Une partie
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-01-2014 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Une partie
Je ne sais pour qu’elle raison les gens de l’immeuble sont réunis dans la cour. En tout cas il règne une bonne ambiance. Me mêlant à eux je trouve des gens que je ne connaissais pas si sympathique. Quelqu’un a la bonne idée de mettre en marche un transistor. Des couples se forment surtout quand les morceaux sont des slows. Je suis invitée par Tony, un type dans la quarantaine. Nous sommes surveillés par sa femme Mado. Il n’empêche qu’il me serre fort contre lui, me colle son pubis contre le ventre. Je le sens bander. Il me donne envie d’aller au bout. Il profite d’un moment d’inattention de sa femme pour m’entrainer vers les caves. Notre visite n’est pas vaine : il soulève ma jupe, passe sa main dessous, cherche ma chatte. Je la lui donne volontiers. Il passe ses doigts dans ma fente. Je suis trempée, il s’en aperçoit. Le voilà qui me caresse : il me fait du bien. J’arrive à sortir sa queue : un beau morceau presque trop gros pour moi. Nous nous branlons un moment. J’ai envie de plus que ça. Adieu mon string, bonjour sa bite dans ma chatte. Il se baisse pour être à ma hauteur, il entre doucement : il me fait du bien : j’éclate vite en orgasmes : j’en ai deux coup sur coup.
C’est un peu essoufflés que nous faisons surface. Mado me regarde presque avec méchanceté. Elle me demande s’il m’a bien baisée. Ma réponse positive l’amène à prendre ma main. Je suis étonnée quand elle me mène non pas dans la cave, mais chez elle. Je me pose des questions, pas longtemps heureusement. La porte fermée, Mado me colle contre le montant. Je suis bloquée quand elle m’embrasse sur la bouche. Une file qui m’embrasse, voilà du nouveau. A tout hasard je réponds au baiser. C’est agréable. Elle n’arrête pas là, elle commence à caresser mes seins, descend encore vers mon ventre. Je ne sais pourquoi je le tant vers elle, ou j’ai peur de me l’avouer.
Elle n’a pas de scrupule à venir chercher mon sexe sous la jupe. Je dois encore avoir pas mal de sperme de Tony dans mon con. Elle me doigte un peu goute mon jus. Elle reconnait l’odeur et la saveur de la semence de son mari. Il faut croire que ça l’attire quand elle pose sa langue pile sur le sexe. Je me laisse faire : sa langue est agile, légère, rapide. Je tiens sa tête pour la guider, pour qu’elle ne parte pas. Je dois murmurer des encore, oui et autre fadaises que je dis régulièrement quand je baise.
Je jouis une fois quand elle me prie d’aller avec elle sur le divan. C’est meilleur assise. Elle me caresse, je ne peux faire autrement que lui rendre la masturbation. Puis, sans doute le désir nous nous retrouvons en 69. J’ai une chatte sur ma bouche, la mienne est sur la bouche d’une fille. Un bruit dans la maison auquel nous ne prêtons pas attention. C’est Tony qui vient. Il a baisé sa femme, me la mise aussi. Il reste devant nous, la queue dehors bien droite. Il voudrait participer. Pas encore, nous ne le voulons pas puisque nous prenons notre plaisir à deux filles.
Encore du bruit. Le couple du premier, des jeunes mariés qui s’instruisent en nous surveillant. C’est la femme qui se met à sortir la bite de son mari, qui le branle ; Lui en fit autant à sa femme puis, lassés d’être debout, ils viennent s’assoir près de nous.
Nous rompons notre 69 : j’ai le visage tapissé de cyprine. Je reçois la langue de la jeune mariée. Elle me laisse la figure propre. Son mari est branlé par celle qui me léchait. Elle fait plus que le branler, elle passe une main derrière, entre deux doigts dans l’anus. Il ne se dégage pas. Sa femme râle parce qu’il accepte une chose qu’il lui a toujours refusé.
Elle l’engage à se faire enculer par la bite du mari de mon amante. Les deux hommes refusent, offusqués. Mais c’est bien connue, ce que femme veut…Tony fait le premier pas, encouragé par Mado qui regarde le spectacle avec intérêt. Je la sens mouiller encore plus. Je regarde aussi les deux queues bien tendues. Elles vont échanger des plaisirs que je connais en partie quand je me fais enculer. Les deux hommes refusent de faire ça debout, il leur faut un lit. Nous les suivons dans la chambre. Le jeune marié se couche sur le ventre, écrasant sa bite sur le drap. L’autre vient sur lui, se couche presque. Il est dans la même position que si c’était Mado.
J’ai l’idée que je pense excellente de donner un peu de cyprine sur l’anus déjà offert. Nous regardons tous la pine de Tony s’approcher des fesses du jeune. Il passe dans la raie, descend doucement. Il tient bien sa queue pour venir se pose sur l’anus. Je suis la mieux placée pour voir la bite entrer jusqu’au fond dans ce jeune cul. Je me branle sans pudeur, suivie par les autres. La jeune mariée est près de moi, s’appuie à moi, je sens une main sur ma fesse. Elle cherche ma raie. Ses doigts fouillent en allant vers mon cul. Je l’attends, je veux qu’elle me branle le cul. Je lui donne ma main sur son con : elle se laisse faire surtout quand je la doigte profondément. Je sens son doigt dans mon cul. Mado s’interpose, elle me fait dégager la main qui branlait la jeune femme. Elle reçoit une langue à la place. Je la sens jouir quand elle accentue sa pénétration dans mon cul.
Poussée par je ne sais quoi, Mado cherche quelque chose dans le frigo : elle sort deux bananes, un concombre, une courgette. Nous sommes trois filles, nous avons chacune de quoi satisfaire nos bas instincts. Elle me donne une banane, prend le concombre, donne la courgette à la jeune. Il reste la dernière banane. D’autorité je le prends.
Nous nous retrouvons assises alignées sur le divan. Les légumes sont vite dans les endroits réservés, sauf que j’ai deux endroits. Pendant qu’elles se baisent, moi je fais une bonne double pénétration. Je sens et la banane et le concombre glisser dans mes orifices fabriqués pour mon plaisir. Nous échangeons les godes /légumes.
Je ne sais laquelle propose de nous sucer ensemble. Nous nous installons sur le tapis, les jambes ouvertes. C’est certes difficile, mais tellement agréable du lécher un con et d’être aussi léchée par une autre. Surtout en ayant une bonne partie du sexe occupé par un objet totalement étranger à l’amour.
C’est un peu essoufflés que nous faisons surface. Mado me regarde presque avec méchanceté. Elle me demande s’il m’a bien baisée. Ma réponse positive l’amène à prendre ma main. Je suis étonnée quand elle me mène non pas dans la cave, mais chez elle. Je me pose des questions, pas longtemps heureusement. La porte fermée, Mado me colle contre le montant. Je suis bloquée quand elle m’embrasse sur la bouche. Une file qui m’embrasse, voilà du nouveau. A tout hasard je réponds au baiser. C’est agréable. Elle n’arrête pas là, elle commence à caresser mes seins, descend encore vers mon ventre. Je ne sais pourquoi je le tant vers elle, ou j’ai peur de me l’avouer.
Elle n’a pas de scrupule à venir chercher mon sexe sous la jupe. Je dois encore avoir pas mal de sperme de Tony dans mon con. Elle me doigte un peu goute mon jus. Elle reconnait l’odeur et la saveur de la semence de son mari. Il faut croire que ça l’attire quand elle pose sa langue pile sur le sexe. Je me laisse faire : sa langue est agile, légère, rapide. Je tiens sa tête pour la guider, pour qu’elle ne parte pas. Je dois murmurer des encore, oui et autre fadaises que je dis régulièrement quand je baise.
Je jouis une fois quand elle me prie d’aller avec elle sur le divan. C’est meilleur assise. Elle me caresse, je ne peux faire autrement que lui rendre la masturbation. Puis, sans doute le désir nous nous retrouvons en 69. J’ai une chatte sur ma bouche, la mienne est sur la bouche d’une fille. Un bruit dans la maison auquel nous ne prêtons pas attention. C’est Tony qui vient. Il a baisé sa femme, me la mise aussi. Il reste devant nous, la queue dehors bien droite. Il voudrait participer. Pas encore, nous ne le voulons pas puisque nous prenons notre plaisir à deux filles.
Encore du bruit. Le couple du premier, des jeunes mariés qui s’instruisent en nous surveillant. C’est la femme qui se met à sortir la bite de son mari, qui le branle ; Lui en fit autant à sa femme puis, lassés d’être debout, ils viennent s’assoir près de nous.
Nous rompons notre 69 : j’ai le visage tapissé de cyprine. Je reçois la langue de la jeune mariée. Elle me laisse la figure propre. Son mari est branlé par celle qui me léchait. Elle fait plus que le branler, elle passe une main derrière, entre deux doigts dans l’anus. Il ne se dégage pas. Sa femme râle parce qu’il accepte une chose qu’il lui a toujours refusé.
Elle l’engage à se faire enculer par la bite du mari de mon amante. Les deux hommes refusent, offusqués. Mais c’est bien connue, ce que femme veut…Tony fait le premier pas, encouragé par Mado qui regarde le spectacle avec intérêt. Je la sens mouiller encore plus. Je regarde aussi les deux queues bien tendues. Elles vont échanger des plaisirs que je connais en partie quand je me fais enculer. Les deux hommes refusent de faire ça debout, il leur faut un lit. Nous les suivons dans la chambre. Le jeune marié se couche sur le ventre, écrasant sa bite sur le drap. L’autre vient sur lui, se couche presque. Il est dans la même position que si c’était Mado.
J’ai l’idée que je pense excellente de donner un peu de cyprine sur l’anus déjà offert. Nous regardons tous la pine de Tony s’approcher des fesses du jeune. Il passe dans la raie, descend doucement. Il tient bien sa queue pour venir se pose sur l’anus. Je suis la mieux placée pour voir la bite entrer jusqu’au fond dans ce jeune cul. Je me branle sans pudeur, suivie par les autres. La jeune mariée est près de moi, s’appuie à moi, je sens une main sur ma fesse. Elle cherche ma raie. Ses doigts fouillent en allant vers mon cul. Je l’attends, je veux qu’elle me branle le cul. Je lui donne ma main sur son con : elle se laisse faire surtout quand je la doigte profondément. Je sens son doigt dans mon cul. Mado s’interpose, elle me fait dégager la main qui branlait la jeune femme. Elle reçoit une langue à la place. Je la sens jouir quand elle accentue sa pénétration dans mon cul.
Poussée par je ne sais quoi, Mado cherche quelque chose dans le frigo : elle sort deux bananes, un concombre, une courgette. Nous sommes trois filles, nous avons chacune de quoi satisfaire nos bas instincts. Elle me donne une banane, prend le concombre, donne la courgette à la jeune. Il reste la dernière banane. D’autorité je le prends.
Nous nous retrouvons assises alignées sur le divan. Les légumes sont vite dans les endroits réservés, sauf que j’ai deux endroits. Pendant qu’elles se baisent, moi je fais une bonne double pénétration. Je sens et la banane et le concombre glisser dans mes orifices fabriqués pour mon plaisir. Nous échangeons les godes /légumes.
Je ne sais laquelle propose de nous sucer ensemble. Nous nous installons sur le tapis, les jambes ouvertes. C’est certes difficile, mais tellement agréable du lécher un con et d’être aussi léchée par une autre. Surtout en ayant une bonne partie du sexe occupé par un objet totalement étranger à l’amour.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
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Un excellent texte qui conduit tout droit mon index dans ma fente....
merci j'ai beaucoup aimé