Une nouvelle locataire
Récit érotique écrit par Bucheron99 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une nouvelle locataire
Je me présente : je m’appelle Matthieu, 40 ans, cadre dans une grande entreprise. Physiquement, je suis plutôt classique, 1m85, 90kg, une corpulence assez imposante sans être pour autant une personne que l’on pourrait qualifier de « musclé », J’ai les yeux gris/bleus et suis blond avec des cheveux pas trop courts coiffés, la plupart du temps en « bataille organisée ». J’ai un style vestimentaire plutôt classique, jean, le plus souvent bleu clair, et polo ou chemise avec une veste de costume et des baskets. J’ai fait le choix d’habiter dans une maison confortable dans un petit village à 25km de mon travail. Célibataire, sans enfant et avec un revenu confortable, j’ai un niveau de vie plutôt agréable. Il y a 1 an et demi environ, j’ai eu l’occasion d’acquérir une petite maison voisine de la mienne. Etant bricoleur j’ai, avec l’aide d’amis artisans, transformé cette petite maison en deux appartements simples et confortables que j’ai mis en location. L’appartement du rez-de-chaussée a vite trouvé preneur, un homme veuf, 65 ans avec des problèmes de santé qui voulait vivre confortablement dans un petit appartement à la campagne. Très discret, le locataire idéal. Quant à l’appartement du haut, il est resté vacant pendant de nombreux mois car jugé à la fois trop loin de la ville et des commodités et trop « calme ».
Après une période propice aux déplacements professionnels à l’étranger et aux semaines de 50 heures de travail intense, je me retrouve en congés d’été chez moi pour un repos plus que nécessaire.
Dès le premier jour, je reçois un appel de Carine, l’agent immobilier en charge de mes appartements, me disant, avec une joie non dissimulée, qu’elle a enfin trouvé un locataire. Carine est une femme très charmante, entre 35 et 40 ans, grande, avec des formes, surtout ses fesses, à faire rougir toute personne attirée par la gent féminine. Elle est faussement timide et toujours très souriante. J’avoue avec une légère honte, avoir choisi son agence plus par attirance pour Carine que pour la qualité et le service proposé. Carine me fait parvenir le dossier du candidat pour l’appartement en me précisant que c’est un bon dossier. En le consultant je me rends compte que le candidat est en faite une candidate, une femme de 42 ans, célibataire, sans enfant avec une bonne situation professionnelle. Secrétaire de direction dans une entreprise que je connais de nom. A la lecture des pièces jointes, je ne vois aucune raison de refuser un tel dossier. Je réponds donc à Carine que c’est OK pour moi et je fini mon message par une petite touche d’humour : « … vous serez enfin débarrassé de moi ». Elle me répond, quelques minutes plus tard, que je suis loin d’être le client le plus désagréable, au contraire et que Madame Sandrine Dubois souhaite faire une dernière visite et me rencontrer avant de signer le bail de location. Je lui réponds que je suis en congés et donc disponible quand elle le souhaite. Nous nous retrouvons donc le soir même à 18h30 devant la porte de l’appartement.
J’arrive, comme à mon habitude, avec 5 minutes d’avance. Par la fenêtre du palier de l’appartement donnant sur l’aire de stationnement, mon esprit divague et essaye d’imaginer le physique que Sandrine peut avoir. Je ne l’imagine ni trop grande, ni trop mince, avec de jolies formes, des fesses bien rebondies que je pourrais admirées quand je la croiserais dans la rue ou quand elle m’appellera le soir tard pour me demander de l’aide pour déboucher un évier … Stooop, si ça se trouve elle va être à l’opposé de ce que j’apprécie chez une femme : grande, filiforme, sans aucun charme. La vue de deux voitures se garant sur les deux places de stationnement disponibles au pied de l’immeuble me ramène rapidement à la réalité. C’est l’heure du verdict. La première à sortir de sa voiture est Carine. Toujours aussi belle. Je rêve ou elle a mis un mini short ? il va falloir que je me concentre pour ne pas passer mon temps à regarder ses fesses, sinon je vais passer pour quoi ? Je suis conscient que je suis quelqu’un qui pourrai vite être qualifié de voyeur ou même d’obsédé mais j’adore regarder, admirer les jolies femmes. Puis la porte de la seconde voiture s’ouvre, je plisse légèrement les yeux pour essayer de mieux la voir tout en me disant que je suis stupide, dans 2 minutes elle sera juste en face de moi mais je ne peux m’empêcher d’essayer de la détailler. Puis je vois passer une robe que je devine n’étant pas trop longue, s’engouffrer par la porte de la maison. Je les entends alors rigoler dans l’escalier avant de les apercevoir en haut des dernières marches.
Mon regard se pose rapidement sur Carine, je lui fais un sourire et lui dit bonjour rapidement avant de me concentrer sur Sandrine. Je lui dis bonjour également et me présente tout aussi rapidement avant de la regarder de haut en bas aussi vite que possible pour ne pas paraitre malpoli.
La première chose que je remarque chez elle, et je m’en excuse, est le volume que prend sa poitrine sous sa robe serrée au léger décolleté. Je peux facilement deviner les contours de sa lingerie qui me semble vraiment bien remplie. Je pense avoir en face de moi un bonnet D voire E. Je remonte rapidement mon regard sur son visage et suis sous le charme de son sourire, à la fois timide et chaleureux.
Elle est Brune, les cheveux mi longs, les yeux noisette, le visage un peu rond. Des joues légèrement rosies par la situation. Un maquillage présent mais qui se veut discret. Carine déverrouille et ouvre la porte de l’appartement et fait rentrer Sandrine la première. Puis, par galanterie, comme à mon habitude, je fais signe à Carine de rentrer. Mon regard se pose immédiatement sur ce mini short, qui est, à mon avis, presque trop court pour un rendez-vous professionnel. Mais quelles fesses ! Je pense sincèrement que sa cambrure n’est pas naturelle et qu’elle le fait exprès pour me provoquer. Mais je rêve surement en prenant mes désirs pour la réalité. Puis mon regard se pose sur Sandrine qui est cette fois de dos. Je la regarde en la détaillant pendant que mesdames enchainent les questions réponses sur l’appartement, la situation géographique et les détails techniques. Je note sa taille, bien marquée puis mon regard descend sur ses reins puis ses fesses. Son bassin est large et les fesses très rebondies. Je me demande si elle aussi ne se cambre pas également volontairement. La robe descend ensuite jusqu’à ces genoux. Je n’aurais donc pas le plaisir d’admirer ses cuisses aujourd’hui. J’essaye d’apercevoir la marque de la lingerie au travers de la robe quand une tape sur l’épaule me sort de mes pensées : « Matthieu, sais-tu quand ‘appartement sera relié à la fibre ? ». Je réponds en reprenant mes esprits que j’attendais d’avoir un locataire avant de faire les démarches pour l’installation mais que je vais m’en occupée dés ce soir si elle prend l’appartement. Carine attend quelques secondes avant de me répondre avec un petit sourire en coin. A-t-elle vu ce que je regardais ? la honnnnnte. Je sans mes joues rougirent.
La visite se termine ainsi et Sandrine signe le bail immédiatement et m’annonce vouloir emménager dans 2 jours si je suis d’accord. Carine, me regarde en me disant que cela ne devrait pas poser de problème et elle me fait un clin d’œil. Quel culot elle a celle-là ! En remontant dans sa voiture, Sandrine soulève légèrement sa robe pour s’installer confortablement me laissant voir un bref instant ses jolie cuisses que j’imagine tout de suite très douces. Nous en restons là et chacun retourne alors chez soi. Sandrine pour finaliser ses cartons, Carine pour enregistrer le bail et faire les dernières démarches administratives et moi pour contacter un opérateur et demander l’installation de la fibre. Ce soir-là, dans mon lit, malgré le minishort de Carine, mes pensées étaient toutes pour Sandrine et pour ses jolies formes. Et je m’endormi paisiblement avec un seul regret, celui de ne pas savoir ce qu’elle portait sous sa robe.
Deux jours plus tard, comme convenu, un petit camion de déménagement arriva accompagné de pas moins de trois voitures. Se sont surement les amis et la famille de Sandrine qui viennent l’aider à emménager. En deux heures de temps, cela est déjà fini. Le camion s’en va et les voitures restent pour, je l’imagine, fêter cet emménagement. Je sors plusieurs fois pour essayer de l’apercevoir mais je ne la vois pas. Après tout je ne suis plus que le « proprio ». Il n’y aura maintenant plus beaucoup de raison pour qu’elle vienne me parler. J’aurais dû couper la vanne d’arrivée d’eau. Cela m’aura permis de l’apercevoir une nouvelle fois. Mon téléphone sonne. « Service client SFR, je vous appel concernant votre demande pour l’installation de la fibre … ». La conversation dure 5 minutes et je prends rendez-vous pour le mois suivant. Je compose alors le numéro de Sandrine, mais avant de taper le dernier chiffre, je repose le téléphone. C’était l’occasion d’aller la voir.
Je reste dernière sa porte quelques minutes pour essayer d’entendre les teneurs des discussions mais je n’entends rien d’intelligible. Je frappe. Quelques secondes plus tard la porte s’ouvre, c’est elle. Elle me regarde dans les yeux « nous faisons trop de bruit ? ». J’avale ma salive et me force de ne pas regarder plus bas et lui répond que non. Je lui explique la raison de ma visite et elle me remercie chaleureusement et m’invite à entrer pour boire une coupe de champagne. Un peu mal a l’aise je lui dis que je ne veux pas la déranger et qu’elle a mieux à faire avec sa famille et ses amis mais elle me répond avec un peu de tristesse dans la voix que sa famille se déplace rarement pour elle, que se sont quelques amis et quelques collègues. Nous sommes en juin il fait un petit peu chaud. Déménagement oblige elle ne porte rien de très sexy. Simplement un top à bretelle et un short moulant assez long. Quelle poitrine ! Pas énorme ni vulgaire mais volumineuse. Mon esprit essaye d’imaginer cette belle poitrine sous le même teeshirt mais sans aucun sous vêtement … et le bas ? cette fois le short me laisse apercevoir les contours de ses sous-vêtements. Je vois clairement la forme d’un shorty tanga. Mon préféré. Je trouve que cela fait ressortir ses belles fesses rebondies que j’adorerai toucher, caresser … stop ! n’allons pas plus loin dans les pensées coquines car je risquerai de le regretter. Mon jean est trop moulant. Cela risque de se voir rapidement. Elle me tend un verre de champagne que je prends avec plaisir puis me présente à ses amis. Nous discutons une bonne demi-heure puis je décide de m’en aller car à l’origine je ne suis pas invité. En partant elle me demande si je l’autorise à m’appeler en cas de besoin ou si je préfère qu’elle passe par l’agence. Je lui réponds avec un brin d’humour dans la voix que bien que Carine soit très agréable, je préfère qu’elle m’appel directement. Elle rougi et me dit merci avant de me souhaiter une bonne soirée.
Les semaines suivantes furent ponctuées de messages, toujours à son initiative, pour avoir un peu d’aide. Cela allait du montage d’un nouveau meuble au prêt d’outillage spécifique. Les échanges sont toujours brefs, limités au strict minimum mais avec un enthousiasme de sa part décelable dans sa voix et son sourire. Je ne manquais pas, durant mes visites, aussi brèves soit elles, de la regarder et l’observer dans les moindres détails. Sa démarche, son attitude chaleureuse et sexy et toujours, des vêtements moulants mettant en avant ses formes plus qu’agréables à regarder.
Jusqu’au jour, ou, elle me demande de passer la voir car elle avait un problème et que je pourrai peut-être l’aider à le résoudre. Mes pensées vont tout de suite vers un problème dans l’appartement. Pourvu que ce ne soit pas un dégât des eaux ou un autre problème grave. Puis, mon esprit divague légèrement et vient à penser que peut être, elle a besoin de mon avis dans le choix de ses sous-vêtements et que je vais donc voir un joli défilé. Il ne faut pas rêver !
Je sonne à sa porte et elle m’invite à entrer. Elle n’est pas en sous vêtement et il n’y a pas de grande flaque d’eau dans la cuisine. Me voilà partiellement rassuré. Mais que veut-elle ? « L’aide que j’ai à te demander n’est pas facile à exprimer, aussi, je te saurais gré de me laisser finir avant de répondre ». Je la regarde, droit dans les yeux et elle commence. « Alors voilà, cela va surement te sembler très étrange mais, je suis invitée au mariage de ma cousine dans deux semaines. Je ne m’entends pas forcément bien avec ma famille. Entre les cousins-cousines jaloux et mes tantes qui n’arrêtent pas de me dire que si je reste seule je vais finir bonne-sœur, c’est compliqué. La dernière fois que je les ai vues, elles m’ont même demandée si j’étais lesbienne. Bref, non je ne le suis pas. J’ai un bon travail, une situation confortable mais je ne leur ai jamais présenté le moindre petit ami. » « En quoi puis je t’aider ? » « J’y arrive, me dit elle en rougissant de plus en plus, quand elles m’ont demandé si j’étais lesbienne, je leur ai dit que non et que je viendrais accompagnée d’un homme au mariage de Sarah, et c’est là que je souhaiterais que tu interviennes continu-t-elle, je voulais savoir si il t’était possible de m’accompagner et de te faire passer pour mon petit ami à ce mariage. » Je reste sans voix pendant de longues secondes puis je fini par lui dire : « Euuuh, oui, enfin, pourquoi pas, je dois y réfléchir mais je pense que cela peut se faire ». Elle me regarda avec un large sourire et nous continuons la discussion en parlant des détails. Elle me dit que le mariage est sur deux jours, que nous serons logés dans une grande chambre sur les lieux du mariage, qu’elle est déjà réservée par la famille. Qu’il faut être habillé, couleur lilas pour les femmes et en costume beige avec cravate pour les hommes. Je la rassure donc en lui disant que ce n’est pas un problème et que j’ai déjà cela dans ma penderie. Elle me propose un café et après nous être mis d’accord sur la date et l’heure du départ, je retourne chez moi. Je suis très étonné par cette demande, originale. Mais cela va me permettre de mieux faire connaissance et d’échanger dans un contexte différent de celui de locataire à propriétaire. Le soir même, je décide de faire le tour de ma penderie pour vérifier si le costume que je pensais porter était toujours à ma taille. Je ne l’ai pas mis depuis longtemps. Après l’avoir mis, pantalon beige, ceinture marron, chemise blanche et cravate noir, je me trouve plutôt séduisant. Il me va encore et je trouve qu’il met ma silhouette bien en valeur. Je décide de prendre la pose, devant le miroir, de prendre une photo et de l’envoyer à Sandrine. Quelques secondes plus tard je reçoi la réponse. « Parfait, encore merci, j’espère que je ne ferais pas trop tache à coté de toi, tu es très charmant ! bonne soirée ». Je ne m’attendais pas à ce genre de réponse et j’espéré, secrètement, qu’elle me répondrait avec une photo de sa tenue mais c’est raté, tant pis. Je la verrais le jour du mariage.
Le jour « J » arriva, je l’attendais dans ma voiture devant chez elle. Une belle voiture coupée de marque allemande de couleur gris foncé. Nous avions convenu de ne pas porter les habits du mariage pour le trajet car, bien qu’il fût court, nous ne souhaitions pas froisser nos habits. Elle arriva, avec sa grande valise, habillée décontractée mais avec goût comme à son habitude. Une belle robe d’été fluide, qui arrive à mi-cuisse avec un joli décolleté, ni trop plongeant ni trop petit. J’adore. Après avoir mis sa valise à côté de la mienne, je lui ouvre la porte et elle rigole en me disant « monsieur est gentleman ! ». Après une heure de route, à la regarder, en passant de ses cuisses à son décolleté, sans tourner la tête au travers des lunettes de soleil, nous arrivons dans le domaine. Sobre mais classe, avec un coin nuit composé d’une dizaine de chambres réservées à la famille habitant à plus de 50km. Nous prenons possession de notre chambre, un grand lit et un canapé lit nous attendait. Je savais donc que même si nous allons devoir partager la chambre, nous ne partagerons pas le même lit. Elle prit ses affaires et alla se changer dans la salle de bain pendant que je faisais de même dans la chambre. 20 minutes plus tard, elle sortit de la salle de bain, habillée d’une très belle robe longue, fendu sur un côté, assez haut sur la cuisse avec un très joli décolleté, plus profond que la petite robe d’été de tout à l’heure, les bras nus. Je la félicite pour le choix et elle tourne alors sur elle-même pour me montrer le dos. Dos nu, je comprends mieux alors pourquoi je n’apercevais pas les marques de son soutiens gorge sous cette robe moulante. Mais quelque chose me choqua. Sur ses fesses, toujours aussi belles et rebondies, la robe étant si fine et tendue à cet endroit, que l’on pouvait voir la marque de sa culotte et cela, je trouve gâchait tout. Comment lui dire sans la vexer. « Tu es ravissante, vraiment … mais … ». « Je sais ce que tu va dire, j’ai oublié d’amener mes sous-vêtements discrets … j’ai pensé au cache-tétons mais j’ai oublié d’amener mon string me dit elle avec un petit sanglot dans la voix, ça se voit tant que ça ? » Je lui répondis que oui et que si elle voulait on pouvait aller en acheter vite fait d’un coup de voiture mais il était trop tard, le temps de faire l’aller-retour on risquait de manquer le début de la cérémonie. Je lui proposais donc une solution : « tu n’as qu’à l’enlever, ça sera notre petit secret et personne ne le remarquera ». Elle me regarda, bouche bée, mais compris que c’était la seule solution. Sans dire un mot retourna dans la salle de bain et ressortie 2 minutes plus tard. Les joues rosies, et tourna de nouveau sur elle-même. « Wow, magnifique, tout est parfait, de la tête aux pieds » et on rigola. De mon côté, l’imaginant nue sous sa robe aussi fine ne manqua pas de provoquer en moi une érection que je commençais à avoir du mal à dissimuler. Car, autant mon physique est plutôt classique autant de ce côté-là, j’ai la chance d’être au-dessus de la moyenne, en largeur et en longueur. Elle jeta un regard vers mon entrejambe et je rougis à mon tour. Elle me dit avec un petit sourire « n’oubli pas de fermer ta veste » chose que je fis avant de me diriger vers l’entrée de la chambre et d’ouvrir la porte.
Après la cérémonie civile et le vin d’honneur, après avoir échangé des formalités d’usage avec la famille nous nous dirigeons vers la salle de repas qui sera également la salle de danse. Une très belle salle décorée avec goût. Sandrine s’absenta quelques instants et mon téléphone vibra. Elle venait de m’envoyer un message. « Matthieu, si cela ne te dérange pas, il faudrait que l’on se comporte comme un couple pour éviter d’éveiller les soupçons », « Je suis d’accord avec toi, mais jusqu’où puis je aller ? » elle me répondit « jusqu’où il faut pour que nous soyons le plus crédible possible ». Mon cœur s’emballa et je la vis arriver vers moi. Elle s’avança, doucement et posa un petit baiser sur ma bouche. Nous nous dirigeons ensuite vers les tables pour trouver notre place et nous passons à coté de ces fameuses cousines qui étaient, je le pense, en train de parler de nous vu le silence engendré par notre présence. On leur tourne le dos, je décide alors de frapper en grand coup en posant ma main dans le dos de Sandrine puis en descendant doucement jusqu’à atteindre ses fesses. Après quelques secondes de caresses légères, je saisis une fesse plus fermement. Je sais que les cousines sont en train de nous regarder car pendant que je profite de la situation et lui caresse les fesses, elles ne parlent plus. Le contact de ma main sur cette robe et sur ces fesses nues provoque en moi un inconfort au niveau de mon boxer. Avec mon autre main je replace discrètement mes vêtements pour limiter cet inconfort et Sandrine me regarde faire et me sourit. Nous passons à table. Nous sommes autour d’une table ronde dos au mur avec des amis de la mariée, plutôt sympa. Et nous passons un agréable moment de discussion et d’échange. Après quelques verres de vin, je ne peux m’empêcher de regarder la cuisse dénudée de Sandrine à mes côtés, la fente de sa robe l’ayant presque libérée complétement. Je pose ma main dessus, elle ne bouge pas, se laisse faire. Après quelques secondes sans bouger je caresse doucement sa cuisse, en partant du genou et en remontant à chaque fois un peu plus haut jusqu’à ce qu’un geste de sa part me fasse comprendre de ne pas aller plus loin. Mais ce geste n’arriva pas. Je continuais doucement mes caresses pendant que nous discutions puis je remonte encore plus haut et passe mon petit doigt sous sa robe. Toujours rien, aucun geste de sa part. Je continue encore mon ascension et sent rapidement la chaleur du bout des doigts, je ne pu m’empêcher d’aller plus loin, elle bougea un peu pour mieux s’installer et écarte légèrement les cuisses. Je remonte alors ma main jusqu’à son sexe chaud et déjà humide. De mon index je caresse doucement ses lèvres chaudes, je remonte doucement le long de sa fente jusqu’à son clito que je sens gonflé. Dès que mon doigt le touche elle a un léger sursaut et elle écarte encore plus les jambes. Elle pose sa main sur ma cuisse et remonte également jusqu’à mon entre jambe. Saisi mon sexe dur au travers de mes habits et le caresse doucement. Cela a pour effet de m’exciter encore plus et je commence à la pénétrer doucement, à la doigter. Elle est complétement trempée et commence à avoir le souffle rapide. Après quelques secondes de ce traitement je retire ma main et essaye de penser à autre chose avant que nos agissements ne se fasse remarquer. Après avoir repris nos esprits je l’invite à danser. On se retrouve sur la piste, l’un en face de l’autre, je la regarde dans les yeux et pose mes mains sur ses hanches, elle se rapproche de moi, se colle à moi et nous commençons à danser sur ce slow très agréable. Je sens son corps chaud contre le mien, son corps ondule au rythme de la musique, mon excitation n’est pas retombée, loin de là, je bande maintenant outrageusement et le mouvement de son corps contre moi ne fait qu’accentuer mon excitation de seconde en seconde. Elle ne peut pas ne pas s’en rendre compte. Je plonge mon regard dans son décolleté et profite du spectacle en posant mes deux mains sur ces fesses bombées. Sentir son corps nu sous ce fin tissu est un supplice, je veux plus, j’ai envi de plus, je veux la voir nue, la caresser, embrasser chaque partie de son corps, la lécher puis la posséder, la pénétrer.
Je lui prends la main et l’amène en dehors de la piste de danse, elle se laisse faire, elle doit avoir compris ce que je veux. Nous sortons de la salle et nous dirigeons vers le bâtiment des chambres. Elle me retient et m’attire vers un petit bosquet à 50 mètres de là en me faisant un clin d’œil. Je me laisse à mon tour conduire vers cette zone sombre sans aucun éclairage. Nous nous retrouvons au milieu de grands arbres. Elle me pousse doucement contre le plus gros et ouvre ma veste. Elle pose sa main sur mon sexe tendu à son maximum et le caresse doucement. Elle ouvre la boucle de ma ceinture, déboutonne mon pantalon et le fait tomber sur mes chevilles. Reprend ses caresses par-dessus mon boxer gonflé. Puis elle glisse sa main à l’intérieur, de petit vas et viens, mon souffle s’accélère, c’est tellement bon, je suis à sa merci. Elle descend mon boxer qui rejoint mon pantalon et prend mon sexe de ses deux petites mains et fait de petits va et viens, tout doucement, comme je les aime. Elle y dépose un baiser avant de le prendre en bouche. Mes jambes commencent à trembler tellement c’est bon. A cela se mêle la peur de se faire surprendre. Elle me suce doucement tout en me masturbant avec ses deux mains expertes. C’est tellement bon, elle accélère doucement, je comprends alors qu’elle veut aller jusqu’au bout la maintenant sous ce grand chêne, je me laisse faire, me laisse aller et au bout de quelques minutes de se traitement je sens que je vais jouir, elle me sent venir, elle sort mon sexe de sa bouche chaude et humide, continue les mouvements avec ses mains et je joui. Mon sperme sort en saccade et fini sur le lit de feuille morte au sol. Elle me regarde et nous rigolons ensemble. Je remonte mon boxer, mon pantalon et remet mes habits en ordre. En repartant je lui mets une fessée, peu étre un peu trop forte, la claque résonne dans le bosquet. En arrivant à l’entrée de la salle nous croisons le groupe de cousines qui nous regardent l’air étonné, Sandrine leur fait alors un clin d’œil malicieux.
La fin de soirée est plus calme, nous dansons en passant d’un slow langoureux à une musique des année 90. Vers 5h du matin, nous décidons, avec la majorité des invités, d’aller nous coucher. Dans l’escalier qui mène à notre chambre, Sandrine est devant moi, elle amplifie volontairement le mouvement de ses fesses de gauche à droite. Nous arrivons devant la chambre, elle met la clé dans la serrure, je me plaque contre elle et lui embrasse le cou, elle ouvre la porte, je la pousse sur le lit puis referme la porte derrière moi. « Je te dois une petite faveur » lui dis-je avec un grand sourire. Elle s’allonge sur le dos, je me mets à genou devant le lit et lui embrasse les genoux, les cuisses, je relève doucement sa robe et dévoile son sexe, complétement épilé, tellement beau, luisant d’excitation. J’écarte ses jambes doucement, embrasse l’intérieur de ses cuisses et remonte jusqu’à sa fente de plaisir. Je la lèche doucement de bas en haut, puis je suce lentement son clito. Je joue avec ma langue. Je l’entends gémir au rythme de sa respiration. J’ai envie de la faire jouir comme elle m’a fait jouir quelques heures plus tôt. Tout en continuant avec ma langue, je la pénètre avec un doigt, elle est trempée, elle coule littéralement je fais des vas et viens de plus en plus vite. Puis je mets deux doigts… Au bout de quelques minutes elle se cambre et jouie dans un long cri de plaisir. Je me relève la regarde, elle est belle, fatiguée, elle reprend son souffle, doucement, mais je n’ai pas fini. Je me déshabille complétement, mon sexe est dure et tendu. Je me penche au-dessus d’elle, fait descendre les bretelles de sa robe le long de ses épaules, libérant ses beaux gros seins. Je retire complétement sa robe. J’arrache ensuite l’un après l’autre les caches tétons que je vois maintenant pointer de désir. J’écarte doucement ses cuisses, elle me regarde légèrement inquiète. Puis, je me place à l’entrée de sa chatte luisante d’excitation et je la pénètre de tout mon long, elle gémi longuement. Je commence les va et viens, à ce moment-là, il n’y a pas d’amour, mais uniquement de l’excitation animal. « Vas-y baise moi ! ». Je commence alors à la pilonner, de plus en plus vite, de plus en plus fort, avec des allers-retours réguliers. Nos corps claques l’un contre l’autre. Je la sens chaude m’engloutir avec appétit. Je la baise encore plus fort, jusqu’à ce que je sente que je vais jouir, je commence à gémir également elle me regarde droit dans les yeux et au moment où je souhaiterai me retirer elle me saisi par les fesses pour me maintenir en elle. Je joui en elle, au font de sa chatte trempée. En gémissant. Cela lui provoque un orgasme et elle se contracte autour de ma bite gonflée. Je me retire ensuite doucement et m’allonge à ses côtés et m’endort jusqu’au petit matin.
A mon réveille elle est déjà douchée, habillée, valise faite. Je fais de même et nous prenons la route du retour sans assister au retour de noce. Non sans faire une longue pause sur le bord de la route.
Après une période propice aux déplacements professionnels à l’étranger et aux semaines de 50 heures de travail intense, je me retrouve en congés d’été chez moi pour un repos plus que nécessaire.
Dès le premier jour, je reçois un appel de Carine, l’agent immobilier en charge de mes appartements, me disant, avec une joie non dissimulée, qu’elle a enfin trouvé un locataire. Carine est une femme très charmante, entre 35 et 40 ans, grande, avec des formes, surtout ses fesses, à faire rougir toute personne attirée par la gent féminine. Elle est faussement timide et toujours très souriante. J’avoue avec une légère honte, avoir choisi son agence plus par attirance pour Carine que pour la qualité et le service proposé. Carine me fait parvenir le dossier du candidat pour l’appartement en me précisant que c’est un bon dossier. En le consultant je me rends compte que le candidat est en faite une candidate, une femme de 42 ans, célibataire, sans enfant avec une bonne situation professionnelle. Secrétaire de direction dans une entreprise que je connais de nom. A la lecture des pièces jointes, je ne vois aucune raison de refuser un tel dossier. Je réponds donc à Carine que c’est OK pour moi et je fini mon message par une petite touche d’humour : « … vous serez enfin débarrassé de moi ». Elle me répond, quelques minutes plus tard, que je suis loin d’être le client le plus désagréable, au contraire et que Madame Sandrine Dubois souhaite faire une dernière visite et me rencontrer avant de signer le bail de location. Je lui réponds que je suis en congés et donc disponible quand elle le souhaite. Nous nous retrouvons donc le soir même à 18h30 devant la porte de l’appartement.
J’arrive, comme à mon habitude, avec 5 minutes d’avance. Par la fenêtre du palier de l’appartement donnant sur l’aire de stationnement, mon esprit divague et essaye d’imaginer le physique que Sandrine peut avoir. Je ne l’imagine ni trop grande, ni trop mince, avec de jolies formes, des fesses bien rebondies que je pourrais admirées quand je la croiserais dans la rue ou quand elle m’appellera le soir tard pour me demander de l’aide pour déboucher un évier … Stooop, si ça se trouve elle va être à l’opposé de ce que j’apprécie chez une femme : grande, filiforme, sans aucun charme. La vue de deux voitures se garant sur les deux places de stationnement disponibles au pied de l’immeuble me ramène rapidement à la réalité. C’est l’heure du verdict. La première à sortir de sa voiture est Carine. Toujours aussi belle. Je rêve ou elle a mis un mini short ? il va falloir que je me concentre pour ne pas passer mon temps à regarder ses fesses, sinon je vais passer pour quoi ? Je suis conscient que je suis quelqu’un qui pourrai vite être qualifié de voyeur ou même d’obsédé mais j’adore regarder, admirer les jolies femmes. Puis la porte de la seconde voiture s’ouvre, je plisse légèrement les yeux pour essayer de mieux la voir tout en me disant que je suis stupide, dans 2 minutes elle sera juste en face de moi mais je ne peux m’empêcher d’essayer de la détailler. Puis je vois passer une robe que je devine n’étant pas trop longue, s’engouffrer par la porte de la maison. Je les entends alors rigoler dans l’escalier avant de les apercevoir en haut des dernières marches.
Mon regard se pose rapidement sur Carine, je lui fais un sourire et lui dit bonjour rapidement avant de me concentrer sur Sandrine. Je lui dis bonjour également et me présente tout aussi rapidement avant de la regarder de haut en bas aussi vite que possible pour ne pas paraitre malpoli.
La première chose que je remarque chez elle, et je m’en excuse, est le volume que prend sa poitrine sous sa robe serrée au léger décolleté. Je peux facilement deviner les contours de sa lingerie qui me semble vraiment bien remplie. Je pense avoir en face de moi un bonnet D voire E. Je remonte rapidement mon regard sur son visage et suis sous le charme de son sourire, à la fois timide et chaleureux.
Elle est Brune, les cheveux mi longs, les yeux noisette, le visage un peu rond. Des joues légèrement rosies par la situation. Un maquillage présent mais qui se veut discret. Carine déverrouille et ouvre la porte de l’appartement et fait rentrer Sandrine la première. Puis, par galanterie, comme à mon habitude, je fais signe à Carine de rentrer. Mon regard se pose immédiatement sur ce mini short, qui est, à mon avis, presque trop court pour un rendez-vous professionnel. Mais quelles fesses ! Je pense sincèrement que sa cambrure n’est pas naturelle et qu’elle le fait exprès pour me provoquer. Mais je rêve surement en prenant mes désirs pour la réalité. Puis mon regard se pose sur Sandrine qui est cette fois de dos. Je la regarde en la détaillant pendant que mesdames enchainent les questions réponses sur l’appartement, la situation géographique et les détails techniques. Je note sa taille, bien marquée puis mon regard descend sur ses reins puis ses fesses. Son bassin est large et les fesses très rebondies. Je me demande si elle aussi ne se cambre pas également volontairement. La robe descend ensuite jusqu’à ces genoux. Je n’aurais donc pas le plaisir d’admirer ses cuisses aujourd’hui. J’essaye d’apercevoir la marque de la lingerie au travers de la robe quand une tape sur l’épaule me sort de mes pensées : « Matthieu, sais-tu quand ‘appartement sera relié à la fibre ? ». Je réponds en reprenant mes esprits que j’attendais d’avoir un locataire avant de faire les démarches pour l’installation mais que je vais m’en occupée dés ce soir si elle prend l’appartement. Carine attend quelques secondes avant de me répondre avec un petit sourire en coin. A-t-elle vu ce que je regardais ? la honnnnnte. Je sans mes joues rougirent.
La visite se termine ainsi et Sandrine signe le bail immédiatement et m’annonce vouloir emménager dans 2 jours si je suis d’accord. Carine, me regarde en me disant que cela ne devrait pas poser de problème et elle me fait un clin d’œil. Quel culot elle a celle-là ! En remontant dans sa voiture, Sandrine soulève légèrement sa robe pour s’installer confortablement me laissant voir un bref instant ses jolie cuisses que j’imagine tout de suite très douces. Nous en restons là et chacun retourne alors chez soi. Sandrine pour finaliser ses cartons, Carine pour enregistrer le bail et faire les dernières démarches administratives et moi pour contacter un opérateur et demander l’installation de la fibre. Ce soir-là, dans mon lit, malgré le minishort de Carine, mes pensées étaient toutes pour Sandrine et pour ses jolies formes. Et je m’endormi paisiblement avec un seul regret, celui de ne pas savoir ce qu’elle portait sous sa robe.
Deux jours plus tard, comme convenu, un petit camion de déménagement arriva accompagné de pas moins de trois voitures. Se sont surement les amis et la famille de Sandrine qui viennent l’aider à emménager. En deux heures de temps, cela est déjà fini. Le camion s’en va et les voitures restent pour, je l’imagine, fêter cet emménagement. Je sors plusieurs fois pour essayer de l’apercevoir mais je ne la vois pas. Après tout je ne suis plus que le « proprio ». Il n’y aura maintenant plus beaucoup de raison pour qu’elle vienne me parler. J’aurais dû couper la vanne d’arrivée d’eau. Cela m’aura permis de l’apercevoir une nouvelle fois. Mon téléphone sonne. « Service client SFR, je vous appel concernant votre demande pour l’installation de la fibre … ». La conversation dure 5 minutes et je prends rendez-vous pour le mois suivant. Je compose alors le numéro de Sandrine, mais avant de taper le dernier chiffre, je repose le téléphone. C’était l’occasion d’aller la voir.
Je reste dernière sa porte quelques minutes pour essayer d’entendre les teneurs des discussions mais je n’entends rien d’intelligible. Je frappe. Quelques secondes plus tard la porte s’ouvre, c’est elle. Elle me regarde dans les yeux « nous faisons trop de bruit ? ». J’avale ma salive et me force de ne pas regarder plus bas et lui répond que non. Je lui explique la raison de ma visite et elle me remercie chaleureusement et m’invite à entrer pour boire une coupe de champagne. Un peu mal a l’aise je lui dis que je ne veux pas la déranger et qu’elle a mieux à faire avec sa famille et ses amis mais elle me répond avec un peu de tristesse dans la voix que sa famille se déplace rarement pour elle, que se sont quelques amis et quelques collègues. Nous sommes en juin il fait un petit peu chaud. Déménagement oblige elle ne porte rien de très sexy. Simplement un top à bretelle et un short moulant assez long. Quelle poitrine ! Pas énorme ni vulgaire mais volumineuse. Mon esprit essaye d’imaginer cette belle poitrine sous le même teeshirt mais sans aucun sous vêtement … et le bas ? cette fois le short me laisse apercevoir les contours de ses sous-vêtements. Je vois clairement la forme d’un shorty tanga. Mon préféré. Je trouve que cela fait ressortir ses belles fesses rebondies que j’adorerai toucher, caresser … stop ! n’allons pas plus loin dans les pensées coquines car je risquerai de le regretter. Mon jean est trop moulant. Cela risque de se voir rapidement. Elle me tend un verre de champagne que je prends avec plaisir puis me présente à ses amis. Nous discutons une bonne demi-heure puis je décide de m’en aller car à l’origine je ne suis pas invité. En partant elle me demande si je l’autorise à m’appeler en cas de besoin ou si je préfère qu’elle passe par l’agence. Je lui réponds avec un brin d’humour dans la voix que bien que Carine soit très agréable, je préfère qu’elle m’appel directement. Elle rougi et me dit merci avant de me souhaiter une bonne soirée.
Les semaines suivantes furent ponctuées de messages, toujours à son initiative, pour avoir un peu d’aide. Cela allait du montage d’un nouveau meuble au prêt d’outillage spécifique. Les échanges sont toujours brefs, limités au strict minimum mais avec un enthousiasme de sa part décelable dans sa voix et son sourire. Je ne manquais pas, durant mes visites, aussi brèves soit elles, de la regarder et l’observer dans les moindres détails. Sa démarche, son attitude chaleureuse et sexy et toujours, des vêtements moulants mettant en avant ses formes plus qu’agréables à regarder.
Jusqu’au jour, ou, elle me demande de passer la voir car elle avait un problème et que je pourrai peut-être l’aider à le résoudre. Mes pensées vont tout de suite vers un problème dans l’appartement. Pourvu que ce ne soit pas un dégât des eaux ou un autre problème grave. Puis, mon esprit divague légèrement et vient à penser que peut être, elle a besoin de mon avis dans le choix de ses sous-vêtements et que je vais donc voir un joli défilé. Il ne faut pas rêver !
Je sonne à sa porte et elle m’invite à entrer. Elle n’est pas en sous vêtement et il n’y a pas de grande flaque d’eau dans la cuisine. Me voilà partiellement rassuré. Mais que veut-elle ? « L’aide que j’ai à te demander n’est pas facile à exprimer, aussi, je te saurais gré de me laisser finir avant de répondre ». Je la regarde, droit dans les yeux et elle commence. « Alors voilà, cela va surement te sembler très étrange mais, je suis invitée au mariage de ma cousine dans deux semaines. Je ne m’entends pas forcément bien avec ma famille. Entre les cousins-cousines jaloux et mes tantes qui n’arrêtent pas de me dire que si je reste seule je vais finir bonne-sœur, c’est compliqué. La dernière fois que je les ai vues, elles m’ont même demandée si j’étais lesbienne. Bref, non je ne le suis pas. J’ai un bon travail, une situation confortable mais je ne leur ai jamais présenté le moindre petit ami. » « En quoi puis je t’aider ? » « J’y arrive, me dit elle en rougissant de plus en plus, quand elles m’ont demandé si j’étais lesbienne, je leur ai dit que non et que je viendrais accompagnée d’un homme au mariage de Sarah, et c’est là que je souhaiterais que tu interviennes continu-t-elle, je voulais savoir si il t’était possible de m’accompagner et de te faire passer pour mon petit ami à ce mariage. » Je reste sans voix pendant de longues secondes puis je fini par lui dire : « Euuuh, oui, enfin, pourquoi pas, je dois y réfléchir mais je pense que cela peut se faire ». Elle me regarda avec un large sourire et nous continuons la discussion en parlant des détails. Elle me dit que le mariage est sur deux jours, que nous serons logés dans une grande chambre sur les lieux du mariage, qu’elle est déjà réservée par la famille. Qu’il faut être habillé, couleur lilas pour les femmes et en costume beige avec cravate pour les hommes. Je la rassure donc en lui disant que ce n’est pas un problème et que j’ai déjà cela dans ma penderie. Elle me propose un café et après nous être mis d’accord sur la date et l’heure du départ, je retourne chez moi. Je suis très étonné par cette demande, originale. Mais cela va me permettre de mieux faire connaissance et d’échanger dans un contexte différent de celui de locataire à propriétaire. Le soir même, je décide de faire le tour de ma penderie pour vérifier si le costume que je pensais porter était toujours à ma taille. Je ne l’ai pas mis depuis longtemps. Après l’avoir mis, pantalon beige, ceinture marron, chemise blanche et cravate noir, je me trouve plutôt séduisant. Il me va encore et je trouve qu’il met ma silhouette bien en valeur. Je décide de prendre la pose, devant le miroir, de prendre une photo et de l’envoyer à Sandrine. Quelques secondes plus tard je reçoi la réponse. « Parfait, encore merci, j’espère que je ne ferais pas trop tache à coté de toi, tu es très charmant ! bonne soirée ». Je ne m’attendais pas à ce genre de réponse et j’espéré, secrètement, qu’elle me répondrait avec une photo de sa tenue mais c’est raté, tant pis. Je la verrais le jour du mariage.
Le jour « J » arriva, je l’attendais dans ma voiture devant chez elle. Une belle voiture coupée de marque allemande de couleur gris foncé. Nous avions convenu de ne pas porter les habits du mariage pour le trajet car, bien qu’il fût court, nous ne souhaitions pas froisser nos habits. Elle arriva, avec sa grande valise, habillée décontractée mais avec goût comme à son habitude. Une belle robe d’été fluide, qui arrive à mi-cuisse avec un joli décolleté, ni trop plongeant ni trop petit. J’adore. Après avoir mis sa valise à côté de la mienne, je lui ouvre la porte et elle rigole en me disant « monsieur est gentleman ! ». Après une heure de route, à la regarder, en passant de ses cuisses à son décolleté, sans tourner la tête au travers des lunettes de soleil, nous arrivons dans le domaine. Sobre mais classe, avec un coin nuit composé d’une dizaine de chambres réservées à la famille habitant à plus de 50km. Nous prenons possession de notre chambre, un grand lit et un canapé lit nous attendait. Je savais donc que même si nous allons devoir partager la chambre, nous ne partagerons pas le même lit. Elle prit ses affaires et alla se changer dans la salle de bain pendant que je faisais de même dans la chambre. 20 minutes plus tard, elle sortit de la salle de bain, habillée d’une très belle robe longue, fendu sur un côté, assez haut sur la cuisse avec un très joli décolleté, plus profond que la petite robe d’été de tout à l’heure, les bras nus. Je la félicite pour le choix et elle tourne alors sur elle-même pour me montrer le dos. Dos nu, je comprends mieux alors pourquoi je n’apercevais pas les marques de son soutiens gorge sous cette robe moulante. Mais quelque chose me choqua. Sur ses fesses, toujours aussi belles et rebondies, la robe étant si fine et tendue à cet endroit, que l’on pouvait voir la marque de sa culotte et cela, je trouve gâchait tout. Comment lui dire sans la vexer. « Tu es ravissante, vraiment … mais … ». « Je sais ce que tu va dire, j’ai oublié d’amener mes sous-vêtements discrets … j’ai pensé au cache-tétons mais j’ai oublié d’amener mon string me dit elle avec un petit sanglot dans la voix, ça se voit tant que ça ? » Je lui répondis que oui et que si elle voulait on pouvait aller en acheter vite fait d’un coup de voiture mais il était trop tard, le temps de faire l’aller-retour on risquait de manquer le début de la cérémonie. Je lui proposais donc une solution : « tu n’as qu’à l’enlever, ça sera notre petit secret et personne ne le remarquera ». Elle me regarda, bouche bée, mais compris que c’était la seule solution. Sans dire un mot retourna dans la salle de bain et ressortie 2 minutes plus tard. Les joues rosies, et tourna de nouveau sur elle-même. « Wow, magnifique, tout est parfait, de la tête aux pieds » et on rigola. De mon côté, l’imaginant nue sous sa robe aussi fine ne manqua pas de provoquer en moi une érection que je commençais à avoir du mal à dissimuler. Car, autant mon physique est plutôt classique autant de ce côté-là, j’ai la chance d’être au-dessus de la moyenne, en largeur et en longueur. Elle jeta un regard vers mon entrejambe et je rougis à mon tour. Elle me dit avec un petit sourire « n’oubli pas de fermer ta veste » chose que je fis avant de me diriger vers l’entrée de la chambre et d’ouvrir la porte.
Après la cérémonie civile et le vin d’honneur, après avoir échangé des formalités d’usage avec la famille nous nous dirigeons vers la salle de repas qui sera également la salle de danse. Une très belle salle décorée avec goût. Sandrine s’absenta quelques instants et mon téléphone vibra. Elle venait de m’envoyer un message. « Matthieu, si cela ne te dérange pas, il faudrait que l’on se comporte comme un couple pour éviter d’éveiller les soupçons », « Je suis d’accord avec toi, mais jusqu’où puis je aller ? » elle me répondit « jusqu’où il faut pour que nous soyons le plus crédible possible ». Mon cœur s’emballa et je la vis arriver vers moi. Elle s’avança, doucement et posa un petit baiser sur ma bouche. Nous nous dirigeons ensuite vers les tables pour trouver notre place et nous passons à coté de ces fameuses cousines qui étaient, je le pense, en train de parler de nous vu le silence engendré par notre présence. On leur tourne le dos, je décide alors de frapper en grand coup en posant ma main dans le dos de Sandrine puis en descendant doucement jusqu’à atteindre ses fesses. Après quelques secondes de caresses légères, je saisis une fesse plus fermement. Je sais que les cousines sont en train de nous regarder car pendant que je profite de la situation et lui caresse les fesses, elles ne parlent plus. Le contact de ma main sur cette robe et sur ces fesses nues provoque en moi un inconfort au niveau de mon boxer. Avec mon autre main je replace discrètement mes vêtements pour limiter cet inconfort et Sandrine me regarde faire et me sourit. Nous passons à table. Nous sommes autour d’une table ronde dos au mur avec des amis de la mariée, plutôt sympa. Et nous passons un agréable moment de discussion et d’échange. Après quelques verres de vin, je ne peux m’empêcher de regarder la cuisse dénudée de Sandrine à mes côtés, la fente de sa robe l’ayant presque libérée complétement. Je pose ma main dessus, elle ne bouge pas, se laisse faire. Après quelques secondes sans bouger je caresse doucement sa cuisse, en partant du genou et en remontant à chaque fois un peu plus haut jusqu’à ce qu’un geste de sa part me fasse comprendre de ne pas aller plus loin. Mais ce geste n’arriva pas. Je continuais doucement mes caresses pendant que nous discutions puis je remonte encore plus haut et passe mon petit doigt sous sa robe. Toujours rien, aucun geste de sa part. Je continue encore mon ascension et sent rapidement la chaleur du bout des doigts, je ne pu m’empêcher d’aller plus loin, elle bougea un peu pour mieux s’installer et écarte légèrement les cuisses. Je remonte alors ma main jusqu’à son sexe chaud et déjà humide. De mon index je caresse doucement ses lèvres chaudes, je remonte doucement le long de sa fente jusqu’à son clito que je sens gonflé. Dès que mon doigt le touche elle a un léger sursaut et elle écarte encore plus les jambes. Elle pose sa main sur ma cuisse et remonte également jusqu’à mon entre jambe. Saisi mon sexe dur au travers de mes habits et le caresse doucement. Cela a pour effet de m’exciter encore plus et je commence à la pénétrer doucement, à la doigter. Elle est complétement trempée et commence à avoir le souffle rapide. Après quelques secondes de ce traitement je retire ma main et essaye de penser à autre chose avant que nos agissements ne se fasse remarquer. Après avoir repris nos esprits je l’invite à danser. On se retrouve sur la piste, l’un en face de l’autre, je la regarde dans les yeux et pose mes mains sur ses hanches, elle se rapproche de moi, se colle à moi et nous commençons à danser sur ce slow très agréable. Je sens son corps chaud contre le mien, son corps ondule au rythme de la musique, mon excitation n’est pas retombée, loin de là, je bande maintenant outrageusement et le mouvement de son corps contre moi ne fait qu’accentuer mon excitation de seconde en seconde. Elle ne peut pas ne pas s’en rendre compte. Je plonge mon regard dans son décolleté et profite du spectacle en posant mes deux mains sur ces fesses bombées. Sentir son corps nu sous ce fin tissu est un supplice, je veux plus, j’ai envi de plus, je veux la voir nue, la caresser, embrasser chaque partie de son corps, la lécher puis la posséder, la pénétrer.
Je lui prends la main et l’amène en dehors de la piste de danse, elle se laisse faire, elle doit avoir compris ce que je veux. Nous sortons de la salle et nous dirigeons vers le bâtiment des chambres. Elle me retient et m’attire vers un petit bosquet à 50 mètres de là en me faisant un clin d’œil. Je me laisse à mon tour conduire vers cette zone sombre sans aucun éclairage. Nous nous retrouvons au milieu de grands arbres. Elle me pousse doucement contre le plus gros et ouvre ma veste. Elle pose sa main sur mon sexe tendu à son maximum et le caresse doucement. Elle ouvre la boucle de ma ceinture, déboutonne mon pantalon et le fait tomber sur mes chevilles. Reprend ses caresses par-dessus mon boxer gonflé. Puis elle glisse sa main à l’intérieur, de petit vas et viens, mon souffle s’accélère, c’est tellement bon, je suis à sa merci. Elle descend mon boxer qui rejoint mon pantalon et prend mon sexe de ses deux petites mains et fait de petits va et viens, tout doucement, comme je les aime. Elle y dépose un baiser avant de le prendre en bouche. Mes jambes commencent à trembler tellement c’est bon. A cela se mêle la peur de se faire surprendre. Elle me suce doucement tout en me masturbant avec ses deux mains expertes. C’est tellement bon, elle accélère doucement, je comprends alors qu’elle veut aller jusqu’au bout la maintenant sous ce grand chêne, je me laisse faire, me laisse aller et au bout de quelques minutes de se traitement je sens que je vais jouir, elle me sent venir, elle sort mon sexe de sa bouche chaude et humide, continue les mouvements avec ses mains et je joui. Mon sperme sort en saccade et fini sur le lit de feuille morte au sol. Elle me regarde et nous rigolons ensemble. Je remonte mon boxer, mon pantalon et remet mes habits en ordre. En repartant je lui mets une fessée, peu étre un peu trop forte, la claque résonne dans le bosquet. En arrivant à l’entrée de la salle nous croisons le groupe de cousines qui nous regardent l’air étonné, Sandrine leur fait alors un clin d’œil malicieux.
La fin de soirée est plus calme, nous dansons en passant d’un slow langoureux à une musique des année 90. Vers 5h du matin, nous décidons, avec la majorité des invités, d’aller nous coucher. Dans l’escalier qui mène à notre chambre, Sandrine est devant moi, elle amplifie volontairement le mouvement de ses fesses de gauche à droite. Nous arrivons devant la chambre, elle met la clé dans la serrure, je me plaque contre elle et lui embrasse le cou, elle ouvre la porte, je la pousse sur le lit puis referme la porte derrière moi. « Je te dois une petite faveur » lui dis-je avec un grand sourire. Elle s’allonge sur le dos, je me mets à genou devant le lit et lui embrasse les genoux, les cuisses, je relève doucement sa robe et dévoile son sexe, complétement épilé, tellement beau, luisant d’excitation. J’écarte ses jambes doucement, embrasse l’intérieur de ses cuisses et remonte jusqu’à sa fente de plaisir. Je la lèche doucement de bas en haut, puis je suce lentement son clito. Je joue avec ma langue. Je l’entends gémir au rythme de sa respiration. J’ai envie de la faire jouir comme elle m’a fait jouir quelques heures plus tôt. Tout en continuant avec ma langue, je la pénètre avec un doigt, elle est trempée, elle coule littéralement je fais des vas et viens de plus en plus vite. Puis je mets deux doigts… Au bout de quelques minutes elle se cambre et jouie dans un long cri de plaisir. Je me relève la regarde, elle est belle, fatiguée, elle reprend son souffle, doucement, mais je n’ai pas fini. Je me déshabille complétement, mon sexe est dure et tendu. Je me penche au-dessus d’elle, fait descendre les bretelles de sa robe le long de ses épaules, libérant ses beaux gros seins. Je retire complétement sa robe. J’arrache ensuite l’un après l’autre les caches tétons que je vois maintenant pointer de désir. J’écarte doucement ses cuisses, elle me regarde légèrement inquiète. Puis, je me place à l’entrée de sa chatte luisante d’excitation et je la pénètre de tout mon long, elle gémi longuement. Je commence les va et viens, à ce moment-là, il n’y a pas d’amour, mais uniquement de l’excitation animal. « Vas-y baise moi ! ». Je commence alors à la pilonner, de plus en plus vite, de plus en plus fort, avec des allers-retours réguliers. Nos corps claques l’un contre l’autre. Je la sens chaude m’engloutir avec appétit. Je la baise encore plus fort, jusqu’à ce que je sente que je vais jouir, je commence à gémir également elle me regarde droit dans les yeux et au moment où je souhaiterai me retirer elle me saisi par les fesses pour me maintenir en elle. Je joui en elle, au font de sa chatte trempée. En gémissant. Cela lui provoque un orgasme et elle se contracte autour de ma bite gonflée. Je me retire ensuite doucement et m’allonge à ses côtés et m’endort jusqu’au petit matin.
A mon réveille elle est déjà douchée, habillée, valise faite. Je fais de même et nous prenons la route du retour sans assister au retour de noce. Non sans faire une longue pause sur le bord de la route.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une très belle histoire dont on a hâte de connaître la suite...
Très excitant ... j'ai adoré