Une petite chaudasse lycéenne et son prof de maths...
Récit érotique écrit par Charlène-X [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-03-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une petite chaudasse lycéenne et son prof de maths...
Coucou, je me présente, moi c’est Charlène. J’ai tout juste 18 ans, et pour me présenter physiquement, je suis petite (1m55), j’ai des cheveux châtains, des petits seins (85B) et un bon cul que mes différentes tenues mettent évidemment bien en valeur.
Il faut l’avouer, je suis une petite salope : j’aime aguicher les hommes, les faire sortir de leur gonds, et me faire prendre par eux, sous toutes les positions possibles et imaginables.
Pour cette première histoire, je vais vous raconter une aventure qui m’est arrivée cette année au lycée (car oui, je suis en Terminale S, une bosseuse, donc, sous bien des domaines).
Quand je suis en cours, en bonne bavarde, je m’installe toujours au fond de la classe. Cependant, cela faisait plusieurs fois que je remarquais un étrange manège chez mon prof de mathématiques : il commençait son cours normalement (appel, etc.), puis ensuite il prend ses feuilles et vient réciter ce que les élèves doivent écrire dans leur cahier en se plaçant juste derrière moi. C’est troublant, j’ai l’impression qu’il me mate.
Aujourd’hui je décide donc de rentrer dans son jeu : quand il vient se placer derrière moi, dans un geste voyant (mais dans le même temps imperceptible aux yeux du reste de la classe), je descends un peu plus mon pantalon taille basse afin de lui offrir une vue encore plus complète de mon string que celle qu’il avait déjà (qui était déjà pas mal).
Il réagit exactement comme je l’avais prévu : il se penche à mon oreille et me dit simplement : «Toi, tu vas rester à la fin de l’heure. ». Le cours passe. J’observe le prof qui, il faut l’avouer, est plutôt bien conservé et plutôt bel homme malgré son âge (il doit bien avoir 45 ans.).
Le moment tant attendu arriva enfin. La classe se vide, et je me retrouve seule à seule avec le prof. Il ne dit rien, s’affaire à fermer les fenêtres, les rideaux, et la porte. Une fois tout ceci accompli, il s’approche de moi et m’embrasse avec force, violant presque ma bouche avec sa langue.
Il me dit : «Si tu savais depuis combien de temps je rêvais de ça…»
Il m’enlève mon débardeur, et le jette par terre, il me dégrafe ensuite mon soutien-gorge, et attrape mes seins avec ses mains, caressant les tétons d’une façon très jouissive.
N’en pouvant plus, je m’agenouille devant lui. La bosse sous son pantalon est énorme. J’ouvre sa braguette, et, d’une main experte, extirpe le gros membre de son pantalon.
Nous n’avons rien fait, mais il bande déjà dur. Je commence donc à lui administrer une fellation dont j’ai le secret. Je le prends dans ma bouche et titille son gland avec ma langue. Mes va-et-vient sont doux, lents et érotiques. Je sens son sexe grossir un peu plus dans ma bouche de salope. Je bave un peu sur son sexe afin de me faciliter la tâche, et je le pompe comme je n’ai jamais pompé un homme.
Soudain, alors que je sens que son orgasme est proche il me lance, tel un ordre : «Penche-toi sur le bureau, sale pute, que je te donne la leçon que je mérite ! ».
J’obéis.
Il me baisse mon pantalon et mon string, et je me retrouve complètement nue, mon sexe épilé offert à lui.
Et là, sans prévenir, il me pénètre. Je sens son sexe m’arracher les entrailles. Il me pilonne avec une telle force que je ne peux retenir des petits halètements d’excitation, et chaque nouveau coup de reins est une nouvelle jouissance pour moi.
J’halète, telle une chienne en chaleur.
Il me baise, il me baise ! J’aimerais que ce moment n’aie pas de fin.
Mais non.
« A genoux, je veux me finir dans ta bouche ! ».
Alors je le reprends, finissant ce que j’avais commencé tout à l’heure. Je le suce, et soudain, il jouit. Je sens son chaud jus couler en moi. Je m’empresse de l’avaler.
Je lèche sa queue avec ma langue pour le nettoyer comme une cochonne avide de sperme.
Il se rhabille soudain, et je fais de même. Nous n’échangeons pas un mot.
Je me dirige donc vers la sortie, mais, au moment ou je vais ouvrir la porte, il me donne une petite tape sur le cul et me dit : « C’était vraiment bon, Charlène. A demain ! »
A demain…
Il faut l’avouer, je suis une petite salope : j’aime aguicher les hommes, les faire sortir de leur gonds, et me faire prendre par eux, sous toutes les positions possibles et imaginables.
Pour cette première histoire, je vais vous raconter une aventure qui m’est arrivée cette année au lycée (car oui, je suis en Terminale S, une bosseuse, donc, sous bien des domaines).
Quand je suis en cours, en bonne bavarde, je m’installe toujours au fond de la classe. Cependant, cela faisait plusieurs fois que je remarquais un étrange manège chez mon prof de mathématiques : il commençait son cours normalement (appel, etc.), puis ensuite il prend ses feuilles et vient réciter ce que les élèves doivent écrire dans leur cahier en se plaçant juste derrière moi. C’est troublant, j’ai l’impression qu’il me mate.
Aujourd’hui je décide donc de rentrer dans son jeu : quand il vient se placer derrière moi, dans un geste voyant (mais dans le même temps imperceptible aux yeux du reste de la classe), je descends un peu plus mon pantalon taille basse afin de lui offrir une vue encore plus complète de mon string que celle qu’il avait déjà (qui était déjà pas mal).
Il réagit exactement comme je l’avais prévu : il se penche à mon oreille et me dit simplement : «Toi, tu vas rester à la fin de l’heure. ». Le cours passe. J’observe le prof qui, il faut l’avouer, est plutôt bien conservé et plutôt bel homme malgré son âge (il doit bien avoir 45 ans.).
Le moment tant attendu arriva enfin. La classe se vide, et je me retrouve seule à seule avec le prof. Il ne dit rien, s’affaire à fermer les fenêtres, les rideaux, et la porte. Une fois tout ceci accompli, il s’approche de moi et m’embrasse avec force, violant presque ma bouche avec sa langue.
Il me dit : «Si tu savais depuis combien de temps je rêvais de ça…»
Il m’enlève mon débardeur, et le jette par terre, il me dégrafe ensuite mon soutien-gorge, et attrape mes seins avec ses mains, caressant les tétons d’une façon très jouissive.
N’en pouvant plus, je m’agenouille devant lui. La bosse sous son pantalon est énorme. J’ouvre sa braguette, et, d’une main experte, extirpe le gros membre de son pantalon.
Nous n’avons rien fait, mais il bande déjà dur. Je commence donc à lui administrer une fellation dont j’ai le secret. Je le prends dans ma bouche et titille son gland avec ma langue. Mes va-et-vient sont doux, lents et érotiques. Je sens son sexe grossir un peu plus dans ma bouche de salope. Je bave un peu sur son sexe afin de me faciliter la tâche, et je le pompe comme je n’ai jamais pompé un homme.
Soudain, alors que je sens que son orgasme est proche il me lance, tel un ordre : «Penche-toi sur le bureau, sale pute, que je te donne la leçon que je mérite ! ».
J’obéis.
Il me baisse mon pantalon et mon string, et je me retrouve complètement nue, mon sexe épilé offert à lui.
Et là, sans prévenir, il me pénètre. Je sens son sexe m’arracher les entrailles. Il me pilonne avec une telle force que je ne peux retenir des petits halètements d’excitation, et chaque nouveau coup de reins est une nouvelle jouissance pour moi.
J’halète, telle une chienne en chaleur.
Il me baise, il me baise ! J’aimerais que ce moment n’aie pas de fin.
Mais non.
« A genoux, je veux me finir dans ta bouche ! ».
Alors je le reprends, finissant ce que j’avais commencé tout à l’heure. Je le suce, et soudain, il jouit. Je sens son chaud jus couler en moi. Je m’empresse de l’avaler.
Je lèche sa queue avec ma langue pour le nettoyer comme une cochonne avide de sperme.
Il se rhabille soudain, et je fais de même. Nous n’échangeons pas un mot.
Je me dirige donc vers la sortie, mais, au moment ou je vais ouvrir la porte, il me donne une petite tape sur le cul et me dit : « C’était vraiment bon, Charlène. A demain ! »
A demain…
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
suis prof et j'ai eu plusieurs histoire de genre.... maintenant c'est fini... hélas
mais à lire ce recit j'en ai joui....
mais à lire ce recit j'en ai joui....
Je comprend que je suis fort en retard pour vous félicité, mais je viens seulement de lire votre excellente histoire.
Pourquoi n'écrivez-vous plu?
Vous avez le don... continuer SVP
encore bravo!
Julie
Pourquoi n'écrivez-vous plu?
Vous avez le don... continuer SVP
encore bravo!
Julie
O mon dieu comme elle etait bonne cette histoire j en ai jouis comme une fontaine
bonjour! histoire très excitante! j aimerais bien communiquer avec toi.
Très excitante ton histoire. Je mouille comme une salope,je vais devoir me doigter pour
me calmer.
me calmer.
Que 20 moi 30 je crois
je me suis branler grave en la lisant histoire j'ai joius au moins 20 fois en la lisans
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