Une Nuit Électrique à Ibiza

- Par l'auteur HDS Anonyme75 -
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Récit libertin : Une Nuit Électrique à Ibiza Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-10-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une Nuit Électrique à Ibiza
La Découverte et le Cadre

Salut, moi c'est Gabriel, j'ai 48 ans, 1,78 mètre, ma silhouette était le résultat d'années de discipline : musclé et sec, presque sans aucun poil. Je savais que j'étais perçu comme sexy et charmant, et cette confiance en moi était mon passeport sur l'île. Ibiza était ma parenthèse, mon terrain de jeu, un endroit où l'on pouvait dénuder non seulement son corps, mais aussi son esprit. Je venais y chercher la légèreté, mais c'est une tout autre découverte qui m'attendait : celle de ma propre bisexualité, un désir latent que je n'avais jamais osé explorer.

C'était l'été à Ibiza, une saison où l'air lui-même semblait vibrer d'une promesse incessante. Le soleil avait plongé sous l'horizon, laissant le ciel s'embraser de teintes carmin, mais la chaleur moite de la Méditerranée persistait, lourde et enivrante. Assis à un bar de plage, les pieds presque dans le sable, je sirotais un verre en observant les vagues lécher doucement le rivage. L'atmosphère était parfaite : musique lounge discrète, effluves salés, et cette sensation de liberté absolue.

C'est là qu'elle est apparue.

Elle est Gilda, 30 ans très sexy, elle a de très beaux seins 95b en forme de poire. Elle s'est assise deux tabourets plus loin, dégageant une aura d'assurance et d'élégance désinvolte, ses yeux clairs balayant l'horizon avant de croiser les miens. Un simple sourire a suffi à allumer l'étincelle. La conversation a commencé, légère, pleine d'humour, puis elle a rapidement glissé vers quelque chose de plus profond. Gilda n'était pas du genre à perdre son temps.
Il y avait dans son regard une invitation ouverte, un défi. « Tu as l'air d'être à la bonne place, Gabriel, » a-t-elle murmuré, sa voix basse et chaude. « Mais est-ce que tu es prêt pour ce qu'Ibiza a vraiment à offrir ? »

L'Énergie de la Discothèque

Quelques heures plus tard, la tension entre nous était devenue un courant palpable. Nous avions laissé le calme de la plage pour nous enfoncer dans le chaos organisé d'un club mythique de l'île. Le son était une vague physique qui nous submergeait. Nous étions proches, nos corps s'alignant naturellement sur le rythme.

Au milieu de la folie des lumières stroboscopiques, une nouvelle présence s'est imposée.
Adrianeun beau jeune homme de 25 ans au regard serein comme le ciel et à la belle barbe de trois jours, 1,80 mètre, un corps de dieu grec. Il dansait près de nous, avec une énergie brute et une aisance hypnotique. Il avait ce magnétisme indéniable qui attirait les regards. Nos yeux se sont croisés, et il y a eu cette reconnaissance immédiate, le genre qui ne s'explique pas. Il s'est approché, un sourire éclatant éclairant son visage dans la pénombre.

« Je m'appelle Adriane, et je crois que je suis tombé sur les deux personnes les plus intéressantes de cette boîte, » a-t-il lancé, sans une once d'hésitation.

Gilda a posé une main sur mon bras, une autre sur celui d'Adriane, scellant instantanément le lien. La soirée s'est transformée en un ballet à trois, une danse de drague et d'attraction croisée. Il y avait une entente tacite, un jeu de regards entre nous trois qui promettait bien plus que de simples pas de danse. L'excitation n'était plus seulement dans la musique, elle était dans l'air, autour de nous.

Le Jeu de l'Excitation

L'Antichambre du Désir

Les lumières du jour commençaient à poindre lorsque nous avons finalement quitté la discothèque, le bruit de la foule remplacé par le silence prometteur de l'appartement de Gilda. Le désir était devenu si dense qu'il était presque difficile de respirer.
Nous nous sommes installés sur le grand canapé d'angle. Gilda était au centre, les mains jointes, les yeux brillants d'une malice calculée.
« Il est clair, messieurs, » a-t-elle commencé, sa voix grave, « qu'il y a une connexion dingue entre nous trois. »

Elle a laissé un silence s'installer, puis a continué, le ton se faisant plus joueur. « Mais avant de savoir où tout cela nous mènera, j'ai besoin de savoir qui, de vous deux, est le plus… expérimenté à donner de l'excitation pure. »
Elle nous regardait, puis a lancé la proposition, le cœur de mon voyage vers la découverte de ma bisexualité :
« Je veux que vous vous embrassiez. Je veux voir la passion, l'intensité, le désir qui passe entre vous. Je veux juger de la force de votre baiser français. C'est le plus grand facteur d'excitation, pas vrai ? Savoir que vous pouvez allumer la même flamme en quelqu'un d'autre. »

Le Baiser Révélateur

Mon cœur a fait un bond. Adriane a souri, non pas de surprise, mais de reconnaissance. Il y avait une audace dans ce moment qui surpassait tout ce que j'avais imaginé. C'était la première fois que je considérais aussi clairement une relation bisexuelle pour moi-même.

Je me suis tourné vers Adriane. La lumière de l'aube filtrait timidement. Adriane n'a pas attendu. Il a posé ses mains sur ma nuque, rapprochant nos visages avec une lenteur calculée.
Le baiser est devenu une conversation sans mots, un échange de souffle et d'énergie, prouvant qu'il y avait une chimie irrésistible, non seulement entre Gilda et chacun de nous, mais aussi entre nous deux. C'était intense, surprenant, et terriblement, inexplicablement excitant. La découverte de cette nouvelle facette de mon désir, amplifiée par le regard de Gilda, était enivrante.

Lorsque nous nous sommes séparés, à bout de souffle, Gilda a mis quelques secondes à parler. Le silence était rempli de l'écho de ce baiser, le plus grand facteur d'excitation qu'elle ait pu espérer.
« Incroyable, » a-t-elle finalement soufflé, ses yeux fixés sur nous deux, son sourire s'élargissant d'une satisfaction profonde. « Maintenant, la nuit peut vraiment commencer. »
Elle s'est levée, le désir l'enveloppant comme une seconde peau. La tension était à son comble. L'aventure venait à peine de commencer.

Le Seuil de la Nuit

Gilda s'est redressée du canapé, le mouvement lent et délibéré. La lumière de l'aube, filtrant par les stores, dessinait des ombres longues sur sa peau, mais c'est le désir dans ses yeux qui illuminat la pièce. Elle n'avait plus besoin de parler ; son regard était une éloquente déclaration.

« C'était... concluant, » a-t-elle murmuré, son ton se faisant plus intime que jamais. Elle a marché vers nous, s'arrêtant juste entre moi et Adriane, une main effleurant mon torse musclé, l'autre remontant doucement le bras d'Adriane.
« J'ai ressenti la chaleur du partage, la connexion inattendue, l'étincelle qui ne vient qu'avec la surprise, » a-t-elle poursuivi. « Ce que je cherchais, c'est ce frisson qui double l'excitation. Un désir qui circule librement, sans barrière. »

Enfin, il pose une main sur mon torse et l'autre sur celui d'Adrine et nous masse en riant bruyamment, vous êtes deux dieux sexy, puis mordille doucement chacun de nous sur le téton caressé.

Adriane, toujours aussi confiant mais désormais teinté d'une vulnérabilité nouvelle, a posé sa main sur la mienne. Nos regards se sont croisés, confirmant l'intensité de ce que nous venions de découvrir ensemble, sous le regard de Gilda. Pour moi, c'était l'acceptation définitive de cette bisexualité naissante, une porte que je venais d'ouvrir sur un monde de sensations plus vaste que je ne l'avais imaginé.

« Et maintenant ? » a demandé Adriane, sa voix rauque.
Gilda, tu es extrêmement avantageuse, après avoir réussi à corrompre deux hommes hétéros pour les embrasser. Que caches-tu, déesse, en toi ?

L'Étreinte du Matin

Gilda a souri, son regard balayant le mien, puis celui d'Adriane, s'arrêtant sur la façon dont nos corps se touchaient. « Maintenant, nous continuons ce que nous avons commencé, loin du bruit et des lumières artificielles. »

Elle a fait un pas vers le couloir, nous invitant à la suivre dans la partie la plus privée de son appartement. L'ambiance était passée de l'énergie brute de la discothèque à une intimité profonde et partagée. Nous nous sommes levés, le corps alourdi par la danse et l'épuisement, mais revigoré par la tension psychologique qui venait d'atteindre son apogée.

Nous l'avons suivie. Le couloir était sombre, mais la chambre, avec sa grande baie vitrée donnant sur la mer, était inondée par la douce lueur du soleil levant. C'était un tableau d'une beauté simple et brute.

Gilda s'est tournée vers nous au seuil de la pièce, l'air n'étant plus qu'un murmure entre nous trois. Elle n'avait plus besoin de nous défier ou de nous tester. Le jeu de la drague était terminé ; le temps de la découverte mutuelle était arrivé.

Elle a tendu une main vers moi, et l'autre vers Adriane. Nos mains se sont jointes dans les siennes, formant un cercle parfait. La caresse était simple, mais elle portait le poids de la nuit entière, la promesse d'une aventure qui ne faisait que commencer.

Nous avons traversé le seuil ensemble, laissant derrière nous les bruits de l'extérieur pour le silence de ce moment à trois, enveloppés par le ciel d'Ibiza qui s'éveillait. La fin de la nuit s'annonçait inoubliable.

Le Commencement de l'Aube

La porte s'est refermée derrière nous, laissant le monde et ses règles à l'extérieur. Je regardais Gilda et Adriane, éclairés par le soleil naissant. Dans cette pièce simple, baignée de lumière, il n'y avait plus de masque, plus de drague forcée, juste la vérité de trois corps et de trois désirs alignés.

Pour moi, c'était bien plus qu'une simple aventure de vacances. C'était l'aboutissement d'un long chemin vers la sincérité. Le baiser avec Adriane n'avait pas été une simple performance pour Gilda ; il avait été une révélation. Je l'avais embrassé avec une ferveur que je ne me connaissais pas, découvrant dans cet échange une profondeur et une attraction qui ne demandaient qu'à être explorées. Le mot « bisexualité » n'était plus une idée lointaine, mais une réalité brûlante, rendue simple et naturelle par la présence de ces deux âmes audacieuses.

Je sentais la main de Gilda douce et assurée sur ma hanche, tandis qu'Adriane s'approchait, son regard plein d'une tendresse nouvelle, loin de l'exubérance de la discothèque, et ouvre lentement mon jean slim, bouton par bouton, affichant un beau sourire de gratitude que je ne le rejette pas.
Gilda, jette un regard félin et se tourne vers la pointe de ses pieds, où elle passe derrière Adriane et à son tour embrasse sa taille en la caressant et ouvre son jean, où elle descend et le caresse avec sa main, remontant ses jambes musclées avec les mêmes caresses excitantes,
Nous étions là, trois, mais c'était l'alchimie de l'unité qui dominait. C'était la preuve qu'à Ibiza, on ne rencontrait pas seulement des gens, on se rencontrait soi-même.

Adriane se tourne vers Gilda et l'embrasse doucement, puis ouvre son débardeur d'été noué dans son cou tout en embrassant et mordillant son lobe d'oreille.

Soudain, mes yeux deviennent comme des phares, fixés sur les seins de Gilda et je déplace ma langue au coin de ma bouche, signe qu'elle m'excite. Adriane, continue de lui mordre doucement l'oreille et de lui caresser le dos, descendant jusqu'à sa mini-jupe avec sa main et lui massant délicatement les fesses. Après quoi, il tire la fermeture éclair et la jupe tombe au sol, restant dans son bikini en dentelle blanche, très serrée sur ses cuisses.

Nous étions maintenant tous les trois en sous-vêtements. Adrian et moi étions très excités. Nous pouvions clairement voir nos organes génitaux masculins en érection, mais aussi des traces d'humidité sur le bikini de Gilda. Adriane serre Gilda dans ses bras et lui caresse doucement les fesses. Je me place derrière elle et, à mon tour, lui mordille doucement l'oreille droite, encerclant sa taille de mes bras et essayant de glisser ma main dans son bikini. Je sens simultanément le contact de mes parties génitales avec les mains d'Adiane, qui massent délicatement les fesses de Gilda et touche mon slip.

La richesse de l'expérience n'était pas seulement dans l'anticipation d'une nuit mémorable, mais dans la liberté d'être pleinement celui que j'étais, au-delà des catégories.
Adriane soupire lorsque je touche son sexe en même temps que je masse celui de Gilda dans son bikini. Des gémissements se font entendre et chacun déshabille tour à tour la partenaire devant lui. Gilda sur Adrian, moi sur Gilda et Adrian sur moi. Nous arrivons nus comme un verre exposé sur une étagère de bar et nous commençons à nous embrasser, nous agrippant l'un à l'autre sous l'effet de l'excitation qui nous a saisis.

Finalement, Gilda reprend son rôle et nous impose son sourire lascif. Elle nous prend chacun par la main et nous conduit au lit. Là, elle nous demande de nous allonger et vient caresser chacun de nos corps de ses mains chaudes et douces. Puis, elle nous embrasse chacun à son tour et nous caresse de la tête aux pieds, nous demande de nous mettre en position 69.

Adriane n'hésita pas une seconde. L'homme qui, quelques heures auparavant, était persuadé d'être hétéro, de vivre sa première expérience comme moi, était déjà en position. Avec un sourire lascif et charismatique, il commença même à me caresser à son tour, avec Gilda.
« Merci, » ai-je murmuré, sans savoir si je m'adressais à Gilda pour son audace, à Adriane pour son ouverture, ou à Ibiza pour son autorisation.

Gilda passa à des gestes plus directs, embrassant sur mon organe génital, et même dessus, jusqu'à le prendre dans sa bouche et le caresser. Adriane répéta les mêmes baisers, descendit jusqu'à mes testicules et les embrassa. J'étais au paradis, un début alchimique que je n'avais jamais imaginé, entre nous trois. Une complicité directe et indirecte, voulue et sollicitée par l'excitation, nous propulsa vers des sommets inimaginables et même inexplorés jusque-là, à la découverte du plaisir interdit et inconditionnel.

À un moment donné, Gilda quitte la pièce et nous restons tous les deux dans notre position, chacun caressant le corps de l'autre, jusqu'à ce que nous perdions le contrôle et que les baisers s'arrêtent dans les zones intimes, où nous ne prenons plus en compte le moindre détail et passons même à l'action.

Je m'arrête et regarde Adriane, essayant de comprendre ce qu'il ressent à ce moment précis. Je remarque vraiment que nous étions tous les deux débutants, mais animés d'un désir profond de découvrir l'interdit et d'atteindre les sommets du plaisir, même si la salive coulait facilement entre nos lèvres.

Nous avons chacun découvert l'absolu mais aussi le plaisir, de temps en temps nous nous arrêtions pour regarder les parties génitales de l'autre, essayant de découvrir à quel point nous étions excités ou à quel point nous étions dotés par mère nature.

Nous avions l'impression qu'Adriane et moi étions identiques, sans différence, comme deux organes intimes moulés, d'environ 17 cm chacun, d'une forme plutôt réussie, autour de 4,5 cm, et acceptés par nos bouches affamées et novices. Deux enfants découvrant le goût d'une nouvelle sucette.

Adriane s'arrête et me dit que pour une débutante, je m'en sors bien. Je n'hésite pas et je réponds : «Tu n'as pas l'air inférieure à moi non plus.» Finalement, on rit-ont bruyamment et la porte s'ouvre, laissant apparaître Gilda.

«Je comprends que tu aies agi, ne joue pas ! » dit Gilda.

Adriane répond : « J'avais besoin d'une sucette », rit-il, « et je l'ai confondue avec la bite de Gabriel. »
Gilda s'exclame : « Waouh ! Les vilains garçons se comportent comme des idiots sans moi, moi qui voulais être une bonne animatrice pour vous. »

Je ris doucement et joyeusement, et réponds : « Qu'est-ce qu'il y avait au programme et on n'était pas au courant ! »

Adriane rit, je crois qu'elle voulait être celle qui nous embrasse et nous suce.
Gabriel ! Viens, on a grave besoin de toi !
Gilda ! Aujourd'hui, c'est le total.
Elle s'allonge sur le dos, les jambes écartées, et attend notre attaque. Elle rit doucement et se penche en arrière. « Je vous trouve vraiment excités après vous être sucés la bite en mon absence», s'exclama Gilda.

Adriane, passe à l'attaque, n'attendant plus d'invitation, et place sa tête entre les jambes de Gilda, effleurant légèrement ses lèvres avec sa langue, et elle gémit d'excitation. Tel un véritable expert, il commence à lui lécher délicatement les lèvres et à les sucer, à caresser une lèvre puis l'autre avec son doigt, et même à toucher son clitoris, l'entendant gémir et la supplier de continuer.

À un moment, il lui lèche la chatte de bas en haut et vice versa, la faisant sursauter, lever les hanches et lui donnant envie de la pénétrer de sa langue. Mais Adriane, sans attendre, la pénètre profondément de sa langue et la pétrit tendrement.

Gilda ! Gémit mon nom. « Gabriel, qu'est-ce que tu fais ? » Occupe-toi d'Adriane, m'ordonne-t-elle doucement. Fais ce qu'il fait avec ma chatte, tu le fais avec son cul.

Sans réfléchir, je me mets au travail et commence à caresser doucement le cul d'Adriane, passant un doigt sur sa rosette. Il gémit étouffé tandis que sa langue pénètre dans la chatte de Gilda. Je sens l'excitation monter en flèche et, sans m'en rendre compte, je me retrouve à toucher son minuscule trou du cul avec ma langue. Une décharge électrique me traverse le corps et je sens même mon pénis palpiter et se soulever sans même le toucher. Puis je crache fort sur son cul et commence à le lécher, en y enfonçant doucement ma langue.

Adriane pose doucement son cul sur ma langue et je le sens s'insérer dans sa rosette. Il s'arrête pour lécher la chatte de Gilda et tourne la tête vers moi en riant. Il me dit : « Continue, ça m'excite et j'aime ça. Je ne pensais vraiment pas que c'était aussi agréable. »
Je me suis arrêté et j'ai essayé de comprendre ce qu'il disait. Je pensais avoir mal entendu. Cet homme était-il un ancien hétéro jusqu'à hier soir ? Les questions affluaient, mais j'ai préféré lécher et sucer mes doigts et j'en ai enfoncé un légèrement dans le cul d'Adriane, qui a gémi et tremblé d'excitation. En entendant Gilda augmenter son excitation, dès que j'ai pénétré Adriane avec mon doigt.

En cinq minutes, j'avais déjà deux doigts dans le cul d'Adriane, et il a arrêté de lécher Gilda, et a inséré deux doigts dans sa chatte et l'a fait gémir avec lui.
À un moment, Gilda lui demande de la pénétrer, car elle est très excitée, sa chatte est en feu, elle veut la bite. Adriane lui demande si elle a des préservatifs, elle lui répond qu'il y en a et un tube de gel sur la table de nuit. Il se lève, cherche les préservatifs, le gel, revient au lit, les place à côté de nous et enfile un préservatif sur sa bite, prend le tube et met un peu de gel pour qu'il glisse plus facilement dans la chatte de Gilda, disant qu'il la sentait serrée sous ses doigts.

Gilda est allongée sur le dos. Adriane se place entre elles et les soulève sur son épaule pour pouvoir la pénétrer facilement. Il la pénètre avec juste le gland et Gilda gémit de plaisir et tremble dans son lit. AH ! Ne me torture plus, viens tout de suite ! crie Gilda. Adriane entre comme une folle, poussant sa hanche jusqu'à sentir tout son corps à l'intérieur. Il lui demande en soupirant : « Tu sens que ça me serre si fort, comme tu es serrée. »

Gilda : OUII ! Oui ! Baise-moi ! Baise-moi ! Je veux me sentir comme une pute, vu que je suis avec vous deux, je veux être baisée par vos bites. Et toi, Gabriel, prends soin du cul d'Adrian.
En menant la danse, j'ai lui enduisit délicatement la raie et la rosette de lubrifiant avant de le doigter doucement et puis de plus en plus profondément. Et Gilda gémit de plaisir quand je parviens à insérer trois doigts dans Adriane. Leurs gémissements synchronisent, mais chacun apprécie aussi la dilatation de son trou. Elle, de la bite d'Adriane, et lui, de mes doigts. Le plaisir était au rendez-vous.

Avec les jambes de Gilda sur ses épaules, Adriane s'allonge sur le ventre, où elle voit son cul bien en vue, grand ouvert, prêt à être pénétré. Au moment où je retire mes doigts, Adrianeavait déjà gémi de plaisir.

J'insère lentement ma bite, prête à l'action, protégée par un préservatif et déjà lubrifiée au gel. Adriane, il se met à crier. Même s'il était déjà dilaté, c'était la première fois qu'une bite lui pénétrait le cul. C'était serré et je comprends parfaitement sa douleur quand il a crié. Ce n'était que le début, seul le gland avait pénétré cette rosette vierge.

J'entendais Gilda gémir et demander à être pénétrée violemment, dans un rythme de va-et-vient. Je compris qu'Adriane la pénétrait bien lorsque le gland de ma bite pénétra son cul serré, la portant au comble du plaisir. Adriane prend conscience et enfonce son petit cul dans ma bite, d'où elle pénètre à moitié dans son anus qui commence à s'ouvrir accueillant. Se mettant à gémir comme un animal blessé d'une voix grave, il finit par découvrir le plaisir anal pour sa première expérience. Gilda lui a demandé d'être plus agressif et plus virulent. Adriane hurle qu'il aime ça, découvrant quelque chose d'inédit jusqu'à aujourd'hui.

Finalement, ce rythme nous a portés à l'apogée et nous avons commencé à nous coordonner dans un rythme orchestré de va-et-vient.

Gilda hurle son orgasme, et Adriane annonce qu'elle jouit, finissant dans le préservatif. Et moi, je m'en suis rendu compte, j'étais dans le cul d'Adrian avec toute ma bite et, à un moment, son anus s'est resserré sur le mien, et je n'ai pas pu résister à l'envie de finir en même temps. Nos respirations étaient fortes et rythmées, tombant côte à côte sur le lit. Je sors le préservatif et réalise qu'il y avait assez de sperme, pas comme d'habitude, en l'agitant dans ma main. Adriane fait de même et dit qu'il y a plus de sperme que d'habitude.

Le reste de la matinée n'appartenait qu'à nous trois. Dans la douceur du jour qui se levait sur la Méditerranée, nous étions prêts à nous abandonner à la découverte et à l'intensité de l'instant, écrivant le chapitre le plus libre de nos vacances.

Actuellement, j’ai complètement accepté ma bisexualité, après ma première expérience qui a eu lieu il y a 13 ans. Je ne ressens aucune gêne à en parler et tente même quelque fois un peu de drague quand je rencontre une fille qui me plaît, un mec, etc. Les hétérosexuelles trouvent cela flatteur en général et plutôt que d’être hostiles, bien au contraire, me font un grand sourire et je vois que j’éveille leur curiosité. Cela étonne beaucoup de gens parce que j’ai toujours été très masculine (sans être pour autant superficielle), et comme ils pensent toujour au cliché.

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