Une soirée inoubliable à Prague
Récit érotique écrit par Eric0740 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une soirée inoubliable à Prague
Je m'appelle Eric, j'ai 32 ans et je suis un résident de la magnifique ville de Prague depuis quelques années maintenant. Ma vie dans cette ville est marquée par une sexuelle très épanouie, ayant même eu la chance de rencontrer l'amour depuis mon arrivée. Cependant, l'histoire que je vais vous raconter aujourd'hui est celle d'une rencontre particulière qui s'est déroulée pendant ma deuxième année d'expatriation.
Un soir, alors que j'étais paisiblement installé chez moi, mon téléphone a émis un son, annonçant un appel entrant. En décrochant, j'ai découvert qu'il s'agissait d'une amie de ma ville natale. Elle m'informait qu'elle était en procédure pour participer à un programme Erasmus, destiné à Prague. À cette nouvelle, un sourire s'est dessiné sur mon visage. Des souvenirs me sont revenus en mémoire, ceux de tous les échanges coquins que j'avais eus avec cette jeune femme, Lou.
Nous étions beaucoup plus jeunes à l'époque, elle encore plus que moi. Nous partagions la même passion pour le sport et fréquentions le même club. Durant un été particulièrement mémorable, nous avions pris l'habitude de passer nos journées à nous échanger des photos dénudées. C'était une sorte de jeu entre nous, une manière de pimenter ces longues journées d'été.
Lou, cette jeune femme de 1m65 et pesant 60 kg, possédait une belle poitrine, mais ce qui me plaisait le plus, c'était son allure sportive. Sa carrure, capable de faire chavirer les cœurs, était le fruit de longues heures passées à s'entraîner. Ses jambes sculptées comme dans du marbre, ses fesses rebondies et son sexe parfaitement rasé m'ont souvent fait fantasmer.
Au fil des mois, ces souvenirs ont continué à me hanter et il m’est arrivé souvent, en repensant à ce corps parfait que j'ai toujours désiré parcourir de mes mains, de m'offrir un petit plaisir solitaire. Ces pensées, aussi intenses qu'excitantes, ajoutent une touche de piment à ma vie à Prague.
Elle, troublée et stressée à l'idée de vivre pour la première fois dans une capitale européenne, m'a inondé de questions durant les quatre mois précédant son arrivée. Chaque question, chaque préoccupation, elle me les partageait et j'ai pris beaucoup de plaisir à y répondre positivement. Cet échange constant m'a donné l'occasion de me remémorer tous ces bons moments passés ensemble.
Enfin, en janvier, j'ai reçu le message tant attendu. "Je viens d'atterrir", lisais-je. Mon cœur a bondi, mais ma joie fut de courte durée. Malheureusement pour moi, elle n'était pas seule. Elle venait d'atterrir en compagnie de son petit ami, qui lui apportait, selon ses propres mots, un sentiment de sécurité et de confiance.
Malgré la déception qui m'a assailli, j'ai décidé de garder mon calme et d'attendre mon heure. Le moment viendrait, je le savais. Le dimanche de la même semaine, son petit ami ayant quitté la ville, j'ai saisi l'opportunité. Je lui ai envoyé un message décontracté, lui proposant de lui faire découvrir la ville. "Avec grand plaisir", m'a-t-elle répondu, et mon cœur a bondi une fois de plus.
Rapidement, je me suis préparé, soignant chaque détail. Puis, avec une pointe d'excitation et de nervosité, je me suis dirigé vers son appartement temporaire. Ce serait le point de départ de notre promenade à travers la ville, une chance pour moi de lui faire découvrir les merveilles de cette capitale européenne que j'avais appris à aimer.
La porte s'ouvrit avec un léger grincement, révélant la silhouette d'une jeune femme d'une beauté à couper le souffle. Son sourire éclatant, toujours aussi charmant, s’étalait sur son visage, illuminant la pièce de sa joie. Elle avait une silhouette parfaitement dessinée, son corps sculpté révélait des heures d'entraînement assidu et de discipline. Mais ce qui attirait le plus mon regard, c'étaient ses yeux bleus, d'un bleu si profond qu'on avait envie de s’y perdre. Mon excitation était à son comble, mais je savais que ce n'était pas le moment de montrer quoi que ce soit. J’ai donc maîtrisé mes émotions et j’ai entrepris de lui proposer de se préparer pour notre promenade à travers la ville.
Cette promenade fut une expérience inoubliable, tant par la beauté et l'histoire de la ville que par la vue de cette magnifique jeune femme qui m'accompagnait. Nous avons discuté de tout et de rien, de nos vies, de nos rêves, et de nos peurs. J’ai saisi l’occasion pour lui donner le plus d’informations possible sur la ville, ses monuments, ses ruelles cachées, son histoire. En retour, j'ai également pu en apprendre un peu plus sur sa situation amoureuse. Elle semblait épanouie et heureuse, ce qui, bien que réjouissant, me laissait avec un petit pincement au cœur.
Quand la fin de notre promenade est arrivée, je l'ai raccompagnée chez elle. Nous avons échangé quelques dernières paroles, des promesses de se revoir prochainement. Je me suis éloigné, avec le souvenir de son sourire et de ses yeux bleus gravé dans ma mémoire, et l'espoir de la revoir bientôt.
C'était un jeudi soir, précisément vers 19h, lorsque mon téléphone a vibré, annonçant l'arrivée d'un nouveau message. C'était elle, Lou, la fille qui hantait mes pensées depuis des semaines. Elle rentrait d'un pub local où elle avait dégusté quelques bières, un léger embarras dans ses mots. Quant à moi, je revenais épuisé du travail, j’étais seul pour la soirée.
Le message était simple, presque innocent. Elle me demandait si je voulais dîner avec elle. Ce n'était pas une question anodine, c'était une invitation à passer du temps avec elle, peut-être même la soirée entière. La suite de son message m'a fait sourire. Après le dîner, nous pourrions nous poser chez elle. L'idée m'a séduit immédiatement, l'occasion était trop belle pour la laisser passer.
Sans perdre de temps, j'ai sauté dans la douche, un rituel nécessaire après mon trajet domicile-travail que j'effectue habituellement à vélo. L'eau chaude sur ma peau m'a aidé à me détendre, à me préparer à la soirée qui s'annonçait. Une fois propre et rafraîchi, j'ai répondu à son message, lui donnant l'adresse d'un restaurant que j'apprécie particulièrement. Ce serait notre point de rendez-vous.
J'arrive à l'heure au restaurant, toujours respectueux du temps des autres. Elle n'a pas changé, toujours aussi belle, toujours aussi sexy. Son allure sportive, son sourire éclatant, tout chez elle était attirant. Nous commandons nos repas et la conversation commence naturellement. Nous parlons de tout, de rien, de nos vies, de nos rêves et de nos peurs. Puis, d'une discussion à l'autre, le sujet dévie légèrement vers des thèmes plus intimes, notamment le sexe. Une soirée qui s'annonçait prometteuse.
Après avoir savouré un délicieux dîner, nous nous sommes doucement dirigés vers son appartement. L’atmosphère était légère et joyeuse, l’effet de l'alcool rendant nos conversations plus audacieuses et nos allusions de plus en plus sexuelles. Mon excitation grandissait à chaque instant, chaque sourire qu'elle me lançait ajoutant du carburant à ce brasier intérieur.
Son appartement, niché dans un immeuble pittoresque de Prague, était partagé avec plusieurs autres colocataires. Malgré cela, nous avons décidé de nous installer dans sa chambre. C’était un lieu qui offrait plus d'intimité et de confort pour nos discussions qui devenaient de plus en plus intimes.
En franchissant le seuil de sa chambre, j’ai découvert un espace qui reflétait parfaitement son caractère : bien organisé, minimaliste avec une touche de féminité. Quelques vêtements traînaient négligemment sur le lit, ajoutant une touche de désordre charmant à la pièce autrement impeccable.
Alors que nous nous installions, une idée me traversa l'esprit, une façon de poursuivre la discussion que nous avions eue quelques instants auparavant. Avec un sourire malicieux, je lui ai demandé avec une naïveté feinte :
"Alors, où ranges-tu ton sextoy ?"
Pas surprise par la question, elle m'a répondu avec un air de défi :
"Il est là", en le saisissant et en me montrant un objet long et violet avec un sourire espiègle.
Cet échange simple, marqué par une pointe d'audace et d'humour, a ajouté une nouvelle dimension à notre conversation, rendant la soirée encore plus intéressante et excitante.
Nous étions allongés tous deux sur le lit, moi sur le dos et elle sur le ventre, et je sentais mon cœur battre à un rythme effréné. Ayant décidé de poursuivre sur cette lancée, je me suis senti attiré par l'objet qui avait précédemment été le sujet de notre conversation. Intrigué, j'ai posé la question qui me brûlait les lèvres : quand l'avait-elle utilisé pour la dernière fois ?
Peut-être aurais-je dû réfléchir à cette question avant de la poser, car dès que les mots ont quitté ma bouche, un frisson me parcourut et une bosse commença à se former sous mon pantalon. J'ai senti mon corps réagir à cette atmosphère chargée de tension sexuelle. Mon regard était maintenant fixé sur son fessier qui se trémoussait doucement sur le lit, une vision qui ne faisait qu'accroître mon désir.
Mon sexe se raidissait de plus en plus, la bosse sous mon pantalon devenant de plus en plus visible. J'essayais de contrôler mes émotions, mais l'excitation grandissait en moi, atteignant une nouvelle dimension, alimentée par notre conversation et la proximité de nos corps.
Puis, elle a répondu à ma question, sa voix douce ajoutant une autre couche à l'atmosphère déjà électrique : "Je l'ai utilisé hier soir pour la dernière fois, je suis dans une période de forte hormonal en ce moment."
Ses mots ont résonné dans mon esprit, amplifiant l'excitation déjà palpable que je ressentais. L'idée qu'elle avait utilisé cet objet de plaisir juste la veille, dans le même lit où nous étions allongés, a fait parcourir un frisson d'anticipation le long de ma colonne vertébrale. C'était comme si je pouvais presque sentir l'énergie résiduelle de son plaisir, ce qui ajoutait à l'atmosphère déjà chargée.
Je crois qu'à ce moment précis, son cerveau s'est déconnecté de la réalité, laissant place à l'instinct primal. Le souvenir de toutes ces photos échangées quelques années auparavant me revenait en pleine figure, comme des flashs. La vision d'elle allongée sur ce lit, ses courbes délicieusement exposées, et moi jouant avec son sextoy, m'excitait au plus haut point. C'était comme si nous avions été transportés dans un monde où seuls nous existions, un monde où le désir était le seul langage compris.
Cependant, avant même que je puisse ajouter un mot, formuler une phrase pour exprimer l'ouragan d'émotions qui se déchaînait en moi, Lou a pris les devants.
"Je vois que je ne suis pas le seul à être dans un état hormonal avancé," a-t-elle déclaré avec un sourire entendu.
Son commentaire, loin de me faire rougir, a seulement servi à intensifier l'atmosphère. Nous étions tous deux sur la même longueur d'onde, tous deux conscients de l'énergie sexuelle qui vibrait entre nous. C'était une reconnaissance tacite, une invitation à plonger ensemble dans cet océan de désir qui nous submergeait.
Elle dirigeait maintenant son regard vers l'entrejambe de mon pantalon, là où une bosse proéminente continuait de grandir à chaque seconde qui passait. L'incertitude s'installait sur ma manière d'agir, sur la manière d'aborder la situation. Dans une tentative de briser l'impasse, j'ai finalement posé une question, une question qui aurait dû rester en suspens :
"Et tu me montrerais comment on s'en sert ?"
A ces mots, elle s'est levée lentement, le regard fixé dans le mien, créant une connexion intense entre nous. Son corps s'est rapproché du mien, réduisant la distance qui nous séparait. Sa main, douce et chaude, a commencé à se rapprocher de la bosse visible sous mon pantalon, faisant monter l'anticipation. Finalement, ses doigts effleurent le tissu de mon pantalon, envoyant des vagues d'excitation à travers tout mon corps.
Ses lèvres ont ensuite trouvé les miennes, un baiser doux et sensuel qui a fait monter la tension d'un cran. Le murmure qui a suivi a résonné à mes oreilles, une déclaration qui a fait grimper la chaleur dans mes joues :
"Pourquoi utiliser un sextoy en plastique alors que j'ai un sexe réel à ma disposition ?", a-t-elle chuchoté, sa main saisissant fermement mon sexe à travers mon pantalon. Cette action inattendue a envoyé des ondes de plaisir à travers tout mon corps, faisant monter mon excitation à des niveaux jamais atteints auparavant.
Mes mains, guidées par le désir, parcouraient désormais à travers son pantalon, ces fesses que j'avais observées pendant des heures à travers l'écran. Que ce soit dans une tenue de sport moulante ou même un jean trop serré, son allure sportive avait toujours été irrésistible. J'effleurais ses fesses, les palpant délicatement tout en ressentant leur fermeté à travers le tissu. Je les saisissais fermement, mes doigts s'enfonçant légèrement dans la chair, tout en continuant à l'embrasser avec une passion dévorante.
Sa main, quant à elle, avait accéléré les mouvements à travers mon pantalon, une danse lente et rythmée qui faisait monter le désir en moi. Ses doigts habiles cherchaient à défaire ma ceinture, une tentative évidente de pousser les limites de notre intimité.
J'ai alors décidé de lui retirer son tee-shirt, un geste qui a semblé suspendre le temps un instant. Quelle surprise fut la mienne lorsque j'ai découvert qu'elle avait ôté son soutien-gorge depuis son retour des toilettes, un détail qui avait échappé à mon regard. En enlevant son tee-shirt, j'ai révélé une magnifique poitrine avec des seins parfaitement maintenus par des heures de sport. Sa peau, douce et chaude au toucher, était un paysage de courbes et de creux qui m'invitait à l'explorer.
Ses mamelons, dressés sous l'effet de l'excitation, étaient comme des phares dans la tempête de désir qui faisait rage en moi. Je me suis empressé de les caresser avec mes doigts, savourant la sensation de sa peau contre la mienne. Ma langue a rejoint le ballet, traçant des cercles autour de ses mamelons, provoquant des frissons qui parcouraient son corps. Chaque gémissement, chaque frisson, ne faisait qu'intensifier mon désir.
Elle avait délicatement retiré ma ceinture, déboutonné mon pantalon et, par la même occasion, retiré mon caleçon qui, sous l'effet de la tension, semblait prêt à exploser. Avec une assurance qui m'électrisait, elle avait saisi mon sexe avec sa main. La sensation de ses mains douces et expertes sur mon sexe était sans précédent. C'était une caresse d'une excitation si intense que je me trouvais à intensifier mes propres caresses sur tout son corps, me perdant dans la douceur de sa peau et laissant mes lèvres errer le long de son cou, jusqu'à mordiller délicatement son oreille.
Dans le même temps, ma main, guidée par un désir irrépressible, commençait à explorer son sexe à travers son pantalon. La tension entre nous était palpable, presque électrique. Nous avions besoin de nous toucher, de ressentir la chaleur de nos corps l'un contre l'autre. Elle gémissait de plus en plus fort, chaque son qu'elle émettait me rendait fou de désir. Ses demandes se faisaient de plus en plus pressantes, me suppliant de retirer son pantalon pour que je puisse m'occuper entièrement d'elle, que je puisse explorer chaque recoin de son corps avec mes mains, ma bouche, mon corps.
Je découvre son sexe magnifiquement entretenu, parfaitement rasé mais surtout gonflé par l’excitation. C'est une vision qui accélère mon pouls et fait monter une vague de désir en moi. Ma main, guidée par ce désir, se dirige alors vers son sexe. Mes doigts glissent délicatement sur sa peau douce, caressant son intimité avec une attention délicate, commençant une masturbation douce mais insistante.
De son côté, elle réagit à mes gestes et commence à me masturber à son tour. Ses doigts habiles exploitent chaque sensation, chaque frisson qui parcourt mon corps. Nous sommes tous les deux nus, nos peaux se touchant, créant un échange d'énergie et de désir qui semble ne connaître aucune limite. Nous avons une forte envie de satisfaire notre désir, une envie qui alimente chaque geste, chaque caresse.
Je décide alors de prendre l’initiative, de diriger ma bouche tout doucement depuis son cou jusqu'à son sexe. C'est un voyage sensuel, chaque arrêt sur son corps me permet d'apprécier la douceur de sa peau, la chaleur qui émane d'elle. Je m'arrête pour embrasser ses seins, pour caresser sa peau avec ma langue, pour savourer chaque instant. Puis je continue mon chemin, descendant le long de son ventre, laissant un sillage de baisers sur ma route.
Ma langue atteint finalement son sexe, trouvant ses lèvres pubiennes et surtout son clitoris gonflé sous l’excitation. C'est une sensation délicieuse, une invitation à explorer davantage. Je goûte à sa peau, je savoure chaque sensation, chaque soupir qu'elle laisse échapper. Elle gémit alors que je réalise des va-et-vient avec mes doigts dans son vagin, en même temps que je la lèche. C'est une symphonie de sensations, une danse de désir qui nous enveloppe, nous emporte, nous guide vers un plaisir partagé.
Tandis que je m'attelle à la tâche de la lécher, elle tente, de son côté, de poursuivre la masturbation qu'elle avait initiée. Elle me demande de me décaler légèrement sur le côté, une requête qui vise à simplifier ses mouvements. Après quelques minutes, je parviens à déchiffrer son désir caché : elle veut aussi me sucer pendant que je la lèche.
Ainsi, je me repositionne sur le dos et elle, de son côté, positionne son sexe au-dessus de mon nez. C'est à ce moment-là que j'entame l'exploration de son sexe avec ma langue, tout en continuant à la stimuler avec mes doigts. Je pars également à la découverte de son anus, une zone érogène souvent négligée, en la léchant délicatement.
Elle semble légèrement réticente au début, un sentiment qui se dissipe progressivement à mesure qu'elle se laisse emporter par le plaisir. La vue de sa bouche, visible à travers le miroir, se rapprochant de mon sexe pour le gober, me rend fou d'excitation.
Elle finit par l'engloutir et entreprend de me sucer de manière magistrale. Sa langue joue avec mon gland, effectuant des va-et-vient rythmés et précis. De mon côté, je continue à me concentrer sur l'exploration de son sexe. Je lèche aussi bien le clitoris que les lèvres, m'attardant sur chaque zone de plaisir.
Au bout de quelques minutes, ses gémissements deviennent de plus en plus forts, jusqu'à ce qu'elle ait des contractions au niveau du bas ventre. Elle vient de jouir, mais ce n'est que le début d’une magnifique expérience.
Après ces premiers ébats, je prends un moment pour observer et analyser la situation. Une femme d'une beauté à couper le souffle est au-dessus de moi, exerçant une maitrise remarquable dans l'art de la fellation, pendant que ses seins voluptueux balancent gracieusement sur mon ventre. Mon regard est attiré par la vision de son sexe et son anus, que je lèche avec une passion dévorante, tout en introduisant doucement mes doigts en elle. Elle saisit alors un préservatif déposé précédemment sur le coin du lit et, avec une habileté évidente, me le met.
Puis, avec une grâce féline, elle se redresse, se positionne délicatement au-dessus de mon sexe et s’y assoit lentement. La sensation de chaleur enveloppant mon sexe, combinée à la pression de son sexe sur le mien, me procure une vague de plaisir si intense que je dois rassembler toute ma concentration pour ne pas atteindre le point de non-retour trop tôt.
Elle commence ensuite à accélérer les mouvements de va-et-vient. Je la regarde, complètement subjugé par la beauté de cette femme ravissante. Mes yeux parcourent son corps, admirant chaque courbe, chaque grain de sa peau sous la faible lumière de la pièce. Mes mains, guidées par le désir, la caressent partout, explorant chaque partie de son corps, chaque creux, chaque sommet. Ses seins balancent au rythme de ses mouvements, son sexe reste en contact avec le mien, créant une connexion intime et intense.
Les gémissements qu’elle émettait devenaient de plus en plus fort, comme une mélodie érotique qui remplissait la pièce. Je pris alors ses sein dans mes mains, léchant ses mamelons tout en ne délaissant pas ses fesses et son cou. Sentir sa peau contre la mienne, le goût de son corps dans ma bouche, tout cela ne faisait qu’intensifier l’atmosphère.
C'est une danse de passion et de plaisir, une célébration de la connexion intime que nous partageons. Nous sommes deux corps enchevêtrés, deux âmes en parfaite harmonie, naviguant ensemble sur l'océan tumultueux du désir.
Guidée par un désir intense, elle commença à se frotter contre moi. Elle se déplaçait de manière rythmée, chaque mouvement frôlant délicatement ma peau et amplifiant le désir qui nous submergeait. Je m’assis alors, et elle continua son frottement, mais cette fois ci de manière plus énergique. Son corps bougeait de manière presque hypnotique.
Elle gémissait, son corps tremblant sous l’effet du plaisir, jusqu’à crier de joie, atteignant son apogée pour la seconde fois. Cet orgasme l’a laissé haletante, ses yeux brillaient d’un éclat sauvage et satisfait. Après ce moment intense, elle se retira, son corps encore vibrant du plaisir ressenti.
Elle se déplaça alors vers une partie de la pièce, se mettant à genoux sur le sol. Ses yeux me fixaient avec un mélange de désir et de détermination. Puis, d’une voix rauque et sensuelle, elle prononce ces quelques mots :
“Je suis ta chienne, tu vas me gicler sur le visage pendant que je te suce”.
Elle se pencha ensuite doucement, et ses lèvres trouvèrent le bout de mon sexe. Elle commença alors à me sucer, chaque mouvement de sa bouche me faisant gémir de plasir. Chaque coup de langue, chaque aspiration, chaque baiser, tout contribuait à me rapprocher un peu plus de l’orgasme. Je sentais mon coprs se tendre, chaque fibre de mon être semblait être en alerte, prête à exploser de plaisir.
Elle continuait de me sucer, prolongeant mon plaisir jusqu’à la dernière seconde. Je sentis mon corps se libérer, l’orgasme me submergeant d’une vague de plasir intense. Je poussai un cri de jouissance alors que j’éjaculais. Je n’eu le temps de lui dire de me libérer, qu’elle engloutissait tout mon sperme. Enfin, elle se redressa, un sourire satisfait sur ses lèvres. Nos regards se croisèrent, et j’y vis une lueur de satisfaction, un sentiment partagé de consentement.
Une fois remis de ce moment intense, nous nous sommes allongés l'un à côté de l'autre, nos corps encore vibrants de l'énergie érotique partagée. En silence, nous avons partagé cette intimité post-coïtale, nos regards échangés exprimant plus que n'importe quel mot aurait pu le faire.
Ses mots résonnèrent dans ma tête : “Je suis ta chienne, tu vas me gicler sur le visage pendant que je te suce”. Elle avait tenue sa promesse, me guidant vers un orgasme d’une intensité que je n’avais jamais connue auparavant.
Après un moment de silence, j'ai commencé à tracer du bout des doigts des cercles sur sa peau encore humide. Elle a fermé les yeux et a laissé échapper un soupir de contentement, sa respiration se calmant progressivement. Nous avons profité de ce moment, savourant la proximité de nos corps nus, la chaleur de notre peau partagée, le lien intime que nous avions créé.
Je me suis alors rapproché d'elle, laissant mon corps entrelacer le sien. Nos corps se sont alignés parfaitement, comme deux pièces d'un puzzle qui s'emboîtent. Je pouvais sentir la douceur de sa peau contre la mienne, le rythme apaisant de sa respiration, le battement de son cœur contre ma poitrine.
J'ai alors tendu la main pour attraper une mèche de ses cheveux éparpillés sur l'oreiller, jouant avec les boucles tout en admirant la façon dont elles brillaient à la lumière tamisée de la pièce. Son visage avait une expression de contentement profond, ses yeux mi-clos reflétant une satisfaction évidente.
Nous avons passé le reste de la soirée ainsi, enlacés l'un contre l'autre, partageant des regards, des caresses et des baisers doux. C'était une expérience profondément intime, un moment d'union qui transcende le sexe physique pour atteindre une connexion émotionnelle et spirituelle.
En fin de compte, ce n'était pas seulement une nuit de passion intense, mais aussi une véritable connexion entre deux êtres qui se désiraient mutuellement. C'était une nuit d'amour inoubliable, une nuit qui resterait gravée dans nos mémoires pour toujours.
Un soir, alors que j'étais paisiblement installé chez moi, mon téléphone a émis un son, annonçant un appel entrant. En décrochant, j'ai découvert qu'il s'agissait d'une amie de ma ville natale. Elle m'informait qu'elle était en procédure pour participer à un programme Erasmus, destiné à Prague. À cette nouvelle, un sourire s'est dessiné sur mon visage. Des souvenirs me sont revenus en mémoire, ceux de tous les échanges coquins que j'avais eus avec cette jeune femme, Lou.
Nous étions beaucoup plus jeunes à l'époque, elle encore plus que moi. Nous partagions la même passion pour le sport et fréquentions le même club. Durant un été particulièrement mémorable, nous avions pris l'habitude de passer nos journées à nous échanger des photos dénudées. C'était une sorte de jeu entre nous, une manière de pimenter ces longues journées d'été.
Lou, cette jeune femme de 1m65 et pesant 60 kg, possédait une belle poitrine, mais ce qui me plaisait le plus, c'était son allure sportive. Sa carrure, capable de faire chavirer les cœurs, était le fruit de longues heures passées à s'entraîner. Ses jambes sculptées comme dans du marbre, ses fesses rebondies et son sexe parfaitement rasé m'ont souvent fait fantasmer.
Au fil des mois, ces souvenirs ont continué à me hanter et il m’est arrivé souvent, en repensant à ce corps parfait que j'ai toujours désiré parcourir de mes mains, de m'offrir un petit plaisir solitaire. Ces pensées, aussi intenses qu'excitantes, ajoutent une touche de piment à ma vie à Prague.
Elle, troublée et stressée à l'idée de vivre pour la première fois dans une capitale européenne, m'a inondé de questions durant les quatre mois précédant son arrivée. Chaque question, chaque préoccupation, elle me les partageait et j'ai pris beaucoup de plaisir à y répondre positivement. Cet échange constant m'a donné l'occasion de me remémorer tous ces bons moments passés ensemble.
Enfin, en janvier, j'ai reçu le message tant attendu. "Je viens d'atterrir", lisais-je. Mon cœur a bondi, mais ma joie fut de courte durée. Malheureusement pour moi, elle n'était pas seule. Elle venait d'atterrir en compagnie de son petit ami, qui lui apportait, selon ses propres mots, un sentiment de sécurité et de confiance.
Malgré la déception qui m'a assailli, j'ai décidé de garder mon calme et d'attendre mon heure. Le moment viendrait, je le savais. Le dimanche de la même semaine, son petit ami ayant quitté la ville, j'ai saisi l'opportunité. Je lui ai envoyé un message décontracté, lui proposant de lui faire découvrir la ville. "Avec grand plaisir", m'a-t-elle répondu, et mon cœur a bondi une fois de plus.
Rapidement, je me suis préparé, soignant chaque détail. Puis, avec une pointe d'excitation et de nervosité, je me suis dirigé vers son appartement temporaire. Ce serait le point de départ de notre promenade à travers la ville, une chance pour moi de lui faire découvrir les merveilles de cette capitale européenne que j'avais appris à aimer.
La porte s'ouvrit avec un léger grincement, révélant la silhouette d'une jeune femme d'une beauté à couper le souffle. Son sourire éclatant, toujours aussi charmant, s’étalait sur son visage, illuminant la pièce de sa joie. Elle avait une silhouette parfaitement dessinée, son corps sculpté révélait des heures d'entraînement assidu et de discipline. Mais ce qui attirait le plus mon regard, c'étaient ses yeux bleus, d'un bleu si profond qu'on avait envie de s’y perdre. Mon excitation était à son comble, mais je savais que ce n'était pas le moment de montrer quoi que ce soit. J’ai donc maîtrisé mes émotions et j’ai entrepris de lui proposer de se préparer pour notre promenade à travers la ville.
Cette promenade fut une expérience inoubliable, tant par la beauté et l'histoire de la ville que par la vue de cette magnifique jeune femme qui m'accompagnait. Nous avons discuté de tout et de rien, de nos vies, de nos rêves, et de nos peurs. J’ai saisi l’occasion pour lui donner le plus d’informations possible sur la ville, ses monuments, ses ruelles cachées, son histoire. En retour, j'ai également pu en apprendre un peu plus sur sa situation amoureuse. Elle semblait épanouie et heureuse, ce qui, bien que réjouissant, me laissait avec un petit pincement au cœur.
Quand la fin de notre promenade est arrivée, je l'ai raccompagnée chez elle. Nous avons échangé quelques dernières paroles, des promesses de se revoir prochainement. Je me suis éloigné, avec le souvenir de son sourire et de ses yeux bleus gravé dans ma mémoire, et l'espoir de la revoir bientôt.
C'était un jeudi soir, précisément vers 19h, lorsque mon téléphone a vibré, annonçant l'arrivée d'un nouveau message. C'était elle, Lou, la fille qui hantait mes pensées depuis des semaines. Elle rentrait d'un pub local où elle avait dégusté quelques bières, un léger embarras dans ses mots. Quant à moi, je revenais épuisé du travail, j’étais seul pour la soirée.
Le message était simple, presque innocent. Elle me demandait si je voulais dîner avec elle. Ce n'était pas une question anodine, c'était une invitation à passer du temps avec elle, peut-être même la soirée entière. La suite de son message m'a fait sourire. Après le dîner, nous pourrions nous poser chez elle. L'idée m'a séduit immédiatement, l'occasion était trop belle pour la laisser passer.
Sans perdre de temps, j'ai sauté dans la douche, un rituel nécessaire après mon trajet domicile-travail que j'effectue habituellement à vélo. L'eau chaude sur ma peau m'a aidé à me détendre, à me préparer à la soirée qui s'annonçait. Une fois propre et rafraîchi, j'ai répondu à son message, lui donnant l'adresse d'un restaurant que j'apprécie particulièrement. Ce serait notre point de rendez-vous.
J'arrive à l'heure au restaurant, toujours respectueux du temps des autres. Elle n'a pas changé, toujours aussi belle, toujours aussi sexy. Son allure sportive, son sourire éclatant, tout chez elle était attirant. Nous commandons nos repas et la conversation commence naturellement. Nous parlons de tout, de rien, de nos vies, de nos rêves et de nos peurs. Puis, d'une discussion à l'autre, le sujet dévie légèrement vers des thèmes plus intimes, notamment le sexe. Une soirée qui s'annonçait prometteuse.
Après avoir savouré un délicieux dîner, nous nous sommes doucement dirigés vers son appartement. L’atmosphère était légère et joyeuse, l’effet de l'alcool rendant nos conversations plus audacieuses et nos allusions de plus en plus sexuelles. Mon excitation grandissait à chaque instant, chaque sourire qu'elle me lançait ajoutant du carburant à ce brasier intérieur.
Son appartement, niché dans un immeuble pittoresque de Prague, était partagé avec plusieurs autres colocataires. Malgré cela, nous avons décidé de nous installer dans sa chambre. C’était un lieu qui offrait plus d'intimité et de confort pour nos discussions qui devenaient de plus en plus intimes.
En franchissant le seuil de sa chambre, j’ai découvert un espace qui reflétait parfaitement son caractère : bien organisé, minimaliste avec une touche de féminité. Quelques vêtements traînaient négligemment sur le lit, ajoutant une touche de désordre charmant à la pièce autrement impeccable.
Alors que nous nous installions, une idée me traversa l'esprit, une façon de poursuivre la discussion que nous avions eue quelques instants auparavant. Avec un sourire malicieux, je lui ai demandé avec une naïveté feinte :
"Alors, où ranges-tu ton sextoy ?"
Pas surprise par la question, elle m'a répondu avec un air de défi :
"Il est là", en le saisissant et en me montrant un objet long et violet avec un sourire espiègle.
Cet échange simple, marqué par une pointe d'audace et d'humour, a ajouté une nouvelle dimension à notre conversation, rendant la soirée encore plus intéressante et excitante.
Nous étions allongés tous deux sur le lit, moi sur le dos et elle sur le ventre, et je sentais mon cœur battre à un rythme effréné. Ayant décidé de poursuivre sur cette lancée, je me suis senti attiré par l'objet qui avait précédemment été le sujet de notre conversation. Intrigué, j'ai posé la question qui me brûlait les lèvres : quand l'avait-elle utilisé pour la dernière fois ?
Peut-être aurais-je dû réfléchir à cette question avant de la poser, car dès que les mots ont quitté ma bouche, un frisson me parcourut et une bosse commença à se former sous mon pantalon. J'ai senti mon corps réagir à cette atmosphère chargée de tension sexuelle. Mon regard était maintenant fixé sur son fessier qui se trémoussait doucement sur le lit, une vision qui ne faisait qu'accroître mon désir.
Mon sexe se raidissait de plus en plus, la bosse sous mon pantalon devenant de plus en plus visible. J'essayais de contrôler mes émotions, mais l'excitation grandissait en moi, atteignant une nouvelle dimension, alimentée par notre conversation et la proximité de nos corps.
Puis, elle a répondu à ma question, sa voix douce ajoutant une autre couche à l'atmosphère déjà électrique : "Je l'ai utilisé hier soir pour la dernière fois, je suis dans une période de forte hormonal en ce moment."
Ses mots ont résonné dans mon esprit, amplifiant l'excitation déjà palpable que je ressentais. L'idée qu'elle avait utilisé cet objet de plaisir juste la veille, dans le même lit où nous étions allongés, a fait parcourir un frisson d'anticipation le long de ma colonne vertébrale. C'était comme si je pouvais presque sentir l'énergie résiduelle de son plaisir, ce qui ajoutait à l'atmosphère déjà chargée.
Je crois qu'à ce moment précis, son cerveau s'est déconnecté de la réalité, laissant place à l'instinct primal. Le souvenir de toutes ces photos échangées quelques années auparavant me revenait en pleine figure, comme des flashs. La vision d'elle allongée sur ce lit, ses courbes délicieusement exposées, et moi jouant avec son sextoy, m'excitait au plus haut point. C'était comme si nous avions été transportés dans un monde où seuls nous existions, un monde où le désir était le seul langage compris.
Cependant, avant même que je puisse ajouter un mot, formuler une phrase pour exprimer l'ouragan d'émotions qui se déchaînait en moi, Lou a pris les devants.
"Je vois que je ne suis pas le seul à être dans un état hormonal avancé," a-t-elle déclaré avec un sourire entendu.
Son commentaire, loin de me faire rougir, a seulement servi à intensifier l'atmosphère. Nous étions tous deux sur la même longueur d'onde, tous deux conscients de l'énergie sexuelle qui vibrait entre nous. C'était une reconnaissance tacite, une invitation à plonger ensemble dans cet océan de désir qui nous submergeait.
Elle dirigeait maintenant son regard vers l'entrejambe de mon pantalon, là où une bosse proéminente continuait de grandir à chaque seconde qui passait. L'incertitude s'installait sur ma manière d'agir, sur la manière d'aborder la situation. Dans une tentative de briser l'impasse, j'ai finalement posé une question, une question qui aurait dû rester en suspens :
"Et tu me montrerais comment on s'en sert ?"
A ces mots, elle s'est levée lentement, le regard fixé dans le mien, créant une connexion intense entre nous. Son corps s'est rapproché du mien, réduisant la distance qui nous séparait. Sa main, douce et chaude, a commencé à se rapprocher de la bosse visible sous mon pantalon, faisant monter l'anticipation. Finalement, ses doigts effleurent le tissu de mon pantalon, envoyant des vagues d'excitation à travers tout mon corps.
Ses lèvres ont ensuite trouvé les miennes, un baiser doux et sensuel qui a fait monter la tension d'un cran. Le murmure qui a suivi a résonné à mes oreilles, une déclaration qui a fait grimper la chaleur dans mes joues :
"Pourquoi utiliser un sextoy en plastique alors que j'ai un sexe réel à ma disposition ?", a-t-elle chuchoté, sa main saisissant fermement mon sexe à travers mon pantalon. Cette action inattendue a envoyé des ondes de plaisir à travers tout mon corps, faisant monter mon excitation à des niveaux jamais atteints auparavant.
Mes mains, guidées par le désir, parcouraient désormais à travers son pantalon, ces fesses que j'avais observées pendant des heures à travers l'écran. Que ce soit dans une tenue de sport moulante ou même un jean trop serré, son allure sportive avait toujours été irrésistible. J'effleurais ses fesses, les palpant délicatement tout en ressentant leur fermeté à travers le tissu. Je les saisissais fermement, mes doigts s'enfonçant légèrement dans la chair, tout en continuant à l'embrasser avec une passion dévorante.
Sa main, quant à elle, avait accéléré les mouvements à travers mon pantalon, une danse lente et rythmée qui faisait monter le désir en moi. Ses doigts habiles cherchaient à défaire ma ceinture, une tentative évidente de pousser les limites de notre intimité.
J'ai alors décidé de lui retirer son tee-shirt, un geste qui a semblé suspendre le temps un instant. Quelle surprise fut la mienne lorsque j'ai découvert qu'elle avait ôté son soutien-gorge depuis son retour des toilettes, un détail qui avait échappé à mon regard. En enlevant son tee-shirt, j'ai révélé une magnifique poitrine avec des seins parfaitement maintenus par des heures de sport. Sa peau, douce et chaude au toucher, était un paysage de courbes et de creux qui m'invitait à l'explorer.
Ses mamelons, dressés sous l'effet de l'excitation, étaient comme des phares dans la tempête de désir qui faisait rage en moi. Je me suis empressé de les caresser avec mes doigts, savourant la sensation de sa peau contre la mienne. Ma langue a rejoint le ballet, traçant des cercles autour de ses mamelons, provoquant des frissons qui parcouraient son corps. Chaque gémissement, chaque frisson, ne faisait qu'intensifier mon désir.
Elle avait délicatement retiré ma ceinture, déboutonné mon pantalon et, par la même occasion, retiré mon caleçon qui, sous l'effet de la tension, semblait prêt à exploser. Avec une assurance qui m'électrisait, elle avait saisi mon sexe avec sa main. La sensation de ses mains douces et expertes sur mon sexe était sans précédent. C'était une caresse d'une excitation si intense que je me trouvais à intensifier mes propres caresses sur tout son corps, me perdant dans la douceur de sa peau et laissant mes lèvres errer le long de son cou, jusqu'à mordiller délicatement son oreille.
Dans le même temps, ma main, guidée par un désir irrépressible, commençait à explorer son sexe à travers son pantalon. La tension entre nous était palpable, presque électrique. Nous avions besoin de nous toucher, de ressentir la chaleur de nos corps l'un contre l'autre. Elle gémissait de plus en plus fort, chaque son qu'elle émettait me rendait fou de désir. Ses demandes se faisaient de plus en plus pressantes, me suppliant de retirer son pantalon pour que je puisse m'occuper entièrement d'elle, que je puisse explorer chaque recoin de son corps avec mes mains, ma bouche, mon corps.
Je découvre son sexe magnifiquement entretenu, parfaitement rasé mais surtout gonflé par l’excitation. C'est une vision qui accélère mon pouls et fait monter une vague de désir en moi. Ma main, guidée par ce désir, se dirige alors vers son sexe. Mes doigts glissent délicatement sur sa peau douce, caressant son intimité avec une attention délicate, commençant une masturbation douce mais insistante.
De son côté, elle réagit à mes gestes et commence à me masturber à son tour. Ses doigts habiles exploitent chaque sensation, chaque frisson qui parcourt mon corps. Nous sommes tous les deux nus, nos peaux se touchant, créant un échange d'énergie et de désir qui semble ne connaître aucune limite. Nous avons une forte envie de satisfaire notre désir, une envie qui alimente chaque geste, chaque caresse.
Je décide alors de prendre l’initiative, de diriger ma bouche tout doucement depuis son cou jusqu'à son sexe. C'est un voyage sensuel, chaque arrêt sur son corps me permet d'apprécier la douceur de sa peau, la chaleur qui émane d'elle. Je m'arrête pour embrasser ses seins, pour caresser sa peau avec ma langue, pour savourer chaque instant. Puis je continue mon chemin, descendant le long de son ventre, laissant un sillage de baisers sur ma route.
Ma langue atteint finalement son sexe, trouvant ses lèvres pubiennes et surtout son clitoris gonflé sous l’excitation. C'est une sensation délicieuse, une invitation à explorer davantage. Je goûte à sa peau, je savoure chaque sensation, chaque soupir qu'elle laisse échapper. Elle gémit alors que je réalise des va-et-vient avec mes doigts dans son vagin, en même temps que je la lèche. C'est une symphonie de sensations, une danse de désir qui nous enveloppe, nous emporte, nous guide vers un plaisir partagé.
Tandis que je m'attelle à la tâche de la lécher, elle tente, de son côté, de poursuivre la masturbation qu'elle avait initiée. Elle me demande de me décaler légèrement sur le côté, une requête qui vise à simplifier ses mouvements. Après quelques minutes, je parviens à déchiffrer son désir caché : elle veut aussi me sucer pendant que je la lèche.
Ainsi, je me repositionne sur le dos et elle, de son côté, positionne son sexe au-dessus de mon nez. C'est à ce moment-là que j'entame l'exploration de son sexe avec ma langue, tout en continuant à la stimuler avec mes doigts. Je pars également à la découverte de son anus, une zone érogène souvent négligée, en la léchant délicatement.
Elle semble légèrement réticente au début, un sentiment qui se dissipe progressivement à mesure qu'elle se laisse emporter par le plaisir. La vue de sa bouche, visible à travers le miroir, se rapprochant de mon sexe pour le gober, me rend fou d'excitation.
Elle finit par l'engloutir et entreprend de me sucer de manière magistrale. Sa langue joue avec mon gland, effectuant des va-et-vient rythmés et précis. De mon côté, je continue à me concentrer sur l'exploration de son sexe. Je lèche aussi bien le clitoris que les lèvres, m'attardant sur chaque zone de plaisir.
Au bout de quelques minutes, ses gémissements deviennent de plus en plus forts, jusqu'à ce qu'elle ait des contractions au niveau du bas ventre. Elle vient de jouir, mais ce n'est que le début d’une magnifique expérience.
Après ces premiers ébats, je prends un moment pour observer et analyser la situation. Une femme d'une beauté à couper le souffle est au-dessus de moi, exerçant une maitrise remarquable dans l'art de la fellation, pendant que ses seins voluptueux balancent gracieusement sur mon ventre. Mon regard est attiré par la vision de son sexe et son anus, que je lèche avec une passion dévorante, tout en introduisant doucement mes doigts en elle. Elle saisit alors un préservatif déposé précédemment sur le coin du lit et, avec une habileté évidente, me le met.
Puis, avec une grâce féline, elle se redresse, se positionne délicatement au-dessus de mon sexe et s’y assoit lentement. La sensation de chaleur enveloppant mon sexe, combinée à la pression de son sexe sur le mien, me procure une vague de plaisir si intense que je dois rassembler toute ma concentration pour ne pas atteindre le point de non-retour trop tôt.
Elle commence ensuite à accélérer les mouvements de va-et-vient. Je la regarde, complètement subjugé par la beauté de cette femme ravissante. Mes yeux parcourent son corps, admirant chaque courbe, chaque grain de sa peau sous la faible lumière de la pièce. Mes mains, guidées par le désir, la caressent partout, explorant chaque partie de son corps, chaque creux, chaque sommet. Ses seins balancent au rythme de ses mouvements, son sexe reste en contact avec le mien, créant une connexion intime et intense.
Les gémissements qu’elle émettait devenaient de plus en plus fort, comme une mélodie érotique qui remplissait la pièce. Je pris alors ses sein dans mes mains, léchant ses mamelons tout en ne délaissant pas ses fesses et son cou. Sentir sa peau contre la mienne, le goût de son corps dans ma bouche, tout cela ne faisait qu’intensifier l’atmosphère.
C'est une danse de passion et de plaisir, une célébration de la connexion intime que nous partageons. Nous sommes deux corps enchevêtrés, deux âmes en parfaite harmonie, naviguant ensemble sur l'océan tumultueux du désir.
Guidée par un désir intense, elle commença à se frotter contre moi. Elle se déplaçait de manière rythmée, chaque mouvement frôlant délicatement ma peau et amplifiant le désir qui nous submergeait. Je m’assis alors, et elle continua son frottement, mais cette fois ci de manière plus énergique. Son corps bougeait de manière presque hypnotique.
Elle gémissait, son corps tremblant sous l’effet du plaisir, jusqu’à crier de joie, atteignant son apogée pour la seconde fois. Cet orgasme l’a laissé haletante, ses yeux brillaient d’un éclat sauvage et satisfait. Après ce moment intense, elle se retira, son corps encore vibrant du plaisir ressenti.
Elle se déplaça alors vers une partie de la pièce, se mettant à genoux sur le sol. Ses yeux me fixaient avec un mélange de désir et de détermination. Puis, d’une voix rauque et sensuelle, elle prononce ces quelques mots :
“Je suis ta chienne, tu vas me gicler sur le visage pendant que je te suce”.
Elle se pencha ensuite doucement, et ses lèvres trouvèrent le bout de mon sexe. Elle commença alors à me sucer, chaque mouvement de sa bouche me faisant gémir de plasir. Chaque coup de langue, chaque aspiration, chaque baiser, tout contribuait à me rapprocher un peu plus de l’orgasme. Je sentais mon coprs se tendre, chaque fibre de mon être semblait être en alerte, prête à exploser de plaisir.
Elle continuait de me sucer, prolongeant mon plaisir jusqu’à la dernière seconde. Je sentis mon corps se libérer, l’orgasme me submergeant d’une vague de plasir intense. Je poussai un cri de jouissance alors que j’éjaculais. Je n’eu le temps de lui dire de me libérer, qu’elle engloutissait tout mon sperme. Enfin, elle se redressa, un sourire satisfait sur ses lèvres. Nos regards se croisèrent, et j’y vis une lueur de satisfaction, un sentiment partagé de consentement.
Une fois remis de ce moment intense, nous nous sommes allongés l'un à côté de l'autre, nos corps encore vibrants de l'énergie érotique partagée. En silence, nous avons partagé cette intimité post-coïtale, nos regards échangés exprimant plus que n'importe quel mot aurait pu le faire.
Ses mots résonnèrent dans ma tête : “Je suis ta chienne, tu vas me gicler sur le visage pendant que je te suce”. Elle avait tenue sa promesse, me guidant vers un orgasme d’une intensité que je n’avais jamais connue auparavant.
Après un moment de silence, j'ai commencé à tracer du bout des doigts des cercles sur sa peau encore humide. Elle a fermé les yeux et a laissé échapper un soupir de contentement, sa respiration se calmant progressivement. Nous avons profité de ce moment, savourant la proximité de nos corps nus, la chaleur de notre peau partagée, le lien intime que nous avions créé.
Je me suis alors rapproché d'elle, laissant mon corps entrelacer le sien. Nos corps se sont alignés parfaitement, comme deux pièces d'un puzzle qui s'emboîtent. Je pouvais sentir la douceur de sa peau contre la mienne, le rythme apaisant de sa respiration, le battement de son cœur contre ma poitrine.
J'ai alors tendu la main pour attraper une mèche de ses cheveux éparpillés sur l'oreiller, jouant avec les boucles tout en admirant la façon dont elles brillaient à la lumière tamisée de la pièce. Son visage avait une expression de contentement profond, ses yeux mi-clos reflétant une satisfaction évidente.
Nous avons passé le reste de la soirée ainsi, enlacés l'un contre l'autre, partageant des regards, des caresses et des baisers doux. C'était une expérience profondément intime, un moment d'union qui transcende le sexe physique pour atteindre une connexion émotionnelle et spirituelle.
En fin de compte, ce n'était pas seulement une nuit de passion intense, mais aussi une véritable connexion entre deux êtres qui se désiraient mutuellement. C'était une nuit d'amour inoubliable, une nuit qui resterait gravée dans nos mémoires pour toujours.
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