Une panne imprévue (4)

- Par l'auteur HDS Clipper -
Récit érotique écrit par Clipper [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Une panne imprévue (4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une panne imprévue (4)
Le lendemain je suis réveillé vers six heures, Sandrine dort encore. Nous sommes en position cuillère, j'ai mon avant-bras sur sa hanche et la main sur son bas-ventre. Je sens l'érection grossir, je commence à caresser son mont de Vénus, elle a la peau soyeuse, douce, mon sexe bandé se positionne dans la raie culière, instinctivement je bouge mon bassin, de petits mouvements d'avant en arrière, Sandrine se réveille, grogne un peu, puis réalise que ma main arrive près de son bouton d'amour et que mon sexe caresse son petit anneau brun à chaque mouvement. Elle est totalement réveillée, tourne la tête, nos bouches se soudent et nos langues se lient…je frotte son clito qui sort de son capuchon, je continue à le titiller avec le pouce et mets deux doigts sur ses lèvres intimes, qui s'humidifient, je passe l'autre main sous ton torse, qu'elle soulève pour en faciliter l'accès, je caresse, puis malaxe son sein, le téton durcit, je le roule entre mes doigts, je tire dessus, Sandrine est sensible à ce traitement, elle gémit, je pénètre son minou avec deux doigts, mes mouvements de bassin sont plus amples et plus rapides, Sandrine remue également le bassin pour que le frottement de mon sexe sur son anneau soit plus appuyé… Mes doigts vont et viennent dans son minou, je frotte plus fort le clito à chaque mouvement, je tire sur son téton, mon gland se trouve contre l'anneau brun, Sandrine recule son bassin, mon gland entre, elle pousse un petit cri, j'arrête de bouger, mon gland est passé :- Ne t'arrêtes pas chéri, vas-y prends moi, je te veux en moi !
Je pousse mon bassin vers l'avant et commence les va-et-vient, Sandrine gémit plus fort, sa respiration est rapide, elle pousse des petits râles, puis en poussant le bassin en arrière, son dos se cambre, elle pousse un cri et l'orgasme la foudroie. Elle réalise que je n'ai pas joui, elle passe une main sur une fesse et la presse contre elle en disant :- Ouiii chéri remplis moi … mmmm j'aime que l'on ne fasse qu'un.
J'accélère les mouvements, je sens les spasmes de son anneau plissé… je jouis et décharge mon sperme. Mon sexe diminue puis sort de ce doux refuge. Nous flemmardons un moment, puis nous allons dans la cuisine pour "petit déjeuner", ensuite nous faisons des projets pour les prochains jours et week-end :- Prends des forces mon amour, tu vas en avoir besoin avant de partir !
- J'ai calculé, je dois avoir six heures et demi de route, en alternant nationales et autoroute, plus vingt ou trente minute de pose, ça fait sept heures, je partirai vers onze heures, je te contacte lors de la pause, puis bien évidemment à l'arrivée.
En attendant nous allons sur la terrasse, il fait bon à cette heure. Nous continuons à faire des projets, un peu plus lointains, son éventuelle installation chez moi, que va penser son fils s'il doit déménager, etc.
L'heure tourne, je charge la moto en laissant dehors que ce que je vais porter. Nous passons à la salle de bain, nous nous savonnons mutuellement, inévitablement le savonnage et le rinçage sont prétextes à caresses et attouchements et le naturel reprend, je suis en érection, Sandrine prend mon sexe, fait quelques aller-retour le long de ma colonne de chair. Je me penche, empaume ses seins et les lèche tour à tour, je serre un téton avec mes lèvres et l'autre avec les doigts puis j'inverse, Sandrine gémit, elle est sensible aussi des seins. Elle se baisse tient mon sexe à la base, et lèche le gland comme si c'était une glace, puis dépose des baisers, elle titille mon méat avec le bout de sa langue, je gémis, c'est bon… elle se caresse les joues avec ma colonne de chair, puis pose ses lèvres sur la gland le titillant avec la langue sans le prendre en bouche. Je prends sa tête entre mes mains fermement mais sans brusquerie.
J'avance le bassin et commence la pénétration, sa langue caresse le dessous de mon sexe, elle tourne autour de la tige bandée, je l'arrête, elle est surprise. Je luis demande de prendre "son compagnon" et du lubrifiant, j'en passe dans sa raie culière, puis je me mets sur le côté et Sandrine se place tête bêche.
Elle reprend mon sexe en bouche, je lèche son clito qui est sorti du capuchon, je le titille avec la langue, je rentre le vibro dans son fruit de la passion, dont les pétales s'écartent, je pose un doigt sur son petit anneau, et simultanément je serre son bouton d'amour avec mes lèvres, je fais des va-et-vient avec la vibro, je fais des petits cercles sur son anneau plissé, Sandrine, gémit, elle donne des coups de bassin pour que le vibro aille au plus profond, sa respiration est rapide et bruyante, ses gémissements sont plus forts, elle se contracte, puis se cambre, elle pousse un râle, l'orgasme l'envahit, je sors le vibro et le place sur son anneau, Sandrine qui s'était détendu, se met à remuer, le vibro la pénètre, elle me suce toujours, je frotte son clito tout en suçant ses lèvres intimes, je sens une onde m'envahir, l'orgasme déferle, je pousse un râle, Sandrine bouge la bassin pour accentuer les va-et-vient du vibro, elle se contracte :- Ohh ouiiii, chéri, je vais jouir encore mmm !
Son corps se cambre et un nouvel orgasme la transperce, moins intensément, je vois les spasmes de sont petit anneau autour du vibro…Nous nous détendons, maintenant lovés l'un contre l'autre. Après un moment de discussion, nous reprenons une douche, puis je me prépare. Nous prenons un café dans la cuisine, puis nous nous rendons dans le garage. C'est le moment du départ, l'ambiance est à la tristesse :- Ma chérie, on se voit dans 3 ou 4 jours, on se téléphone, on s'envoie des SMS, tu verras ça va vite passer.
Sandrine pleure, je suis au bord des larmes, après un baiser langoureux je démarre.
Le trajet se passe bien, je fais une pause et le plein vers Salon. Cela fait un peu moins de quatre heures que je roule, avec une pause de dix minutes vers Montpellier. J'alterne toujours nationales et autoroute. J'envoie un SMS à Sandrine, dans la minute qui suit, elle m'appelle. Nous discutons un moment, elle a un peu retrouvé le moral car elle attend Vendredi soir avec impatience. Puis je termine l'appel, il me faut repartir. Le reste du trajet se passe sans encombres, j'arrive à la maison, je rentre la moto dans le garage, je range mes affaires. Il est presque dix neuf heures. J'appelle ma chérie, nous parlons de cette rencontre, des jours qui ont suivis, du coup de foudre qui nous a frappé, etc… Après un long moment je vais pour couper, car je vais prendre la douche et lui dis que je la rappelle. Elle me demande de mettre le téléphone en "face time" et de me filmer. Je vais chercher un support, je fais les réglages, je mets sur hautparleur. Je me déshabille et entre dans la douche :- Philippe j'ai envie de toi quand je te vois ainsi.
Elle se déshabille s'assoie au bord du canapé, je suis sous les jets de la douche, je me mouille puis me savonne. Sandrine se caresse un sein et son mont de Vénus, je me rince et prends le pommeau en main, je commence à voir ma chérie se faire du bien, cela provoque une érection. Elle tire sur un téton tout en passant ses doigts sur sa fente, qui est humide, puis elle remonte vers son bouton d'amour, elle le frotte, le désir monte, elle gémit, je prends mon sexe dans la main et passe le jet du pommeau (que j'ai mis un peu plus sur chaud) sur mon gland et je commence à me masturber. Cette douceur de l'eau me fait penser à la bouche de Sandrine, je le lui dit. Elle pénètre son fruit de la passion, je vois ses pétales s'écarter, elle commence des va-et-vient tout en se caressant les seins et en tirant sur ses tétons, j'accélère ma masturbation, je ne perds pas une miette du spectacle qui est sur mon téléphone, Sandrine descend la main vers son bourgeon qui est sorti de son capuchon, elle le frotte tout en bougeant ses doigts dans son abricot… Elle gémit plus fort, elle me regarde et dit d'une voix hachée :- Mmmm j'ai tellement envie de t'avoir en moi, pense à ma bouche en projetant ce jet sur ton gland…Elle accélère les mouvements, frotte son clito, elle se cambre, râle mais s'arrête, elle se penche prend le vibro qui était sur la table de salon.
- Je peux pas me passer de toi dans mon minou…Elle se pénètre et reprend les va-et-vient, tout en se frottant le clito qui est hyper sensible, elle gémit très fort, sa respiration s'accélère et devient bruyante, elle se contracte, ses jambes se sont raidies, elle se cambre en arrière pousse un long cri étouffé, l'orgasme l'emporte. La voir ainsi déclenche ma jouissance, je sens les fourmillements monter vers mes cuisses et une onde monter vers mon bas ventre… Les jets de mon sperme tombent et se mêlent a l'eau. Sandrine reste les cuisses ouvertes mon regard est attiré comme par un aimant, puis elle s'affale dans le canapé, je me sèche et je vais dans le salon, le sexe ramolli et se balançant pendant que je marche.
- C'était pas mal mais c'est bien loin du plaisir que l'on a quand on est ensemble. Dis-je- Ohh oui ta présence m'a beaucoup manquée.
Nous coupons la communication après s'être envoyé moult baisers et moult caresses. J'ai pas envie de cuisiner, je commande donc deux pizzas et j'appelle un ami Kevin, qui a 21 ans, que j'ai connu lorsqu'il a fait son stage en entreprise. C'est un garçon sérieux avec qui je suis devenu assez proche. Je l'invite à partager mon repas. Il avait un rendez-vous mais il l'annule et vient chez moi, car il y a quelques temps que l'on ne s'était pas vu, nos emplois du temps ne correspondant pas.

Nos parlons de divers sujet, la famille, ses occupations et… mon voyage. Je lui apprends que je suis tombé amoureux d'une belle jeune femme. Il me demande des précisions (âge, métier, etc). Puis je sers l'apéritif, nous parlons "moto" il en a également une. Je lui demande où en sont ses études, il a fini cet été il sera ingénieur en informatique. Nous passons à table, une idée me vient. Si Sandrine veut toujours être prise par deux hommes, ce sera lui, s'il est d'accord, mais je lui en parlerai plus tard.
Les jours suivants sont assez prenants, réouvrir l'entreprise, faire un bilan sur les commandes, réajuster les prix (ce qui va nous faire perdre du chiffre d'affaire). Mon "second", mon homme de confiance est occupé à surveiller deux jeunes ouvriers dont un apprenti, je lui demande de venir dans le bureau. Là je lui explique ma nouvelle situation, il est enchanté pour moi, vraiment. Ca fait quinze ans qu'il travaille avec moi (depuis que j'ai fait mes débuts). Je lui explique que sauf cas de force majeure, je partirai le jeudi soir, il aura la direction de l'atelier le vendredi et parfois le lundi aussi, jusqu'à ce que ma situation soit régularisée. Il accepte sans hésitation.
Le jeudi je rentre à la maison vers seize heures, je prépare mes affaires, la télé a annoncé une météo avec averses sur mon trajet, donc je prends la voiture. J'appelle Sandrine pour lui dire que je démarre sous peu, elle exprime sa joie et son impatience. Le trajet se passe bien, une pause à mi-chemin (vers Nîmes). Il est vingt et une heures quand j'arrive, je passe le portail, je me gare dans le garage qui est ouvert. J'ai à peine le temps de descendre de la voiture que Sandrine me saute dessus, elle m'enlace, m'embrasse, sur les joues, dans le cou, puis nos lèvres se rencontrent, nos langues se lient, nous nous suçons mutuellement les lèvres, nous échangeons de la salive, les battements de mon cœur s'accélèrent, mon estomac se contracte. Mon sexe est à l'étroit. Je libère ses lèvres et lui dis :- On range mes affaires, si tu veux, puis je voudrai boire un peu, et après… - Et après on ne fait qu'un mon chéri, cela fait des jours que j'attends ça.
Une fois mes affaires rangées, je prends une douche, je demande à Sandrine de m'attendre dans le salon. Une fois séché, je mets un short et un T-shirt, puis je me rends dans le salon et pose une boite sur la table. Sandrine surprise me demande ce que c'est, je lui dit d'ouvrir. Elle enlève le papier, ôte le couvercle et pousse un "ohh" de surprise et de satisfaction. Je lui dis :- Ton vibro faisait vraiment "vintage", j'ai pris quelques chose de plus moderne, plus doux, et à taille normale (pas comme on peu lire ici ou là).
Elle sort une verge, de taille moyenne, ses yeux rieurs, me regardent, elle rit et dit :- Je pourrais avoir des doubles pénétrations plus agréables que mon vibro, que j'ai depuis plus de dix ans !
Elle va dans la chambre et revient vêtue d'une chemise ample allant jusqu'au haut des cuisses, très sexy, elle pose un flacon sur la table. Elle nous sert à boire, nous nous assoyons côte à côte chacun posant une main sur la cuisse de l'autre. Je passe mon bras autour du cou de Sandrine, son visage se tourne vers moi, nos lèvres se rejoignent, nos langues se lient, on se suce mutuellement les lèvres, je déboutonne sa chemise, je l'embrasse dans le cou, puis j'empaume ses seins, je les embrasse, elle frissonne, je les lèches, je les tète, je pince ses tétons avec mes lèvres, elle gémit, elle me pousse pour que je m'allonge, remonte mon T-shirt, m'embrasse le ventre et descend, elle m'enlève le short, soulève le bassin pour faciliter mon effeuillage. Sandrine prend mon sexe en main et dit :- Mmmm c'est l'heure de mon biberon de chair et de mon lait !
Puis après avoir léché et sucé le gland elle gobe mon sexe. Sa langue lèche le dessous au fil des aller-retour, elle lève les yeux vers moi et fait monter et descendre sa tête. Je vois ses lèvres roulées autour de ma queue qui ressort luisante de salive. Elle active le mouvement de sa bouche, je prend sans tête entre mes mains, mes jambes se raidissent, une onde monte vers mon bas ventre, je donne quelques coups de bassin, l'orgasme m'envahit, je décharge mon foutre dans sa bouche, il y en a tellement qu'un filet coule le long de la commissure de ses lèvres. Elle me regarde droit dans les yeux, sourit et avale, puis avec un doigt récupère le sperme qui coule vers son menton. Elle me dit :- Oulala il y avait la quantité, c'était bon !
- Ben je n'ai pas joui depuis que je suis parti, mais tu n'as pas encore joui, assieds-toi au bord du canapé.
Je me mets entre ses cuisses, je les embrasse depuis le genou jusqu'à l'aine, puis je redescends, vers le creux poplité, je remonte lentement en embrassant et en léchant l'intérieur des cuisses, je sens la chaleur que dégage son minou, elle met ses mains sur ma tête et la dirige vers sa chatte. Je lui caresse les fesses en embrassant ses lèvres intimes qui sont gonflées par le désir et mouillées par la cyprine qui coule, je m'abreuve, je suce les lèvres, pénètre sa moule avec ma langue aussi loin que je peux, puis tout en la pénétrant avec deux doigts je lèche son bouton d'amour, je le suce, je le tète, Sandrine gémit très fort, son corps tremble, son buste s'agite de droite à gauche, elle donne des coups de bassin, elle hoquète, appuie fortement ma tête contre sa chatte, je m'en étouffe presque, elle serre les cuisses, se contracte, l'orgasme la transperce, elle pousse un cri en soupirant, sa cyprine coule je m'en délecte.
Nous reprenons place sur le canapé afin de détendre nos corps. Après quelques gorgées, nous passons à la cuisine, Sandrine avait tout prévu, il y a des sushis, une salade et une bonne bouteille de rosé.
Quelle joie de se revoir, tout transpire notre amour, les gestes, les regards, les paroles. Nous nous racontons ces quelques jours derniers. Je lui parle de mon ami, je le décris, lui montre une photo, elle le trouve mignon, je fais mine d'être jaloux :- Mais non tu sais que c'est toi mon amour et que je ferai tout ce que tu veux.
- Eh bien c'est toi qui veux essayer la double pénétration, tu te rappelles ?
- Oui certes, on en a parlé, une fois et c'est tout, mais si tu veux pas on ne tente rien.
- Non, OK si tu veux toujours tenter la double pénétration ce sera lui, une fois.
Le repas se termine, nous passons sur la terrasse, il fait bon, encore un petit verre de rosé, Sandrine se désinhibe, elle rit, parle un peu fort. Nos verres finis, elle se lève me traine vers le canapé, s'agenouille entre mes jambes et dit :- Mmm mon dessert !
Elle saisit ma bite, la lèche comme une glace, puis me pompe, me suce. Elle gémit en me pompant.
Je l'arrête, je me lève, je prends le lubrifiant, j'en mets sur son anneau brun, je prends le gode, je la fait mettre à quatre pattes, je pose mon gland sur l'anneau plissé, quelques petits mouvements d'avant arrière, elle gémit, l'anneau se détend je la pénètre, puis je me couche sur le dos, l'entrainant avec moi, je lui donne le gode :- Met le dans ta chatte et fais toi jouir.
Je sens la progression du gode contre ma queue, qui sont juste déparés par une peau fine. Sandrine fait des mouvements avec le gode, je synchronise ma cadence et je la pilonne. Elle gémit, hoquète, on entend la clapotis de sa mouille quand le gode va et vient, je frotte son clito, elle respire fort et de façon saccadée, elle se courbe légèrement vers l'avant pour se pénétrer au plus profond, elle agite ses jambes qui se resserrent, l'orgasme la parcourt , son corps tremble, elle pousse un gémissement proche du râle. Puis son corps se détend. Je donne quelques coups de rein, sa jouissance déclenche la mienne, mes jambes se raidissent, l'orgasme me traverse, je me vide dans ses entrailles. Après un moment pour détendre nos corps, nous rejoignons la terrasse, assis côte à côte, nous nous lovons et savourons cette soirée et notre amour. La soirée est bien avancée, c'est l'heure du repos bien mérité, nous allons au lit après une bonne douche.

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