Une petite chienne à partager
Récit érotique écrit par Chatoune [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-12-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Une petite chienne à partager
Ce soir-là, Toyboy attendait sa Maîtresse sagement à la maison. Il est rentré tard d’une journée de travail éreintante, mais Madame a été boire un verre avec quelques copines à 18h et n’est toujours pas rentrée.
A 21h Toyboy reçoit un premier sms : « Je rentre bientôt, mets toi nu ».
« oui Maîtresse ».
Il s’exécute immédiatement. Ce premier ordre donne le ton, lui qui était fatigué, il sent que cette soirée ne va pas être de tout repos. Puis un second sms : « Mets-toi au coin et attends mon prochain message à quatre pattes »Il obéit et se positionne dans le coin du salon où il a l’habitude de patienter, dans cette position, les couilles pendantes et le cul bien tendu. Il sent déjà l’excitation montée, sa queue se raidit légèrement et il a l’impression à chaque bruit que c’est sa maîtresse qui rentre. Il attend impatiemment le son de ses talons sur le parquet. Il est 21h42, cela fait bien 30 minutes qu’il n’a pas reçu de nouveau message, maîtresse le fait patienter volontairement, quelle peste, se dit-il.
A 21h45 :« Relève-toi et enfile un plug, le noir, je veux que ton cul soit déjà dilaté quand j’arrive. »Il sent la chaleur monter en lui, il va chercher le plug, un objet de taille moyenne, qui s’enfile facilement dans ses fesses, pour se lubrifier, il prend un peu de sa mouille avec son doigt, en dépose sur l’entrée de son cul et fait pénétrer le plug avec aisance. Toyboy se remet en position et attend à nouveau, le temps lui semble une éternité, malgré cela son sexe se raidit de plus en plus.
Quelques brèves minutes après, Maîtresse insère les clés dans la serrure et découvre son Toyboy en positon : sa tête est contre le mur, sa nuque baissée lui donne un air de toutou bien docile, ses bras musclés sont tendus et ses paumes contre le sol, il lui offre une vue délicieuse, un dos athlétique et surtout un petit cul bien ferme orné du plug qui ravit Madame.
A l’arrivée de Maîtresse, il a fait en sorte de bien maintenir sa position, se cambrant légèrement et à peine a-t-il entendu la porte s’ouvrir que sa queue était bien dressée, déjà enivrée. Il se demande à quelle sauce il va être mangé ce soir… Elle se penche sur lui, encore habillée, d’un long manteau qu’il sent contre son dos, elle glisse une main entre ses fesses et appuie sur le plug en même temps qu’elle s’étend sur lui, venant lui lécher l’oreille, puis mordiller son cou. Toyboy est en ébullition, il émet un soupir de plaisir, il sent son collant contre ses mollets et la pointe de son talon à côtés de ses pieds, il ne voit rien, mais il imagine Maîtresse vêtue tandis qu’il se donne à elle nu depuis près d’une heure.
D’un coup, madame lui l’enfonce une de ses culottes dans la bouche, il se raidit de surprise puis se détend immédiatement lorsqu’il goûte le tissu et ainsi la saveur de sa chatte sur sa langue. Elle enfouit ses doigts dans sa bouche plus profond encore, afin d’être sure que son Toyboy ne puisse même pas gémir et maintient le tout à l’air de ruban adhésif, qu’elle serre autour de la tête de sa petite chienne.
Afin de vérifier la bonne mise en place de son bâillon de fortune, maîtresse fesse son Toyboy, d’une main ferme, le claquement laisse une trace rouge sur le cul de cette chienne, mais aucun son ne sort de sa bouche. Madame est satisfaite, elle le félicite et l’encourage, « c’est bien ma petite pute, tu vas être sage ce soir, bien docile et faire tout ce que je te demande ».
Il hoche la tête tant bien que mal. La position est inconfortable et il sent encore un léger picotement sur ses fesses, suite à la claque de Maîtresse, néanmoins, son sexe ne cesse de se durcir et de mouiller, il sent un filet entre sa queue et le sol, il est en train de tremper le parquet de toute son excitation.
« Ce soir, je veux que tu sois mon toutou »Toyboy ne sait pas vraiment ce que cela signifie, mais il ne va pas tarder à le savoir.
Maîtresse s’absente le laissant à nouveau seul dans son coin, il entend simplement les va-et-vient de Madame dans la maison, elle semble chercher quelque chose.
Maîtresse revient, Toyboy ne voit toujours rien, les yeux rivés au sol, la tête face au mur. Elle fait glisser le long de sa raie un objet poilu, il s’interroge.
Madame retire le plug noir, essuie le fluide de son soumis au sol avec ses doigts et l’étale sur sa raie, elle a des projets plus grand pour ce petit cul. Elle saisit l’objet mystérieux et poilu, et le fait pénétrer doucement, Toyboy gémit, mais aucun son de sort de sa bouche, il sent le verre froid et humide rentrer dans son anus et des poils lui caresser l’entre-jambe. Il a l’impression que cet objet se dit que ça ne rentrera jamais, il ne se sent pas capable, mais docile et obéissant, il reste là sans bouger, tandis que sa maîtresse stimule sa verge et lui détend l’anus en faisant pénétrer ce gros plug poilu. En quelques secondes le voilà donc affublé d’une queue qui pend de son cul, comme celle d’un chien.
C’est finalement rentré, il a débandé, mais qu’est ce qu’il aime cette pénétration humiliante. Elle contrôle tout, il n’a pas son mot à dire, soumis, asservis, il s’offre à sa maîtresse et s’abandonne quitte à se retrouver à quatre pattes avec une queue poilue et bientôt un collier et une laisse autour du cou. Une vraie petite chienne.
Maîtresse ravie de cet accoutrement ordonne à sa chienne de se promener ainsi dans le salon.
Elle est assise sur le canapé, un verre de vin à la main et l’observe se ridiculiser.
« Aller plus vite », « Remue ta petite queue » « Lève la patte » « Fait le beau » « Au pied ».
Debout sur ses talons, sa petite chienne à ses côtés elle tient la laisse de son soumis d’une main et la cravache de l’autre. La cravache parcourt le dos musclé de son Toyboy, doucement, annonçant une punition prochaine. Le sexe de Toyboy se remet à durcir sous les caresses de sa maîtresse redoutant mais se réjouissant des coups à venir. A plusieurs reprises, maîtresse frappe le cul tendu de sa chienne, il se cambre et bande encore plus fort à chaque action, puis la cravache parcours ses couilles et sa bite gorgée, l’objet malmène ses testicules et son sexe lâche un jet de mouille au sol, il y en a plein, à nouveau, il trempe le parquet.
En voyant cela, Maîtresse s’agenouille au côté de sa chienne, lui enlève le bâillon « lèche salope, lèche ton jus, tu salis le sol, nettoie! »Il se penche lèche, aspire le liquide transparent, jusqu’à qu’il n’y ait plus une seule goutte. Il effectue la tâche parfaitement du premier coup. Parallèlement Maîtresse s’était mise derrière lui, avait jouer avec le plug et saisi sa bite pour la durcir davantage en effectuant des va-et-vient avec sa main agile sur sa queue. Autant vous dire que Toyboy était extrêmement dur à la fin du nettoyage. Il sentait la jouissance proche et le dit à sa maîtresse, qui lui infligea sans plus attendre une claque sur les couilles qui calma ses ardeurs.
« C’est moi qui décide quand tu jouis sale chienne. »« Oui maîtresse, pardon maîtresse. » « Maintenant va à quatre pattes dans la cuisine et prépare l’apéritif et ressers moi du vin. »« Oui maîtresse, tout ce que vous voudrez. »Madame savoure la fin de son verre et peut voir depuis le canapé du salon sa petite chienne s’affairer en cuisine. Elle se lève, se place derrière sa petite pute et appuie sur le gros plug qui se trouve dans son cul, Toyboy se contracte et émet un râle de plaisir aux stimulations de Maîtresse, elle ne s’arrête pas lui ordonnant de continuer, il essaie tant bien que mal tandis que les légers mouvements du plug lui masse la prostate. Sa bite est tellement dure, il a l’impression qu’elle va exploser.
Maîtresse va se rasseoir et attend que sa petite chienne lui apporte de quoi grignoter et quoi boire, elle l’ignore totalement et Toyboy est complètement soumis, attendant le moindre signe de Madame, ne sachant que faire, il se met à quatre pattes face à elle et implore de son regard de chien battu une consigne.
Après quelques minutes Maîtresse le regarde à nouveau « lèche mes pieds ».
Il s’exécute et se délecte de ses talons aiguilles et de la texture du collant noir transparent de Madame. Parfois elle lui enfonce le bout pointu de sa chaussure dans la bouche, puis elle change de pied, pendant qu’il lui baise un pied, elle parcourt la bite en érection de son Toyboy avec la pointe de son talon, jouant avec, la faisant durcir davantage encore, donnant des petits coups sur les couilles de sa petite chienne.
« Enlève mes chaussures. »Il obéit, continue à embraser ses pieds, jusqu’à que Maîtresse en aie marre et saisisse avec ses deux pieds sa queue. Elle le branle, le nylon de son collant fait glisser encore plus facilement ses pieds sur son sexe, trempé de mouille, elle le stimule jusqu’à qu’il soit obligé de lui signifier la jouissance à venir.
Maîtresse s’interrompt rapidement, le saisi par les couilles et le place sur ses genoux, la bite contre ses jambes les fesses bien offertes à elle, avec cette queue de chienne docile qui sort de son cul et elle le punit, suffisamment fort pour qu’il soit obligé de mordre, le tissu du canapé pour étouffer ses cris. Les lanières du fouet claquent sur ses deux fesses, l’une après l’autre elle rougisse et sa queue coincée entre le poids de son corps et les jambes de maîtresse, se durcit à nouveau.
« Je t’ai demandé d’être sage et docile ce soir, c’est moi qui décide quand tu dois jouir. » « Pardonnez moi maîtresse. »« En plus, je t’ai réservé une surprise ce soir… »La sonnette de la porte d’entrée retentit.
A suivre….
A 21h Toyboy reçoit un premier sms : « Je rentre bientôt, mets toi nu ».
« oui Maîtresse ».
Il s’exécute immédiatement. Ce premier ordre donne le ton, lui qui était fatigué, il sent que cette soirée ne va pas être de tout repos. Puis un second sms : « Mets-toi au coin et attends mon prochain message à quatre pattes »Il obéit et se positionne dans le coin du salon où il a l’habitude de patienter, dans cette position, les couilles pendantes et le cul bien tendu. Il sent déjà l’excitation montée, sa queue se raidit légèrement et il a l’impression à chaque bruit que c’est sa maîtresse qui rentre. Il attend impatiemment le son de ses talons sur le parquet. Il est 21h42, cela fait bien 30 minutes qu’il n’a pas reçu de nouveau message, maîtresse le fait patienter volontairement, quelle peste, se dit-il.
A 21h45 :« Relève-toi et enfile un plug, le noir, je veux que ton cul soit déjà dilaté quand j’arrive. »Il sent la chaleur monter en lui, il va chercher le plug, un objet de taille moyenne, qui s’enfile facilement dans ses fesses, pour se lubrifier, il prend un peu de sa mouille avec son doigt, en dépose sur l’entrée de son cul et fait pénétrer le plug avec aisance. Toyboy se remet en position et attend à nouveau, le temps lui semble une éternité, malgré cela son sexe se raidit de plus en plus.
Quelques brèves minutes après, Maîtresse insère les clés dans la serrure et découvre son Toyboy en positon : sa tête est contre le mur, sa nuque baissée lui donne un air de toutou bien docile, ses bras musclés sont tendus et ses paumes contre le sol, il lui offre une vue délicieuse, un dos athlétique et surtout un petit cul bien ferme orné du plug qui ravit Madame.
A l’arrivée de Maîtresse, il a fait en sorte de bien maintenir sa position, se cambrant légèrement et à peine a-t-il entendu la porte s’ouvrir que sa queue était bien dressée, déjà enivrée. Il se demande à quelle sauce il va être mangé ce soir… Elle se penche sur lui, encore habillée, d’un long manteau qu’il sent contre son dos, elle glisse une main entre ses fesses et appuie sur le plug en même temps qu’elle s’étend sur lui, venant lui lécher l’oreille, puis mordiller son cou. Toyboy est en ébullition, il émet un soupir de plaisir, il sent son collant contre ses mollets et la pointe de son talon à côtés de ses pieds, il ne voit rien, mais il imagine Maîtresse vêtue tandis qu’il se donne à elle nu depuis près d’une heure.
D’un coup, madame lui l’enfonce une de ses culottes dans la bouche, il se raidit de surprise puis se détend immédiatement lorsqu’il goûte le tissu et ainsi la saveur de sa chatte sur sa langue. Elle enfouit ses doigts dans sa bouche plus profond encore, afin d’être sure que son Toyboy ne puisse même pas gémir et maintient le tout à l’air de ruban adhésif, qu’elle serre autour de la tête de sa petite chienne.
Afin de vérifier la bonne mise en place de son bâillon de fortune, maîtresse fesse son Toyboy, d’une main ferme, le claquement laisse une trace rouge sur le cul de cette chienne, mais aucun son ne sort de sa bouche. Madame est satisfaite, elle le félicite et l’encourage, « c’est bien ma petite pute, tu vas être sage ce soir, bien docile et faire tout ce que je te demande ».
Il hoche la tête tant bien que mal. La position est inconfortable et il sent encore un léger picotement sur ses fesses, suite à la claque de Maîtresse, néanmoins, son sexe ne cesse de se durcir et de mouiller, il sent un filet entre sa queue et le sol, il est en train de tremper le parquet de toute son excitation.
« Ce soir, je veux que tu sois mon toutou »Toyboy ne sait pas vraiment ce que cela signifie, mais il ne va pas tarder à le savoir.
Maîtresse s’absente le laissant à nouveau seul dans son coin, il entend simplement les va-et-vient de Madame dans la maison, elle semble chercher quelque chose.
Maîtresse revient, Toyboy ne voit toujours rien, les yeux rivés au sol, la tête face au mur. Elle fait glisser le long de sa raie un objet poilu, il s’interroge.
Madame retire le plug noir, essuie le fluide de son soumis au sol avec ses doigts et l’étale sur sa raie, elle a des projets plus grand pour ce petit cul. Elle saisit l’objet mystérieux et poilu, et le fait pénétrer doucement, Toyboy gémit, mais aucun son de sort de sa bouche, il sent le verre froid et humide rentrer dans son anus et des poils lui caresser l’entre-jambe. Il a l’impression que cet objet se dit que ça ne rentrera jamais, il ne se sent pas capable, mais docile et obéissant, il reste là sans bouger, tandis que sa maîtresse stimule sa verge et lui détend l’anus en faisant pénétrer ce gros plug poilu. En quelques secondes le voilà donc affublé d’une queue qui pend de son cul, comme celle d’un chien.
C’est finalement rentré, il a débandé, mais qu’est ce qu’il aime cette pénétration humiliante. Elle contrôle tout, il n’a pas son mot à dire, soumis, asservis, il s’offre à sa maîtresse et s’abandonne quitte à se retrouver à quatre pattes avec une queue poilue et bientôt un collier et une laisse autour du cou. Une vraie petite chienne.
Maîtresse ravie de cet accoutrement ordonne à sa chienne de se promener ainsi dans le salon.
Elle est assise sur le canapé, un verre de vin à la main et l’observe se ridiculiser.
« Aller plus vite », « Remue ta petite queue » « Lève la patte » « Fait le beau » « Au pied ».
Debout sur ses talons, sa petite chienne à ses côtés elle tient la laisse de son soumis d’une main et la cravache de l’autre. La cravache parcourt le dos musclé de son Toyboy, doucement, annonçant une punition prochaine. Le sexe de Toyboy se remet à durcir sous les caresses de sa maîtresse redoutant mais se réjouissant des coups à venir. A plusieurs reprises, maîtresse frappe le cul tendu de sa chienne, il se cambre et bande encore plus fort à chaque action, puis la cravache parcours ses couilles et sa bite gorgée, l’objet malmène ses testicules et son sexe lâche un jet de mouille au sol, il y en a plein, à nouveau, il trempe le parquet.
En voyant cela, Maîtresse s’agenouille au côté de sa chienne, lui enlève le bâillon « lèche salope, lèche ton jus, tu salis le sol, nettoie! »Il se penche lèche, aspire le liquide transparent, jusqu’à qu’il n’y ait plus une seule goutte. Il effectue la tâche parfaitement du premier coup. Parallèlement Maîtresse s’était mise derrière lui, avait jouer avec le plug et saisi sa bite pour la durcir davantage en effectuant des va-et-vient avec sa main agile sur sa queue. Autant vous dire que Toyboy était extrêmement dur à la fin du nettoyage. Il sentait la jouissance proche et le dit à sa maîtresse, qui lui infligea sans plus attendre une claque sur les couilles qui calma ses ardeurs.
« C’est moi qui décide quand tu jouis sale chienne. »« Oui maîtresse, pardon maîtresse. » « Maintenant va à quatre pattes dans la cuisine et prépare l’apéritif et ressers moi du vin. »« Oui maîtresse, tout ce que vous voudrez. »Madame savoure la fin de son verre et peut voir depuis le canapé du salon sa petite chienne s’affairer en cuisine. Elle se lève, se place derrière sa petite pute et appuie sur le gros plug qui se trouve dans son cul, Toyboy se contracte et émet un râle de plaisir aux stimulations de Maîtresse, elle ne s’arrête pas lui ordonnant de continuer, il essaie tant bien que mal tandis que les légers mouvements du plug lui masse la prostate. Sa bite est tellement dure, il a l’impression qu’elle va exploser.
Maîtresse va se rasseoir et attend que sa petite chienne lui apporte de quoi grignoter et quoi boire, elle l’ignore totalement et Toyboy est complètement soumis, attendant le moindre signe de Madame, ne sachant que faire, il se met à quatre pattes face à elle et implore de son regard de chien battu une consigne.
Après quelques minutes Maîtresse le regarde à nouveau « lèche mes pieds ».
Il s’exécute et se délecte de ses talons aiguilles et de la texture du collant noir transparent de Madame. Parfois elle lui enfonce le bout pointu de sa chaussure dans la bouche, puis elle change de pied, pendant qu’il lui baise un pied, elle parcourt la bite en érection de son Toyboy avec la pointe de son talon, jouant avec, la faisant durcir davantage encore, donnant des petits coups sur les couilles de sa petite chienne.
« Enlève mes chaussures. »Il obéit, continue à embraser ses pieds, jusqu’à que Maîtresse en aie marre et saisisse avec ses deux pieds sa queue. Elle le branle, le nylon de son collant fait glisser encore plus facilement ses pieds sur son sexe, trempé de mouille, elle le stimule jusqu’à qu’il soit obligé de lui signifier la jouissance à venir.
Maîtresse s’interrompt rapidement, le saisi par les couilles et le place sur ses genoux, la bite contre ses jambes les fesses bien offertes à elle, avec cette queue de chienne docile qui sort de son cul et elle le punit, suffisamment fort pour qu’il soit obligé de mordre, le tissu du canapé pour étouffer ses cris. Les lanières du fouet claquent sur ses deux fesses, l’une après l’autre elle rougisse et sa queue coincée entre le poids de son corps et les jambes de maîtresse, se durcit à nouveau.
« Je t’ai demandé d’être sage et docile ce soir, c’est moi qui décide quand tu dois jouir. » « Pardonnez moi maîtresse. »« En plus, je t’ai réservé une surprise ce soir… »La sonnette de la porte d’entrée retentit.
A suivre….
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