Une soirée bien arrosée
Récit érotique écrit par Thommas [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-06-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une soirée bien arrosée
C’était une soirée d’été, il y a 2 ans, l’air était frais, mais juste comme il fallait après une journée très chaude. Je me préparais à aller à une fête où je retrouverais mes amis du lycée. Cela faisait un an que je ne les avais pas vu, j’avais dû m’éloigner après le lycée à cause de mes études. J’étais pressé de les retrouver, qu’on se soûle comme à l’époque, mais j’étais surtout pressé de revoir une personne. Une fille, elle m’avait toujours plu. On s’était toujours bien entendu, on rigolait bien ensemble et on se confiait l’un envers l’autre. Physiquement, je la trouvais magnifique, elle avait un tînt méditerranéen, était blonde avec des yeux bleu clair, un nez fin et un sourire ravageur. Elle mesurait environ 1.65m, même si elle avait des jambes interminables, elle était très fine, mais ces atouts féminins étaient quand même présents. Ses fesses étaient petites mais fermes et bien formées, ses seins, également petits, environ 80B, semblaient plutôt ronds. Le problème était qu’au lycée, elle était en couple, mais aujourd’hui, ce n’était plus le cas. Je repris le fil de mes pensées et décidai de m’habiller de manière décontractée, un short en jean clair, une chemise bleu marine que je ne boutonnai pas jusqu’en haut, et de légères basquettes blanches.
Je pris ma voiture en pensant à elle et fonça sur les lieux. Arrivé sur place, ce fut un concert d’embrassade, on était une douzaine, et elle fût la dernière à qui je dis bonjour. Je lui fis la bise puis la pris dans mes bras un peu plus longtemps que je ne l’aurais voulu. Elle était habillée d’une légère combinaison blanche avec des chaussures à talons également blanches. Elle n’était pas beaucoup maquillée Après un sourire, je me retournai vers notre hôtesse, qui me proposa une coupe de champagne (étant champenois, nous en consommons régulièrement). La soirée commença par un petit apéro dinatoire arrosé de champagne et de bière, puis nous passions à des cocktails maisons, plus alcoolisés. Nous commencions tous à être un peu soûls et avons décidé d’aller danser, un verre à la main.
Après un moment, je finis mon verre et décida donc d’aller dans la cuisine pour me resservir. Pendant que je remplissais mon verre, une personne vînt se coller à moi, la tête posée sur mon dos et me serra dans ses bras. Surpris, je me tordis le coup et m’aperçut que c’était elle, elle me demanda de la servir également en posant son verre sur la table. Je m’exécutai et me retournai pour le lui donner, nous nous retrouvâmes face à face et très proche l’un de l’autre, nos regards se croisèrent, et pris d’un élan de courage et l’alcool aidant, je l’embrassai. Elle eut un mouvement de recul, et je détachai mes lèvres des siennes. Elle me regarda, surprise, et me dit qu’elle ne s’était pas rendu compte qu’elle me plaisait. Honteux et un peu vexé, je m’excusai et sorti de la pièce. Ne voulant pas retourner danser, je décidai de sortir dehors.
A peine assis sur un chaise, la porte s’ouvrit, c’était elle. Elle s’avança vers moi, et me dit que je l’avais mal comprise avant de s’assoir sur mes genoux et de m’embrasser. Nos lèvres rentrèrent en contact, puis nos bouches s’entre-ouvrèrent et laissèrent nos langues se toucher, d’abord timidement, puis plus assuré. Nos mains se baladèrent sur nos corps, les siennes dans mes cheveux et mon dos, les miennes sur son dos et ses cuisses.
Ensuite, nous décidâmes de garder ce moment pour nous et de retourner danser avec les autres. Nous passâmes le reste de la nuit à danser, à jouer à des jeux d’alcool, et à parler, pendant qu’au fil des heures, nos amis allaient progressivement se coucher. Dès que l’on se retrouvait seul, on en profitait pour s’embrasser.
Alors que tout le monde étaient partis dormir et que nous étions seul, nos mains se baladaient de plus en plus durant nos baiser. Je commençais à luis toucher les fesses, les seins, et elle me touchait le torse en frottant sa jambe contre la bosse qui se formait dans mon short. Tandis ce que sa main prenait la place de sa jambe, je défaisais les boutons de sa combinaison pour avoir accès à sa poitrine. Alors que je l’embrassais dans le coup et que je plongeais vers son décolleté, elle me fit remarquer que l’on risquait de se faire surprendre, mais l’excitation était trop grande pour s’en soucier. J’enlevai ma chemise et lui enlevai le haut de sa combinaison tout en l’embrassant, puis lui enleva son soutien-gorge, je pouvais enfin admirer ses seins, ils étaient comme je les avais imaginés. Ne pouvant plus résister, ma bouche alla rejoindre un de ces tétons, déjà dure, et ma main alla titiller l’autre avant de lentement descendre sur son abdomen pour aller sur son string et frotter ses lèvres à travers. Pendant ce temps là, elle défaisait les boutons de mon short, glissa sa main dans mon boxer, empoigna ma verge de sa main, et commença doucement à me masturber.
Je lui enlevai ensuite le reste de sa combinaison sans lui enlever ses chaussures et revins l’embrasser avant de doucement me diriger vers son entre-jambe. En l’embrassant sur son string, je sentis son clitoris gonfler, n’y tenant plus, je lui enlevai son string puis embrassai l’intérieur de ses cuisses avant de me diriger vers ses lèvres intimes. Je jouais avec ma langue, la passant de ses lèvres à son clitoris, puis vers l’intérieur de son vagin élargissant ainsi son entrée permettant à mon index de s’y glisser facilement, ma bouche retournant s’occuper de son clitoris. Mon majeur vint rejoindre mon index, ce qui lui donna d’avantages de plaisir qui se fit entendre, elle fut obligée de se mettre la main sur la bouche pour éviter d’avertir nos amis à l’étage.
Ne pouvant plus attendre, je me déshabilllai et allai chercher mon portefeuille, où se trouvait un préservatif, que je pris, déballai, et enfilai. Je me plaçai entre ses jambes, j’approchai ma verge de son vagin et frottai son clitoris durant quelques instants, puis la pénétrai lentement, centimètre par centimètre jusqu’à atteindre la garde, afin de lui faire sentir un maximum de sensation. J’imposai un rythme plutôt lent en embrassant les endroits de son corps que je pouvais atteindre, je changeais régulièrement le rythme de mes va et vient, l’accélérant ou le ralentissant, elle m’accompagnait en bougeant ses hanches.
Nous prenions tous les deux beaucoup de plaisir, mais décidions de changer de position, elle se mit sur le ventre en se cambrant, je le pénétrai de nouveau et m’allongeai contre elle. Ses bras étaient tendus au-dessus de sa tête, je lui pris les poignets d’une main en les maintenant fermement. Après quelques minutes, je sentais qu’elle allait venir, j’accélérai le rythme et mis ma main contre sa bouche. Je senti ses muscles se contracter, des bruits étouffés venaient de sa bouche, elle avait un orgasme.
Fatigué, elle voulait arrêter, mais non sans me donner un orgasme à moi aussi, elle me fit m’assoir sur le canapé, et vînt se placer entre mes jambes, puis elle m’enleva le préservatif. Elle commença à me masturber, puis approcha sa bouche de mon sexe et vînt jouer de sa langue sur mes bourses. Elle commença ensuite à prendre mon gland en bouche, puis fit de légers va et vient. Elle était très douée, ou peut-être que mon excitation était trop grande, mais je ne tins pas longtemps. Je la prévins, mais elle ne se retira pas, et prit ma semence en bouche, cependant elle n’avala pas et recracha dans l’évier qui n’était pas loin. On se rhabilla, puis restèrent dans les bras l’un de l’autre durant un petit moment, on décida ensuite d’aller se coucher dans des lits séparés afin de ne pas éveiller les soupçons de nos amis, on voulait garder cela pour nous, et c’est ce que nous fîmes tout l’été où on continuait de coucher ensemble, jusqu’à ce qu’elle parte à l’étranger pour ses études.
Je pris ma voiture en pensant à elle et fonça sur les lieux. Arrivé sur place, ce fut un concert d’embrassade, on était une douzaine, et elle fût la dernière à qui je dis bonjour. Je lui fis la bise puis la pris dans mes bras un peu plus longtemps que je ne l’aurais voulu. Elle était habillée d’une légère combinaison blanche avec des chaussures à talons également blanches. Elle n’était pas beaucoup maquillée Après un sourire, je me retournai vers notre hôtesse, qui me proposa une coupe de champagne (étant champenois, nous en consommons régulièrement). La soirée commença par un petit apéro dinatoire arrosé de champagne et de bière, puis nous passions à des cocktails maisons, plus alcoolisés. Nous commencions tous à être un peu soûls et avons décidé d’aller danser, un verre à la main.
Après un moment, je finis mon verre et décida donc d’aller dans la cuisine pour me resservir. Pendant que je remplissais mon verre, une personne vînt se coller à moi, la tête posée sur mon dos et me serra dans ses bras. Surpris, je me tordis le coup et m’aperçut que c’était elle, elle me demanda de la servir également en posant son verre sur la table. Je m’exécutai et me retournai pour le lui donner, nous nous retrouvâmes face à face et très proche l’un de l’autre, nos regards se croisèrent, et pris d’un élan de courage et l’alcool aidant, je l’embrassai. Elle eut un mouvement de recul, et je détachai mes lèvres des siennes. Elle me regarda, surprise, et me dit qu’elle ne s’était pas rendu compte qu’elle me plaisait. Honteux et un peu vexé, je m’excusai et sorti de la pièce. Ne voulant pas retourner danser, je décidai de sortir dehors.
A peine assis sur un chaise, la porte s’ouvrit, c’était elle. Elle s’avança vers moi, et me dit que je l’avais mal comprise avant de s’assoir sur mes genoux et de m’embrasser. Nos lèvres rentrèrent en contact, puis nos bouches s’entre-ouvrèrent et laissèrent nos langues se toucher, d’abord timidement, puis plus assuré. Nos mains se baladèrent sur nos corps, les siennes dans mes cheveux et mon dos, les miennes sur son dos et ses cuisses.
Ensuite, nous décidâmes de garder ce moment pour nous et de retourner danser avec les autres. Nous passâmes le reste de la nuit à danser, à jouer à des jeux d’alcool, et à parler, pendant qu’au fil des heures, nos amis allaient progressivement se coucher. Dès que l’on se retrouvait seul, on en profitait pour s’embrasser.
Alors que tout le monde étaient partis dormir et que nous étions seul, nos mains se baladaient de plus en plus durant nos baiser. Je commençais à luis toucher les fesses, les seins, et elle me touchait le torse en frottant sa jambe contre la bosse qui se formait dans mon short. Tandis ce que sa main prenait la place de sa jambe, je défaisais les boutons de sa combinaison pour avoir accès à sa poitrine. Alors que je l’embrassais dans le coup et que je plongeais vers son décolleté, elle me fit remarquer que l’on risquait de se faire surprendre, mais l’excitation était trop grande pour s’en soucier. J’enlevai ma chemise et lui enlevai le haut de sa combinaison tout en l’embrassant, puis lui enleva son soutien-gorge, je pouvais enfin admirer ses seins, ils étaient comme je les avais imaginés. Ne pouvant plus résister, ma bouche alla rejoindre un de ces tétons, déjà dure, et ma main alla titiller l’autre avant de lentement descendre sur son abdomen pour aller sur son string et frotter ses lèvres à travers. Pendant ce temps là, elle défaisait les boutons de mon short, glissa sa main dans mon boxer, empoigna ma verge de sa main, et commença doucement à me masturber.
Je lui enlevai ensuite le reste de sa combinaison sans lui enlever ses chaussures et revins l’embrasser avant de doucement me diriger vers son entre-jambe. En l’embrassant sur son string, je sentis son clitoris gonfler, n’y tenant plus, je lui enlevai son string puis embrassai l’intérieur de ses cuisses avant de me diriger vers ses lèvres intimes. Je jouais avec ma langue, la passant de ses lèvres à son clitoris, puis vers l’intérieur de son vagin élargissant ainsi son entrée permettant à mon index de s’y glisser facilement, ma bouche retournant s’occuper de son clitoris. Mon majeur vint rejoindre mon index, ce qui lui donna d’avantages de plaisir qui se fit entendre, elle fut obligée de se mettre la main sur la bouche pour éviter d’avertir nos amis à l’étage.
Ne pouvant plus attendre, je me déshabilllai et allai chercher mon portefeuille, où se trouvait un préservatif, que je pris, déballai, et enfilai. Je me plaçai entre ses jambes, j’approchai ma verge de son vagin et frottai son clitoris durant quelques instants, puis la pénétrai lentement, centimètre par centimètre jusqu’à atteindre la garde, afin de lui faire sentir un maximum de sensation. J’imposai un rythme plutôt lent en embrassant les endroits de son corps que je pouvais atteindre, je changeais régulièrement le rythme de mes va et vient, l’accélérant ou le ralentissant, elle m’accompagnait en bougeant ses hanches.
Nous prenions tous les deux beaucoup de plaisir, mais décidions de changer de position, elle se mit sur le ventre en se cambrant, je le pénétrai de nouveau et m’allongeai contre elle. Ses bras étaient tendus au-dessus de sa tête, je lui pris les poignets d’une main en les maintenant fermement. Après quelques minutes, je sentais qu’elle allait venir, j’accélérai le rythme et mis ma main contre sa bouche. Je senti ses muscles se contracter, des bruits étouffés venaient de sa bouche, elle avait un orgasme.
Fatigué, elle voulait arrêter, mais non sans me donner un orgasme à moi aussi, elle me fit m’assoir sur le canapé, et vînt se placer entre mes jambes, puis elle m’enleva le préservatif. Elle commença à me masturber, puis approcha sa bouche de mon sexe et vînt jouer de sa langue sur mes bourses. Elle commença ensuite à prendre mon gland en bouche, puis fit de légers va et vient. Elle était très douée, ou peut-être que mon excitation était trop grande, mais je ne tins pas longtemps. Je la prévins, mais elle ne se retira pas, et prit ma semence en bouche, cependant elle n’avala pas et recracha dans l’évier qui n’était pas loin. On se rhabilla, puis restèrent dans les bras l’un de l’autre durant un petit moment, on décida ensuite d’aller se coucher dans des lits séparés afin de ne pas éveiller les soupçons de nos amis, on voulait garder cela pour nous, et c’est ce que nous fîmes tout l’été où on continuait de coucher ensemble, jusqu’à ce qu’elle parte à l’étranger pour ses études.
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