Une nouvelle secrétaire
Récit érotique écrit par Jean-Pierre [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-05-2010 dans la catégorie Dominants et dominés
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Une nouvelle secrétaire
Une nouvelle secrétaire
Lara était une très jolie jeune femme de 22 ans qui travaillait depuis trois semaines en tant que secrétaire pour monsieur Dupont, associé d’un important cabinet d’avocat. Lara partageait son bureau avec une autre secrétaire de l’autre associé.
Elle se plaisait bien dans ses nouvelles fonctions et espérait qu’on la garderait longtemps. Elle remplaçait la secrétaire de ce monsieur Dupont partie pour un congé maternité.
Beaucoup d’ hommes de passage l’avaient remarquée, une jolie rousse aux jambes interminables, avec de beaux yeux verts de chat qui ornaient un joli visage au teint d’ivoire. Ses formes voluptueuses ne laissaient personne indifférent. Elle s’habillait très classiquement, mais on pouvait très bien imaginer ce qui se cachait sous ses vêtements.
Monsieur Dupont était un homme d’une quarantaine d’années, charmant, conscient de la beauté de sa nouvelle secrétaire et amateur de sexe. Il s’était promis de, bientôt, la mettre dans son lit. Il ne faisait que penser à elle. Marié à une femme pas très chaude au lit, ce soir il avait vraiment envie de se faire sa voluptueuse secrétaire, il presse sur l’interphone :
- Lara, venez dans mon bureau !
- Oui monsieur, j’arrive.
Quand elle fut arrivée dans le bureau, il lui expliqua la situation :
- Lara, j’ai besoin de vous ce soir. Le dossier des gitans n’est pas terminé et il faut que je le finalise maintenant, j’espère que vous êtes libre ?
- Oui, monsieur pas de problèmes.
- D’accord ! Vers 18 heurs, téléphonez chez Marion et faites donc livrer un léger souper pour deux et après on attaque le boulot !
- Oui, monsieur ! Je commande quoi ?
- Choisissez vous même, enfin un menu classique et vite mangé, pas du poisson avec des arrêtes
Sans l’avouer, Lara avait une attirance pour son patron, dès son embauche. Elle était secrètement contente de rester avec lui ce soir. Après un repas simple, ils travaillèrent d’arrache-pied, pour finir vers 20 heures.
- Nous avons très bien travaillé, dit monsieur Dupont en se levant et s’installant dans le fauteuil. Venez donc vous asseoir un peu.
Lara prit place, dans le fauteuil à coté un peu intimidée et son patron commença à lui poser toutes sortes de questions :
- Avez-vous un petit copain ?
- Oui, depuis environ un an monsieur, mais notre relation n’est pas définitive.
- Alors ! vous pouvez le laisser tomber dit son patron, en frôlant sa cuisse contre la sienne. Tu sais Lara j’ai d’autres projets très intéressants pour nous. Tu aimes travailler ici avec moi ?
Lara n’était pas choquée du tutoiement.
- Oui, je veux bien le laisser tomber.
- Tu souhaites progresser rapidement dans ton travail ?
- Bien sûr, monsieur, j’aimerais bien.
- C’est possible, mais alors il faut être très gentille. J’aime voir mes secrétaires toujours disponible, et obéir au doigt et à l’œil.
Un peu mal à l’aise tout de même, Lara écoutai attentivement.
- Je suis sûr que tu vas aimer, dit-il en lui caressant les cheveux. Si tu es très gentille, je vais l’être aussi beaucoup avec toi, genre augmentation de salaire et avantages. Me comprends-tu Lara ?
- Hum, pas tout à fait monsieur, répondit-elle, jouant la petite mijaurée.
- Alors ! Je vais être plus clair. Cela fait trois semaines que je vois tes gros tétons se promener sous mes yeux et je bande à chaque fois. Maintenant il me faut plus que juste te mater, et je pourrai enfin me concentrer sur mon travail.
Lara bouche bée, se figea sur place. Mais un petit feu lui brûlait déjà le ventre, le désir. Son patron s’avança et, une main dans ses cheveux, mis ses lèvres sur les siennes et enfonça la langue dans sa bouche.
- Ouvre la bouche, ouvre bien la bouche ma belle et donne-moi ta langue !
Pétrissant les gros seins de la secrétaire par-dessus son chemisier, sa main trouva rapidement les boutons. Il s’empressa de les ouvrir et ses doigts touchèrent le soutien-gorge.
- Mais qu’est-ce que je vois ? Un joli soutien-gorge bien sage, tu caches bien ton jeu, ma cochonne, dit-il en massant à pleines mains la poitrine de Lara bien tendus sous l’étoffe !
Il dégrafa le tout, pour s’en saisir à deux mains ses seins et les soupeser.
- Hum, ils sont beaux avec leurs gros bouts prêts à se faire téter, ajouta-t-il en lui pinçant doucement les mamelons !
Lara soupira.
- Dit-moi ! Lara ! Tu aimes ce que je te fais ma petite cochonne ?
Et, il les massa, les pressa, titilla les bouts tendus par l’excitation. La bouche pleine, il laissa vagabonder sa main sous la jupe de Lara :
- Hum ! Dis-moi ? c’est bien chaud par-là !
Il pressa la paume de sa main sur son pubis et entra complètement sa main dans la culotte de sa secrétaire.
- Oh, mais tu es toute mouillée ma cochonne, si tu voulais te faire tripoter avant, il fallait le dire, j’adore les petites vicieuses dans ton genre.
Lara haletait, la tête renversée en arrière. Son patron la caressait avec délice et les mots vulgaires qu’il prononçait l’excitaient, à sa grande honte. Il remonta sa jupe, le vêtement roulé à la taille. Il descendit sa culotte. Puis, il s’agenouilla en face d’elle, assise sur le canapé et commença à fouiller de sa langue la chatte trempée de sa secrétaire. Il se retira peu après pour lui enfoncer son index dans le vagin :
- Tu aimes ça, hein ? Je vais bien te la lécher ta grosse chatte toute juteuse, dit-il en faisant glisser son index et les autres doigts qu’il venait de rajouter.
Lara soufflait, trois doigts dans sa chatte et une bouche qui se promenait de son mamelon à son clitoris. Gagnée par le plaisir, elle inonda la main de son patron et gémit très fort
- Mais tu jouis, petite cochonne ! Maintenant que tu as bien pris ton pied, tu vas me faire voir ce que tu peux faire avec ta jolie bouche. Viens me sucer !
Il se mit debout, défit son pantalon et sortit une queue énorme, longue, large et veinée. Il posa sa main sur le manche et décalotta le gland, tout rouge, qu’accompagnaient deux grosses couilles bien velues.
- Elle te plaît ma grosse queue ? J’en suis sûr. Mets-toi à genoux et suce moi ma belle !
Lara se mit à genoux et son patron empoigna ses cheveux pour amener son visage au niveau de sa bite. La grosse pine de monsieur Dupont lui emplit la bouche. A chaque coup de rein de celui-ci, son gros cap allait jusque dans sa gorge. Son patron gémissait comme un fou.
- C’est ça, suce, bien, lèche-moi et caresse-moi les couilles en même temps ! Hum c’est très bon ! Dit-moi ! Ton copain a une aussi grosse queue ?
- Non, elle n’est pas aussi grosse.
- Reprends ton travail, on ne parle pas la bouche pleine, ajouta-t-il. Tu es très douée, plus douée que les deux autres secrétaires de mon associé. Une a plus d’expérience que toi mais tu as plus de potentiel. Cela viendra, j’en suis sûr. Continue, ne t’arrête pas, c’est très bon ! Arrête, sinon je vais tout lâcher, couche-toi sur le bureau !
Lara, jupe retroussée à la taille, chemisier complètement ouvert, s’allongea sur le bureau. Son patron, toujours habillé, sa grosse queue dressée dépassant tout juste de son pantalon s’approcha. A eux deux, ils formaient un tableau des plus excitant. Il lui écarta les jambes. Sa mouille dégoulinait sur ses fesses. Il promena son gland sur son clitoris, sur ses lèvres.
- Tu la veux, hein ? Tu veux te faire mettre, petite cochonne. Tiens, prends bien ma pine !
Dans un mouvement de hanche, il s’enfonça dans sa moiteur. Il s’arrêta rendu au fond et savoura la sensation puis reprit son mouvement.
- Oh, oui, petite cochonne, tu aimes bien ? dis-le !
- Oh oui, c’est bon !
Il remonta ses jambes verticalement et la baisa furieusement en pétrissant ses gros seins et elle approchait doucement de l’orgasme. Il stoppa et lui dit :
- Retourne-toi, appuie-toi sur le bureau et ouvre bien les fesses !
- Non ! Pas les fesses !
- Chut, n’aies pas peur, je vais te faire jouir comme jamais.
Il lui lécha l’anus et Lara y prit un grand plaisir. Il chercha de la mouille de sa chatte pour enduire son petit trou. Il promena une dernière fois son gland sur la moule juteuse de sa secrétaire pour bien le lubrifier puis l’appuya sur l’anus encore vierge et commença à pousser.
- Ouvre-toi, oh oui, hum, c’est bon, tu es très étroite, j’adore ! Ton copain ne t’encule pas ?
Lara hocha négativement de la tête.
- Tu vas voir, tu vas adorer ça.
- Mais elle est trop grosse, ça fait mal.
Une fois le gland entré, monsieur Dupont poussa davantage. Sa queue entrait difficilement, petit à petit. Il était rendu aux trois quarts et entama un mouvement de va-et-vient. Il poussa plus fort pour entrer entièrement. Quand la poussée se fit plus énergique, Lara commença à apprécier, la douleur qui ce transforme en plaisir.
- Tu aimes hein, ma cochonne ? Je le savais, ton petit trou serré a l’air d’adorer ma grosse queue.
Agrippé à ses gros seins, il lui martelait le cul très énergiquement en l’insultant.
- Toutes pareilles, on leur touche un sein et, hop, elles ouvrent leur cul à la première bite venue pour se faire défoncer, elles adorent ! toute.
Ensuite il la prit par un bras, l’agenouilla sur le tapis, entra sa queue à peine sortie du cul dans sa bouche. Il se branla sur son visage. Puis il vida ses couilles dans sa bouche et sur ses joues.
- Tiens avale, tu me vides complètement, prends tout ! Ne perd pas une goutte.
Il éjacula en gémissant et en criant, au risque d’alerter l’immeuble tout entier.
Quelques minutes plus tard, apaisés, ils se rhabillèrent tous deux. En lui caressant les cheveux, il lui donna une petite enveloppe de billets, pour les heures supplémentaires de la soirée.
- On va recommencer, tu peux en être certaine, on va former une bonne équipe tous les deux.
Lara le gratifia d’un sourire de connivence qu’il lui rendit.
- Il faut que je me sauve, ma femme doit m’attendre.
Lara était une très jolie jeune femme de 22 ans qui travaillait depuis trois semaines en tant que secrétaire pour monsieur Dupont, associé d’un important cabinet d’avocat. Lara partageait son bureau avec une autre secrétaire de l’autre associé.
Elle se plaisait bien dans ses nouvelles fonctions et espérait qu’on la garderait longtemps. Elle remplaçait la secrétaire de ce monsieur Dupont partie pour un congé maternité.
Beaucoup d’ hommes de passage l’avaient remarquée, une jolie rousse aux jambes interminables, avec de beaux yeux verts de chat qui ornaient un joli visage au teint d’ivoire. Ses formes voluptueuses ne laissaient personne indifférent. Elle s’habillait très classiquement, mais on pouvait très bien imaginer ce qui se cachait sous ses vêtements.
Monsieur Dupont était un homme d’une quarantaine d’années, charmant, conscient de la beauté de sa nouvelle secrétaire et amateur de sexe. Il s’était promis de, bientôt, la mettre dans son lit. Il ne faisait que penser à elle. Marié à une femme pas très chaude au lit, ce soir il avait vraiment envie de se faire sa voluptueuse secrétaire, il presse sur l’interphone :
- Lara, venez dans mon bureau !
- Oui monsieur, j’arrive.
Quand elle fut arrivée dans le bureau, il lui expliqua la situation :
- Lara, j’ai besoin de vous ce soir. Le dossier des gitans n’est pas terminé et il faut que je le finalise maintenant, j’espère que vous êtes libre ?
- Oui, monsieur pas de problèmes.
- D’accord ! Vers 18 heurs, téléphonez chez Marion et faites donc livrer un léger souper pour deux et après on attaque le boulot !
- Oui, monsieur ! Je commande quoi ?
- Choisissez vous même, enfin un menu classique et vite mangé, pas du poisson avec des arrêtes
Sans l’avouer, Lara avait une attirance pour son patron, dès son embauche. Elle était secrètement contente de rester avec lui ce soir. Après un repas simple, ils travaillèrent d’arrache-pied, pour finir vers 20 heures.
- Nous avons très bien travaillé, dit monsieur Dupont en se levant et s’installant dans le fauteuil. Venez donc vous asseoir un peu.
Lara prit place, dans le fauteuil à coté un peu intimidée et son patron commença à lui poser toutes sortes de questions :
- Avez-vous un petit copain ?
- Oui, depuis environ un an monsieur, mais notre relation n’est pas définitive.
- Alors ! vous pouvez le laisser tomber dit son patron, en frôlant sa cuisse contre la sienne. Tu sais Lara j’ai d’autres projets très intéressants pour nous. Tu aimes travailler ici avec moi ?
Lara n’était pas choquée du tutoiement.
- Oui, je veux bien le laisser tomber.
- Tu souhaites progresser rapidement dans ton travail ?
- Bien sûr, monsieur, j’aimerais bien.
- C’est possible, mais alors il faut être très gentille. J’aime voir mes secrétaires toujours disponible, et obéir au doigt et à l’œil.
Un peu mal à l’aise tout de même, Lara écoutai attentivement.
- Je suis sûr que tu vas aimer, dit-il en lui caressant les cheveux. Si tu es très gentille, je vais l’être aussi beaucoup avec toi, genre augmentation de salaire et avantages. Me comprends-tu Lara ?
- Hum, pas tout à fait monsieur, répondit-elle, jouant la petite mijaurée.
- Alors ! Je vais être plus clair. Cela fait trois semaines que je vois tes gros tétons se promener sous mes yeux et je bande à chaque fois. Maintenant il me faut plus que juste te mater, et je pourrai enfin me concentrer sur mon travail.
Lara bouche bée, se figea sur place. Mais un petit feu lui brûlait déjà le ventre, le désir. Son patron s’avança et, une main dans ses cheveux, mis ses lèvres sur les siennes et enfonça la langue dans sa bouche.
- Ouvre la bouche, ouvre bien la bouche ma belle et donne-moi ta langue !
Pétrissant les gros seins de la secrétaire par-dessus son chemisier, sa main trouva rapidement les boutons. Il s’empressa de les ouvrir et ses doigts touchèrent le soutien-gorge.
- Mais qu’est-ce que je vois ? Un joli soutien-gorge bien sage, tu caches bien ton jeu, ma cochonne, dit-il en massant à pleines mains la poitrine de Lara bien tendus sous l’étoffe !
Il dégrafa le tout, pour s’en saisir à deux mains ses seins et les soupeser.
- Hum, ils sont beaux avec leurs gros bouts prêts à se faire téter, ajouta-t-il en lui pinçant doucement les mamelons !
Lara soupira.
- Dit-moi ! Lara ! Tu aimes ce que je te fais ma petite cochonne ?
Et, il les massa, les pressa, titilla les bouts tendus par l’excitation. La bouche pleine, il laissa vagabonder sa main sous la jupe de Lara :
- Hum ! Dis-moi ? c’est bien chaud par-là !
Il pressa la paume de sa main sur son pubis et entra complètement sa main dans la culotte de sa secrétaire.
- Oh, mais tu es toute mouillée ma cochonne, si tu voulais te faire tripoter avant, il fallait le dire, j’adore les petites vicieuses dans ton genre.
Lara haletait, la tête renversée en arrière. Son patron la caressait avec délice et les mots vulgaires qu’il prononçait l’excitaient, à sa grande honte. Il remonta sa jupe, le vêtement roulé à la taille. Il descendit sa culotte. Puis, il s’agenouilla en face d’elle, assise sur le canapé et commença à fouiller de sa langue la chatte trempée de sa secrétaire. Il se retira peu après pour lui enfoncer son index dans le vagin :
- Tu aimes ça, hein ? Je vais bien te la lécher ta grosse chatte toute juteuse, dit-il en faisant glisser son index et les autres doigts qu’il venait de rajouter.
Lara soufflait, trois doigts dans sa chatte et une bouche qui se promenait de son mamelon à son clitoris. Gagnée par le plaisir, elle inonda la main de son patron et gémit très fort
- Mais tu jouis, petite cochonne ! Maintenant que tu as bien pris ton pied, tu vas me faire voir ce que tu peux faire avec ta jolie bouche. Viens me sucer !
Il se mit debout, défit son pantalon et sortit une queue énorme, longue, large et veinée. Il posa sa main sur le manche et décalotta le gland, tout rouge, qu’accompagnaient deux grosses couilles bien velues.
- Elle te plaît ma grosse queue ? J’en suis sûr. Mets-toi à genoux et suce moi ma belle !
Lara se mit à genoux et son patron empoigna ses cheveux pour amener son visage au niveau de sa bite. La grosse pine de monsieur Dupont lui emplit la bouche. A chaque coup de rein de celui-ci, son gros cap allait jusque dans sa gorge. Son patron gémissait comme un fou.
- C’est ça, suce, bien, lèche-moi et caresse-moi les couilles en même temps ! Hum c’est très bon ! Dit-moi ! Ton copain a une aussi grosse queue ?
- Non, elle n’est pas aussi grosse.
- Reprends ton travail, on ne parle pas la bouche pleine, ajouta-t-il. Tu es très douée, plus douée que les deux autres secrétaires de mon associé. Une a plus d’expérience que toi mais tu as plus de potentiel. Cela viendra, j’en suis sûr. Continue, ne t’arrête pas, c’est très bon ! Arrête, sinon je vais tout lâcher, couche-toi sur le bureau !
Lara, jupe retroussée à la taille, chemisier complètement ouvert, s’allongea sur le bureau. Son patron, toujours habillé, sa grosse queue dressée dépassant tout juste de son pantalon s’approcha. A eux deux, ils formaient un tableau des plus excitant. Il lui écarta les jambes. Sa mouille dégoulinait sur ses fesses. Il promena son gland sur son clitoris, sur ses lèvres.
- Tu la veux, hein ? Tu veux te faire mettre, petite cochonne. Tiens, prends bien ma pine !
Dans un mouvement de hanche, il s’enfonça dans sa moiteur. Il s’arrêta rendu au fond et savoura la sensation puis reprit son mouvement.
- Oh, oui, petite cochonne, tu aimes bien ? dis-le !
- Oh oui, c’est bon !
Il remonta ses jambes verticalement et la baisa furieusement en pétrissant ses gros seins et elle approchait doucement de l’orgasme. Il stoppa et lui dit :
- Retourne-toi, appuie-toi sur le bureau et ouvre bien les fesses !
- Non ! Pas les fesses !
- Chut, n’aies pas peur, je vais te faire jouir comme jamais.
Il lui lécha l’anus et Lara y prit un grand plaisir. Il chercha de la mouille de sa chatte pour enduire son petit trou. Il promena une dernière fois son gland sur la moule juteuse de sa secrétaire pour bien le lubrifier puis l’appuya sur l’anus encore vierge et commença à pousser.
- Ouvre-toi, oh oui, hum, c’est bon, tu es très étroite, j’adore ! Ton copain ne t’encule pas ?
Lara hocha négativement de la tête.
- Tu vas voir, tu vas adorer ça.
- Mais elle est trop grosse, ça fait mal.
Une fois le gland entré, monsieur Dupont poussa davantage. Sa queue entrait difficilement, petit à petit. Il était rendu aux trois quarts et entama un mouvement de va-et-vient. Il poussa plus fort pour entrer entièrement. Quand la poussée se fit plus énergique, Lara commença à apprécier, la douleur qui ce transforme en plaisir.
- Tu aimes hein, ma cochonne ? Je le savais, ton petit trou serré a l’air d’adorer ma grosse queue.
Agrippé à ses gros seins, il lui martelait le cul très énergiquement en l’insultant.
- Toutes pareilles, on leur touche un sein et, hop, elles ouvrent leur cul à la première bite venue pour se faire défoncer, elles adorent ! toute.
Ensuite il la prit par un bras, l’agenouilla sur le tapis, entra sa queue à peine sortie du cul dans sa bouche. Il se branla sur son visage. Puis il vida ses couilles dans sa bouche et sur ses joues.
- Tiens avale, tu me vides complètement, prends tout ! Ne perd pas une goutte.
Il éjacula en gémissant et en criant, au risque d’alerter l’immeuble tout entier.
Quelques minutes plus tard, apaisés, ils se rhabillèrent tous deux. En lui caressant les cheveux, il lui donna une petite enveloppe de billets, pour les heures supplémentaires de la soirée.
- On va recommencer, tu peux en être certaine, on va former une bonne équipe tous les deux.
Lara le gratifia d’un sourire de connivence qu’il lui rendit.
- Il faut que je me sauve, ma femme doit m’attendre.
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10 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
wawwwwwwwe c chaud
c'est bizarre comme mon physique ressemble a lara .
Oui très éxitant !! A quand le suite ? :p
Hum ! Très exitant, ce serait bien d'avoir la suite !!!
très bon récit, il manquait juste des bas et des escarpins... pour un cliché parfait.
Pour ma part, je regarde toujours (enfin, j'essaie) sous la jupe de mon assistante. Je
l'ai déjà sermonnée de venir en collant, depuis elle porte des bas...
Pour ma part, je regarde toujours (enfin, j'essaie) sous la jupe de mon assistante. Je
l'ai déjà sermonnée de venir en collant, depuis elle porte des bas...
j'ai été aussi très attirée par mon patron... Je sais que c'était réciproque, mais je ne ne suis pas allée jusqu'au bout.. Dommage !
Oulala c'est chaud tout ça !!! Ca donne envie de faire pareil...
je n'ose pas faire de même avec ma secrétaire, mais si elle me laissait entrevoir une
possibilité ...
possibilité ...
Hummm... voilà qui donne envie de faire du secrétariat lol
Manque la femme du patron.