Une soirée inattendue
Récit érotique écrit par Pierrotaimelire [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-04-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une soirée inattendue
J'écris ici mon premier texte, j'espère que vous serez indulgents.
J'ai aujourd'hui 33 ans, mais l'histoire que je vais vous raconter s'est produite lorsque j'en avais 23 ou 24, j'étais alors encore étudiant.
Une de mes camarades de TD, Céline, me faisait vraiment envie, elle n'était pas un top modèle mais était très grande, brune, avec des formes très généreuses. Elle n'était pas grosse, non, mais plûtot plantureuse. Des fesses rebondies, et une paire de seins qui me semblaient très grosse! Des levres pulpeuses, brune, les yeux marrons, elle hantait mes soirées solitaires.
Elle avait pris l'habitude de s'habiller de manière sexy, bas, jupe courte laissant entrevoir ses fesses généreuses, un décolleté laissant largement entrevoir sa poitrine opulente. Combien de fois, en allant me coucher nu dans mon lit, penser à elle me faisait empoigner mon sexe bien raide, coulisser ma main pour la faire durcir encore, imaginer ma queue entre ses lèvres pulpeuses, ses seins frôlant mon corps et ses fesses que je lui malaxe frénétiquement. Souvent j'ai joui en imaginant ces scènes, souvent j'ai éjaculé sur mon ventre en imaginant le faire sur ses seins, ses fesses, dans sa chatte ou dans sa bouche.
Evidemment, je n'étais pas le seul mec à la regarder en cours, si je devais me lancer, la concurrence aurait été rude.
Un jour pourtant, elle me convia avec d'autres étudiants à une soirée chez elle. C'était entendu que j'irai, je ne pouvais pas manquer cette chance.
Me voilà arrivé chez elle où la fête avait commencé et l'alcool coulait déjà à flots. Céline m'accueille avec élégance et me présente sa colocataire Elsa, petite blonde très menue, petits seins et élancée, son exact opposé me dis-je.
Le contraste était saisissant, Céline était plus que jamais court-vêtue tandis qu'Elsa portait jeans baskets et pull-over!
L'ambiance de la soirée était très chaleureuse et au fur et à mesure où l'heure se faisait tardive, les convives quittaient la petite colocation pour rejoindre leurs domiciles ou terminer en boite. Me voilà le dernier invité dans le salon avec Elsa et Céline, affalés dans le canapé, fatigués et sans doute trop alcoolisés, l'ambiance se calme.
D'un coup, Céline nous sort tous les trois de nos torpeurs par un "je vois bien que tu reluques mes fesses et mes seins à la fac"!
Je reste muet et sous le choc.
Elle sourit de sa provocation, et continue: "tu vas pouvoir voir ça de plus près!"
Elle se lève, et commence à se déshabiller, je n'en crois pas mes yeux. Elle libère ses seins qui sont vraiment énormes, et les sous-pèse à quelques centimètres de mon visage, se les malaxe, se retourne, ôte sa jupe et sa culotte, me montre ses fesses et les écarte avec ses mains de sorte que je puisse bien voir ses parties intimes.
Je sens ma queue serrée dans mon boxer, je reste muet.
Elsa se délecte de la scène avec un sourire carnassier que je ne lui connaissais pas le long de la soirée. "Je suis sûr que ça te fait bander!" me dit-elle. Joignant la parole au geste, elle me met littéralement la main au paquet et affirme: Il bande bien ce cochon!" en direction de Céline.
Je n'en peux effectivement plus, Elsa retire son pull et libère ses petits seins, elle me masse l'entrejambe pendant que Céline poursuit son spectacle. Je me laisse faire.
Elle déboutonne mon pantalon pour libérer ma queue et fait observer à Céline que je bande bien. La voilà maintenant en train de me branler la bite toute raide quand soudain le fantasme tant espéré se produit.
Céline approche et enfonce ma bite littéralement entre ses lèvres et me prodigue une pipe dont le souvenir me fait encore bander à écrire ces lignes.
Elsa s'est mise nue, a viré mon pantalon et se met à me lécher les couilles pendant que sa colocataire poursuit sa délicieuse pipe. Deux bouches pour ma queue et mes couilles, le bonheur!
Toujours sans un mot, elles alternent, l'une sur ma queue, l'autre sur mes couilles et inversement. Affalé sur le canapé, je les laisse me prodiguer leurs savoir-faire, mais elles en voulaient plus. Elsa vint approcher sa chatte de ma bouche pour que je la lèche, Céline s'était assise sur moi pour venir s'empaller ma queue dans sa chatte mouillée. Là encore, elles choisissent de répéter l'opération chacune leur tour jusqu'à ce que nous n'en puissions plus. Je ne savais plus quelle chatte je léchais ni quelle chatte je baisais, je jouis, je ne sais même pas en et sur qui, et nous nous en arrêtons là affalés tous les trois dans ce canapé. Le lendemain matin, chattes, seins, bouches etaient emplis de mon sperme. La situation a redonné de la vigueur à ma queue et nous décidions tous les trois d'aller prendre une douche où bien évidemment, nous avons remis ça.
J'ai aujourd'hui 33 ans, mais l'histoire que je vais vous raconter s'est produite lorsque j'en avais 23 ou 24, j'étais alors encore étudiant.
Une de mes camarades de TD, Céline, me faisait vraiment envie, elle n'était pas un top modèle mais était très grande, brune, avec des formes très généreuses. Elle n'était pas grosse, non, mais plûtot plantureuse. Des fesses rebondies, et une paire de seins qui me semblaient très grosse! Des levres pulpeuses, brune, les yeux marrons, elle hantait mes soirées solitaires.
Elle avait pris l'habitude de s'habiller de manière sexy, bas, jupe courte laissant entrevoir ses fesses généreuses, un décolleté laissant largement entrevoir sa poitrine opulente. Combien de fois, en allant me coucher nu dans mon lit, penser à elle me faisait empoigner mon sexe bien raide, coulisser ma main pour la faire durcir encore, imaginer ma queue entre ses lèvres pulpeuses, ses seins frôlant mon corps et ses fesses que je lui malaxe frénétiquement. Souvent j'ai joui en imaginant ces scènes, souvent j'ai éjaculé sur mon ventre en imaginant le faire sur ses seins, ses fesses, dans sa chatte ou dans sa bouche.
Evidemment, je n'étais pas le seul mec à la regarder en cours, si je devais me lancer, la concurrence aurait été rude.
Un jour pourtant, elle me convia avec d'autres étudiants à une soirée chez elle. C'était entendu que j'irai, je ne pouvais pas manquer cette chance.
Me voilà arrivé chez elle où la fête avait commencé et l'alcool coulait déjà à flots. Céline m'accueille avec élégance et me présente sa colocataire Elsa, petite blonde très menue, petits seins et élancée, son exact opposé me dis-je.
Le contraste était saisissant, Céline était plus que jamais court-vêtue tandis qu'Elsa portait jeans baskets et pull-over!
L'ambiance de la soirée était très chaleureuse et au fur et à mesure où l'heure se faisait tardive, les convives quittaient la petite colocation pour rejoindre leurs domiciles ou terminer en boite. Me voilà le dernier invité dans le salon avec Elsa et Céline, affalés dans le canapé, fatigués et sans doute trop alcoolisés, l'ambiance se calme.
D'un coup, Céline nous sort tous les trois de nos torpeurs par un "je vois bien que tu reluques mes fesses et mes seins à la fac"!
Je reste muet et sous le choc.
Elle sourit de sa provocation, et continue: "tu vas pouvoir voir ça de plus près!"
Elle se lève, et commence à se déshabiller, je n'en crois pas mes yeux. Elle libère ses seins qui sont vraiment énormes, et les sous-pèse à quelques centimètres de mon visage, se les malaxe, se retourne, ôte sa jupe et sa culotte, me montre ses fesses et les écarte avec ses mains de sorte que je puisse bien voir ses parties intimes.
Je sens ma queue serrée dans mon boxer, je reste muet.
Elsa se délecte de la scène avec un sourire carnassier que je ne lui connaissais pas le long de la soirée. "Je suis sûr que ça te fait bander!" me dit-elle. Joignant la parole au geste, elle me met littéralement la main au paquet et affirme: Il bande bien ce cochon!" en direction de Céline.
Je n'en peux effectivement plus, Elsa retire son pull et libère ses petits seins, elle me masse l'entrejambe pendant que Céline poursuit son spectacle. Je me laisse faire.
Elle déboutonne mon pantalon pour libérer ma queue et fait observer à Céline que je bande bien. La voilà maintenant en train de me branler la bite toute raide quand soudain le fantasme tant espéré se produit.
Céline approche et enfonce ma bite littéralement entre ses lèvres et me prodigue une pipe dont le souvenir me fait encore bander à écrire ces lignes.
Elsa s'est mise nue, a viré mon pantalon et se met à me lécher les couilles pendant que sa colocataire poursuit sa délicieuse pipe. Deux bouches pour ma queue et mes couilles, le bonheur!
Toujours sans un mot, elles alternent, l'une sur ma queue, l'autre sur mes couilles et inversement. Affalé sur le canapé, je les laisse me prodiguer leurs savoir-faire, mais elles en voulaient plus. Elsa vint approcher sa chatte de ma bouche pour que je la lèche, Céline s'était assise sur moi pour venir s'empaller ma queue dans sa chatte mouillée. Là encore, elles choisissent de répéter l'opération chacune leur tour jusqu'à ce que nous n'en puissions plus. Je ne savais plus quelle chatte je léchais ni quelle chatte je baisais, je jouis, je ne sais même pas en et sur qui, et nous nous en arrêtons là affalés tous les trois dans ce canapé. Le lendemain matin, chattes, seins, bouches etaient emplis de mon sperme. La situation a redonné de la vigueur à ma queue et nous décidions tous les trois d'aller prendre une douche où bien évidemment, nous avons remis ça.
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