une première fois heureuse (2/2)

- Par l'auteur HDS Eriqueue -
Récit érotique écrit par Eriqueue [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : une première fois heureuse (2/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-08-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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(2.0 / 10)

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une première fois heureuse (2/2)
Si vous avez lu la première partie de la véritable histoire de mon initiation aux plaisirs entre hommes, je vous rappelle simplement que, âgé de 17 ans, je suis tombé sous le charme du patron chez lequel j'avais un petit boulot saisonnier. Cette première rencontre me permit de découvrir combien il était agréable de jouir avec la bouche, la main et les doigts d'un homme...

Trois jours après cette expérience inoubliable au cours de laquelle il m'a fait jouir comme jamais je ne l'avais fait jusqu'alors, Éric m'a dit de passer à la caravane ce soir après le boulot. Il me fit un clin d’œil complice et plein de promesse. Cette journée fut longue tant j'attendais cette deuxième phase de mon initiation. A l'heure dite et après avoir bu un verre, il me proposa de passer dans la chambre et de se déshabiller sans autre préliminaire en me précisant toutefois que les choses iraient tout en douceur. D'ailleurs, une fois allongés l'un à côté de l'autre, il commença à m'embrasser un peu partout, me fit pivoter sur le ventre. Je sentis ses lèvres à nouveau sur ma nuque, sur mes omoplates et elles descendirent, précédées par le bout de ses doigts, le long de ma colonne, le creux de mes reins dont il tira les quelques poils avec ses dents, puis sur mes fesses. Un globe, puis l'autre que ses mains pétrissaient et qu'elles finirent par écarter largement pour exposer au fond de ma raie légèrement poilue ma rondelle, brune et légèrement crispée. Après ses doigts, c'est sa langue qui se perdit dans l'une et se posa sur l'autre. Rapidement, je retrouvais les douces sensations de l'autre soir et je sentis mon petit trou se détendre. Éric s'appliqua à bien le lécher, à l'inonder de sa salive pour y introduire sa langue et son doigt : que ces préliminaires sont agréables ! Je sens ma rondelle devenir élastique. Il l'enfonce tout en le faisant tourner. Il le retire, m'écarte encore les fesses, me crache de nouveau dans le trou que je sais maintenant ouvert.
Son doigt s'enfonce de nouveau, tourne, se plie et en tournant me provoque une réaction divine qui me fait me contracter et me tortiller tout à la fois.- Tu aimes ?
Je ne te fais pas mal ? - Oh non ! Continue c'est super bon ! - T'as la prostate sensible, tu vas voir ça va être formidable ! Reste calme, laisse-toi aller ! Rassuré par ma réaction il continue avec patience à assouplir cette rondelle que personne encore n'a pénétrée. Il entre alors un second doigt et ma rondelle s'agrandit à ma grande surprise sans trop de difficultés. Je sens toutefois que nous arrivons à une extrémité. Après m'avoir bien léché, caressé les fesses, agrandi la rondelle, il se met à genou derrière moi, m'attrape par les hanches, me relève le bassin un peu plus haut. J'ai le cul en l'air et la tête dans l'oreiller ! Il branle un peu sa queue pour bien la rigidifier J'ai compris, le moment de vérité est arrivé ! Instinctivement, je serre les fesses, c'est bien le cas de le dire. Il le voit, me demande de bien me relâcher, que je suis une magnifique levrette. Son gland s'appuie sur ma rondelle, ouverte au maximum. Il appuie doucement, la tête s'engage. Je me contracte involontairement. Il force un peu plus. - Vas-y, doucement ! - Décontracte-toi !
Laisse faire. - J'essaie ! Il reprend sa pression, je sens son gland commencer son intromission. Je serre les dents, essaie de rester calme, maîtriser mon inquiétude.
Lui, d'une poussée franche me pénètre. Le col est passé, il est dans la place, s'arrête. J'ai mal, mais ce mal déjà s'atténue. Ma rondelle est tendue à mort. Je me demande si elle n'a pas explosée lors du passage du renflement de son gland. Mais la douleur qui déjà va s'atténuant me dit que non. Maintenant je sens la queue d’Éric reprendre sa progression et déjà des sensations de plaisir inattendues irradient dans tout mon corps. Il s'enfonce en moi, jusqu'à la garde. Je sens son bassin contre mon cul. Il se retire, puis se renfonce, il me lime lentement, sur toute la longueur de sa queue que je reçois avec un immense plaisir. Que c'est bon ! Alors je l'encourage de la voix à continuer, à aller plus vite, plus loin, plus fort. Ce sont des sensations inexplicables, extraordinaires, la sensation que nous ne faisons qu'un. Cela dure un bon moment. J'entends, je sens claquer ses couilles contre les miennes et son ventre contre mes fesses. Par ses accélérations, ses amplitudes, ses ralentissements il fait durer jusqu'à ce que lui comme moi soyons prêts à jouir. Je sens alors un liquide chaud qui emplit mes entrailles en un premier jet long et puissant et suivi par d'autres. Simultanément, ma queue, qu'il branlait en ayant passé sa main sous mon ventre, se raidit et gonfla encore avant d'exploser à son tour et d'inonder les draps et mon menton  de foutre tout aussi chaud et abondant. Les spasmes produits par cette jouissance inconnue jusqu'à ce jour contractèrent les muscles de mon anus ce qui intensifia encore, Éric me l'avoua plus tard, les sensations  d'étau dans lequel sa queue était prise ; démultipliant ainsi les effets d'étranglement ressentis tout au long de sa tige. Un dernier coup de rein fit surgir les dernières gouttes à la fois dans mon cul et sur le lit. Couverts l'un et l'autre de sueur, on s'écroula. Moi sur le lit et Éric sur moi, sa queue encore raide dans mon cul. Je la sentis se rétracter bientôt, sortir lentement de mon trou d'où s'échappèrent quelques traînées de jus.
Soulagé et heureux des douces et divines conditions de ce dépucelage je me tourne vers Éric et dépose sur ses lèvres un fougueux baiser plein de reconnaissance. Quelques baisers supplémentaires, quelques caresses de plus, quelques mots doux, nous nous levons, allons sous la douche avant de nous coucher pour une excellente nuit réparatrice et un bonheur tout neuf. Ah oui, j'oubliais, cette histoire (vraie) s'est déroulée il y a trente ans. A l'époque bénie où l'on pouvait s'aimer et baiser sans retenue et... sans capote. Mais aujourd'hui, pas de blague : sortez couvert.

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