Une journé de bricolage : la nuit...

- Par l'auteur HDS Hervé_Thémis -
Auteur homme.
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Récit libertin : Une journé de bricolage : la nuit... Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-01-2012 dans la catégorie Plus on est
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Une journé de bricolage : la nuit...
Et non, ce n’était pas fini.

Nous nous étions donc couchés, et avec l’alcool et la fatigue, je me suis endormis. Mais comme mon sommeil est léger, 1 heure après m’être endormi, je m'éveille, je me retourne et je ne trouve plus Karine dans le lit. Je me dis, elle doit être aux toilettes. Au bout de 5 mn, je n’entends toujours rien et pas de Karine. Je me lève, et les toilettes ne sont pas éclairées. Je descends lentement au rez-de-chaussée, car c’est là que sont les Jean-Michel et les 3 intérimaires. Avant d’accéder à la grande chambre, il y a une pièce avant. Avant d’y arriver, j’entends du bruit, des gloussements : plus je m’approche, plus je reconnais des gémissements de Karine, et les voix des garçons. Je m’approche, et de loin, par la porte entrebâillée, je vois un bassin d’hommes qui remue. Je suis trop loin pour voir et entendre. Je décide d’aller dehors, car c’est moi qui avait fermé les volets et j’avais laissé l’entre-jour entre les lattes de plastique pour le changement d’air : je m’étais dit à 4 mecs là dedans, ca va cocoter sinon. J’avais aussi laissé le châssis vitré débloqué et entre-ouvert. Je m’approche donc de la fenêtre, et là au travers des lattes, je vois très bien l’ensemble de la chambre, et j’entends très bien maintenant. Apparemment Karine, a du descendre il n’y a pas longtemps, quelques minutes, c’est ce qui avait du me réveiller, et elle avait apporté de l’eau aux « invités » de peur qu’il n’ait soif avec l’alcool et la grande sauterie de toute à l’heure. Les « hostilités » avaient commencé juste après, mais je ne sais pas trop comment. Toujours est-il que je la voyais, sur le grand lit à quatre pattes, avec Pascal qui la besognait, et Rachid qui lui malaxait les fesses. Elle branlait et suçait à tour de rôle José et Jean-Michel, d’où les bruits étouffés de tout à l’heure :

Pascal : Ah, ca, c’en est une bonne. Regarde moi ca, comment elle recule son bassin en arrière la salope pour mieux s’empaler. Hein, t’aimes ca, ptite cochonne…

Rachid malaxe les fesses de Karine dans tous les sens, en la frappant doucement par moment, et on voit ses fesses rebondir.

Rachid : Oui qu’elle aime. Regarde moi ce cul comment il roule. Oui sors ta queue Pascal. Regarde sa chatte ouverte qui pétouille. Elle dégouline la salope. Elle aime ca. Vas-y renfourne la bien à fond.

A nouveau, Pascal, la tringle à fond. Je vois son bassin qui tape le fond de la chatte de Karine. Rachid enfile une capote. Puis à un moment, Pascal sors d’un coup, se dégage et aussitôt Rachid vient la remplir.

Rachid : Ah oui, c’est bon, elle est bien chaude. Putain qu’elle est bonne celle-là. Regarde à la vitesse ou je coulisse dans sa chatte. Ah je vais te la chauffer ta chatte, tu vas voir.

Il rentre sans problème et lui claque les fesses assez violemment tant tous les sens.

Au bout de quelques instants :

Karine : je vais peut-être remonter. Si Hervé se réveille.

Jean-Michel : Ah non ! Si t’es revenu, c’est que tu en voulais encore et tu vas pas nous laisser comme çà. En plus, ton mari n’est pas là, alors tu vas pouvoir te lâcher encore plus.

Jean-Michel lui dit de se mettre sur le dos. Elle s’exécute. Il la chope par les pieds, et l’attire de manière à amener son cul au raz du lit. Elle est à bonne hauteur.

Les 3 mecs sont montés sur le lit autour de Karine, il la touche, lui fond passer leurs queues sur la bouche, elle les suce. Bouffe leurs couilles aussi.

Jean-Michel lui doigte la chatte. J’entends ses explications.

Jean-Michel : Regardez-moi ca. J’en suis à quatre doigts. Elle bouge bien ma main hein ? Rachid vient là. Allez, vas-y malaxe lui bien le clito. Il faut qu’on la fasse bien gueuler et couiner cette petite salope pour qu’elle bouffe bien nos copains.

Rachid : Oui, on le voit bien son clito tout rougis et ressortis. Vois çà un peu comment…

Rachid passes ses doigts à vive allure sur son clito. Karine gémit de plus en plus fort. J’ai sorti ma queue et je me branle en les regardant.

Jean-Michel : Attrapez lui les jambes et faites remonter son cul. Écarte les jambes aussi.

La chatte de Karine pousse un pet glaireux et humide.

Jean-Michel : Voilà, c’est bien. Elle est bien ouverte. Regarder sa chatte béante. Elle a les lèvres bien boursoufflées.

Jean-Michel commence alors à lui mettre un doigt dans le cul. J’entends Karine qui proteste.

Karine : Non pas par là. Je vais avoir mal. Pas dans mon cul.

Jean-Michel : Attend un peu. On joue juste un peu. Si réellement, mais sans mentir, tu as vraiment mal, on arrête. Mais je suis sur que tu vas apprécier. Tu peux me faire confiance. D’accord.

Karine acquiesce. Au bout de quelques minutes, le cul cède à son tour et la respiration haletante de Karine qui se détendait au maximum a fait place à des soupirs.

Karine : Ah oui, c’est bon au cul aussi. Comme çà, ou doucement. Vas-y Rachid, continue avec ma chatte. Ah vous allez me rendre dingue….

Les fesses de Karine redescendent au bort du lit. Rachid se met en position, et prend le cul de Karine : il la tient fermement par les cuisses. Les 4 gros doigts de Jean-Michel avait fait le passage et là, c’est que du bonheur pour Karine : elle glousse, gémit. Rachid accélère le mouvement, ce qui a pour effet d’exciter encore plus Karine, et Rachid dans des mouvements rapides, violents et saccadés, jouit :

Rachid : Ah la salope, c’est trop bon. Oui, quel cul les mecs. Hummm c’est bon. Ahhhhh.

Rachid décule et aussitôt c’est Pascal qui s’approche. Il fait mettre Karine en dehors du lit, jambes écartes, bassin courbé et haut du corps couché sur le lit. C’est comme çà qu’il l’enfourne à son tour.

Pascal : Regardez-moi çà. On rentre comme dans du beurre la dedans. Ah tu t’y connais en femmes Jean-Michel. Ah putain quel cul. Regardez, elle en veut plus la garce, et elle pousse son cul en arrière. Tiens, prend çà.

C’est 2 bonnes claques qui lui frappent les fesses. Il lui empoigne les fesses, les écartes à fond, ou bien les faits remuer en rond. Le bassin de Pascal claque contre les fesses et les cuisses de Karine. Il s’excite bien le salaud. Puis à un moment, il l’attrape aux épaules, et donne des coups de bites violents, mais sans trop ressortir sa verge. Ce sont des coups de butoirs violents qui frappent son utérus.

Karine râle ! Pascal explose.

Pascal et Rachid sont calmés et regarde désormais José et Jean-Michel s’activer à leur tour.

Jean-Michel s’est mis sur le dos, et à demandé, ou ordonné, à Karine de venir s’empaler sur sa queue. Sans complexe, elle monte sur le lit, et enjambe le bassin le bassin de Jean-Michel. Je vois très bien d’où je suis. Elle s’accroupit et descend. Je vois l’énorme bite de Jean-Michel s’engouffre dans la chatte défoncée, il faut bien le dire, de Karine. Il reste juste quelques centimètres mais rapidement, enfin, on voit les couilles au raz des lèvres.

Karine : Ah oui, quelle grosse queue. Ca y est, je l’ai à fond. Ah bon dieu, ce que je suis ouverte. Ca c’est bon dans la chatte, une bonne queue comme çà.

Jean-Michel : Oui, remue bien ton bassin sur ma queue. Travailles toi bien la chatte. C’est ca. Vas-y. Démènes toi.

La chatte de Karine mouille grave et dégouline sur queue de Jean-Michel et sur ses couilles qui sont toutes luisantes.

Karine : Ah, oui putain, c’est bon. Je suis remplie.

Jean-Michel : Pas complètement.

Karine : Ah, si, là je suis remplis.

Jean-Michel : José ? Viens là. Viens jouer doucement avec le cul de Karine.

José : Oui, pas de problème.

Karine : Ah, non, avec vos deux énormes queues, ca va jamais rentrer.

Jean-Michel : Mais si. Juste le gland à l’entrée, tu vas voir.

Jean-Michel écarte les fesses de Karine pour bien lui dégager l’œillet et je vois José encastré ses cuisses massives entre celle de ma femme et Jean-Michel. Il pointe son gros gland, à l’entrée de son anus, il pousse doucement, et j’entends ma femme souffler.

Karine : Ah oui, c’est rentrer. Ouh, doucement, reste comme çà. Ah c’est bon.

Et Karine roule du bassin. Je vois Jean-Michel qui lâche provisoirement une des fesses de Karine et faire un signe avec le pouce, comme quoi, ok, c’est bon, c’est gagner. Aussitôt, il repositionne ses mains et lui écarte bien ses 2 lobes. José a posé ses mains sur les hanches ondulantes de ma femme, et la fait reculer pour que sa queue continue de rentrer, qu’elle lui absorbe la bite. Elle se redresse légèrement et ce mouvement, fait que la queue de Jean-Michel rentre encore plus, et que celle de José bascule plus profondément en elle. Elle pose ses mains sur les épaules de Jean-Michel et bombe le torse. Sa poitrine est ferme et les tétons bien drus. Elle gémit, râle, geint, et descend encore plus son bassin. Puis d’un coup, elle se projette en avant, les mains de chaque côté de la tête de Jean-Michel : un signe de soumission. Elle bouge le bassin mais très vite, c’est José qui prend les choses en main. Les fesses toujours écartés par Jean-Michel qui ne lâche pas sa prise, José ajoute les siennes un peu plus haut, et commence à faire coulisser Karine sur les deux queues. Elle commence à gueuler de plaisir…

Karine : Ah, jamais j’aurai cru çà. Je suis remplie là maintenant. Oui travaillez moi bien, c’est bon…

José : Oui, tu vois comment tu coulisses sur nos deux queues. On sent nos queues qui se frottent tellement on te remplit la chatte et le cul. Ton trou du cul et l’entrée de ta chatte sont bien détendus, enfin, plutôt, ca baille maintenant et on va tous prendre notre pied. Regarde comment on te lamine les trous. T’as vu, on arrive presque à ressortir nos queues et à rentrer. Quelles ouvertures… Ouah, un vrai ptit garage à bites…

Jean-Michel : Un garage à bites ??? Un parking oui… Ca monte mec, je vais lui le tremper son parking moi, tu vas voir… Ah tu vas t’en rappeler de nos bites, hein ????

Karine : Ah oui, c’est bon… Je vais jouir de la chatte et du cul… Baisez-moi… Oui… Défoncez-moi, ouiiiii… Ahhhhhhh….

José attrape Karine par les épaules et s’active sur son cul comme un malade. J’image les coups de butoirs qu’elle se prend à l’intérieur, mais elle est tellement dilatée qu’elle apprécie grave, maintenant. Le rythme de José est effréné, incroyable. Jean-Michel claque les fesses de Karine qui remuent dans tous les sens. Le bassin de José frappe lui aussi les fesses de Karine. Le bruit est excitant.

José : Ah putain, jamais vu un cul comme çà… Tiens, prends ptite salope. Tu vas t’en rappeler ma salope. Tiens prends çà. Ahhhh je jouis putain… Ouiiii c’est bon, quel cul !!!

Jean-Michel râle et jouit également. Karine s’avachie sur Jean-Michel. Elle n’en peut plus. Quel pied elle a pris !!!! José et Jean-Michel sortent des trous, dans un bruit glaireux et humide de chatte et de cul, satisfaits. Les trous se resserrent lentement dans un bruit puis soyeux.

Karine : Ah je suis exténuée. Dieu que c’était bon. Ah merde, ca fait une heure et demie qu’on y est. Je vais remonter me coucher.

Les gars la remercient de son ardeur et de ses exploits. Elle leur fait un baiser rapide et alors qu’elle se rajuste, avant de sortir de la chambre José lui frappe, amicalement et par jeu son ptit cul, et lui dit, on te remet ca quand tu veux. A ce moment, je m’éclipse et remonte me coucher.

Karine arrive juste après. Il était temps, à deux minutes prêt… Elle se couche et vient se blottir contre moi. Je fais celui qui se réveille et je lui dis, oui viens contre moi. Elle m’embrasse. Je lui dis je t’aime. Elle me répond, moi aussi je t’aime. Je l’enlace contre moi et on s’endort. Qu’elle m’aime est le principal, nous avons débuté ce jeu ensemble, il fallait bien finir la soirée en beauté, même si je n’étais pas là. De plus, elle m’avouera le lendemain ce qu’il s’est passé. La confiance, la complicité et les sentiments sont plus forts que le reste…
Que vont être les prochains exploits… ???!!!!!

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Et encore un gros cocu elle lui dit une partie de ce qu elle a fait le lendemain mais elle ne dit pas toutes les fois ou elle le fait cocu à ce con quand à croire qu elle l aime quel gros naïf ce mec .



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