Une rencontre improbable et incroyable, histoire vraie suite
Récit érotique écrit par Bonnebite833000000 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une rencontre improbable et incroyable, histoire vraie suite
Plusieurs heures s'étaient écoulées depuis Bordeaux et du fait qu'on s'est arrêté un bon moment sur une aire d'autoroute pour se câliner et surtout faire l'amour et aussi diner à Toulouse, que nous étions seulement entre Carcassonne et Narbonne. Elle avait mis son bras autour de mon cou et sa tête reposait sur mes épaules. J'étais bien, je l'entendais respirer car elle s'était assoupie et dormait paisiblement.
Je faisais attention de ne pas la réveiller et au bout d'un moment, après tous ces efforts, le sommeil me gagna également et je m'arrêtai sur une air d'autoroute pour me reposer un peu.
Deux bonnes heures après, j'ai repris la route.
Elle s'est réveillée quand nous sommes arrivés dans les Bouches du Rhône; plus précisément à Arles.
Il était 6 heures du matin, elle est venue à nouveau se blottir contre moi tellement fort que je pouvais sentir sa respiration, on était bien, on était heureux mais surtout je me mis à bander tellement à son contact que mon pantalon était déformé. Elle s'en aperçue et me dit en souriant: tu démarres au quart de tour, c'est bien, c'est bon hummmmm!!!!! j'ai envie de te sucer.
Le jour commençait à poindre mais il faisait encore sombre. On s'est arrêté sur un petit chemin que je connaissais, elle a sorti ma bite et m'a sucé mais je ne voulais pas éjaculer car nous étions pas très loin de notre destination. Après avoir fait quelques va et vient et sentant la sève monter, je l'arrêtai et en la relevant et en prenant sa jolie tête dans mes mains, je l'embrassai très très fort puis je lui dis: tout à l'heure ma chérie, on sera mieux dans un lit. Elle me sourit et me dit: ok d'accord, tu as raison.
Puis je lui dis: si tu veux, tu peux venir chez moi et tu pourras rester le temps que tu voudras?
Elle m'embrassa et me dit, oui je veux bien merci. Je n'osais pas te le demander mais je ne veux pas retourner chez moi à Aix maintenant. Je lui dis: merci à toi j'en suis très heureux et tu seras comme ma femme autant de temps que tu le voudras. Elle me sourit à nouveau et se blottit très très fort contre moi en me disant: je suis bien avec toi.
Arrivé à Martigues, je me suis arrêté pour prendre le pain et les croissants et on est allé à la maison.
J'ai débâché la piscine et l'eau était à 30 degré. Après avoir pris le petit déjeuner, on s'est mis nu et on a piqué une tête dans la piscine. Personne ne pouvait nous voir car je n'ai pas de vis à vis.
Elle riait aux éclats et après s'être bien dépensé, je lui proposai de lui faire couler un bain.
L'eau était chaude et parfumée, on s'est frotté mutuellement, c'était très agréable de voir ses beaux seins en forme de poire réagir à mes caresses.
Puis elle me dit: tu sais, je ne me suis jamais fait sodomiser, des hommes ont essayé mais je n'ai jamais voulu car je trouvais ça sale. Mais quand tu m'as embrassé la chatte et que tu as enfoncé un doigt puis deux, j'ai voulu les retirer mais je ne sais pas pourquoi, je ne l'ai pas fait et je t'ai laissé faire et je dois dire que cela m'a procuré beaucoup de plaisir et tu m'as fais jouir comme jamais j'ai joui. J'ai ressenti énormément de plaisir une onde de chaleur m'a envahi ma chatte et mes fesses. J'aimerais bien essayé avec toi mais quand je vois ton sexe énorme, j'ai peur, j'appréhende.je l'ai rassuré en lui disant que la grosseur et la longueur du sexe ne jouait pas quant à avoir mal mais sur le fait que l'homme devait faire très attention à sa partenaire et qu'il devait être très doux. Je lui dis également que j'ai connu des femmes qui jouissaient énormément et furieusement quand elles se faisaient enculer. Elle fut rassurée et me dit en me fixant: je veux essayée.
On est sorti de la baignoire et on est allé dans la chambre.
Je m'allongeai sur le lit et elle sur moi mais tête bèche en 69. Elle prit mon pénis dans sa bouche et d'adonna à me sucer. Elle me dit: j'aimerais l'avaler complètement. Je lui dit: essaies et elle poussait tellement que je sentais sa glotte s'ouvrir. quand elle ressortait, elle avait les larmes aux yeux et de longs filaments joignaient sa bouche à ma queue.
Je lui suçais la chatte en enfonçant au maximum ma langue dans son vagin. Elle se tordait dans tous les sens en gémissant.
Elle mouillait tellement que j'en étais inondé et quand elle poussait des petits cris, des petits jets d'urine mélangée à sa cyprine sortait de sa chatte. J'avalais tout, je me régalais, c'était trop bon, je me délectais de son nectar. J'enfonçais ma langue dans son anus qui s'ouvrait assez aisément pour me laisser le passage et ensuite je lui enfonçais un doigt puis deux pour habituer son oeillet.
Elle se retourna et en m'embrassant très très fort, elle me dit: encule moi maintenant.
Elle se mit à genou puis en mouillant son anus avec ma langue, je présentai mon gland et pressai tout doucement sur son petit trou qui s'ouvrait sans trop de difficulté.
Je lui murmurai à l'oreille: écoute, je reste immobile et c'est toi qui va t'enculer toute seule.
Tu n'as qu'à poussé sur ma queue, c'est toi qui dirige. Petit à petit, je vis ma bite entrée dans son rectum, Elle s'arrêtait de temps en temps puis reprenais l'enculade. Au bout d'un moment, ma bite disparue complètement dans son cul et elle vint frapper mon bas ventre avec ses fesses.
On resta un petit moment sans bouger; le temps qu'elle s'habitue à mon mandrin puis elle commença tout doucement puis de plus en plus vite les va et vient. Elle me dit: à toi de jouer maintenant je n'ai pas mal bien au contraire, prends ton rythme de croisière.
Je lui limais son rectum pendant qu'elle branlait son clito. Elle ne pu se retenir longtemps, elle bougeait son cul dans tous les sens et une grosse vague de chaleur l'envahie et en poussant un râle, elle jouit furieusement, elle expulsait une grosse quantité de mouille, elle en avait plein la main.
J'en profitai pour la lui lécher. Je voyais son anus trempé et ma queue qui glissait aisément entre les parois. N'en pouvant plus de me retenir, je me tendis comme un arc et me vidai dans ses entrailles.
On est resté un moment collé l'un dans l'autre et ma bite sortit toute seul une fois ramollie.
Après m'avoir embrassé, elle me dit, je suis contente de l'avoir fait et malgré ton sexe énorme, je n'ai pas eu mal du tout, bien au contraire, j'ai ressenti un plaisir nouveau et ça me plait beaucoup.
On le refera souvent, j'adore.
On est retourné dans la salle de bain pour se laver et on s'est couché pour se reposer un peu.
Elle est restée quelques jours chez moi puis je l'ai raccompagné à Aix.
Je vous raconterai la suite dans une autre histoire pour ne pas la rendre trop longue.
A bientôt.
Bisous à tous.
Je faisais attention de ne pas la réveiller et au bout d'un moment, après tous ces efforts, le sommeil me gagna également et je m'arrêtai sur une air d'autoroute pour me reposer un peu.
Deux bonnes heures après, j'ai repris la route.
Elle s'est réveillée quand nous sommes arrivés dans les Bouches du Rhône; plus précisément à Arles.
Il était 6 heures du matin, elle est venue à nouveau se blottir contre moi tellement fort que je pouvais sentir sa respiration, on était bien, on était heureux mais surtout je me mis à bander tellement à son contact que mon pantalon était déformé. Elle s'en aperçue et me dit en souriant: tu démarres au quart de tour, c'est bien, c'est bon hummmmm!!!!! j'ai envie de te sucer.
Le jour commençait à poindre mais il faisait encore sombre. On s'est arrêté sur un petit chemin que je connaissais, elle a sorti ma bite et m'a sucé mais je ne voulais pas éjaculer car nous étions pas très loin de notre destination. Après avoir fait quelques va et vient et sentant la sève monter, je l'arrêtai et en la relevant et en prenant sa jolie tête dans mes mains, je l'embrassai très très fort puis je lui dis: tout à l'heure ma chérie, on sera mieux dans un lit. Elle me sourit et me dit: ok d'accord, tu as raison.
Puis je lui dis: si tu veux, tu peux venir chez moi et tu pourras rester le temps que tu voudras?
Elle m'embrassa et me dit, oui je veux bien merci. Je n'osais pas te le demander mais je ne veux pas retourner chez moi à Aix maintenant. Je lui dis: merci à toi j'en suis très heureux et tu seras comme ma femme autant de temps que tu le voudras. Elle me sourit à nouveau et se blottit très très fort contre moi en me disant: je suis bien avec toi.
Arrivé à Martigues, je me suis arrêté pour prendre le pain et les croissants et on est allé à la maison.
J'ai débâché la piscine et l'eau était à 30 degré. Après avoir pris le petit déjeuner, on s'est mis nu et on a piqué une tête dans la piscine. Personne ne pouvait nous voir car je n'ai pas de vis à vis.
Elle riait aux éclats et après s'être bien dépensé, je lui proposai de lui faire couler un bain.
L'eau était chaude et parfumée, on s'est frotté mutuellement, c'était très agréable de voir ses beaux seins en forme de poire réagir à mes caresses.
Puis elle me dit: tu sais, je ne me suis jamais fait sodomiser, des hommes ont essayé mais je n'ai jamais voulu car je trouvais ça sale. Mais quand tu m'as embrassé la chatte et que tu as enfoncé un doigt puis deux, j'ai voulu les retirer mais je ne sais pas pourquoi, je ne l'ai pas fait et je t'ai laissé faire et je dois dire que cela m'a procuré beaucoup de plaisir et tu m'as fais jouir comme jamais j'ai joui. J'ai ressenti énormément de plaisir une onde de chaleur m'a envahi ma chatte et mes fesses. J'aimerais bien essayé avec toi mais quand je vois ton sexe énorme, j'ai peur, j'appréhende.je l'ai rassuré en lui disant que la grosseur et la longueur du sexe ne jouait pas quant à avoir mal mais sur le fait que l'homme devait faire très attention à sa partenaire et qu'il devait être très doux. Je lui dis également que j'ai connu des femmes qui jouissaient énormément et furieusement quand elles se faisaient enculer. Elle fut rassurée et me dit en me fixant: je veux essayée.
On est sorti de la baignoire et on est allé dans la chambre.
Je m'allongeai sur le lit et elle sur moi mais tête bèche en 69. Elle prit mon pénis dans sa bouche et d'adonna à me sucer. Elle me dit: j'aimerais l'avaler complètement. Je lui dit: essaies et elle poussait tellement que je sentais sa glotte s'ouvrir. quand elle ressortait, elle avait les larmes aux yeux et de longs filaments joignaient sa bouche à ma queue.
Je lui suçais la chatte en enfonçant au maximum ma langue dans son vagin. Elle se tordait dans tous les sens en gémissant.
Elle mouillait tellement que j'en étais inondé et quand elle poussait des petits cris, des petits jets d'urine mélangée à sa cyprine sortait de sa chatte. J'avalais tout, je me régalais, c'était trop bon, je me délectais de son nectar. J'enfonçais ma langue dans son anus qui s'ouvrait assez aisément pour me laisser le passage et ensuite je lui enfonçais un doigt puis deux pour habituer son oeillet.
Elle se retourna et en m'embrassant très très fort, elle me dit: encule moi maintenant.
Elle se mit à genou puis en mouillant son anus avec ma langue, je présentai mon gland et pressai tout doucement sur son petit trou qui s'ouvrait sans trop de difficulté.
Je lui murmurai à l'oreille: écoute, je reste immobile et c'est toi qui va t'enculer toute seule.
Tu n'as qu'à poussé sur ma queue, c'est toi qui dirige. Petit à petit, je vis ma bite entrée dans son rectum, Elle s'arrêtait de temps en temps puis reprenais l'enculade. Au bout d'un moment, ma bite disparue complètement dans son cul et elle vint frapper mon bas ventre avec ses fesses.
On resta un petit moment sans bouger; le temps qu'elle s'habitue à mon mandrin puis elle commença tout doucement puis de plus en plus vite les va et vient. Elle me dit: à toi de jouer maintenant je n'ai pas mal bien au contraire, prends ton rythme de croisière.
Je lui limais son rectum pendant qu'elle branlait son clito. Elle ne pu se retenir longtemps, elle bougeait son cul dans tous les sens et une grosse vague de chaleur l'envahie et en poussant un râle, elle jouit furieusement, elle expulsait une grosse quantité de mouille, elle en avait plein la main.
J'en profitai pour la lui lécher. Je voyais son anus trempé et ma queue qui glissait aisément entre les parois. N'en pouvant plus de me retenir, je me tendis comme un arc et me vidai dans ses entrailles.
On est resté un moment collé l'un dans l'autre et ma bite sortit toute seul une fois ramollie.
Après m'avoir embrassé, elle me dit, je suis contente de l'avoir fait et malgré ton sexe énorme, je n'ai pas eu mal du tout, bien au contraire, j'ai ressenti un plaisir nouveau et ça me plait beaucoup.
On le refera souvent, j'adore.
On est retourné dans la salle de bain pour se laver et on s'est couché pour se reposer un peu.
Elle est restée quelques jours chez moi puis je l'ai raccompagné à Aix.
Je vous raconterai la suite dans une autre histoire pour ne pas la rendre trop longue.
A bientôt.
Bisous à tous.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Toujours merci pour ce récit fort bien écrit ce qui ne gâche rien par ailleurs j'ai regretté sa fin un peu abrupte et désirerais vraiment en lire la suite ! A cause de cette conclusion je ne vous mets que 8/10. Didier
On a adoré ! Il nous est arrivé à peu près la même chose seulement on était en couple dans la voiture et on a pris un auto-stoppeur dans la voiture qui venait de découvrir qu’il était cocu
On l’a initié aux plaisirs de la bisexualité !
On l’a initié aux plaisirs de la bisexualité !