Une soirée entre ami(e)s
Récit érotique écrit par Guillaume63 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-11-2005 dans la catégorie Plus on est
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Une soirée entre ami(e)s
Ce dimanche soir, j’étais resté mangé chez Marie, une ancienne amie du lycée. Alors que nous sortions de table et que nous discutions tranquillement en fumant une cigarette, un appel d’Axelle nous invita à la rejoindre chez elle. C’est ainsi que vers 22 heures nous nous retrouvions Marie et moi chez Axelle, une autre amie du lycée. Nous avions été tous les trois dans la même classe de première et de terminale, nous avions passé le bac la même année. Je me souviens, j’étais sorti trois jours avec Axelle en terminale, un flirt de jeunesse en somme. A présent tous les trois à la fac, nous croisions régulièrement. Axelle et moi étions célibataires, par contre Marie avait un amoureux mais il était parti pour un an aux Etats-Unis.
C’est sur ce sujet que commença notre discussion. Autour d’une bière, nous bavardions de nos amours anciens respectifs et de quelques souvenirs du lycée. Période qui avait été marqué pour tous les trois de nombreux actes manqués. La soirée avançait, et il se faisait tard. Axelle nous proposa de dormir chez elle. Intimes depuis quelques années nous nous sommes mis à l’aise et nous nous sommes installés sur le clic-clac d’Axelle, dans la chaleur de la couette et des couvertures. Alors que nous nous apprêtions à nous coucher, tout en continuant la discussion, Marie me lança une boutade : « ne te mets pas seulement en caleçon pour dormir, fais nous un strip-tease ! ». La main sur ma ceinture que je m’apprêtais à défaire, je ne savais comment réagir … Une blague ? Une invitation ? Axelle de son regard et de son sourire m’invita à répondre à la demande de Marie. Je défis alors mon pantalon, retira mon maillot et le retrouvais en caleçon devant deux jeunes filles charmantes qui me regardaient et me lançaient des sourires goguenards.
La situation me paraissait délicate. Je ne savais jusqu’où aller. Je sentais mon corps réagir à un désir naissant. Axelle portait une culotte rose et je devinais sous son débardeur que sa poitrine était libre. Ses petits seins pointaient tendrement à travers le tissu trop fin. Marie, jusqu’ici n’avait pas quitté ni son pantalon ni son débardeur. Par contre, elle fixait mon entrejambe qui trahissait de plus en plus mon excitation. Axelle se pencha vers Marie et lui murmura quelques mots à l’oreille. Je restais figé, à la merci de mes deux meilleures amies. Axelle et Marie retirèrent alors leur débardeur. Marie se leva, fit glisser son soutien-gorge et son pantalon sur le sol, et s’approcha de moi. Mon sexe bandé poussait les boutons de mon caleçon. Marie le caressa à travers le tissu et m’embrassa. Axelle était resté sur le lit et laissait glisser sa main sur sa culotte.
Ma bouche se lia à celle de Marie, et ma main répondit à la sienne et vint se poser sur son pubis. Je la laissais glisser jusqu’à sentir du bout de mes doigts la moiteur de son bas-ventre. Marie sorti ma queue de mon caleçon et après avoir déculotté le gland la tendit à Axelle. Je fermis alors les yeux. La culotte de Marie avait disparu depuis longtemps et je glissais deux doigts dans l’humidité de son sexe. Axelle posa ses lèvres sur mon gland, l’embrassa et repris la masturbation que Marie avait initiée. Celle-ci s’appuya sur ma cuisse pour accentuer la pénétration de mes doigts, ces baisés devenaient de plus en plus haletants.
Axelle avala mon sexe. Je rouvris les yeux quand j’entendis les bruits de succion et à la sensation de ses lèvres descendant et remontant le long de ma bite. Je la vis à genoux, cambrée, les jambes écartées, sa main gauche maintenait mon sexe et l’autre main était glissée dans sa culotte dont les élastiques étaient remontés. Je contemplais les rondeurs de ces fesses et distinguais la rondelle de son anus. Marie accélérait ses mouvements, s’empalant sur mes doigts tendus. Je sentais la pointe de ses seins se tendrent et battrent contre mon épaule.
Subitement, elle se retira et après m’avoir embrassée tendrement sur la joue, recula pour s’allonger sur le lit. Je maintenais la tête d’Axelle et lui imprimais le mouvement que je désirais. Je contemplais Marie, les jambes écartées, glissant un doigt puis deux dans sa fente humide et chaude que j’avais pratiqué quelques instants auparavant. Si Axelle se consacrait parfaitement à mon sexe, j’avais senti Marie s’échapper et quitter le jeu que nous avions commencé tous les trois. Axelle le senti et d’un seul regard nous nous comprîmes. Elle alla s’accroupir sur le visage de Marie, et tirant sur l’élastique de sa culotte elle lui offrit sa chatte délaissée jusqu’à présent. Marie se prit au jeu et Axelle vint glisser sa langue sur son clitoris.
Le sexe bandé je m’approchais du couple. Axelle pris les choses en main. Elle fit alterner mon sexe de sa bouche à la chatte de Marie, accompagnant parfois ma pénétration de la langue. Marie gémissait et dévorait la chatte d’Axelle. Mes coups de boutoirs s’amplifiaient. Axelle se retourna et me présenta sa chatte pour que je la prenne en levrette, juste au dessus du vagin de Marie. Je fis profiter ainsi à tour de rôle chacune de mes amies. La jouissance montait progressivement et suivait un rythme similaire pour tous les trois. Je me souviens d’avoir déposé mon sperme sur l’intérieur de la fesse droite d’Axelle, que Marie est venu lécher tendrement.
C’est ainsi que nus, transpirants et tâchés de foutre comme de cyprine, nous nous sommes endormis…
Le 30/10/05
C’est sur ce sujet que commença notre discussion. Autour d’une bière, nous bavardions de nos amours anciens respectifs et de quelques souvenirs du lycée. Période qui avait été marqué pour tous les trois de nombreux actes manqués. La soirée avançait, et il se faisait tard. Axelle nous proposa de dormir chez elle. Intimes depuis quelques années nous nous sommes mis à l’aise et nous nous sommes installés sur le clic-clac d’Axelle, dans la chaleur de la couette et des couvertures. Alors que nous nous apprêtions à nous coucher, tout en continuant la discussion, Marie me lança une boutade : « ne te mets pas seulement en caleçon pour dormir, fais nous un strip-tease ! ». La main sur ma ceinture que je m’apprêtais à défaire, je ne savais comment réagir … Une blague ? Une invitation ? Axelle de son regard et de son sourire m’invita à répondre à la demande de Marie. Je défis alors mon pantalon, retira mon maillot et le retrouvais en caleçon devant deux jeunes filles charmantes qui me regardaient et me lançaient des sourires goguenards.
La situation me paraissait délicate. Je ne savais jusqu’où aller. Je sentais mon corps réagir à un désir naissant. Axelle portait une culotte rose et je devinais sous son débardeur que sa poitrine était libre. Ses petits seins pointaient tendrement à travers le tissu trop fin. Marie, jusqu’ici n’avait pas quitté ni son pantalon ni son débardeur. Par contre, elle fixait mon entrejambe qui trahissait de plus en plus mon excitation. Axelle se pencha vers Marie et lui murmura quelques mots à l’oreille. Je restais figé, à la merci de mes deux meilleures amies. Axelle et Marie retirèrent alors leur débardeur. Marie se leva, fit glisser son soutien-gorge et son pantalon sur le sol, et s’approcha de moi. Mon sexe bandé poussait les boutons de mon caleçon. Marie le caressa à travers le tissu et m’embrassa. Axelle était resté sur le lit et laissait glisser sa main sur sa culotte.
Ma bouche se lia à celle de Marie, et ma main répondit à la sienne et vint se poser sur son pubis. Je la laissais glisser jusqu’à sentir du bout de mes doigts la moiteur de son bas-ventre. Marie sorti ma queue de mon caleçon et après avoir déculotté le gland la tendit à Axelle. Je fermis alors les yeux. La culotte de Marie avait disparu depuis longtemps et je glissais deux doigts dans l’humidité de son sexe. Axelle posa ses lèvres sur mon gland, l’embrassa et repris la masturbation que Marie avait initiée. Celle-ci s’appuya sur ma cuisse pour accentuer la pénétration de mes doigts, ces baisés devenaient de plus en plus haletants.
Axelle avala mon sexe. Je rouvris les yeux quand j’entendis les bruits de succion et à la sensation de ses lèvres descendant et remontant le long de ma bite. Je la vis à genoux, cambrée, les jambes écartées, sa main gauche maintenait mon sexe et l’autre main était glissée dans sa culotte dont les élastiques étaient remontés. Je contemplais les rondeurs de ces fesses et distinguais la rondelle de son anus. Marie accélérait ses mouvements, s’empalant sur mes doigts tendus. Je sentais la pointe de ses seins se tendrent et battrent contre mon épaule.
Subitement, elle se retira et après m’avoir embrassée tendrement sur la joue, recula pour s’allonger sur le lit. Je maintenais la tête d’Axelle et lui imprimais le mouvement que je désirais. Je contemplais Marie, les jambes écartées, glissant un doigt puis deux dans sa fente humide et chaude que j’avais pratiqué quelques instants auparavant. Si Axelle se consacrait parfaitement à mon sexe, j’avais senti Marie s’échapper et quitter le jeu que nous avions commencé tous les trois. Axelle le senti et d’un seul regard nous nous comprîmes. Elle alla s’accroupir sur le visage de Marie, et tirant sur l’élastique de sa culotte elle lui offrit sa chatte délaissée jusqu’à présent. Marie se prit au jeu et Axelle vint glisser sa langue sur son clitoris.
Le sexe bandé je m’approchais du couple. Axelle pris les choses en main. Elle fit alterner mon sexe de sa bouche à la chatte de Marie, accompagnant parfois ma pénétration de la langue. Marie gémissait et dévorait la chatte d’Axelle. Mes coups de boutoirs s’amplifiaient. Axelle se retourna et me présenta sa chatte pour que je la prenne en levrette, juste au dessus du vagin de Marie. Je fis profiter ainsi à tour de rôle chacune de mes amies. La jouissance montait progressivement et suivait un rythme similaire pour tous les trois. Je me souviens d’avoir déposé mon sperme sur l’intérieur de la fesse droite d’Axelle, que Marie est venu lécher tendrement.
C’est ainsi que nus, transpirants et tâchés de foutre comme de cyprine, nous nous sommes endormis…
Le 30/10/05
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