Une partouze dans les dunes - histoire érotique

<p>Voilà comment tout à commencé. Nous étions quatre jeunes gens et amis : deux garçons et deux filles : Damien, Arnaud, Alice et moi Sabrina. Nous faisions souvent du vélo ensemble. Un après-midi de juillet, on a été dans les dunes. Une fois arrivé là-bas, on s’est isolés dans un coin tranquille, où on ne pouvait pas être dérangé. On est descendus de nos vélos, et on s’est allongés sur le sable.
Arnaud est venu auprès de moi. Tout en plaisantant, il a commencé à me caresser la cuisse ; Damien a fait de même chose avec Alice. L’ambiance s’échauffait drôlement. Damien embrassait mon amie en plongeant sa langue entre ses lèvres colorées et sa main s’attardait en douces caresses, sur ses cuisses. La main d’Arnaud continuait son parcours sur mes jambes. Les attouchements se faisaient de plus en plus coquins et précis. L’émoi de chacun, garçons et filles, devenait plus grand à chaque minute. Les boutons de nos vêtements commençaient à sauter. Les doigts des garçons massaient nos seins, s’immisçaient entre nos cuisses. Nous échangions de savoureux baisers mouillés.
Ces attouchements sont très vite devenus plus sérieux. Damien a saisi la main d’Alice pour la poser sur sa braguette gonflée et elle a refermé sa main sur cette queue en érection. Je les regardais faire par en-dessous, tandis qu’Arnaud m’embrassait et j’étais fort troublée par leur conduite. Arnaud, lui-même, massait mon minou à travers ma culotte. Je sentais la douce pression de ses doigts sur mon clitoris et mes lèvres.
Alice a dégrafé la braguette de Damien. Elle tâtait maintenant son sexe bandé sous son slip. Bientôt elle a sorti le sexe de Damien en dehors de son pantalon. Bouche bée, j’ai vu jaillir cette queue comme un diable qui sort de sa boîte ; j’étais fascinée par la grosseur et par l’extrémité rouge vif du gland.
Alice, pas très à l’aise, a passé une langue gourmande mais maladroite sur ce sexe bandé à mort. Arnaud, de son côté, a profité de ma fascination pour saisir ma main et me faire tâter son sexe à travers son pantalon. Le membre était très dur. J’avais la tête à l’envers. Alice prenait de l’assurance, se jetant maintenant sans hésitation sur le membre dardé de Damien. Elle a léché le bout avec des petits coups de langue coquins, plus s’est vite montrée plus goulue en prenant toute la queue dans sa bouche. Elle a sucé en faisant des aller et venues le long de la hampe.
Excité par ce spectacle, j’ai attrapé la queue d’Arnaud lorsque celui-ci a ouvert sa braguette. Le membre palpitait, comme un être vivant. J’abandonnais toute résistance car Arnaud avait écartait l’élastique de ma culotte et il me fouillait ma vulve et massait mon clitoris. J’ai sorti la queue d’Arnaud comme l’avait fait Alice et j’ai commencé à le branler. Bien vite mes coups de poignet n’ont plus satisfait le garçon qui voulait sentir la douce caresse de mes lèvres chaudes sur son sexe.
Alice suçait toujours le membre de Damien avec application. Notre ami goûtait à cette fellation les yeux fermés, la tête en penchée en arrière. « Suce-moi ! » m’a demandé Arnaud sans manière. J’ai alors approché ma petite bouche entrouverte de son membre. J’ai enserré ce sexe palpitant entre mes lèvres pour l’aspirer de mon mieux. Son sexe n’avait pas un goût désagréable. Je fis des allées et venues le long de sa grosse queue. De temps en temps, je j’étais un coup d’œil à l’autre couple. Maintenant Alice léchait méticuleusement les petites couilles de Damien. Elle gémissait tandis qu’il caressait son minou dont j’apercevais quelques poils bruns luisant de mouille. Alice semblait fouiller avec intérêt la raie des fesses musclées de Damien je me suis alors rendu compte que j’étais complètement trempée. Je sentais mon appétit sexuel grandir chaque minute davantage, avant de sentir le sperme chaud d’Arnaud jaillir de sa queue pour aller percuter le fond de ma gorge.
Alice et Damien se sont approchés de nous. Damien le lus vicieux de nous tous a pris la main d'alice dans la sienne et a essayé de la poser sur ma cuisse. En même temps Arnaud s’est glissé entre mes jambes et, de sa langue mutine, il a entrepris un chatouillis délicieux sur mon clitoris. Les mains fines de ma copine sont passées sur mes fesses, en insistant bien entre ma raie. Décidément Alice montrait beaucoup d’intérêt pour les fesses et pour le trésor qu’elles cachent : d’abord celles de Damien, puis les miennes. J’ai frissonné. Arnaud me léchait de plus en plus frénétiquement comme un petit toutou entre mes cuisses inondées, si bien que je gloussais en me tortillant nerveusement.
Les deux garçons s’adonnaient maintenant aux mêmes caresses savoureuses de langues sur nos intimités inondées mais vierges. J’ai ôté moi-même mon tee-shirt afin d’exposer ma jeune poitrine à la caresse du soleil, du vent, et des mains d’Arnaud et Alice. D’ailleurs, ils ont beaucoup apprécié mes nichons. Arnaud a commencé à me les caresser, mais Alice a repoussé le garçon pour prendre sa place. Sa main était plus douce et je ne l’appréciais que d’avantage. Nous ne sommes plus occupées des hommes. Alice m’a poussée vers l’arrière et sous le regard médusé des deux garçons, je l’ai vu glisser comme une couleuvre entre mes cuisses. Couchée, sur le dos et dans le sable, les jambes repliées et généreusement ouvertes, je l’ai laissée faire. Elle a sorti sa mignonne langue rose qu’elle a promenée doucement sur mon entrejambe inondé. Puis, elle s’est gentiment attaquée à mon bouton qu’elle a fait durcir avec la même adresse qu’Arnaud, par des petits coups de langues secs et précis.
C’était un vrai bonheur pour moi et, les fesses de moins en moins crispées, je me suis libérée complètement en soulevant le bas-ventre et en faisant des mouvements circulaires pour bien sentir la langue de mon amie fouiller ma vulve et apprécier la montée progressive de la jouissance. Celle-ci est venues exploser dans tout mon corps, tandis qu’Alice m’aspirait mon clitoris et les petites lèvres en même temps. J’ai fermé les yeux et j’ai connu un orgasme fantastique sans mesure avec ceux que j’avais l’habitude en me masturbant.
Quand j’ai ouvert les yeux, j’ai vu Alice en train de masturber les deux membres raides de nos copains. Elle les branlait à pleines poignes et Damien m’a suggéré : « Alice t’a donné du plaisir. Tu devrais lui rendre la même chose pour elle ». Les deux garçons étaient couchés sur le dos, sur les coudes et ils se faisaient branler par Alice qui était à quatre pattes au-dessus d’eux, une queue dans chaque main. Elle attendait mes caresses à quatre pattes, la croupe tendue, ses longs cheveux tombant sur ses épaules. Je me suis placée derrière ses fesses rondes et blanches. Et j’ai posé mes doigts sur sa chatte à la fourrure fournie, toute dégoulinante de cyprine fraîche.
Oui ; comme c’est doux et tendre. Du bout de la langue, j’ai fait l’amour à ses fesses et à sa vulve, respirant ses odeurs intimes et j’ai fait bouger mes doigts dans sa vulve, lentement, plusieurs fois, jusqu’à ce que j’atteigne son clitoris en érection. J’ai enfilé mon majeur et mon index réunis dans son vagin bouillant et je les ai remués avec ardeur.
Arnaud s’est assis et il a ôté le débardeur d’Alice. Ses seins étaient comprimés dans un joli soutien-gorge fleuri dont le garçon a fait sauter l’attache sans attendre. Alice a des seins plus gros que les miens. Ils sont donc plus moelleux, donc moins fermes. Arnaud a commencé à lui masser les nichons par en dessous.
Il malmenait les seins de mon amie et elle n’avait plus pied sur terre. Elle avait des difficultés à continuer à branler les deux garçons. Le plaisir montait en elle. Emportée par celui-ci, elle a crié si fort que j’entends encore son « Ouiiiii » résonner à mes oreilles.
En la voyant jouir si fort, j’ai été submergée par une violente envie de me faire prendre que j’ai supplié : « Arnaud, je n’en peux plus. Viens me faire l’amour. Prend-moi ! Vite ! » Arnaud a lâché les nichons d’Alice pour s’intéresser aux miens, ainsi qu’au reste de mon corps qui lui était offert avec tant de passion.
Il s’est donc jeté sur moi et il a pointé son beau membre contre ma fente inondée. Il a longuement caressé mes seins et mon sexe. Je sentais les vagues de plaisir me dévaster. Sa queue est rentrée profondément dans mon vagin. Arnaud faisait maintenant
Bouger son membre dans mon vagin brûlant.
En jetant un coup d’œil à ma droite, j’ai vu qu’Alice était dans la même position que moi, Damien allongé sur elle, entre ses jambes. Alice, conquise à son tour, se faisant défoncer la chatte par la bite de Damien.
On gémissait toute les deux en chœur sous les coups de boutoir des deux garçons qui nous secouait des pieds à la tête. Nous étions complètement en chaleur. Nous en voulions toujours plus. Les coups de bite des garçons étaient de plus en plus violents, et nous gémissions la tête à l’envers.
Nos copains d’enfance nous ont défoncées ainsi sans nous ménager et nous sommes arrivés à l’orgasme tous les quatre en même temps, en criant notre plaisir.
Ensuite, les câlins, les baisers sont venus remplacer cette frénésie sexuelle. Nous étions tous les quatre très heureux. Nous avons passé deux mois de vacances formidable.

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