Une soirée mouvementée
Récit érotique écrit par Jean-Pierre [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-08-2016 dans la catégorie A dormir debout
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Une soirée mouvementée
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je me suis marié trop jeune sans doute et si j’ai réussi ma vie professionnelle, côté privée, mon mariage s’est soldé par un divorce. Il y a trois ans, mon ex-femme m’a quittait, car, elle s’ennuyait avec moi, et avait rencontré un homme qui s’occupait d’elle.
Après dix ans de mariage, ce fût un choc ! Dieu merci, nous n’avions pas d’enfant. Je suis maintenant près de la quarantaine et, j’ai réalisé trop tard que j’avais passé plus de temps à construire ma société qu’à m’occuper de ma femme.
Ma vie s’est enfin éclaircie lorsque j’ai rencontré une nouvelle femme ! Katia. Je me sens bien avec elle, j’évite de me tripatouiller les méninges sur les raisons qui l’ont poussée à me fréquenter. Ce n’est sûrement pas mon physique, je ne suis ni beau ni moche, je crois juste être assez bien bâti car je fais beaucoup de sport.
Parfois, je me demande si, sans un sou en poche, cette Katia se serait intéressée à moi ? Après tout, elle n’a que 25 ans ! Cela fait quand même une belle différence, mais tant pis, je prends ce qu’elle me donne, même si cela me coûte cher. Mais de ce côté-là, je m’en fiche, j’ai hérité de mes parents, une belle maison et le capital de leurs assurances. Fils unique, ils avaient prévu en conséquence. De plus, comme ma société tourne très bien, j’ai la chance de ne pas avoir de soucis d’argent.
. J’ai rencontré Katia chez des amis lors d’une soirée. Dès que je l’ai aperçue j’ai été attiré par elle, sans pour autant oser l’aborder. Trois ans de célibat m’ont rendu timoré envers les femmes. En plus, elle semblait si à l’aise en société. J’ai donc eu recours à un ami pour que nous fassions plus amples connaissance. Je savais à peu près à quoi m’en tenir car il m’avait prévenu que Katia était une fille indépendante qui aimait bien être gâtée
J’appris ainsi qu’elle était esthéticienne de métier. N’ayant pas suffisamment de fonds pour ouvrir son propre institut, elle œuvrait à domicile. Je découvris ensuite, qu’elle avait d’autres talents, comme coiffeuse et, pour mon plus grand bonheur, masseuse aussi. Elle avait accumulé les stages et formations, ce qui lui permettait de pouvoir offrir beaucoup de choses à ses clients ou clientes. Lorsqu’elle se déplaçait à domicile.
Mais pour moi, ce n’était que des petits boulots qui ne correspondaient pas au train de vie qu’elle aimait. Pourtant, elle persistait dans ses choix, ne voulant pas avoir un patron ou une patronne sur son dos. J’étais prévenu, elle avait l’image d’une mante religieuse qui profitait de toutes les opportunités. Moi ! Je m’en foutais ! Je n’avais d’yeux, que pour cette belle fille aux cheveux noirs, longs et ses yeux qui vous brûlaient comme de la braise lorsqu’elle vous fixait.
Katia, n’aimait pas parler trop d’elle, elle m’a juste dit qu’elle était d’origine libanaise. Mais j’ai des doutes sur ses origines car elle a une peau presque chocolat. Sa bouche offre deux lèvres bien pleines, presque charnues. Parfois je me demande s’il n’y a pas du sang africain qui coule dans ses veines. Elle a des fesses rebondies et une poitrine qui se dresse fièrement, comme seules les Blacks en possèdent !
Ce n’est qu’au bout d’une longue cour assidue, agrémentée de petits cadeaux, que j’ai enfin réussi à ce qu’elle consente à devenir ma maîtresse. Il me faut accepter cette appellation, car elle se satisfait de ce statut. Elle a été très claire sur ce sujet, dès le début de notre relation. Elle durera ce qu’elle durera. Aussi longtemps que je la laisserai libre de ses mouvements. Par contre, j’ai vite compris qu’a contrario, je me devais d’être disponible pour elle.
Aujourd’hui encore, je sais pertinemment que ce deal est à sens unique, mais je l’ai tant dans la peau que je me contente de cet état. J’adore être avec elle, et quand je l’emmène au restaurant ou dans des soirées, je suis fière de l’avoir à mes côtés. Je sens que les autres types m’envient et elle le sait bien aussi.
Nous n’habitons pas ensemble même si elle passe assez souvent à la maison. Mais, il lui arrive parfois de disparaître sans que je sache où elle va ni avec qui elle est. J’ai vite compris que je ne devais pas l’interroger sur ses absences. Je n’ai pas le choix, pour la garder, je dois accepter son indépendance.
Côté sexe, elle m’a ouvert de nouveaux horizons insoupçonnés jusque-là ! Elle est très directe, plutôt directive pour être exact. Je pense qu’elle me ménage encore. J’ai dû admettre aussi, qu’elle était bi. Ce fût un choc pour moi lorsqu’elle me dit un jour, qu’elle aimait aussi les femmes. Surtout quand elle me confia qu’elle choisissait ses victimes, ainsi qu’elle surnomme ses conquêtes féminines, en fonction de leur docilité. Elle adorait jouer ce rôle de Don Juan au féminin, afin d’exercer sur elles son pouvoir de séduction.
Voilà l’aventure qui m’est arrivée récemment et qui m’a fait découvrir que je suis capable d’avoir de drôles d’attitude qui ne me ressemble pas.
Mon directeur à organiser, comme tous les ans, un inventaire complet de notre stock. Il faut dire que ma société distribue un nombre important de matériel de surveillance et de protection divers, vidéo, caméra à haute définition que l’on peut discrètement dissimuler dans un radio réveil, par exemple. Tous ces articles principalement utilisés par de très grosses sociétés pour lutter contre l’espionnage industriel.
Afin de ne pas entraver nos activités, je prévois d’effectuer cet inventaire annuel, le week-end. Nous commençons le vendredi soir et tout doit être répertorié sur ordinateur pour le dimanche soir. Chaque collaborateur est sollicité et nous recrutons, le temps des stagiaires. Je privilégie les jeunes étudiants et jeunes chômeurs.
Nous voilà tous réunis dans le magasin d’entreposage. Cette fois-ci, j’avais convié mes deux meilleurs clients à venir regarder notre organisation. Comme nos relations sont de longue date, ils sont devenus peu à peu des amis malgré qu’ils aient la cinquantaine. Ma compagne Katia étant absente pendant tout le week-end, je les avais conviés à demeurer chez moi à la maison au lieu d’aller à l’hôtel.
Le personnel était parfaitement rodé à ce genre d’exercice, et j’eus l’agréable surprise de voir arriver mon directeur, le samedi en fin de journée, pour m’annoncer que tout était terminé. Tout le monde y avait passé la nuit et s’était privé de déjeuner pour finir plus tôt.
Afin de les remercier, je demandai à ma secrétaire de téléphoner à un traiteur afin de se faire livrer de quoi offrir un cocktail au personnel. Mon directeur eut une très bonne idée en me suggérant d’égayer ceci avec un peu de musique. Il organisa cela avec deux jeunes manutentionnaires qui allèrent chercher leur matériel son. Tout fût rapidement installé. Apparemment, les gens étaient ravis de cette initiative.
Il y avait environ une soixantaine de personnes et parmi les stagiaires, garçons et filles, je n’en reconnaissais que la moitié. L’ambiance était détendue, les biscuits d’apéritif et les petits fours étaient excellents. Le punch spécialement préparé et renforcé, je présume, par quelques collaborateurs discrets était remarquablement bon et corsé aussi ! En tant que responsable, j’allais donc de groupe en groupe, remercier les gens présents.
Le courant semblait bien passer entre les résidents et les stagiaires, car les conversations animées allaient bon train. Quant à moi, j’évitais de trinquer et boire à chaque fois que je saluais un groupe.
Apercevant mes deux gros clients mais néanmoins amis, je me dirigeai vers eux. Dans leur petit coin, ils formaient un petit groupe de quatre avec un type qui travaillait dans ma société et une jeune fille blonde que je ne connaissais pas. Ils riaient bien sauf que, lorsque je me suis approché d’eux, le gars qui travaille pour moi, sans doute effrayé de devoir se retrouver en ma compagnie, s’éclipsa rapidement.
Nous nous retrouvâmes donc tous les quatre. Ils me présentèrent la jeune fille qui se trouvait en leur compagnie, et me firent trinquer à sa santé en me disant qu’il fallait absolument que je l’embauche à nouveau, l’année prochaine, car elle avait de beaux yeux bleus. La jeune fille pouffa de rire. Elle me semblait à la fois à l’aise et en même temps gênée, sans doute par ma présence.
Je restai avec eux une bonne demi-heure et notai que la fille buvait un plein gobelet de punch, à chaque fois qu’un de mes deux amis et clients revenait avec une nouvelle tournée. A ce train-là, elle n’allait pas tarder à avoir la tête qui tourne ! Je les laissai enfin pour rejoindre mon directeur.
Tandis que je discutais avec ce dernier, j’observais de loin le trio. A tour de rôle, ils faisaient danser la jeune nana. Entre deux pauses, je la vis refuser d’autres verres de punch mais lorsque le champagne arriva, elle en but plusieurs coupes tout en parlant et dansant avec mes clients à tour de rôle.
Vers une heure du matin, nous n’étions plus qu’une poignée. Mon directeur se dirigeait vers les uns et les autres pour leurs demander de partir.
Mes deux amis, la nana et moi, fûmes les derniers à partir. La fille avait un peu d’avance sur nous. En la regardant de dos, j’eus l’impression qu’elle avait les jambes en coton, sa démarche semblait hésitante.
Arrivée sur le parking, elle parût indécise. Cherchait-elle sa voiture ? Soudain, elle s’appuya contre un poteau. Nous nous approchâmes d’elle.
- Ça ne va pas ? demanda un des amis.
La fille lui dit que sa tête tournait et qu’elle avait eu un simple étourdissement. Puis, elle ajouta qu’elle allait prendre sa voiture et rentrer chez sa belle-mère. Un des amis lui fît comprendre que ce n’était pas très prudent de prendre le volant. Et puis, il valait sans doute mieux que sa belle-mère ne la voie pas dans cet état.
La jolie blonde, leva la tête vers mon ami et hocha la tête. Des quelques mots bredouillés, qu’elle prononça ensuite, et dit, qu’elle venait à peine d’emménager chez sa belle-mère, mais que celle-ci était absente. Néanmoins, un des amis insista sur les risques d’accident et lui dit : - Je vous propose, si vous n’y voyez pas d’inconvénient, de vous reposer d’abord un peu. Vous pouvez avoir confiance, ensuite, je vous emmenez chez votre belle-mère et mon ami nous suivra avec votre voiture c’est plus prudent. Ok vous vous reposerez un peu et, quand vous aurez récupéré vos esprits, vous pourrez partir.
La jeune nana hocha la tête sans rien dire, elle se laissa guider jusqu’à ma voiture pour aller chez moi. Je n’étais pas particulièrement emballé par la proposition de mon ami mais je n’allais pas laisser cette gamine s’emplafonner le premier poteau indicateur du coin. Après tout, j’étais responsable. Un de mes amis me dit : - Il faudrait qu’elle s’allonge, histoire qu’elle récupère. Tu sais, tu es chez toi, ne t’inquiète pas, va te coucher. Dès qu’elle ira mieux, on la raccompagnera chez elle. Tu n’as pas besoin d’attendre.
J’étais vraiment crevé, aussi je montais pour aller me coucher. Ma chambre est en duplex. Je grimpai donc vers la mezzanine qui surplombait ma chambre. Alors que je tirais la porte coulissante pour avoir un peu d’intimité.
Déshabillé, j’avais éteint la lumière et je m’apprêtais à dormir quand j’entendis un des amis dire à la fille de boire encore un verre. A poil, douillettement glissé sous la couette, la voix de la fille me surprit, elle se plaignait car elle avait envie de vomir.
Ah non ! Je bondis du lit. Elle n’allait pas vomir sur mon parquet ! C’est la peur du ridicule apparaitre à poil, qui m’empêcha d’ouvrir d’un seul coup la porte coulissante. Je l’entrouvris juste assez pour pouvoir regarder en bas. La jeune fille était allongée toute habillée sur mon lit. Elle demanda à aller dans la salle de bain. Un des amis l’aida à se lever il la mena vers mon cabinet de toilette qui dessert ma chambre. En me baissant, je vis la nana, à genoux, la tête penchée sur le bidet.
Etait-ce sous prétexte de la soutenir qu’il lui prenait les deux seins ? Son geste me semblait incongru et déplacé.
Lorsqu’elle eut, me semble-t-il, terminé, il la ramena sur mon lit et il demanda à son copain de préparer un autre verre pour la fille. Quand il lui tendit celle-ci refusa mais il insista tant qu’elle finit par le boire. Alors qu’ils quittaient la chambre, sans doute pour aller dans le salon, je décidai de me recoucher.
A moitié somnolent, j’émergeai quand j’entendis la fille se plaindre d’avoir chaud. Elle pensait avoir de la fièvre. Allons bon !!!
- Mais non, dit un des amis, tu n’as pas la fièvre, il fait très chaud ici, c’est tout ! Je vais vous mettre un peu plus à l’aise.
Je reconnus la voix de mon client, puis le bruit de deux chaussures qui heurtent le sol.
- Non, ça va, merci ! Dit la fille.
Intrigué, je me levai de mon lit et à nouveau, j’écartai légèrement la porte coulissante. En dessous, je voyais mon lit. Mon client était en train de retirer la petite veste de tailleur de la fille. Les yeux fermés, elle ressemblait à une poupée en chiffon, son corps suivant les mouvements que lui impliquait mon ami. Quand ce dernier commença à dégrafer le corsage, je me mis à tiquer. Mais quand je le vis s’attaquer à la jupe de la fille, mon étonnement se transforma en plutôt soupçons où voulait-il en venir ?
- Oui ! oui ! C’est bon, ça va ! murmura difficilement la jolie blonde.
- Laissez-vous faire ! Mettez-vous un peu à l’aise et vous verrez, ça ira mieux. Avec nous, vous ne risquez rien. Vous avez confiance ?
La jeune femme ne répondit pas et le laissa faire. Elle paraissait avoir tellement chaud. Un des amis avait réussi à faire glisser la jupe. Pour le bas, elle ne portait plus sur elle, qu’un petit slip blanc.
De drôles d’idées se bousculaient dans ma tête. Ma curiosité était titillée et malgré la gêne. J’osais écarter un peu plus le battant. Ce que je fis ne me correspondait pas. Je m’allongeais à même la moquette, pour pouvoir mater dans ma chambre. De la mezzanine, ceux d’en bas ne pouvaient pas me voir car j’étais dans l’obscurité.
Je surpris distinctement le regard que mes deux amis s’échangèrent au moment où un s’assit sur mon lit, à côté de la nana. Quand il posa sa main sur la cuisse de la fille, je crus la voir tressaillir.
- Je vais vous masser un peu, ça vous fera du bien : lui murmura-t-il doucement.
Sans attendre la permission, ses mains descendirent vers les pieds de la fille, remontèrent le long de ses jambes, enveloppèrent ses cuisses puis glissèrent lentement vers son ventre. Il s’attarda un peu puis remonta vers l’estomac pour redescendre un peu plus bas en mouvements circulaires. Chaque déplacement l’amenait un peu plus près du pubis de la fille. Pourtant, il ne tentait aucun geste déplacé et elle demeurait allongée, immobile.
Au lieu de s’atténuer, la chaleur de son corps augmentait car la fille se plaignit de bouffées successives. Sur un signe de la tête de mon client, l’autre s’approcha et releva le buste de la fille. Son copain en profita pour lui retirer son corsage. En même temps, il réussit à dégrafer son soutien-gorge. Tandis qu’il la recouchait délicatement, l’autre fit glisser le soutif et la pauvre se retrouva le buste à l’air. Les yeux toujours aussi hermétiquement clos, les bras collés le long du corps, elle ne bougeait pas.
Comme la première fois, sa main remonta du pied vers la cuisse qu’il massa longuement, puis alla vers le ventre. Elle se laissait faire, les yeux fermés, l’esprit sans doute embué et cotonneux.
Attends, il ne faut pas se presser. Brusquer les choses risquerait de tout faire rater. Ce serait dommage, regarde, comme elle est bien foutue. Et puis, l’autre dort, alors autant en profiter !
Soudain, à l’énoncé de l’autre, je réalisai que c’était moi, que j’étais en train de mater mes deux amis qui essayaient de se taper une jeune nana. Sous mon toit, en plus moi, je les espionnais tranquillement. Dieu merci, la fille était majeure !
Dès qu’ils se turent, un des deux reprit son ouvrage. Maintenant, sa caresse insistait sur le haut du slip de la fille, descendant parfois, comme par hasard, sur son bas-ventre. De temps en temps, j’apercevais sa main qui s’arrangeait pour passer légèrement, l’air de rien, sous l’élastique du petit slip tout blanc. Il ne s’était servi que d’une main. Au moment même où il posa la gauche pour lui masser tout doucement le ventre, il insinua la droite sous le sous vêtement, directement sur son pubis.
Incroyable ! S’en était-elle aperçue ? La fille ne bougeait toujours pas !
Je vis soudain la main du type s’agiter sous le slip. La fille aurait dû hurler et arrêter tout à ce moment-là ! Mais non, elle ne protestait pas, laissant ces deux mains posées sur son corps.
La scène était si excitante que je m’étais mis à bander ! Tout à coup, la jolie blonde ouvrit la bouche et se mit à respirer très fort. Tandis qu’il continuait à remuer sa main droite, la gauche saisit le slip et tira dessus jusqu’à ce que la chatte blonde de la fille apparaisse à ma vue. L’autre, aida son copain en finissant le travail. Il parvint sans aucune difficulté à faire glisser le petit bout de tissu le long des jambes de la jeune femme.
Dès qu’il se débarrassa du slip, il attrapa les jambes de la fille et les écarta. C’est à ce moment-là, qu’un en profita pour passer la main dans la fente offerte. Elle parut soudain électrisée. Elle se cambra comme si elle voulait aller à la rencontre de cette caresse impudique.
Avec un doigt, il caressa le clitoris, descendit vers le trou, remonta et commença lentement à la branler. Pendant que la fille se mettait à geindre doucement, il dit à son copain : - Tu vois bien que ça vient. Tu peux te préparer, elle mouille, la petite cochonne. Regarde comme elle se tend et comme elle bouge son petit cul.
Je crus entendre la fille répondre dans un souffle « oh oui ! ».
Je n’en revenais pas. Les quelques instants passés en compagnie de cette fille, lors de la soirée, ne m’avait pas donné l’impression qu’elle était facile. Au contraire, elle paraissait timide et réservée. Ce soudain laisser-aller ne pouvait venir que de l’alcool qu’elle avait ingurgité.
La fille se tordait de plaisir maintenant sur le lit tandis qu’un lui branlait la chatte. Je l’entendais lui prodiguer des encouragements.
Mon attention fut attirée par l’autre client qui, debout près du lit, était en train de se déshabiller. Son érection me sauta au visage. La queue raide à l’air ! Tout en se masturbant lentement, il vint tout près du visage de la fille. Il s’agenouilla à côté et, d’un seul coup, il lui mit sa queue dans la bouche.
J’avais la nette impression que la fille n’en pouvait plus. D’ailleurs, le contraire aurait été étonnant, vu le bruit mouillé que faisait la main de mon ami, pendant qu’il la branlait. Elle ne semblait pas être insensible à sa gâterie.
Quelques minutes après, il attira l’attention de l’autre, lui signifiant de prendre sa place. Dès qu’il quitta le lit, il s’installa entre les cuisses de la fille et se mit à lui lécher la vulve. Elle émit aussitôt de drôles de petits bruits.
Pendant ce temps, il retirait lentement ses fringues en regardant le couple avec un petit sourire. J’eus une étrange impression de déjà-vu, encore un client qui se baladait chez moi la queue à l’air ! Il s’approcha et s’agenouilla près d’elle. Il lui prit la tête et présenta sa bite.
Il devait rudement bien si prendre car la fille, sans l’ombre d’un doute, jouissait fortement. Ce n’était plus la petite blonde réservée de la soirée mais plutôt une jeune femelle avide car, à mon grand étonnement, je la vis se saisir de sa queue pour l’engloutir entre ses lèvres. Tout en gémissant bruyamment, elle suçait la bite de mon ami dans tous les sens.
Sans doute l’autre s’est-il aperçu du changement d’attitude de la fille ? Tout est autant qu’il se saisit de ses cuisses et les ouvrit plus largement. Puis s’installant à genou entre ses jambes, il présenta sa queue et, lentement, la pénétra.
Un bruit blizzard, sortit de sa gorge. La bite devait être trop grosse pour sa petite chatte. Néanmoins, il réussit à l’enfoncer jusqu’à la racine. Je le vis rester immobile pendant quelques instants puis, il commença à aller et venir doucement en elle. Quand il se mit à accélérer, la fille cria tant qu’elle laissa échapper de sa bouche, l’autre queue Quelle ne fût pas ma surprise de voir sa petite main, récupérer hâtivement la bite volage pour mieux l’enfourner entre ses lèvres ! Ce n’était plus une victime mais une vraie associée !
Impossible pour moi, de détourner le regard. Pire, je me branlais en les regardants baisers la fille. Je n’en croyais pas mes yeux. C’était bien la première fois que je voyais deux types ensemble baiser une nana.
Le peu de honte que j’avais en moi, se dissolvait dans le plaisir que j’avais à les espionner. Si mon ex-femme m’avait vu…A un moment, il se dégagea de l’emprise de la fille. Il tapa sur l’épaule de son copain. Je n’eus pas à attendre la signification de son geste. Il se retira de la fille pour laisser sa place. Dès qu’elle fût libre, l’autre le remplaça mais avec une variante. Avec des gestes presque brusques, il se saisit de la fille et la retourna.
Suivit-elle le mouvement volontairement ? Je l’ignore mais, toujours est-il qu’elle se retrouva à quatre pattes sur le lit. Il ne lui laissa pas le temps de réfléchir, il lui écarta les cuisses et, guidant la queue avec sa main, il la planta sans ménagement, dans la fente.
La fille se mit à crier, puis à geindre dès que le pieu commença à la labourer. Je voyais ses doigts qui crochetaient les draps. Le bassin tendu vers la bite qui la défonçait, elle avait la tête rejetée en arrière. Plus il accélérait, plus elle criait. Pas de douleur, mais de plaisir et cela se voyait !
Sans doute peu emballer à l’idée de jouer les seconds, l’autre ami réussit à se glisser sous la fille. Sa bite bien raide n’attendait qu’une seule chose, il agrippa ses cheveux et tira sa tête à lui. La fille comprit tout de suite ce qu’on attendait d’elle. Se saisissant de la bite qui lui faisait face, elle l’empoigna. Je fus surpris de la voracité dont elle fit preuve.
Mais le plus surprenant pour moi, ce fût de la voir avaler le sperme de mon client et lécher les contours de sa queue afin de n’en prendre aucune goutte. Quand il se leva du lit. Il repoussa la fille et s’allongea sur le lit. Je fus quand même étonné de ne pas voir la fille vexée quand il lui dit : - Allez, ma petite salope, suce-moi bien et avale !
Elle s’exécuta et, comme une bonne fille obéissante, elle le suça. Elle s’appliqua tant qu’il finit par lui jouir dans la bouche.
Ce qui me démontra le peu de cas qu’ils faisaient de la fille, c’est qu’une fois leur affaire terminée, les compères ont dit à la fille de se rhabiller rapidement. Ils étaient bien fatigués et voulaient dormir. Comme goujat, on ne fait pas mieux dans le genre !
Ils eurent quand même la prudence de lui demander si elle pouvait conduire. Vu les ébats rythmés qu’elle venait d’entreprendre, toute trace d’ébriété avait disparue. En deux temps trois mouvements, elle remit ses vêtements et je les vis disparaître de ma chambre.
Quand mes deux zèbres revinrent, ils se marraient en commentant l’affaire. Ils eurent même une pensée émue pour moi : - Quel dommage pour notre ami. Dormir alors qu’il y avait eu un si joli petit cul à baiser.
Après leur douche, il ne me resta plus que leur ronflement. Quant à moi. Impossible de trouver le sommeil. Je n’y parvins qu’après m’être masturbé comme un dingue. Il suffisait que je ferme les yeux, pour revoir la si jolie bouche de la petite blonde engloutir la queue de mes amis.
Ils me quittèrent le dimanche après-midi sans qu’aucune allusion ne soit échangée sur ce qui s’était passé durant la nuit. Je suis toujours en contact avec eux et ce secret perdure encore entre nous. Bizarre, non ?
Par contre, quand ma copine Katia revint à la maison, sans prévenir, le dimanche soir, j’eus la trouille de ma vie. J’étais tranquillement en train de fumer dans le salon quand elle surgit comme une diablesse de sa boîte : - Qu’est-ce que c’est que ça ? Qu’est-ce que ça fait sous ton lit ?
Je la regardai sans comprendre. Je l’ignorais, ce portefeuille n’était pas à moi !
- Qui c’est cette nana ? Tu l’as baisée pendant que je n’étais pas là ? C’est ça ?
Je niais ! Et pour cause, j’étais innocent ! Je finis par lui avouer les incartades de mes deux clients. Le plus étrange, c’est qu’elle me crût aussitôt et parût soudain très intéressée.
Curieuse, elle se mit à fouiller dans le portefeuille de la fille. Tout à coup, son visage s’éclaira : - Non, ce n’est pas vrai ! Incroyable ! Le monde est petit.
Je m’enquis des raisons de son étrange attitude. Elle se mit à rire, mais d’un rire qui faisait froid dans le dos.
- Je vais aller lui rapporter son portefeuille à cette petite !
Je la remerciais mais lui dit que je le ferai moi-même.
- Non ! Non, j’y tiens. Je vais le lui porter chez sa belle-mère. Pas de problème.
Je n’y comprenais rien du tout. Je demandai à Katia si elle connaissait cette fille. Non ! Alors pourquoi se donner cette peine ? A contre cœur, elle finit par lâcher quelques informations, non, elle ne connaissait pas cette fille, mais par contre, les quelques photos d’elle dans son portefeuille, prouvaient qu’elle était mignonne. Je lui rétorquai que ce n’était pas une raison suffisante !
- Non, en effet, me dit-elle. Ce ne sont pas ses photos qui m’intéresse, quoique… mais plutôt celle de cette femme. Non, ce n’est pas vrai ! Je rêve ?! Quel super hasard, enfin !!!
Son rire me parût féroce alors qu’elle me tendait un cliché. Sur la photo, on pouvait voir une belle femme blonde d’environ quarante ans. A côté d’elle, se tenait notre jolie blonde.
- Tu vois, cette femme, c’est apparemment la belle-mère de cette jeune nana. En fait, le père de cette blonde s’est remarié avec cette bonne femme. Lui est décédé, il y a trois ou quatre ans. Comme elle n’avait plus de mère, c’est elle qui s’en est occupée. Enfin, occupée… La gamine a passé sa jeunesse dans un pensionnat. Comme ça, l’autre salope a pu tranquillement craquer le pognon, de feu son mari. Je peux juste te dire que c‘est une belle salope qui aime bien piquer les mecs des autres. D’ailleurs, je suis très surprise que la gamine soit revenue. Ce sera moins facile maintenant pour elle, de s’envoyer en l’air. T’es sûr qu’elle habite chez sa belle-mère ? Remarque, elle n’a pas le choix si elle veut continuer à pouvoir claquer le fric du père de la petite.
J’acceptais qu’elle rapporte son portefeuille. Katia m’assura que je n’avais pas de soucis à me faire et qu’elle s’occupait de tout. Elle condescendit à me promettre de tout m’expliquer un jour. En attendant, il fallait que je lui fasse confiance.
Cela fait maintenant une semaine et demie que Katia a retrouver le portefeuille de la fille. J’ignore si elle le lui a rendu. Si non, la fille n’a-t-elle pas téléphoné au bureau pour s’en enquérir ? Après tout, il y a tous ses papiers.
Comme je me méfie des réactions de Katia, je n’ose pas lui demander ce qu’il en est et elle ne m’en parle pas du tout. Je vais attendre encore un peu et je tâterai le terrain.
Je suis sûr que beaucoup d’entre vous doivent se dire : « ce type est couillon, à sa place, je serai descendu pour baiser la fille avec mes copains ! ».
Bah pas moi ! Mais je ne suis qu’un amateur.
Je me suis marié trop jeune sans doute et si j’ai réussi ma vie professionnelle, côté privée, mon mariage s’est soldé par un divorce. Il y a trois ans, mon ex-femme m’a quittait, car, elle s’ennuyait avec moi, et avait rencontré un homme qui s’occupait d’elle.
Après dix ans de mariage, ce fût un choc ! Dieu merci, nous n’avions pas d’enfant. Je suis maintenant près de la quarantaine et, j’ai réalisé trop tard que j’avais passé plus de temps à construire ma société qu’à m’occuper de ma femme.
Ma vie s’est enfin éclaircie lorsque j’ai rencontré une nouvelle femme ! Katia. Je me sens bien avec elle, j’évite de me tripatouiller les méninges sur les raisons qui l’ont poussée à me fréquenter. Ce n’est sûrement pas mon physique, je ne suis ni beau ni moche, je crois juste être assez bien bâti car je fais beaucoup de sport.
Parfois, je me demande si, sans un sou en poche, cette Katia se serait intéressée à moi ? Après tout, elle n’a que 25 ans ! Cela fait quand même une belle différence, mais tant pis, je prends ce qu’elle me donne, même si cela me coûte cher. Mais de ce côté-là, je m’en fiche, j’ai hérité de mes parents, une belle maison et le capital de leurs assurances. Fils unique, ils avaient prévu en conséquence. De plus, comme ma société tourne très bien, j’ai la chance de ne pas avoir de soucis d’argent.
. J’ai rencontré Katia chez des amis lors d’une soirée. Dès que je l’ai aperçue j’ai été attiré par elle, sans pour autant oser l’aborder. Trois ans de célibat m’ont rendu timoré envers les femmes. En plus, elle semblait si à l’aise en société. J’ai donc eu recours à un ami pour que nous fassions plus amples connaissance. Je savais à peu près à quoi m’en tenir car il m’avait prévenu que Katia était une fille indépendante qui aimait bien être gâtée
J’appris ainsi qu’elle était esthéticienne de métier. N’ayant pas suffisamment de fonds pour ouvrir son propre institut, elle œuvrait à domicile. Je découvris ensuite, qu’elle avait d’autres talents, comme coiffeuse et, pour mon plus grand bonheur, masseuse aussi. Elle avait accumulé les stages et formations, ce qui lui permettait de pouvoir offrir beaucoup de choses à ses clients ou clientes. Lorsqu’elle se déplaçait à domicile.
Mais pour moi, ce n’était que des petits boulots qui ne correspondaient pas au train de vie qu’elle aimait. Pourtant, elle persistait dans ses choix, ne voulant pas avoir un patron ou une patronne sur son dos. J’étais prévenu, elle avait l’image d’une mante religieuse qui profitait de toutes les opportunités. Moi ! Je m’en foutais ! Je n’avais d’yeux, que pour cette belle fille aux cheveux noirs, longs et ses yeux qui vous brûlaient comme de la braise lorsqu’elle vous fixait.
Katia, n’aimait pas parler trop d’elle, elle m’a juste dit qu’elle était d’origine libanaise. Mais j’ai des doutes sur ses origines car elle a une peau presque chocolat. Sa bouche offre deux lèvres bien pleines, presque charnues. Parfois je me demande s’il n’y a pas du sang africain qui coule dans ses veines. Elle a des fesses rebondies et une poitrine qui se dresse fièrement, comme seules les Blacks en possèdent !
Ce n’est qu’au bout d’une longue cour assidue, agrémentée de petits cadeaux, que j’ai enfin réussi à ce qu’elle consente à devenir ma maîtresse. Il me faut accepter cette appellation, car elle se satisfait de ce statut. Elle a été très claire sur ce sujet, dès le début de notre relation. Elle durera ce qu’elle durera. Aussi longtemps que je la laisserai libre de ses mouvements. Par contre, j’ai vite compris qu’a contrario, je me devais d’être disponible pour elle.
Aujourd’hui encore, je sais pertinemment que ce deal est à sens unique, mais je l’ai tant dans la peau que je me contente de cet état. J’adore être avec elle, et quand je l’emmène au restaurant ou dans des soirées, je suis fière de l’avoir à mes côtés. Je sens que les autres types m’envient et elle le sait bien aussi.
Nous n’habitons pas ensemble même si elle passe assez souvent à la maison. Mais, il lui arrive parfois de disparaître sans que je sache où elle va ni avec qui elle est. J’ai vite compris que je ne devais pas l’interroger sur ses absences. Je n’ai pas le choix, pour la garder, je dois accepter son indépendance.
Côté sexe, elle m’a ouvert de nouveaux horizons insoupçonnés jusque-là ! Elle est très directe, plutôt directive pour être exact. Je pense qu’elle me ménage encore. J’ai dû admettre aussi, qu’elle était bi. Ce fût un choc pour moi lorsqu’elle me dit un jour, qu’elle aimait aussi les femmes. Surtout quand elle me confia qu’elle choisissait ses victimes, ainsi qu’elle surnomme ses conquêtes féminines, en fonction de leur docilité. Elle adorait jouer ce rôle de Don Juan au féminin, afin d’exercer sur elles son pouvoir de séduction.
Voilà l’aventure qui m’est arrivée récemment et qui m’a fait découvrir que je suis capable d’avoir de drôles d’attitude qui ne me ressemble pas.
Mon directeur à organiser, comme tous les ans, un inventaire complet de notre stock. Il faut dire que ma société distribue un nombre important de matériel de surveillance et de protection divers, vidéo, caméra à haute définition que l’on peut discrètement dissimuler dans un radio réveil, par exemple. Tous ces articles principalement utilisés par de très grosses sociétés pour lutter contre l’espionnage industriel.
Afin de ne pas entraver nos activités, je prévois d’effectuer cet inventaire annuel, le week-end. Nous commençons le vendredi soir et tout doit être répertorié sur ordinateur pour le dimanche soir. Chaque collaborateur est sollicité et nous recrutons, le temps des stagiaires. Je privilégie les jeunes étudiants et jeunes chômeurs.
Nous voilà tous réunis dans le magasin d’entreposage. Cette fois-ci, j’avais convié mes deux meilleurs clients à venir regarder notre organisation. Comme nos relations sont de longue date, ils sont devenus peu à peu des amis malgré qu’ils aient la cinquantaine. Ma compagne Katia étant absente pendant tout le week-end, je les avais conviés à demeurer chez moi à la maison au lieu d’aller à l’hôtel.
Le personnel était parfaitement rodé à ce genre d’exercice, et j’eus l’agréable surprise de voir arriver mon directeur, le samedi en fin de journée, pour m’annoncer que tout était terminé. Tout le monde y avait passé la nuit et s’était privé de déjeuner pour finir plus tôt.
Afin de les remercier, je demandai à ma secrétaire de téléphoner à un traiteur afin de se faire livrer de quoi offrir un cocktail au personnel. Mon directeur eut une très bonne idée en me suggérant d’égayer ceci avec un peu de musique. Il organisa cela avec deux jeunes manutentionnaires qui allèrent chercher leur matériel son. Tout fût rapidement installé. Apparemment, les gens étaient ravis de cette initiative.
Il y avait environ une soixantaine de personnes et parmi les stagiaires, garçons et filles, je n’en reconnaissais que la moitié. L’ambiance était détendue, les biscuits d’apéritif et les petits fours étaient excellents. Le punch spécialement préparé et renforcé, je présume, par quelques collaborateurs discrets était remarquablement bon et corsé aussi ! En tant que responsable, j’allais donc de groupe en groupe, remercier les gens présents.
Le courant semblait bien passer entre les résidents et les stagiaires, car les conversations animées allaient bon train. Quant à moi, j’évitais de trinquer et boire à chaque fois que je saluais un groupe.
Apercevant mes deux gros clients mais néanmoins amis, je me dirigeai vers eux. Dans leur petit coin, ils formaient un petit groupe de quatre avec un type qui travaillait dans ma société et une jeune fille blonde que je ne connaissais pas. Ils riaient bien sauf que, lorsque je me suis approché d’eux, le gars qui travaille pour moi, sans doute effrayé de devoir se retrouver en ma compagnie, s’éclipsa rapidement.
Nous nous retrouvâmes donc tous les quatre. Ils me présentèrent la jeune fille qui se trouvait en leur compagnie, et me firent trinquer à sa santé en me disant qu’il fallait absolument que je l’embauche à nouveau, l’année prochaine, car elle avait de beaux yeux bleus. La jeune fille pouffa de rire. Elle me semblait à la fois à l’aise et en même temps gênée, sans doute par ma présence.
Je restai avec eux une bonne demi-heure et notai que la fille buvait un plein gobelet de punch, à chaque fois qu’un de mes deux amis et clients revenait avec une nouvelle tournée. A ce train-là, elle n’allait pas tarder à avoir la tête qui tourne ! Je les laissai enfin pour rejoindre mon directeur.
Tandis que je discutais avec ce dernier, j’observais de loin le trio. A tour de rôle, ils faisaient danser la jeune nana. Entre deux pauses, je la vis refuser d’autres verres de punch mais lorsque le champagne arriva, elle en but plusieurs coupes tout en parlant et dansant avec mes clients à tour de rôle.
Vers une heure du matin, nous n’étions plus qu’une poignée. Mon directeur se dirigeait vers les uns et les autres pour leurs demander de partir.
Mes deux amis, la nana et moi, fûmes les derniers à partir. La fille avait un peu d’avance sur nous. En la regardant de dos, j’eus l’impression qu’elle avait les jambes en coton, sa démarche semblait hésitante.
Arrivée sur le parking, elle parût indécise. Cherchait-elle sa voiture ? Soudain, elle s’appuya contre un poteau. Nous nous approchâmes d’elle.
- Ça ne va pas ? demanda un des amis.
La fille lui dit que sa tête tournait et qu’elle avait eu un simple étourdissement. Puis, elle ajouta qu’elle allait prendre sa voiture et rentrer chez sa belle-mère. Un des amis lui fît comprendre que ce n’était pas très prudent de prendre le volant. Et puis, il valait sans doute mieux que sa belle-mère ne la voie pas dans cet état.
La jolie blonde, leva la tête vers mon ami et hocha la tête. Des quelques mots bredouillés, qu’elle prononça ensuite, et dit, qu’elle venait à peine d’emménager chez sa belle-mère, mais que celle-ci était absente. Néanmoins, un des amis insista sur les risques d’accident et lui dit : - Je vous propose, si vous n’y voyez pas d’inconvénient, de vous reposer d’abord un peu. Vous pouvez avoir confiance, ensuite, je vous emmenez chez votre belle-mère et mon ami nous suivra avec votre voiture c’est plus prudent. Ok vous vous reposerez un peu et, quand vous aurez récupéré vos esprits, vous pourrez partir.
La jeune nana hocha la tête sans rien dire, elle se laissa guider jusqu’à ma voiture pour aller chez moi. Je n’étais pas particulièrement emballé par la proposition de mon ami mais je n’allais pas laisser cette gamine s’emplafonner le premier poteau indicateur du coin. Après tout, j’étais responsable. Un de mes amis me dit : - Il faudrait qu’elle s’allonge, histoire qu’elle récupère. Tu sais, tu es chez toi, ne t’inquiète pas, va te coucher. Dès qu’elle ira mieux, on la raccompagnera chez elle. Tu n’as pas besoin d’attendre.
J’étais vraiment crevé, aussi je montais pour aller me coucher. Ma chambre est en duplex. Je grimpai donc vers la mezzanine qui surplombait ma chambre. Alors que je tirais la porte coulissante pour avoir un peu d’intimité.
Déshabillé, j’avais éteint la lumière et je m’apprêtais à dormir quand j’entendis un des amis dire à la fille de boire encore un verre. A poil, douillettement glissé sous la couette, la voix de la fille me surprit, elle se plaignait car elle avait envie de vomir.
Ah non ! Je bondis du lit. Elle n’allait pas vomir sur mon parquet ! C’est la peur du ridicule apparaitre à poil, qui m’empêcha d’ouvrir d’un seul coup la porte coulissante. Je l’entrouvris juste assez pour pouvoir regarder en bas. La jeune fille était allongée toute habillée sur mon lit. Elle demanda à aller dans la salle de bain. Un des amis l’aida à se lever il la mena vers mon cabinet de toilette qui dessert ma chambre. En me baissant, je vis la nana, à genoux, la tête penchée sur le bidet.
Etait-ce sous prétexte de la soutenir qu’il lui prenait les deux seins ? Son geste me semblait incongru et déplacé.
Lorsqu’elle eut, me semble-t-il, terminé, il la ramena sur mon lit et il demanda à son copain de préparer un autre verre pour la fille. Quand il lui tendit celle-ci refusa mais il insista tant qu’elle finit par le boire. Alors qu’ils quittaient la chambre, sans doute pour aller dans le salon, je décidai de me recoucher.
A moitié somnolent, j’émergeai quand j’entendis la fille se plaindre d’avoir chaud. Elle pensait avoir de la fièvre. Allons bon !!!
- Mais non, dit un des amis, tu n’as pas la fièvre, il fait très chaud ici, c’est tout ! Je vais vous mettre un peu plus à l’aise.
Je reconnus la voix de mon client, puis le bruit de deux chaussures qui heurtent le sol.
- Non, ça va, merci ! Dit la fille.
Intrigué, je me levai de mon lit et à nouveau, j’écartai légèrement la porte coulissante. En dessous, je voyais mon lit. Mon client était en train de retirer la petite veste de tailleur de la fille. Les yeux fermés, elle ressemblait à une poupée en chiffon, son corps suivant les mouvements que lui impliquait mon ami. Quand ce dernier commença à dégrafer le corsage, je me mis à tiquer. Mais quand je le vis s’attaquer à la jupe de la fille, mon étonnement se transforma en plutôt soupçons où voulait-il en venir ?
- Oui ! oui ! C’est bon, ça va ! murmura difficilement la jolie blonde.
- Laissez-vous faire ! Mettez-vous un peu à l’aise et vous verrez, ça ira mieux. Avec nous, vous ne risquez rien. Vous avez confiance ?
La jeune femme ne répondit pas et le laissa faire. Elle paraissait avoir tellement chaud. Un des amis avait réussi à faire glisser la jupe. Pour le bas, elle ne portait plus sur elle, qu’un petit slip blanc.
De drôles d’idées se bousculaient dans ma tête. Ma curiosité était titillée et malgré la gêne. J’osais écarter un peu plus le battant. Ce que je fis ne me correspondait pas. Je m’allongeais à même la moquette, pour pouvoir mater dans ma chambre. De la mezzanine, ceux d’en bas ne pouvaient pas me voir car j’étais dans l’obscurité.
Je surpris distinctement le regard que mes deux amis s’échangèrent au moment où un s’assit sur mon lit, à côté de la nana. Quand il posa sa main sur la cuisse de la fille, je crus la voir tressaillir.
- Je vais vous masser un peu, ça vous fera du bien : lui murmura-t-il doucement.
Sans attendre la permission, ses mains descendirent vers les pieds de la fille, remontèrent le long de ses jambes, enveloppèrent ses cuisses puis glissèrent lentement vers son ventre. Il s’attarda un peu puis remonta vers l’estomac pour redescendre un peu plus bas en mouvements circulaires. Chaque déplacement l’amenait un peu plus près du pubis de la fille. Pourtant, il ne tentait aucun geste déplacé et elle demeurait allongée, immobile.
Au lieu de s’atténuer, la chaleur de son corps augmentait car la fille se plaignit de bouffées successives. Sur un signe de la tête de mon client, l’autre s’approcha et releva le buste de la fille. Son copain en profita pour lui retirer son corsage. En même temps, il réussit à dégrafer son soutien-gorge. Tandis qu’il la recouchait délicatement, l’autre fit glisser le soutif et la pauvre se retrouva le buste à l’air. Les yeux toujours aussi hermétiquement clos, les bras collés le long du corps, elle ne bougeait pas.
Comme la première fois, sa main remonta du pied vers la cuisse qu’il massa longuement, puis alla vers le ventre. Elle se laissait faire, les yeux fermés, l’esprit sans doute embué et cotonneux.
Attends, il ne faut pas se presser. Brusquer les choses risquerait de tout faire rater. Ce serait dommage, regarde, comme elle est bien foutue. Et puis, l’autre dort, alors autant en profiter !
Soudain, à l’énoncé de l’autre, je réalisai que c’était moi, que j’étais en train de mater mes deux amis qui essayaient de se taper une jeune nana. Sous mon toit, en plus moi, je les espionnais tranquillement. Dieu merci, la fille était majeure !
Dès qu’ils se turent, un des deux reprit son ouvrage. Maintenant, sa caresse insistait sur le haut du slip de la fille, descendant parfois, comme par hasard, sur son bas-ventre. De temps en temps, j’apercevais sa main qui s’arrangeait pour passer légèrement, l’air de rien, sous l’élastique du petit slip tout blanc. Il ne s’était servi que d’une main. Au moment même où il posa la gauche pour lui masser tout doucement le ventre, il insinua la droite sous le sous vêtement, directement sur son pubis.
Incroyable ! S’en était-elle aperçue ? La fille ne bougeait toujours pas !
Je vis soudain la main du type s’agiter sous le slip. La fille aurait dû hurler et arrêter tout à ce moment-là ! Mais non, elle ne protestait pas, laissant ces deux mains posées sur son corps.
La scène était si excitante que je m’étais mis à bander ! Tout à coup, la jolie blonde ouvrit la bouche et se mit à respirer très fort. Tandis qu’il continuait à remuer sa main droite, la gauche saisit le slip et tira dessus jusqu’à ce que la chatte blonde de la fille apparaisse à ma vue. L’autre, aida son copain en finissant le travail. Il parvint sans aucune difficulté à faire glisser le petit bout de tissu le long des jambes de la jeune femme.
Dès qu’il se débarrassa du slip, il attrapa les jambes de la fille et les écarta. C’est à ce moment-là, qu’un en profita pour passer la main dans la fente offerte. Elle parut soudain électrisée. Elle se cambra comme si elle voulait aller à la rencontre de cette caresse impudique.
Avec un doigt, il caressa le clitoris, descendit vers le trou, remonta et commença lentement à la branler. Pendant que la fille se mettait à geindre doucement, il dit à son copain : - Tu vois bien que ça vient. Tu peux te préparer, elle mouille, la petite cochonne. Regarde comme elle se tend et comme elle bouge son petit cul.
Je crus entendre la fille répondre dans un souffle « oh oui ! ».
Je n’en revenais pas. Les quelques instants passés en compagnie de cette fille, lors de la soirée, ne m’avait pas donné l’impression qu’elle était facile. Au contraire, elle paraissait timide et réservée. Ce soudain laisser-aller ne pouvait venir que de l’alcool qu’elle avait ingurgité.
La fille se tordait de plaisir maintenant sur le lit tandis qu’un lui branlait la chatte. Je l’entendais lui prodiguer des encouragements.
Mon attention fut attirée par l’autre client qui, debout près du lit, était en train de se déshabiller. Son érection me sauta au visage. La queue raide à l’air ! Tout en se masturbant lentement, il vint tout près du visage de la fille. Il s’agenouilla à côté et, d’un seul coup, il lui mit sa queue dans la bouche.
J’avais la nette impression que la fille n’en pouvait plus. D’ailleurs, le contraire aurait été étonnant, vu le bruit mouillé que faisait la main de mon ami, pendant qu’il la branlait. Elle ne semblait pas être insensible à sa gâterie.
Quelques minutes après, il attira l’attention de l’autre, lui signifiant de prendre sa place. Dès qu’il quitta le lit, il s’installa entre les cuisses de la fille et se mit à lui lécher la vulve. Elle émit aussitôt de drôles de petits bruits.
Pendant ce temps, il retirait lentement ses fringues en regardant le couple avec un petit sourire. J’eus une étrange impression de déjà-vu, encore un client qui se baladait chez moi la queue à l’air ! Il s’approcha et s’agenouilla près d’elle. Il lui prit la tête et présenta sa bite.
Il devait rudement bien si prendre car la fille, sans l’ombre d’un doute, jouissait fortement. Ce n’était plus la petite blonde réservée de la soirée mais plutôt une jeune femelle avide car, à mon grand étonnement, je la vis se saisir de sa queue pour l’engloutir entre ses lèvres. Tout en gémissant bruyamment, elle suçait la bite de mon ami dans tous les sens.
Sans doute l’autre s’est-il aperçu du changement d’attitude de la fille ? Tout est autant qu’il se saisit de ses cuisses et les ouvrit plus largement. Puis s’installant à genou entre ses jambes, il présenta sa queue et, lentement, la pénétra.
Un bruit blizzard, sortit de sa gorge. La bite devait être trop grosse pour sa petite chatte. Néanmoins, il réussit à l’enfoncer jusqu’à la racine. Je le vis rester immobile pendant quelques instants puis, il commença à aller et venir doucement en elle. Quand il se mit à accélérer, la fille cria tant qu’elle laissa échapper de sa bouche, l’autre queue Quelle ne fût pas ma surprise de voir sa petite main, récupérer hâtivement la bite volage pour mieux l’enfourner entre ses lèvres ! Ce n’était plus une victime mais une vraie associée !
Impossible pour moi, de détourner le regard. Pire, je me branlais en les regardants baisers la fille. Je n’en croyais pas mes yeux. C’était bien la première fois que je voyais deux types ensemble baiser une nana.
Le peu de honte que j’avais en moi, se dissolvait dans le plaisir que j’avais à les espionner. Si mon ex-femme m’avait vu…A un moment, il se dégagea de l’emprise de la fille. Il tapa sur l’épaule de son copain. Je n’eus pas à attendre la signification de son geste. Il se retira de la fille pour laisser sa place. Dès qu’elle fût libre, l’autre le remplaça mais avec une variante. Avec des gestes presque brusques, il se saisit de la fille et la retourna.
Suivit-elle le mouvement volontairement ? Je l’ignore mais, toujours est-il qu’elle se retrouva à quatre pattes sur le lit. Il ne lui laissa pas le temps de réfléchir, il lui écarta les cuisses et, guidant la queue avec sa main, il la planta sans ménagement, dans la fente.
La fille se mit à crier, puis à geindre dès que le pieu commença à la labourer. Je voyais ses doigts qui crochetaient les draps. Le bassin tendu vers la bite qui la défonçait, elle avait la tête rejetée en arrière. Plus il accélérait, plus elle criait. Pas de douleur, mais de plaisir et cela se voyait !
Sans doute peu emballer à l’idée de jouer les seconds, l’autre ami réussit à se glisser sous la fille. Sa bite bien raide n’attendait qu’une seule chose, il agrippa ses cheveux et tira sa tête à lui. La fille comprit tout de suite ce qu’on attendait d’elle. Se saisissant de la bite qui lui faisait face, elle l’empoigna. Je fus surpris de la voracité dont elle fit preuve.
Mais le plus surprenant pour moi, ce fût de la voir avaler le sperme de mon client et lécher les contours de sa queue afin de n’en prendre aucune goutte. Quand il se leva du lit. Il repoussa la fille et s’allongea sur le lit. Je fus quand même étonné de ne pas voir la fille vexée quand il lui dit : - Allez, ma petite salope, suce-moi bien et avale !
Elle s’exécuta et, comme une bonne fille obéissante, elle le suça. Elle s’appliqua tant qu’il finit par lui jouir dans la bouche.
Ce qui me démontra le peu de cas qu’ils faisaient de la fille, c’est qu’une fois leur affaire terminée, les compères ont dit à la fille de se rhabiller rapidement. Ils étaient bien fatigués et voulaient dormir. Comme goujat, on ne fait pas mieux dans le genre !
Ils eurent quand même la prudence de lui demander si elle pouvait conduire. Vu les ébats rythmés qu’elle venait d’entreprendre, toute trace d’ébriété avait disparue. En deux temps trois mouvements, elle remit ses vêtements et je les vis disparaître de ma chambre.
Quand mes deux zèbres revinrent, ils se marraient en commentant l’affaire. Ils eurent même une pensée émue pour moi : - Quel dommage pour notre ami. Dormir alors qu’il y avait eu un si joli petit cul à baiser.
Après leur douche, il ne me resta plus que leur ronflement. Quant à moi. Impossible de trouver le sommeil. Je n’y parvins qu’après m’être masturbé comme un dingue. Il suffisait que je ferme les yeux, pour revoir la si jolie bouche de la petite blonde engloutir la queue de mes amis.
Ils me quittèrent le dimanche après-midi sans qu’aucune allusion ne soit échangée sur ce qui s’était passé durant la nuit. Je suis toujours en contact avec eux et ce secret perdure encore entre nous. Bizarre, non ?
Par contre, quand ma copine Katia revint à la maison, sans prévenir, le dimanche soir, j’eus la trouille de ma vie. J’étais tranquillement en train de fumer dans le salon quand elle surgit comme une diablesse de sa boîte : - Qu’est-ce que c’est que ça ? Qu’est-ce que ça fait sous ton lit ?
Je la regardai sans comprendre. Je l’ignorais, ce portefeuille n’était pas à moi !
- Qui c’est cette nana ? Tu l’as baisée pendant que je n’étais pas là ? C’est ça ?
Je niais ! Et pour cause, j’étais innocent ! Je finis par lui avouer les incartades de mes deux clients. Le plus étrange, c’est qu’elle me crût aussitôt et parût soudain très intéressée.
Curieuse, elle se mit à fouiller dans le portefeuille de la fille. Tout à coup, son visage s’éclaira : - Non, ce n’est pas vrai ! Incroyable ! Le monde est petit.
Je m’enquis des raisons de son étrange attitude. Elle se mit à rire, mais d’un rire qui faisait froid dans le dos.
- Je vais aller lui rapporter son portefeuille à cette petite !
Je la remerciais mais lui dit que je le ferai moi-même.
- Non ! Non, j’y tiens. Je vais le lui porter chez sa belle-mère. Pas de problème.
Je n’y comprenais rien du tout. Je demandai à Katia si elle connaissait cette fille. Non ! Alors pourquoi se donner cette peine ? A contre cœur, elle finit par lâcher quelques informations, non, elle ne connaissait pas cette fille, mais par contre, les quelques photos d’elle dans son portefeuille, prouvaient qu’elle était mignonne. Je lui rétorquai que ce n’était pas une raison suffisante !
- Non, en effet, me dit-elle. Ce ne sont pas ses photos qui m’intéresse, quoique… mais plutôt celle de cette femme. Non, ce n’est pas vrai ! Je rêve ?! Quel super hasard, enfin !!!
Son rire me parût féroce alors qu’elle me tendait un cliché. Sur la photo, on pouvait voir une belle femme blonde d’environ quarante ans. A côté d’elle, se tenait notre jolie blonde.
- Tu vois, cette femme, c’est apparemment la belle-mère de cette jeune nana. En fait, le père de cette blonde s’est remarié avec cette bonne femme. Lui est décédé, il y a trois ou quatre ans. Comme elle n’avait plus de mère, c’est elle qui s’en est occupée. Enfin, occupée… La gamine a passé sa jeunesse dans un pensionnat. Comme ça, l’autre salope a pu tranquillement craquer le pognon, de feu son mari. Je peux juste te dire que c‘est une belle salope qui aime bien piquer les mecs des autres. D’ailleurs, je suis très surprise que la gamine soit revenue. Ce sera moins facile maintenant pour elle, de s’envoyer en l’air. T’es sûr qu’elle habite chez sa belle-mère ? Remarque, elle n’a pas le choix si elle veut continuer à pouvoir claquer le fric du père de la petite.
J’acceptais qu’elle rapporte son portefeuille. Katia m’assura que je n’avais pas de soucis à me faire et qu’elle s’occupait de tout. Elle condescendit à me promettre de tout m’expliquer un jour. En attendant, il fallait que je lui fasse confiance.
Cela fait maintenant une semaine et demie que Katia a retrouver le portefeuille de la fille. J’ignore si elle le lui a rendu. Si non, la fille n’a-t-elle pas téléphoné au bureau pour s’en enquérir ? Après tout, il y a tous ses papiers.
Comme je me méfie des réactions de Katia, je n’ose pas lui demander ce qu’il en est et elle ne m’en parle pas du tout. Je vais attendre encore un peu et je tâterai le terrain.
Je suis sûr que beaucoup d’entre vous doivent se dire : « ce type est couillon, à sa place, je serai descendu pour baiser la fille avec mes copains ! ».
Bah pas moi ! Mais je ne suis qu’un amateur.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je suis partagé par le contenu.
C'est bien écrit mais la scène décrite entre la jeune fille et les 2 hommes pourrait s'apparenter à un violent car vu son état d'ébriété elle n'était pas en mesure, du moins au départ de se défendre.
C'est bien écrit mais la scène décrite entre la jeune fille et les 2 hommes pourrait s'apparenter à un violent car vu son état d'ébriété elle n'était pas en mesure, du moins au départ de se défendre.
Cette histoire bien écrite est excitante à souhait...une suite ?
Bien trop long pour rester plongé dans l'histoire ! Bof !!! Bof !!!