Une jeune fille monte dans le bus
Récit érotique écrit par Tbm69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-04-2007 dans la catégorie A dormir debout
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Une jeune fille monte dans le bus
Nous étions en plein été. Il faisait chaud. Très chaud, et cela semblait agir sur le comportement des personnes…
Normalement, je fais la route à pied car quelques stations de bus séparent mon lieu de travail de mon domicile. En revanche, ce soir là, après une journée de travail éreintante, je prends exceptionnellement le bus.
Assis (pour ne pas dire affalé) au milieu de la banquette arrière, je commençais plus ou moins à somnoler quand à la station suivante une jeune fille assez bien foutue monte et se dirige vers moi. J’étais seul sur la banquette arrière et quelques passagers me tournaient le dos en étant assis devant moi.
Arrivée à ma hauteur, elle met un pied sur la marche et se penche pour refaire son lacet. En voyant son décolleté et ses petits seins que rien ne couvrait, je me dis que j’avais bien fait de prendre le bus ce soir.
Je n’étais pas au bout de mes surprises : en fait, elle n’avait pas de soutien gorge, c’était sûr car je l’avais vu. Mais un peu plus tard, lorsqu’elle s’assied à côté de moi, en face de l’aller centrale du bus, bien que légèrement décalée vers la droite, je voyais un grand black qui était monté à la même station qu’elle qui semblait devenir fou. Je me suis posé un instant la question de savoir ce qui affolait ce type, lorsque je m’aperçu qu’à chaque fois qu’elle écartait les cuisses, il ne tenait plus en place. J’ai compris alors qu’elle n’avait pas mis de culotte non plus !
Je décidais de prendre les choses en main. Je fais signe au black avec un simple regard que je m’occupe de cette fille. Il comprend et descend à la station suivante. A mon avis, il a du « se finir » à la main.
Je me lève, je me mets complètement à sa droite donc décalé par rapport à l’allée centrale pour être moins visible de cette même allée. Je lui montre la bosse que j’ai à mon pantalon. Elle regarde, semble très intéressée. Je lui fais un signe de la tête pour qu’elle se rapproche de moi, ce qu’elle fait sans hésiter une seconde.
Discrètement (nous sommes tout de même dans un bus !), je lui passe ma main sous sa jupe. Son sexe dégouline. Elle est trempée, elle mouille un maximum ! Moi, je ne tiens plus ! Je ne sais plus quoi faire avec mon sexe que je sens de plus en plus à l’étroit dans ce pantalon pourtant large.
Je décide de tenter le tout pour le tout : j’entrouvre ma braguette. Elle me fait signe qu’elle est de plus en plus excitée en haussant les sourcils et en passant sa langue sur ses lèvres. Son bassin fait de petits mouvements qui en disent long sur ses intentions.
Toujours discrètement, elle approche sa main de ma cuisse, remonte le long de ma jambe et fait un premier essai en remontant vers mon entrecuisse. Quelqu’un monte. Nous arrêtons notre petit jeu le temps que cette personne s’assied. A peine cette personne assise, sa main reprend du service et devient de plus en plus précise dans ses gestes : son but est clairement défini. Elle m’attrape le sexe en passant sa main dans ma braguette et par dessus mon slip, me le malaxe comme une bête.
Mon Dieu, comme c’est bon ! Pendant quelques instants, je reste avec un air béat et je ne sais plus quoi faire.
Je reprends mes esprits et décide de pousser un peu plus loin. Je me risque à découvrir légèrement mon sexe en écartant mon slip. Ceci étant, ce n’est pas une chose facile dans ces conditions-là. Elle ne tient plus et vient carrément s’asseoir sur mes genoux, pour ne pas dire qu’elle vient ou qu’elle veut se faire empaler.
Sur mes genoux, il n’était pas facile de sortir mon sexe par en dessous sans être vu. Après quelques efforts, j’y arrive enfin. Comme elle n’avait pas mis de culotte, nos deux sexes entrent immédiatement en contact.
Au début, le mien se frotte au sien. Elle aime, elle adore. Je ne suis pas en reste pour autant car j’apprécie énormément cette position.
Pourtant, toujours assise sur mes genoux, elle décide de faire semblant de relacer ses chaussures. Elle se baisse, ce qui me permet de présenter mon sexe à l’entrée de son orifice pour lui pénétrer sa chatte dégoulinante.
J’ai quand même un peu de mal à rentrer : est-ce la position ? Est-elle vierge ? Toujours est-il que mon engin (de taille respectable, mais pas non plus si énorme que cela) fini par rentrer, probablement aidé par sa mouille.
Dans un bus, il n’est pas facile de bouger sans éveiller les soupçons. Des mecs ont déjà commencé à repérer notre petit manège et nous regarde sans avoir l’air d’y toucher.
Pour simuler les mouvements, elle trouve une combine qui consiste à faire semblant de se réajuster. Dans ce mouvement là, mon sexe l’empale de plus belle. Elle aime. J’adore. Je suis au bord de la jouissance, mais je me retiens.
Elle se lève légèrement (pas trop car j’ai quand même le sexe à l’air !). Ceci me permet de présenter mon engin à l’entrée de son petit trou, par derrière. Elle se rassoit, ni surprise, ni effarouchée. En revanche, cette fois-ci la pénétration s’annonçait difficile. Elle pousse un peu : mon gland fait son entrée dans son anus. Voici une étape de franchie !
Elle pousse encore. Une partie de mon sexe vient encore de s’enfoncer dans son anus.
Pendant ce temps, ma main titille son clitoris qui roule entre mon pouce et mon index.
Tant que j’y suis, les autres doigts de ma main en profitent pour passer le long des lèvres. De temps à autres, l’un de mes doigts s’aventure entre les lèvres et pénètre aussi profondément que possible son vagin.
Elle a beaucoup de mal à ne pas crier. Elle se mord les lèvres pour ne pas le faire, mais quand je donne un grand coup de rein pour enfoncer complètement mon sexe dans son petit trou serré et que je joui en elle, elle pousse un petit cri que certaines personnes entendent et ne manquent pas de se retourner. Nous rougissons tous les deux car la situation était sans équivoque : les mecs qui nous regardaient avaient tous compris ce que nous étions en train de faire. Je me demande même s’il n’y en avait pas un qui se masturbait discrètement.
Je sors délicatement de son anus. Du sperme coule le long de ses jambes lorsqu’elle se met debout. Elle passe un doigt pour le ramasser et se délecte de ce doigt humide.
Entre temps, je rentre mon sexe dégoulinant de sperme et de mouille dans mon slip, ce qui provoque immédiatement une tache sur mon pantalon. Aïe. Comment vais-je rentrer à la maison dans cet état ?
Ma belle, si tu lis cette histoire et qu’elle te rappelle quelque chose, n’hésite pas à me contacter. Ce sera un vrai plaisir de te revoir.
Tchao, Bella.
Normalement, je fais la route à pied car quelques stations de bus séparent mon lieu de travail de mon domicile. En revanche, ce soir là, après une journée de travail éreintante, je prends exceptionnellement le bus.
Assis (pour ne pas dire affalé) au milieu de la banquette arrière, je commençais plus ou moins à somnoler quand à la station suivante une jeune fille assez bien foutue monte et se dirige vers moi. J’étais seul sur la banquette arrière et quelques passagers me tournaient le dos en étant assis devant moi.
Arrivée à ma hauteur, elle met un pied sur la marche et se penche pour refaire son lacet. En voyant son décolleté et ses petits seins que rien ne couvrait, je me dis que j’avais bien fait de prendre le bus ce soir.
Je n’étais pas au bout de mes surprises : en fait, elle n’avait pas de soutien gorge, c’était sûr car je l’avais vu. Mais un peu plus tard, lorsqu’elle s’assied à côté de moi, en face de l’aller centrale du bus, bien que légèrement décalée vers la droite, je voyais un grand black qui était monté à la même station qu’elle qui semblait devenir fou. Je me suis posé un instant la question de savoir ce qui affolait ce type, lorsque je m’aperçu qu’à chaque fois qu’elle écartait les cuisses, il ne tenait plus en place. J’ai compris alors qu’elle n’avait pas mis de culotte non plus !
Je décidais de prendre les choses en main. Je fais signe au black avec un simple regard que je m’occupe de cette fille. Il comprend et descend à la station suivante. A mon avis, il a du « se finir » à la main.
Je me lève, je me mets complètement à sa droite donc décalé par rapport à l’allée centrale pour être moins visible de cette même allée. Je lui montre la bosse que j’ai à mon pantalon. Elle regarde, semble très intéressée. Je lui fais un signe de la tête pour qu’elle se rapproche de moi, ce qu’elle fait sans hésiter une seconde.
Discrètement (nous sommes tout de même dans un bus !), je lui passe ma main sous sa jupe. Son sexe dégouline. Elle est trempée, elle mouille un maximum ! Moi, je ne tiens plus ! Je ne sais plus quoi faire avec mon sexe que je sens de plus en plus à l’étroit dans ce pantalon pourtant large.
Je décide de tenter le tout pour le tout : j’entrouvre ma braguette. Elle me fait signe qu’elle est de plus en plus excitée en haussant les sourcils et en passant sa langue sur ses lèvres. Son bassin fait de petits mouvements qui en disent long sur ses intentions.
Toujours discrètement, elle approche sa main de ma cuisse, remonte le long de ma jambe et fait un premier essai en remontant vers mon entrecuisse. Quelqu’un monte. Nous arrêtons notre petit jeu le temps que cette personne s’assied. A peine cette personne assise, sa main reprend du service et devient de plus en plus précise dans ses gestes : son but est clairement défini. Elle m’attrape le sexe en passant sa main dans ma braguette et par dessus mon slip, me le malaxe comme une bête.
Mon Dieu, comme c’est bon ! Pendant quelques instants, je reste avec un air béat et je ne sais plus quoi faire.
Je reprends mes esprits et décide de pousser un peu plus loin. Je me risque à découvrir légèrement mon sexe en écartant mon slip. Ceci étant, ce n’est pas une chose facile dans ces conditions-là. Elle ne tient plus et vient carrément s’asseoir sur mes genoux, pour ne pas dire qu’elle vient ou qu’elle veut se faire empaler.
Sur mes genoux, il n’était pas facile de sortir mon sexe par en dessous sans être vu. Après quelques efforts, j’y arrive enfin. Comme elle n’avait pas mis de culotte, nos deux sexes entrent immédiatement en contact.
Au début, le mien se frotte au sien. Elle aime, elle adore. Je ne suis pas en reste pour autant car j’apprécie énormément cette position.
Pourtant, toujours assise sur mes genoux, elle décide de faire semblant de relacer ses chaussures. Elle se baisse, ce qui me permet de présenter mon sexe à l’entrée de son orifice pour lui pénétrer sa chatte dégoulinante.
J’ai quand même un peu de mal à rentrer : est-ce la position ? Est-elle vierge ? Toujours est-il que mon engin (de taille respectable, mais pas non plus si énorme que cela) fini par rentrer, probablement aidé par sa mouille.
Dans un bus, il n’est pas facile de bouger sans éveiller les soupçons. Des mecs ont déjà commencé à repérer notre petit manège et nous regarde sans avoir l’air d’y toucher.
Pour simuler les mouvements, elle trouve une combine qui consiste à faire semblant de se réajuster. Dans ce mouvement là, mon sexe l’empale de plus belle. Elle aime. J’adore. Je suis au bord de la jouissance, mais je me retiens.
Elle se lève légèrement (pas trop car j’ai quand même le sexe à l’air !). Ceci me permet de présenter mon engin à l’entrée de son petit trou, par derrière. Elle se rassoit, ni surprise, ni effarouchée. En revanche, cette fois-ci la pénétration s’annonçait difficile. Elle pousse un peu : mon gland fait son entrée dans son anus. Voici une étape de franchie !
Elle pousse encore. Une partie de mon sexe vient encore de s’enfoncer dans son anus.
Pendant ce temps, ma main titille son clitoris qui roule entre mon pouce et mon index.
Tant que j’y suis, les autres doigts de ma main en profitent pour passer le long des lèvres. De temps à autres, l’un de mes doigts s’aventure entre les lèvres et pénètre aussi profondément que possible son vagin.
Elle a beaucoup de mal à ne pas crier. Elle se mord les lèvres pour ne pas le faire, mais quand je donne un grand coup de rein pour enfoncer complètement mon sexe dans son petit trou serré et que je joui en elle, elle pousse un petit cri que certaines personnes entendent et ne manquent pas de se retourner. Nous rougissons tous les deux car la situation était sans équivoque : les mecs qui nous regardaient avaient tous compris ce que nous étions en train de faire. Je me demande même s’il n’y en avait pas un qui se masturbait discrètement.
Je sors délicatement de son anus. Du sperme coule le long de ses jambes lorsqu’elle se met debout. Elle passe un doigt pour le ramasser et se délecte de ce doigt humide.
Entre temps, je rentre mon sexe dégoulinant de sperme et de mouille dans mon slip, ce qui provoque immédiatement une tache sur mon pantalon. Aïe. Comment vais-je rentrer à la maison dans cet état ?
Ma belle, si tu lis cette histoire et qu’elle te rappelle quelque chose, n’hésite pas à me contacter. Ce sera un vrai plaisir de te revoir.
Tchao, Bella.
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