Une première fois réussie avec un homme dans la nature.

- Par l'auteur HDS Maerylin -
Récit érotique écrit par Maerylin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Une première fois réussie avec un homme dans la nature. Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-09-2007 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Une première fois réussie avec un homme dans la nature.
J’avais écrit une annonce sur un site gay. J’y parlais de mon désir de passer un moment sensuel, de mon envie de trouver un homme actif qui me fasse découvrir les joies de la sodomie. Pourtant je suis marié et plutôt comblé de ce côté mais c’est une envie de découvrir de nouveaux plaisirs qui m’a donné l’envie de publier cette annonce. J’ai toujours été très excité quand je me doigtais le cul. Si j’avais pu trouver une femme qui aie envie d’utiliser un gode-ceinture sur un homme, je n’aurais peut-être jamais eu d’expérience homo, mais ce n’avais pas été le cas...heureusement peut-être. Et puis j’étais sur d’avoir des réponses, c’est l’avantage du milieu gay. Un étudiant de 27 ans m’a répondu, il m’a dit qu’il avait trouvé mon annonce belle. Je lui ai envoyé ma photo, lui la sienne, et en le voyant, je me suis tout de suite dit qu’avec lui, je pourrais avoir une relation. Il était fin, un air sensible et intelligent. Après quelques mails, comme aucun de nous deux ne pouvais recevoir, nous avons décidé d’un plan nature. La veille de ma rencontre, j’ai à peine dormi tellement j’étais excité et troublé. Je me demandais quelle sera ma réaction devant lui, est-ce que j’allais bander, avoir mal ou si je serai mal à l’aise une fois que j’aurai joui.
On s’est rencontré devant une gare et on a commencé par boire un verre dans un bar, en terrasse. On a discuté de nos boulots, de nos vies, je n’ai pas osé lui dire que j’étais marié, j’avais quand même un peu honte de tromper ma femme. Il avait des cheveux longs, il était grand et surtout, il était sympa. Il m’a même dit que si je voulais, on pouvait aujourd’hui, seulement boire un verre et se revoir une autre fois, mais j’avais envie de le faire. On est monté dans ma bagnole et on a cherché un coin tranquille ou je pourrai étendre ma couverture. Ce n’est pas si facile, vu qu’on ne voulait pas être surpris. On s’est retrouvé en bas d’un alpage, dans un coin sans bouse de vache. La nuit tombait. Ben m’a demandé ce que je voulais faire, mais je l’ai laissé prendre les commandes. Il a commence par me masser le dos, j’avais enlevé mon T-shirt malgré la fraîcheur de l’air. On entendait les cloches des vaches, les insectes dans l’herbe. Ensuite, il m’a massé le torse, les jambes, mes doigts de pieds, mes genoux, il me frôlait mon sexe déjà dur, de plus en plus souvent, me faisant frissonner de désir.
Je regardais la cime des sapins et une étoile en dessus. Il faisait de plus en plus sombre. Il a enlevé mon pantalon, mais pas encore mon caleçon et a touché ma queue au travers le tissu, il me l’a massé longuement, puis il s’est allongé sur moi, sa langue sur ma joue, la bosse de son pantalon écrasait mon sexe, c’était tellement bon. Après encore de petits massages qui m’excitaient énormément, j’attendais enfin qu’il sorte ma queue et qu’il me la touche franchement, mais cette attente était sublime. Quand elle a été enfin sortie, il m’a serré les couilles dans sa main, et de l’autre, il a commencé à me branler. Puis il a joué avec sa langue sur les parties sensibles de ma queue, gobant mes couilles, je lui caressais les cheveux pour lui montrer que j’aimais sa douceur et sa précision. Il a enfin enlevé son propre pantalon, et après l’avoir caressée, j’ai sorti sa bite de son slip pour la prendre à pleine main et faire des vas et viens en la serrant fort. C’était la première fois que je touchais une autre queue que la mienne. Elle était chaude, son gland était humide, et elle m’a semblé bien épaisse. Cela me plaisait de le regarder, il avait l’air d’apprécier énormément mes attouchements. La situation m’excitait tellement. J’avais conscience d’être là, dans ce champ, la nuit avec un inconnu que je faisais gémir avec les cloches de vaches un peu plus haut qu’on entendait.
Il s’est recouché sur moi, j’ai à nouveau senti sa queue écraser la mienne, mais en sentant sa chaleur en plus. Il a sorti de l’emballage une capote et le gel lubrifiant, je me suis tendu mais il a d’abord recommencé à me lécher les couilles, à me sucer la bite, à passer ta langue entre mes couilles et mes jambes. Ensuite il a enfilé un de ses doigts entre mes fesses, quel plaisir, un doigt puis deux. Je ne pouvais plus attendre, et enfin, il a enfilé la capote et il m’a levé les fesses, j’avais les jambes pliées contre moi, et il m’a pénétré. J’ai senti une douleur vive, alors, il est ressorti et il a recommencé à me masser l’anus avec ses doigts. Je lui ai demandé de réessayer doucement, et cette fois, sa queue est entrée en moi sans douleur. J’aimais ça, le sentir en moi. Il m’a limé 3 minutes et puis il m’a demandé de me retourner sur le ventre. Excité comme jamais, j’ai levé un peu les fesses pour l’aider à entrer. Et il m’a pris. Le temps de la douceur était passé. Il est allé beaucoup plus profond, couché sur moi, je me soumettais à ses coups de boutoir, sa bite venant et sortant de mon corps, défonçant mes intestins, m’extirpant un râle à chaque venue, le plaisir se propageant dans tout mon ventre, faisant vibrer chaqu’un de mes organes. Il pesait de tout son poids sur moi, s’octroyant de courtes pauses pour remettre du gel et il revenait sauvagement entre mes fesses, continuant d’entrer et de sortir de mon cul. J’étais totalement offert, il m’a tellement bien sodomisé, j’étais si content de l’avoir rencontré. Content d’avoir enfin fait le pas, d’avoir écrit une annonce, qu’il y ait répondu, d’avoir baisé avec un homme. Il m’a limé à fond ainsi pendant un long et fantastique moment, et je ne pouvais empêcher mes cris de sortir à chaque coup qu’il me portait, à chaque assaut que sa queue portait à mon ventre, à chaque fois que je sentais sa bite dure et chaude au plus profond de moi déplier mes intestins.
Jouissant à moitié, il a cru que la capote s’était déchirée et il est sorti de moi. Heureusement, il s’était trompé, le préservatif était intact. Malgré que je n’avais pas encore joui, je me sentais rassasié, très bien. On a parlé un petit peu, je lui ai dis comme j’avais aimé le sentir en moi, et il a commencé à me branler. J’ai pris son sexe dans ma main et j’ai aussi commencé à faire des vas et viens. On a joui rapidement, il est venu en me voyant éjaculer sur mon ventre. J’ai senti son liquide chaud sur mes doigts. Il m’a nettoyé avec des mouchoirs et on est rentré chaqu’un chez soi, certain de se revoir encore quelques fois.

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