Une ingénue prise au piège II
Récit érotique écrit par Ero-gène [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une ingénue prise au piège II
Je passai ma main droite sur son sexe et le caressai doucement. Elle retint sa respiration, appréhendant la suite. D'un doigt se glissant malicieusement, j'écartai ses grandes lèvres. Le bout de mon doigt se balada de son périnée à son clitoris que je titillais lentement à chaque passage. Elle avait ses yeux verts rivés sur ma main, en proie au doute.
Je laissai mon pouce s'occuper de son clito que je décalottais pour mieux l'admirer. Mon majeur repartit à la conquête de son mont de Vénus en appuyant un peu plus. Je trouvai l'entrée de sa grotte que je caressai gentiment avant d'y enfouir mon doigt.
Ma petite ingénue se mordit la lèvre inférieure dans un soupir jusque-là retenue. Elle posa sa tête sur la table et se laissa aller.
Sa chatte s'humidifia alors que mon doigt la pénétrait. Je commençai de légers aller et retour de toute la longueur de mon majeur. Mon pouce fit rouler son clitoris qui se gonfla petit à petit. Je ressortis mon doigt pour frotter à nouveau ma main contre ses lèvres. Sa mouille commença à tremper ma main. Je vins prendre son clito entre mon pouce et mon index pour le triturer dans tous les sens.
Elle couina sous les caresses et tourna la tête de manière erratique, les yeux fermés. Deux doigts vinrent alors la fouiller à nouveau et écarter un peu plus sa chatte. Je passai à la vitesse supérieure et accélèrai ma pénétration. Je la secouai et la fit trembler tandis que mon pouce torturait son clito.
De mon autre main je fis descendre mon boxer et ma bite se dressa fièrement à quelques centimètres de sa bouche. Elle ne la vit pas, trop occupée par le plaisir que ma main lui procurait. Elle vint prendre ses seins pour jouer avec alors que ses gémissements s'intensifiaient.
Je continuai de lui fouiller la chatte pendant plusieurs minutes. Elle dégoulinait de mouille qui coulait le long de sa rondelle.
Elle ouvrit alors les yeux en grand et poussa un cri de jouissance. Je sentis sa chatte se contracter et des spasmes secouer son corps. Sa chatte explosa en un geyser de cyprine alors que je retirais mes doigts. Elle inonda la table et aspergea le mur. Elle se laissa ensuite aller, les cuisses grandes ouvertes et la chatte luisante.
Je portai mes doigts à ma bouche et lèchai sa cyprine. Ma main gauche caressa à nouveau sa chevelure châtain.
- Tu as bien jouis, petite salope !
L'insulte lui fit tourner la tête et elle s'apprêta à me répondre. Elle se retrouva avec ma bite dressée en face de sa bouche ouverte. Je ne lui laissai pas le temps de réagir et poussai sa tête vers moi. Ma queue fourra sa bouche et vint buter contre sa glotte. Elle couina de surprise mais ferma instinctivement ses lèvres pour accueillir mon chibre.
Je laissai ma bite au chaud dans sa bouche le temps de savourer puis je lui ordonnai :- Suce-moi !
Elle me regarda avec dégoût mais s'exécuta sans attendre. Ses lèvres glissaient le long de ma verge dure, les enserrant avec délice. Sa langue s’activait en cercle autour de mon gland. Ce n’était visiblement pas la première fois qu’elle suçait. Bientôt mon engin fut lubrifié par sa salive. Sa tête allait et venait docilement pour satisfaire mon plaisir.
- Ah, ouais continue ! Tu pompes bien !
Elle sembla apprécier mon compliment car elle redoubla d’efforts. Ses mouvements de tête s’accélérèrent et elle allait plus loin à chaque fois. Sa langue se fit plus sensuelle dans sa bouche. J’appréciais son dévolu mais avais d’autre plan pour sa bouche. Je me retirai donc de ses lèvres. Elle se les lécha par réflexe puis les ferma, honteuse de son geste.
- Tu as l’air de bien aimer ma queue, n’est-ce pas ?
Elle me foudroya du regard et ne répondit pas.
Je fis glisser un doigt sur ses lèvres puis descendis le long de son cou.
- J’ai bien envie d’explorer un peu plus ton corps.
La jeune femme comprit et pour la première fois depuis qu’elle était nue, elle parla :- Si vous jouissez, vous me laissez partir ?
Je pris sa joue dans ma main et passai mon pouce sur ses lèvres, jouant à les déformer.
- Je te le promets.
Elle voulut reprendre ma queue mais je l’en empêchai.
- Mais ce sera à ma manière…Elle me défia à nouveau du regard avant de se résigner. Je la pris alors par les aisselles et la tirai légèrement en arrière. Le dos toujours sur la table, elle avait maintenant la tête dans le vide. Je me plaçai de part et d’autre. Elle ouvrait déjà la bouche pour accueillir ma bite. Chose que je fis sans tarder. Mais au lieu de me contenter de sa bouche, mon gland alla rencontrer sa glotte. Elle eut un relan et posa ses mains sur mon torse pour me repousser. Je saisis ses poignets que j’emprisonnai d’une seule main.
Alors que j’allais et venais, j’habituais sa glote à se faire titiller par mon membre viril. Ma salope salivait beaucoup d’avoir un si gros engin en bouche et sa bave coulait sur ses joues rougies. Bientôt, mon gland eut raison de sa résistance et je pus à loisir pénétrer sa gorge.
Des larmes perlaient de ses yeux et venaient couler le long de ses tempes, emportant un peu de son maquillage. Ses cheveux lâches pendaient vers le sol, ondulant au rythme de mes coups de rein.
Ma queue envahissait sa gorge à chaque passage dans un bruit guttural et rauque que j’affectionnais particulièrement. Je voyais mon chibre déformer la peau tendu de son cou. Je posai alors ma main pour sentir ma virilité souiller les profondeurs de la bouche de ma salope du moment.
Je lui baisai ainsi la gorge pendant plusieurs minutes, ne la laissant respirer que très rarement. Mes couilles frappant son nez. Au bout d’un moment je lui lâchai les mains, sentant qu’elle se laissait totalement faire, soumise au coups puissants de ma verge.
Je me retirai alors, dur comme jamais. Elle reprit sa respiration une énième fois, pensant que je reviendrai à la charge. Mais je restai là, à contempler son corps offert à ma perversité sans bornes. Elle se redressa sur la table et s’y assit.
Rougie par la honte et le traitement violent que je venais de lui faire subir, ses cheveux en pagaille et son maquillage ruiné. Sa bouche aux lèvres gonflées d’avoir été si longtemps écartées.
- Vous n’avez pas jouis, parvint-elle à articuler, un brin de déception dans la voix.
Je lui souris alors que mon membre volumineux restait toujours droit.
- Oui, je n’en ai pas fini avec toi, ma chienne.
Elle comprit alors que j’avais l’endurance pour jouir quand je voulais. Et cela signifiait que je pouvais abuser d’elle pendant encore longtemps.
Je m’assis sur la banquette derrière moi alors qu’elle ne pouvait défaire son regard de ma verge encore tendue. Je lui fis signe d’approcher. Elle hésita avant de faire un pas. Je l’arrêtai d’un geste et d’un autre lui indiquer le sol. Elle me jeta un regard mi dégoûté, mi excité. Elle se mit à genoux puis, dans un mouvement volontairement lent, à quatre pattes.
Elle avança jusqu’à moi en continuant de me fixer. Cependant son regard s’égarait par moment sur mon membre qui lui ravageait la bouche quelques minutes avant. Elle apréhendait sans doute la suite. Ses seins se dandinaient devant moi au rythme de ses mouvements. Comme deux petites poires appétissantes qui n’attendaient que de se faire dévorer.
Elle arriva à mes pieds, assise entre mes cuisses ouvertes, le visage à quelques centimètres de ma queue. Je lui fis signe de monter. Elle grimpa sur moi. Ma verge glissa sur ses seins, son ventre, avant de se frotter à son intimité encore humide de son orgasme. Elle se mit à califourchon sur moi, mon membre coincé entre nos deux corps nus. Ses mains se posèrent sur mon torse musclé qu’elle put désormais admirer à loisir. Elle se mordit la lèvre inférieure encore en proie à une lutte entre le désir et la honte.
J’empoignai ses fesses d’une main et saisi sa nuque de l’autre. J’amenai sa bouche sur la mienne pour la lui envahir de ma langue. Malgré elle, elle répondit à ce baiser avec fougue.
Je commençai des mouvements du bassin, ondulant sous elle pour frotter ma verge contre ses lèvres. Elle gémit dans ma bouche tandis que ses mains emprisonnaient mon visage. Ma main sur ses fesses entraînait son joli petit corps à ondoyé avec le mien. Je sentais sa chatte redevenir humide de plaisir alors qu’elle passait le long de ma verge.
Elle accentua le mouvement d’elle même, se pressant un peu plus contre mon corps. Elle rompit notre baiser pour enfouir sa tête dans mon cou. Ses hanches bougeaient au rythme des miennes, ses lèvres maintenant ouvertes, glissaient sur mon membre gonflé comme jamais.
Je savais ce qu’elle essayait de faire. Elle voulait me faire jouir. Son corps bouillant appuyé contre le mien était une vraie tentation et je ne doutais pas qu’elle y serait arrivé avec un autre amant. Mais comme je le lui avais dit, je n’en avais pas fini avec elle.
La prenant par les hanches, je la retournai sans ménagement. Elle couina de surprise. Je la plaquai contre moi, son dos collant mon torse. Ses tétons durcis par le plaisir pointaient vers le ciel. Mes mains passèrent sous ses cuisses écartées. Je la soulevai légèrement, mon gland à l’orée de son antre, avant de lui susurrer à l’oreille :-Maintenant, je vais te baiser !
Je laissai mon pouce s'occuper de son clito que je décalottais pour mieux l'admirer. Mon majeur repartit à la conquête de son mont de Vénus en appuyant un peu plus. Je trouvai l'entrée de sa grotte que je caressai gentiment avant d'y enfouir mon doigt.
Ma petite ingénue se mordit la lèvre inférieure dans un soupir jusque-là retenue. Elle posa sa tête sur la table et se laissa aller.
Sa chatte s'humidifia alors que mon doigt la pénétrait. Je commençai de légers aller et retour de toute la longueur de mon majeur. Mon pouce fit rouler son clitoris qui se gonfla petit à petit. Je ressortis mon doigt pour frotter à nouveau ma main contre ses lèvres. Sa mouille commença à tremper ma main. Je vins prendre son clito entre mon pouce et mon index pour le triturer dans tous les sens.
Elle couina sous les caresses et tourna la tête de manière erratique, les yeux fermés. Deux doigts vinrent alors la fouiller à nouveau et écarter un peu plus sa chatte. Je passai à la vitesse supérieure et accélèrai ma pénétration. Je la secouai et la fit trembler tandis que mon pouce torturait son clito.
De mon autre main je fis descendre mon boxer et ma bite se dressa fièrement à quelques centimètres de sa bouche. Elle ne la vit pas, trop occupée par le plaisir que ma main lui procurait. Elle vint prendre ses seins pour jouer avec alors que ses gémissements s'intensifiaient.
Je continuai de lui fouiller la chatte pendant plusieurs minutes. Elle dégoulinait de mouille qui coulait le long de sa rondelle.
Elle ouvrit alors les yeux en grand et poussa un cri de jouissance. Je sentis sa chatte se contracter et des spasmes secouer son corps. Sa chatte explosa en un geyser de cyprine alors que je retirais mes doigts. Elle inonda la table et aspergea le mur. Elle se laissa ensuite aller, les cuisses grandes ouvertes et la chatte luisante.
Je portai mes doigts à ma bouche et lèchai sa cyprine. Ma main gauche caressa à nouveau sa chevelure châtain.
- Tu as bien jouis, petite salope !
L'insulte lui fit tourner la tête et elle s'apprêta à me répondre. Elle se retrouva avec ma bite dressée en face de sa bouche ouverte. Je ne lui laissai pas le temps de réagir et poussai sa tête vers moi. Ma queue fourra sa bouche et vint buter contre sa glotte. Elle couina de surprise mais ferma instinctivement ses lèvres pour accueillir mon chibre.
Je laissai ma bite au chaud dans sa bouche le temps de savourer puis je lui ordonnai :- Suce-moi !
Elle me regarda avec dégoût mais s'exécuta sans attendre. Ses lèvres glissaient le long de ma verge dure, les enserrant avec délice. Sa langue s’activait en cercle autour de mon gland. Ce n’était visiblement pas la première fois qu’elle suçait. Bientôt mon engin fut lubrifié par sa salive. Sa tête allait et venait docilement pour satisfaire mon plaisir.
- Ah, ouais continue ! Tu pompes bien !
Elle sembla apprécier mon compliment car elle redoubla d’efforts. Ses mouvements de tête s’accélérèrent et elle allait plus loin à chaque fois. Sa langue se fit plus sensuelle dans sa bouche. J’appréciais son dévolu mais avais d’autre plan pour sa bouche. Je me retirai donc de ses lèvres. Elle se les lécha par réflexe puis les ferma, honteuse de son geste.
- Tu as l’air de bien aimer ma queue, n’est-ce pas ?
Elle me foudroya du regard et ne répondit pas.
Je fis glisser un doigt sur ses lèvres puis descendis le long de son cou.
- J’ai bien envie d’explorer un peu plus ton corps.
La jeune femme comprit et pour la première fois depuis qu’elle était nue, elle parla :- Si vous jouissez, vous me laissez partir ?
Je pris sa joue dans ma main et passai mon pouce sur ses lèvres, jouant à les déformer.
- Je te le promets.
Elle voulut reprendre ma queue mais je l’en empêchai.
- Mais ce sera à ma manière…Elle me défia à nouveau du regard avant de se résigner. Je la pris alors par les aisselles et la tirai légèrement en arrière. Le dos toujours sur la table, elle avait maintenant la tête dans le vide. Je me plaçai de part et d’autre. Elle ouvrait déjà la bouche pour accueillir ma bite. Chose que je fis sans tarder. Mais au lieu de me contenter de sa bouche, mon gland alla rencontrer sa glotte. Elle eut un relan et posa ses mains sur mon torse pour me repousser. Je saisis ses poignets que j’emprisonnai d’une seule main.
Alors que j’allais et venais, j’habituais sa glote à se faire titiller par mon membre viril. Ma salope salivait beaucoup d’avoir un si gros engin en bouche et sa bave coulait sur ses joues rougies. Bientôt, mon gland eut raison de sa résistance et je pus à loisir pénétrer sa gorge.
Des larmes perlaient de ses yeux et venaient couler le long de ses tempes, emportant un peu de son maquillage. Ses cheveux lâches pendaient vers le sol, ondulant au rythme de mes coups de rein.
Ma queue envahissait sa gorge à chaque passage dans un bruit guttural et rauque que j’affectionnais particulièrement. Je voyais mon chibre déformer la peau tendu de son cou. Je posai alors ma main pour sentir ma virilité souiller les profondeurs de la bouche de ma salope du moment.
Je lui baisai ainsi la gorge pendant plusieurs minutes, ne la laissant respirer que très rarement. Mes couilles frappant son nez. Au bout d’un moment je lui lâchai les mains, sentant qu’elle se laissait totalement faire, soumise au coups puissants de ma verge.
Je me retirai alors, dur comme jamais. Elle reprit sa respiration une énième fois, pensant que je reviendrai à la charge. Mais je restai là, à contempler son corps offert à ma perversité sans bornes. Elle se redressa sur la table et s’y assit.
Rougie par la honte et le traitement violent que je venais de lui faire subir, ses cheveux en pagaille et son maquillage ruiné. Sa bouche aux lèvres gonflées d’avoir été si longtemps écartées.
- Vous n’avez pas jouis, parvint-elle à articuler, un brin de déception dans la voix.
Je lui souris alors que mon membre volumineux restait toujours droit.
- Oui, je n’en ai pas fini avec toi, ma chienne.
Elle comprit alors que j’avais l’endurance pour jouir quand je voulais. Et cela signifiait que je pouvais abuser d’elle pendant encore longtemps.
Je m’assis sur la banquette derrière moi alors qu’elle ne pouvait défaire son regard de ma verge encore tendue. Je lui fis signe d’approcher. Elle hésita avant de faire un pas. Je l’arrêtai d’un geste et d’un autre lui indiquer le sol. Elle me jeta un regard mi dégoûté, mi excité. Elle se mit à genoux puis, dans un mouvement volontairement lent, à quatre pattes.
Elle avança jusqu’à moi en continuant de me fixer. Cependant son regard s’égarait par moment sur mon membre qui lui ravageait la bouche quelques minutes avant. Elle apréhendait sans doute la suite. Ses seins se dandinaient devant moi au rythme de ses mouvements. Comme deux petites poires appétissantes qui n’attendaient que de se faire dévorer.
Elle arriva à mes pieds, assise entre mes cuisses ouvertes, le visage à quelques centimètres de ma queue. Je lui fis signe de monter. Elle grimpa sur moi. Ma verge glissa sur ses seins, son ventre, avant de se frotter à son intimité encore humide de son orgasme. Elle se mit à califourchon sur moi, mon membre coincé entre nos deux corps nus. Ses mains se posèrent sur mon torse musclé qu’elle put désormais admirer à loisir. Elle se mordit la lèvre inférieure encore en proie à une lutte entre le désir et la honte.
J’empoignai ses fesses d’une main et saisi sa nuque de l’autre. J’amenai sa bouche sur la mienne pour la lui envahir de ma langue. Malgré elle, elle répondit à ce baiser avec fougue.
Je commençai des mouvements du bassin, ondulant sous elle pour frotter ma verge contre ses lèvres. Elle gémit dans ma bouche tandis que ses mains emprisonnaient mon visage. Ma main sur ses fesses entraînait son joli petit corps à ondoyé avec le mien. Je sentais sa chatte redevenir humide de plaisir alors qu’elle passait le long de ma verge.
Elle accentua le mouvement d’elle même, se pressant un peu plus contre mon corps. Elle rompit notre baiser pour enfouir sa tête dans mon cou. Ses hanches bougeaient au rythme des miennes, ses lèvres maintenant ouvertes, glissaient sur mon membre gonflé comme jamais.
Je savais ce qu’elle essayait de faire. Elle voulait me faire jouir. Son corps bouillant appuyé contre le mien était une vraie tentation et je ne doutais pas qu’elle y serait arrivé avec un autre amant. Mais comme je le lui avais dit, je n’en avais pas fini avec elle.
La prenant par les hanches, je la retournai sans ménagement. Elle couina de surprise. Je la plaquai contre moi, son dos collant mon torse. Ses tétons durcis par le plaisir pointaient vers le ciel. Mes mains passèrent sous ses cuisses écartées. Je la soulevai légèrement, mon gland à l’orée de son antre, avant de lui susurrer à l’oreille :-Maintenant, je vais te baiser !
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