l'essayer pour ce qu'elle a été conçu ?
— Pas de problème...
— Il faut que je teste la finesse et la solidité et je pense avoir la meilleure partenaire pour cet essai. Trixie veux-tu bien enjamber mes cuisses. Mais petite coquine, je ne vais pas pouvoir tester la lubrification, ta chatte coule déjà comme une fontaine... Oui...descend... descend... plus bas... encore... voilà elle est toute entrée... Donne-moi tes seins que je morde tes tétons.
Je soulevai mes globes fermes et lui les présentai, sa bouche engloba mes aréoles à tour de rôle, puis il m'embrassa furieusement.
Boulier entendit mes cris passionnés, alors que je commençai des soubresauts rapides et violents sur la queue qui était en moi. N'Doumbé eut une sorte de sifflement sauvage, laissant transparaître à travers lui, son avidité pour moi. Jean-Paul quitta son pantalon et s' approcha discrètement de notre couple, voyant que N'Doumbé avait délaissé mes seins, il passa ses deux mains hésitantes de chaque côté de mon corps et se saisit des objets de sa convoitise.
Un NON retentissant jaillit de la gorge du noir. Boulier se retira précipitamment. Le vieux pharmacien noir, me fit lever, tourner et il m'empala à nouveau furieusement sur le pieu enrobé de caoutchouc.
N'Doumbé commença à trembler follement. Tout son corps noir s'enflamma, dans une explosion de désir intense et profond pour mon corps, mon cœur, mon esprit et mon âme.
Il plongea sur moi en me serrant ses bras comme un étau autour des côtés de mes seins en les poussant très fort pour rapprocher mes globes entre ses biceps, tout en enroulant ses mains noires géantes autour de mon cou derrière ma tête, comme s'il voulut m'enfermer dans cette position pour mieux me posséder.
La seconde dose de bois bandé agissait, N'Doumbé était dans un état sexuel second, il voulut posséder entièrement le corps de la jeune blonde qu'il baisait et lui faire sentir qu'elle était pour l'instant sa possession à tous les égards. L’élixir agissait pour moi aussi, je me laissai manipuler annihilée par un désir de jouissance qui me tordit le ventre.
Je saisis frénétiquement ses vieux bras, N'Doumbé commença à me pénétrer fort et profondément. avec de puissants coups. Chaque palpitation chaude des longs centimètres noirs de son gros et dur pénis africain étirèrent mes parois vaginales. A chaque pénétration, je hoquetai de plaisir.
Le taureau noir déchaîné, me tira en arrière sur ses hanches et en même temps pilonna avec sa queue ma chatte en la frappant si fort que les impacts me traversèrent le corps et résonnèrent dans ma tête.
Je criai de plaisir à chaque percussion de son rouleau de chair noire, contre ma jeune chair blanche.
Je gémis, gargouillai et bavai, mon cœur battit à tout rompre dans ma poitrine.
Il se leva d'un seul coup, repositionna ses bras pour me tirer le épaules en arrière.
— Ne résiste pas, respire lentement et prends ma grosse queue entièrement dans ta chatte, tu la sens bien là... elle est presque au fond...
Dit-il, en me pliant vers l'avant afin de l'enfiler encore plus profondément dans mes entrailles. Il hurla de convoitise, sentant ma chatte mouillée enserrer étroitement sa tige noire de plus en plus énorme tandis qu'il continua à me marteler. A chaque impulsion, ses lourdes et chaudes couilles vinrent se briser derrière mes jambes tremblantes. Il poussa avec force son phallus dans les replis de ma chatte ou bouillonnait mon foutre doux et crémeux. Il sortit entièrement sa bite ruisselante.
— Très bien ce préservatif... mais je préfère sans... !!
D'un geste rageur, il ôta la capote et la jeta au sol. M'entendre crier le plaisir lorsqu'il enfonça à nouveau, son sexe monstrueux ne fit que rendre sa grosse bite noire plus dure, il pénétra très fort et très profondément l'intérieur de ma chatte humide et son prépuce cramoisi, gonflé de sang, dut atteindre mon point g au plus profond de ma chatte et me fit hurler encore une fois de jouissance et tordre mon corps de plaisir. Maintenant, je ronronnai doucement, laissant échapper de profonds soupirs de contentement sexuel.
Il était mon maître, j'appartenais entièrement à sa grosse bite noire.
Je gémis à nouveau et je m'ouvris pour recevoir dans mon ventre, les décharges épaisses, collantes et chaudes du sperme, qu'il éjacula avec un grognement de vainqueur en fixant Boulier qui ne finissait pas de se masturber devant un coït aussi intense, il était au bord de l'éjaculation, il s'approcha et vida son sperme gluant sur mes seins.
Il nous fallut un bon quart d'heure pour récupérer...
— Mademoiselle Trixie est une hôtesse hors pair, elle a su utiliser tous ses trésors pour me satisfaire... Et me décider à passer commande ! Vous avez là, une secrétaire parfaite et dévouée, n'est ce pas Monsieur Boulier ! J'espère pouvoir l'apprécier encore plus au cours de la soirée... Mais il est tard... Si nous allions à mon hôtel, vous pourriez me faire visionner dans ma chambre le petit documentaire dont vous m'avez parlé.
— Merci, de ces compliments, vous me flattez monsieur N'Doumbé, je suis touchée.
— Mais non Trixie, vous êtes merveilleuse, en tous les domaines et puis vous pouvez m'appeler Luzolo, ça veut dire Amour en congolais et vous savez, tous les hommes du Congo ont beaucoup d'amour à donner, vous venez d'en avoir la preuve...
— Oui, allons-y, Trixie, vous conduirez. Nous allons en ville, il y a un peu plus de vingt minutes de trajet pour arriver à l'hôtel Mercantor, on prend la voiture de fonction, tenez les clés, me dit Boulier.
La conversation roula ensuite sur divers sujets, au bout dune heure, Boulier donna le signal du départ. Il faisait encore un grand soleil, pour conduire, je quittai mon trench. Il fit monter N'Doumbé devant, je m'installai à la place du chauffeur, ma jupe s'ouvrit jusqu'à mon mont de vénus et offrit au vieux noir une vue splendide sur ma chatte rasée, je ne la remis pas en place. Je lançai le monteur, et en mettant ma ceinture, j'accrochai la fermeture de ma veste et le clip de ma tunique s'ouvrit découvrant à moitié le globe d'un sein. Luzolo s'en aperçut, mes yeux se portèrent sur sa bite, elle était de nouveau énorme, il vit là ou se porta mon regard, il extirpa son énorme sexe, une pointe de désir me tordit le ventre. J'avais pourtant joui deux fois dans la journée. Le bois bandé était très efficace !
La main gauche de N'Doumbé se posa doucement sur mon genou, ses doigts caressèrent le nylon de mon bas, ils remontèrent lentement le long de ma cuisse vers mon sexe dénudé.
— Non, non Luzolo, dis-je à mi-voix... je conduis !
— Oui, mais c'est tentant. Ta chatte attire ma main comme un aimant.
— Que se passe-t-il ? Demanda le grand Jean-Paul, en passant sa tête entre les sièges — Rien, rien. Monsieur Luzolo me complimentait sur ma lingerie, il voulait la voir, car il veut offrir la même à sa femme !
— Ohhhh oui, je vois. Eh bien Trixie, Monsieur N'Doumbé est notre client, je pense que l'on se doit de satisfaire toutes ses demandes.
— Toutes mes demandes et tous mes caprices Monsieur Boulier ?
— Oui... Monsieur, dans la limite du raisonnable ! Répondit-il en souriant.
Luzolo fut conforté par cette réponse, sa main commença à tirer lentement sur le pan de ma veste, qui plaqué par la ceinture de sécurité cachait mon sein droit, le tissu glissa dévoila le globe ferme, la caresse du tissu sur ma peau, érigea le téton brun qui surgit en une longue pointe brune dure. La main gauche du vieux noir, écarta ma jupe en plein et se plaqua sur mon sexe offert, son majeur entra dans mon conduit vaginal, sa main droite malaxa mon téton, son immense bite se darda vers le plafond, il le caressa doucement en me souriant.
— Putain, Trixie ce que tu es mouillée, je peux te tutoyer. Mais ça à l'air de te plaire que Monsieur Boulier assiste mon doigter, je vois que tu surveilles ses réactions dans le rétroviseur !
— Oh oui, répondit l'intéressé, la tête toujours entre les sièges.Elle n'en a pas l'air, mais c'est une petite garce. Elle aime faire bander les hommes, elle adore se désirer, je pense que vous avez eu un aperçu de ses talents.
En disant cela, Boulier attrapa le pan gauche de ma veste et dénuda mon autre sein.
Nous étions en ville, je ne pus pas rouler vite, c'était en plus l'heure de sortie du travail, il y avait pas mal de monde sur les trottoirs. Je ne pus pas réagir, il fallait que je fasse attention à ma conduite, je roulai dans une rue étroite à sens unique et à une seule voie, avec pas mal de circulation.
Je fus obligée de concentrer mon attention sur les deux-roues qui circulaient autour de nous, ma vitre était à moitié descendue. Un feu rouge m'obligea à stopper.
— C'est vrai ce que dit Monsieur Boulier ? Tu aimes faire bander les hommes ? Vérifions...
Et devant la dizaine d'hommes qui attendaient pour traverser, Luzolo défit rapidement l'attache de ma ceinture de sécurité, qui s'enroula sur le montant de la porte. Le manège ne passa pas inaperçu par la moitié des piétons, qui oublièrent de traverser. Le feu rouge s'éternisa. Ma veste grande ouverte exposa mes seins, ma jupe toujours remontée au maximum, découvrit mes cuisses ou courraient les lanières du porte-jarretelles et offrit ma chatte rasée aux regards des passants, je fus pétrifiée et n'esquissai aucun geste. Machinalement, je verrouillai les portières.
Mais le regard envieux de tous ces hommes qui fixèrent mes seins et mon sexe m'excitèrent, le bois bandé y était sûrement pour quelque chose, mais pas que ! Je me traitai de Salope, mais ce petit jeu me tordit à nouveau le ventre de désir, je cédai à ce attrait malsain... je verrouillai les portes de la voiture.
— Luzolo, tu es incorrigible, enlève ton doigt de ma chatte.
— Oui, mais toi, c'est vrai, tu adores faire bander les mecs !! Tu mouilles, Laisse-les nous mater, écarte un peu plus les jambes. Et puis tu sais, moi aussi ça m'émoustille, d'enfoncer mes doigts de nègre dans ta chatte devant une flopée de blancs ! Regarde-je me masturbe ! Dis-tu pourras rester ainsi pour le reste du parcours, j'espère qu'il y aura beaucoup d'autres feux rouges, avec plein de petits blancs pour me regarder !
— Ok, à condition que tu ne me touches pas en roulant, sinon on risque un accident.
— Oui, mais branle moi !
Le feu passa au vert, mais je ne pus pas avancer, un homme s'était planté devant la voiture et trois autres approchèrent de ma portière, alléchés par le spectacle. Ils se tripotèrent à travers leurs pantalons, leurs bouches m'envoyèrent des baisers.
— Salope, petite pute de blonde. Tu te laisses tripoter par un vieux fossile noir, tu mériterais qu'on te saute, pétasse ! Salope tu vas jouir avec ses doigts, putain il se masturbe le vieux !
Je jetai un coup d œil à Luzolo, cela dut l'exciter il se branla avec plus de vigueur et avait toujours deux doigts dans ma chatte, ma main partit à la rencontre de sa queue noire qui pointait toujours avec ardeur hors du pantalon et avec un regard plein de défi envers les trois gars, je masturbai la vieille mais colossale bite de mon passager, Luzolo sortit ses doigts plein de foutre de ma chatte et les suça avec délice, en les regardant d'un air narquois.
Les gars en furie s'approchèrent tout près de ma fenêtre à demi ouverte, un essaya d'ouvrir la portière.
— Salope, tu n'as pas honte te faire baiser par un vieux croûton noir, il pourrait être ton grand-père, il est tout fripé l'ancêtre. Tu es une vraie débauchée, une vraie petite pute et tu te fais mater par l'autre derrière, Salope !
— Il est vieux et noir d'accord, mais vous avez vu sa bite, elle trois fois plus grosse que les vôtres... et je peux vous dire qu'elle me fait jouir comme une folle...
— Oui, oui branle moi, branle moi plus vite, je, je vais éjaculer ! Ouaaahhhhh c'est bon !
Ma main droite s'activa sur la hampe noire, soudain celle-ci se contracta, un petit geyser de sperme gicla vers le plafond et coula sur mes doigts, je les portai à,ma bouche et les suçai avec délice.
— Délicieux, le sperme du vieux noir ! Allez salut les petits morveux !!
La voie fut libre, le feu vert, je démarrai en trombe, les laissant ébahis par ce qu'ils venaient de voir. Nous arrivâmes à l'hôtel sur le coup de 20 heures. Le temps de faire les formalités, déposer les bagages, il était 20 heures 30.
— Allons au restaurant, dit le pharmacien congolais, je meurs de faim. J'ai réservé un petit salon, où nous serons tranquilles...
Le serveur, un jeune homme à l'air timide nous installa à une petite table ronde dans un salon désert, je pris place à gauche du vieux noir. Nous bûmes une bouteille de vin blanc entière pour l'apéro, la tête me tourna un peu.
— Nous irons regarder tout à l'heure dans ma chambre, le petit documentaire sur la visite de ce matin que Monsieur Boulier à tournée. Au fait, Trixie, je te remercie de la réponse que tu as faite à ces hommes au feu rouge, c'est vrai ce que tu leur as répondu, tu l'aimes ma grosse bite, j'ai bien apprécié que tu me fasses éjaculer devant eux ! Tu es merveilleuse.
— Oui, j'adore ta grosse bite noire, dis-je en rougissant un peu.
— Je crois bien que c'est vrai aussi ce qu'a dit Jean-Paul, que ça t'émoustilles te faire désirer par les mecs, de les faire bander, tu étais déchaînée devant eux !
— Oui, j'aime bien voir le désir dans les yeux des hommes lorsqu'ils me regardent, ma libido est triplée, si ils me matent pendant un acte sexuel, c'est plus fort que moi !
— Bien, donne-moi ta main, là sous la serviette, tu sens comme ma bite est à nouveau grosse, caresse la. C'est bizarre, auparavant, je n'avais jamais eu d'érections aussi fortes, ni aussi rapprochées. C'est ta beauté et tes petits jeux qui me font ça ! Mais j'ai vraiment éprouvé du plaisir lorsque les blancs m'ont regardé te tripoter tout à l'heure, tellement de plaisir que cela m'a fit jouir, on va recommencer ! Vous n'y voyez pas d’inconvénient Jean-Paul.
— Moi non, bien au contraire !
— Et toi Trixie ?
Moi, je prenais de plus en plus de plaisir à ces jeux pervers. Depuis l'incident du feu rouge, une boule de feu se tordait dans mon bas ventre, sûrement que les deux doses de bois bandé ingurgitées aujourd'hui et l'alcool bu n'arrangeaient pas les choses. Je m'entendis répondre positivement à sa demande.
Aussitôt, sa main droite, écarta mes cuisses, remonta très haut la jupe pour bien dégager mon sexe, son majeur inquisiteur s'y engouffra, après quelques pénétrations, il le retira poisseux, et le suça avec délice. Il me demanda d 'écarter le plus possible les pans de ma veste pour laisser apercevoir la moitié de mes aréoles, j'obéis. Le velours vert du fauteuil commença à être mouillé sous mes jambes.
— Parfait ! Le serveur ne peut rien rater, ni en haut, ni en bas, il va pouvoir admirer ton anatomie magnifique ! Ça t'excites ? Tu veux jouer le jeu, jusqu'au bout...
— Oui, ça m'excite, tu l'as vu en me faisant un doigter ! Comme l'a dit Jean-Paul je suis une petite garce, une vraie petite pute qui de plus aime les noirs avec des grosses queues ! J'ai adoré que tu me baises deux fois aujourd'hui et de te branler et te faire jouir au feu rouge. Tu aimes comme je caresse ta grosse bite, sors tes couilles !
— Je peux te caresser la chatte demanda jean-Paul.
— Oui répondit N'Dombé, mais pas quand le serveur est là ! Il faut qu'il puisse profiter de la vue !
Celui-ci arriva pour servir les entrées, la bienséance fait qu'il doit servir d'abord les dames, il passa sur ma gauche, Il eut un mouvement de surprise, il fit comme si de rien n'était.
Mais son regard revenait toujours sur mes cuisses découvertes, la jupe était ouverte jusqu’à la naissance de ma chatte, dévoilant les jarretelles blanches. Il servit Luzolo, puis Jean-Paul et revint à côté de moi, une grosse bosse était en train de se matérialiser à hauteur de son sexe, il repartit à regret.
— Au prochain plat, il aura droit à un petit plus, dit Luzolo — Oui, quoi ? Demandai-je— Le bout de ton téton, au fromage les deux tétons ensembles, ce n'est pas difficile, ils ne demandent qu'a jaillir et nous gardons le meilleur pour le dessert.
Cela se passa comme prévu, à chaque plat suivant, un coup d'épaule et mes mamelons surgirent.
— Défait le clip de ta veste, et écarte les pans, voilà on apprécie mieux tes seins ainsi, putain il sont vraiment beaux ! Dit Luzolo. Ça t'excite toujours autant de te faire mater par le garçon ?
— Oh oui en plus devant vous deux c'est extra, ma chaise est trempe de ma mouille !
Le dessert allait arriver.
— Écarte tes jambes au maximum, dévoile bien ta chatte rasée, écarte les lèvres.
J'obéis, j'offris ma chatte béante à la vue du garçon de restaurant, une tâche de plus en plus grosse maculait le velours de la chaise entre mes jambes, le serveur ne chercha pas à cacher son érection et lorgna maintenant sans vergogne mon sexe dénudé et glabre. Il s'enhardit même, en servant le dos de sa main frôla les tétons érigés de mes seins complètement dénudés.
Le garçon passa à nouveau sur ma gauche et s'immobilisa pour me servir, Luzolo fit tomber sa serviette, se tourna vers moi, me prit la main et me la posa sur sa bite tendue, je le masturbai doucement calotta et décalotta l'énorme sexe noir. Le serveur figé n'en crut pas ses yeux.
— Ooooohhhh, putain je n'en ai jamais vu une aussi grosse, s'exclama le jeune homme.
Le vieux avança sa grande main noire, vers ma chatte, son majeur et son index pénétrèrent mon conduit intime qui laissa échapper un flot de foutre, pour mieux accepter la caresse, je me renversai sur le dossier de la chaise, mes deux seins tressautèrent complètement hors de ma veste. On aurait dit que le temps s'était arrêté, de longs soupirs sortirent de ma bouche, entre mes yeux mi-clos j'entrevis le serveur tétanisé à coté de moi. La grosse bite noire palpita dans ma main. Mon plaisir monta, monta, mon corps fut pris d'un tremblement incontrôlable et je jouis. Avec un râle de plaisir, ma main droite enserra fortement la grosse bite de Luzolo qui allait jouir, ma main gauche saisit le sexe tendu du garçon à travers son pantalon et le pressa avec force, je sentis les soubresauts de son éjaculation. Il repartit à toute vitesse vers les cuisines rouge comme une pivoine.
— Putain ! Ça t'a plu Trixie. Tu as joui, ouiiii continue à me branler, je vais éjaculer, prends, prends dans ta bouche, avale mon sperme.
Au moment même ou le serveur revint, toujours rouge, pour servir les desserts, je me penchai pour recueillir le flot de liquide tiède qui gicla de l'énorme phallus noir. Je relevai la tête et regardant le jeunot, j'ouvris la bouche et tirai la langue pour lui montrer la quantité phénoménale de sperme que le vieux noir avait éjaculé dans ma bouche et le déglutis avec délice. Je n'avais pas mis de l'ordre dans ma tenue, mes seins étaient toujours dehors et ma chatte ruisselante offerte à ses regards. Il avait les yeux exorbités par ce qu'il venait de voir.
— Alors, demanda Luzolo... ça t'a plu mon garçon ?
— Oh oui, Monsieur, Oh oui, c'était super ! Mademoiselle est vraiment magnifique, merveilleuse, il n'y a pas de mots pour qualifier sa beauté ! j'en garderai le souvenir toute ma vie.
— Bon, dit Luzolo, tu veux un pourboire.
— Oui Monsieur, je veux bien.
— Tu peux caresser les seins de Mademoiselle Trixie, approche, voilà c'est bien fait rouler ses mamelons entre tes doigts, tire les, regarde comme ils aiment ça, ils ont doublé de volume. Trixie recule ta chaise.Tu veux les sucer ? Oui, c'est bien, mordille les, regarde elle apprécie. Allez petit, mets toi à genoux entre ses cuisses et régale toi avec son nectar.
— Je... je ne sais pas si elle voudra !
— Mais si, voilà. C'est ça ! Aspire bien son clitoris, bien...bien regarde elle tremble, enfonce ta langue dans sa chatte, lèche bien, encore, encore, tu aimes ? Tu bandes ? Sors ta bite !
— Oh oui Monsieur. Oh ouiiiii ! je... je crois que je vais en... encore jouir !
— Lève toi jeune homme, Trixie regarde comme il bande, suce le jeune homme, fais le éjaculer...
J'eus à peine le temps de saisir son pénis dans ma bouche, qu'il déchargea, en tremblant de tout son corps, sa semence dans ma bouche, j'aspirai le bout de son gland, il hurla de plaisir.
— Hélas, mon garçon, les meilleures choses ont une fin, apporte moi l'addition. S'il te plaît.
On repartit à l'hôtel et on se retrouva tous les trois dans la chambre du pharmacien noir. Boulier installa son PC.
— Vous voulez voir la vidéo de suite Monsieur N'Doumbé ? C'est votre habillage dans le sas, c'est très réussi !
— Oui, vous me faites une copie, sur cette clé usb cela me fera un super souvenir !
A table, les doigts de notre hôte, la situation inédite, cela m'avait fait jouir certes, mais le début de cunnilingus du jeune homme avait ravivé mon envie de sexe. J'avais déjà visionné le film au moins deux fois et j'en étais l'actrice principale. Les deux hommes installés devant le PC discutèrent et avaient commencèrent à regarder la vidéo. Assise sur le lit, au bout d'un moment je soupirai bruyamment. Luzolo se leva et se vint vers moi. Il me caressa la joue.
— Tu t'ennuies ma petite chérie on dirait, je vais m'occuper de toi !
— Oui, j'ai encore envie de ta grosse bite noire !
Il me poussa gentiment sur le lit, il se mit à genoux devant moi. Sépara doucement mes genoux, et ses mains se glissèrent sous ma jupe, il en écarta largement les pans. Les grandes mains noires commencèrent une lente reptation sur mes bas, ellespassèrent sous les lanières blanches, frôlèrent mon sexe bien épilé, caressèrent mon ventre sous la dentelle de la ceinture de mon porte-jarretelles, et firent sauter l'agrafe de ma jupe. Il la fit glisser sous moi, le long de mes jambes et la laissa choir sur la moquette.
— J'adore te voir seulement vêtue ainsi... tes jambes sont magnifiques et ton porte-jarretelles met ta chatte en valeur, tu as raison de l'épiler entièrement et de laisser ta chatte sans poil, c'est plus érotique.
Sur ma jambe droite, ses grosses lèvres lippues remplacèrent ses mains, il déposa des baisers jusqu'à ce qu'il arrive, en haut du bas et sa langue commença à me lécher la cuisse en remontant vers mon sexe qui devint de plus en plus moite. Il bava d'excitation, sa salive coula sur l'intérieur de ma cuisse. Son appendice buccal passa l'aine de ma cuisse, je frissonnai, mon vagin palpita et attendit d'être empli par cette grosse langue rose, qui prit son temps en léchant le pourtour. Ce fut d'abord son nez épaté qui se faufila entre mes grandes lèvres, puis elles furent écartées par ses deux pouces. J’eus un soubresaut de plaisir lorsque sa langue força mes petites lèvres pour pénétrer dans mon conduit vaginal. Avec son pouce et son index, il décapuchonna mon clitoris et la pointe de sa langue vint titiller ma petite excroissance rose, lorsqu'il l'aspira et que ses incisives la mordillèrent délicatement, ce fut comme si une décharge électrique me traversait le corps, je hurlai de plaisir.
Je tins sa tête à deux mains essayai de positionner sa bouche aux endroits sensibles, là ou je voulais sentir sa langue. Il était très attentif, chaque fois que ses caresses me firent gémir, il les prolongea, les appuya jusqu'à ce que mon corps se tende en arc de cercle.
Jean-Paul cessa de regarder le film, il quitta son pantalon et se masturba en nous regardant. Lorsqu'il entendit mon premier cri de plaisir, excité, il monta à genoux sur le lit à côté de moi. Ses mains s'activèrent à dégrafer le clip de ma veste, il se débrouilla de me l'ôter, je n'eus plus que mes bas et mon porte-jarretelles.
Cette vision l'excita, Il se pencha sur moi, sa langue força mes lèvres et se noua à la mienne, je lui rendis son baiser, tandis qu'il me malaxait les seins. Sous les attouchements des deux hommes, ils devinrent de plus en plus durs. Il me pinça assez fortement les tétons et les étira sans ménagement, et sa bouche s'en empara. Il les suça, les aspira, les mordilla à tour de rôle, il engloutit mes aréoles gorgées de sang...
— Ouiiiii, oouuuuuiiii mordille moi bien les bouts, juste les bouts... ouiiiii ainsi... continue... continue... Ooooohhhh que c'est bon....
Tout en continuant son merveilleux cunnilingus, Luzolo se déshabilla.. je ne sus pas comment il s'y prit mais je me retrouvai les jambes largement écartées à la verticale, il était toujours à genoux. Je sentis sa langue qui quitta ma chatte et glissa vers mon petit trou intime ridé, elle lécha lentement le pourtour, et par petite touche, il en inséra le bout à l’intérieur, de la salive coula et son majeur entra doucement dans mon conduit anal, il enfonça entièrement son long doigt. Au bout d'une dizaine de va-et-vient, son index vint s'ajouter, lorsqu'il les sentit coulisser parfaitement, l'annulaire les rejoignit, mon ampoule rectale palpita autour des trois intrus.
Je ne pus plus ni gémir, ni exprimer mes sentiments, Jean-Paul enjamba mon torse, et ma mit sa bite dans la bouche, me demandant de la sucer. J'éprouvai une telle sensation de plaisir et une telle envie de sexe, sûrement à cause au bois bandé, que je m'appliquai à lui faire la fellation demandée.
— Bon, si nous passions aux choses sérieuses, regardez comme je bande et mes couilles sont à nouveau pleines de sperme...
— Oui, les miennes aussi répondit Jean-Paul.
— Eh bien, il vous faut les vider, dis-je en riant !
— C'est ce nous allons faire ma peite chérie.Jean-Paul à vous l'honneur, couchez-vous sur le dos, laissez pendre vos jambes hors du lit, très bien ! Trixie grimpe sur ses cuisses et laisse le, enfoncer sa queue dans ta chatte, ouiiiii, comme cela. Vas-y Jean-Paul, baise-la, enfonce bien ta bite.
Droit derrière moi, N'Doumbe se mit à mes caresser les seins, sa bouche se posa dans mon cou, sa langue me lécha les épaules, il me mordilla le lobe des oreilles.
— Je vais te sodomiser, petite Salope, me murmura-t-il, j'en rêve depuis ce matin. Tu as déjà eu une bite noire aussi grosse que la mienne dans ton anus ? Je suis sûr que tu vas aimer...
— Ouiiiii, un noir m'a déjà sodomisé, avec une bite aussi grosse que la tienne !
— Salope alors, c'est vraiment vrai, tu adores les noirs, dit Boulier en continuant a s'agiter dans ma chatte.
Le vieux noir me donna un baiser fougueux, apparemment satisfait que je veuille bien le laisser faire et me demanda de me pencher en avant sur le torse de Jean-Paul, qui me besognait avec force.
Je lui obéis et lui présentai mes fesses ou mon petit trou palpitait comme s'il était avide d'avaler l'énorme pieu noir qui s'approchait.
Luzolo, cracha dans sa main et enduisit son phallus avec sa salive, puis il en fit couler un long filet dans mon anus. Avec deux doigts, il écarta l'ouverture, son énorme gland mauve se colla à l'orifice béant.
Jean-Paul comprit, sa bite enfoncée au plus profond de mon vagin, il cessa ses pénétrations pour permettre à l'énorme sexe noir de pourfendre mon rectum.
Le vieux pharmacien noir poussa lentement, mais fermement, mon ampoule rectale se retourna, le gland disparu dans l'orifice. Il me tint aux hanches à hauteur de mon porte-jarretelles, il enfonça quatre ou cinq centimètres du rouleau de chair noire, puis les ressortit, recommença en poussant plus loin la pénétration.
Jean-Paul m'embrassa à pleine bouche. Sous le plaisir que me donnait Luzolo, je lui mordis la langue. Le phallus gigantesque glissa de plus en plus profondément dans mes entrailles.
— Oouuuuiiii, ça y est petite Salope, je t'ai enfilé toute la longueur de ma bite. Tu aimes ça hein ?
Putain, c'est la première fois que je baise une blanche, par devant par derrière. Jean-Paul tu as bien mis ta caméra en route pour que je montre à mes copains congolais, comment le vieux Luzolo fait l'amour à une merveilleuse jeune blanche, blonde aux yeux verts et surtout qu'elle raffole de ma grosse queue ! Tiens, tiens, tu la sens bien ma queue dans ton cul.
Le bois bandé faisait son effet, cela se traduisait pour mes deux partenaires, par un léger priapisme, La drogue leur donnait une érection intense et prolongée et ce pendant plusieurs heures. Quant à moi, mes pulsions sexuelles étaient décuplées. Même en ayant joui trois ou quatre fois aujourd'hui... J'étais heureuse de subir cette double pénétration. Ils me besognèrent longtemps, Luzolo sentit qu'il allait éjaculer. Il se pencha sur moi...
— Je veux éjaculer dans ta chatte, cela transcende ma libido, avec tout le sperme que j'ai deversé en toi, peut-être que je vais t'engrosser !! Non ! Tu as pris la pilule, mais je peux rêver ? Je peux rejoindre Jean-Paul dans ton vagin ?
J'avais déjà fait cette expérience d'une pénétration vaginale avec deux jeunes noirs, je n’avais pas détesté et l'aphrodisiaque ingurgité m'empêchait de lui dire non.
Il demanda à Jean-Paul de cesser ses mouvements, et tint son pénis dur comme du fer d'une main ferme, il le fit entrer après quelques essais, dans ma chatte trempée et béante. Ils accordèrent leurs coups de reins, sans discontinuer je gémis de plaisir.
Leurs respirations s’accélèrent, leurs coups de boutoir se firent plus rapides et plus violents. Ce fut Jean-Paul qui céda le premier.
— Tiens Salope, tiens... Ouuaaaaahhhh putain que c'est bon, tiens ! Oh putain, je n'ai jamais joui comme ça !! Il faudra qu'on recommence. Il t'en reste encore du bois bandé dans ton flacon., c'est trop bon ! Je veux à nouveau te baiser comme ça, tu demanderas à Gérald !!
Luzolo toujours en moi, attendit que Boulier ait fini d'éjaculer et me fit rouler sur le côté, couché derrière moi, son sexe comme un piston, me martela encore et encore.
— Putain, je rêvais de te voir pénétrée par une bite noire et bien, je suis gâté. Il y a la grosseur et la longueur et je ne m'étais pas trompée petite Salope, tu adores les noirs ! Même vieux et laids, marmonna Boulier.
N'Doumbé souleva ma jambe gauche et enfonça plusieurs fois son membre rigide jusqu'à ce que ses testicules touchent mes fesses, puis il me saisit les nichons et les serra fortement. Mon corps se tendit en arc de cercle, j'explosai de jouissance criant mon plaisir, alors que les premiers spasmes de son phallus éléphantesque déversèrent son sperme chaud et visqueux, au fond de moi.
— Regarde, regarde Jean-Paul ce que le vieux, noir et laid comme tu dis, déverse comme sperme dans la chatte de la petite blonde...
Trois giclées étaient parties au fond de mon vagin, il retira son énorme mandrin, laissa son méat au bord de mes lèvres. Cinq ou six spasmes déversèrent le reste du liquide translucide et épais.
— Merde c'est bon d'éjaculer dans ta chatte Trixe ! Jean-Paul admire mon sperme de noir qui coule au bord de sa chatte, regarde bien, je vais le pousser à l’intérieur. Oh putain que c'est bon., tiens, tiens, il m'en reste encore !
Il sortit sa queue poisseuse, se leva me la présenta, mes lèvres s'enroulèrent autour du mandrin noir pour le sucer. Il était vraiment tard, après une rapide toilette nous prîmes congé.
— Bien, c'était parfait, je passerai demain, pour signer le contrat et surtout pour dire au revoir à Mademoiselle Trixie !
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