Une vie 2

- Par l'auteur HDS Nico T -
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Une vie 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Une vie 2
Chapitre 2 : Un sacré week-end.


C’est contraint et forcé, (enfin presque!) que je vais vous raconter mon week-end inoubliable et mes premiers lecteurs seront…

Mais commençons par le début. Vendredi soir, je suis rentré du travail quand j’ai reçu un appel de Mehdi, vous vous souvenez de Mehdi, mon pote marocain enfin franco marocain. Il est né en France, avec qui j’ai passé le réveillon du 1er de l’an avec son amoureux le black Driss et mon petit turc Izmir, donc, vendredi soir, je sortais de la douche quand Mehdi m’appelle. Sa voix était enrouée, il peinait à parler et avait des sanglots dans la voix.

- Fabrice, t’es tout seul, je peux venir te voir ?

- ben oui! mais que se passe-t-il? tu as l’air bizarre.

- je vais te raconter dit-il des sanglots dans la voix.

- quelqu’un est mort ?

- non, non idiot! et il rigole quand même doucement, bon j’arrive, je suis là dans 10 minutes.

J’ai juste eu le temps de me rhabiller qu’il était à ma porte. Toujours aussi beau et charmant, sauf que ses yeux étaient pleins de larmes et qu’il avait l’air d’un chien battu. A peine entré dans la maison, je l’avais dans mes bras et il pleurait à chaudes larmes. J’étais quand même inquiet! que lui était il arrivé ? son travail ? sa famille qui aurait découvert qu’il couchait avec des garçons ?

Je le serrais dans mes bras sans rien dire, lui caressant le dos, la tête et, lui faisant des bisous. Lorsqu’il redressa la tête il avait le visage ravagé par les larmes qui coulaient en abondance sur ses joues, il reniflait en s’essuyant les larmes. Je lui tends un kleenex.

- mouche ton nez pour dire bonjour à ton pote.

Il prend le kleenex et repart de plus belle à pleurer. Je l’entraîne dans le salon, devant la cheminée. Il revient dans mes bras et pleure encore! alors là je ne comprends plus rien, il finit quand même par se calmer. On s’assoit dans le divan.

- je vais tout te raconter dit Mehdi en me prenant la main entre les siennes.

- prends ton temps mon pote dis-je en lui caressant la joue.

- voilà, tu te souviens de Driss eh bien il ne veut plus me voir. Il ne répond plus au téléphone, ni message. Je suis allé chez lui à B. et après avoir frappé à sa porte pendant une demi-heure il m’a ouvert pour me dire que c’était fini entre nous qu’il ne voulait plus jamais me voir et il m’a claqué la porte au nez.

- mais tu lui as fait quoi ?

- si je le savais, et les larmes coulent encore.

- t’as pas une petite idée ? tu l’as trompé ? il a voulu te baiser et t’as refusé ?

- non je ne l’ai pas trompé, j’aimais trop baiser avec lui et il ne m’a jamais demandé de me baiser… contrairement à d’autres et là il me sourit!

- t’es bien une canaille dis-je! bon c’est vrai que ça doit pas être marrant pour toi mais tu vas en trouver d’autres des petits culs! t’es beau, t’es mignon et quand ils voient ta queue ils se mettent tous à genoux!!

- oui mais en attendant ça m’a fait mal de me faire jeter comme ça surtout sans comprendre, il n’a rien voulu me dire!

- peut être qu’il a trouvé un autre mec dans sa ville, va savoir!

- ouais j’aimerais bien savoir!

- et si on buvait un coup ? tu veux une bière ?

- allez va pour une bière.

En sirotant sa bière, nous avons parlé d’autres choses, enfin surtout de cul. Il commençait à m’exciter, mais je ne voulais pas le brusquer quand tout à coup je remarque l’heure, 18h45 et je me mets à rigoler.

- pourquoi tu rigoles ?

- t’es mon prisonnier jusqu’à demain! t’as vue l’heure ?

- merde et je devais rentrer dîner chez mes parents faut que je les appelle.

Ce qui fut fait rapidement, mais il a fallu que je parle à sa mère pour lui dire que Mehdi restait avec moi pour la nuit. Elle me connaissait depuis pfft tout jeune!

On a commandé des pizzas, on a dîné et on s’est mis devant la télé, Netflix a toujours quelque chose d’intéressant à regarder. Plus l’heure avançait, plus Mehdi se collait à moi et on a fini la soirée dans les bras l’un de l’autre à se faire des bisous.

- qu’est ce qu’on est bien chez toi dans tes bras à se faire des bisous et devant un feu de cheminée! c’est le pied. Je suis sûr que tu bandes mon salaud et il me caresse l’entrejambe pour constater qu’effectivement je bande.

- parce que que toi non ? moi quand j’ai un beau mec dans mes bras c’est l’effet que cela me fait, dis je en rigolant.

- bien sûr que je bande, et c’est uniquement pour toi mon pote! t’es vraiment le meilleur des potes, je t’adore de plus en plus.

- arrête de dire des conneries, tu sais on va coucher ensemble ce soir. Je ne vais pas te mettre dans la chambre d’amis ni à la cave.

Il est venu me rouler une pelle comme il sait si bien les faire.

- alors on va se coucher ?

Il se lève, me tire par la main, m’enlace et m’embrasse.

On monte dans ma chambre, nus tous les deux on se couche, nos corps collés, nos bouches se soudent, il ouvre ses lèvres et me lèche les miennes, et sa langue entre dans bouche rejoignant ma langue qu’il aspire, suce, enlace avec la sienne.

- je vais te dire quelque chose mais tu ne m’interromps pas et tu ne dis rien pour l’instant.

Je le regarde étonné, d’un air de dire "y’a quoi encore ?”

- tu sais que je t’aime, mais maintenant je crois que je t’aime encore plus et je veux faire l’amour avec toi. En fait je veux que tu me dépucèles mon cul, je veux te sentir en moi, je veux sentir ton jus m’inonder, me remplir. Je veux être à toi, je veux être ta salope, ta pute… tu comprends? j’ai besoin de ça mais avec toi uniquement.

- d’abord tu ne seras jamais ma pute ni ma salope. Tu seras toujours mon pote que j’aime aussi énormément. Je vais te baiser c’est sûr parce que c’est toi qui me le demande. Tu te souviens ce que je disais tout le temps en rigolant, que tu aurais mon cul quand j’aurais le tien… eh bien tu vois tout va arriver! on va pouvoir se faire plaisir tous les deux.

- oui on va se faire plaisir, mais moi je ne veux pas te baiser! je veux être à toi! à toi tout seul! tu seras l’unique et le seul à me le faire! t’as pas à discuter!

Il m’embrasse pour m’empêcher de répondre, me retourne sur le dos et vient sur moi. J’aime son corps chaud, lisse, imberbe complètement sauf autour du sexe et sous les aisselles et ses quelques poils du cul qui se battent en duel, ses muscles qui se frottent aux miens, son corps qui ondule contre le mien et nos bites serrées l’une contre l’autre, comme nous dans nos bras.

Ses lèvres descendent sur ma poitrine, il vient me téter les tétons, les faisant durcir entre ses lèvres, descend en embrassant mon torse, mon ventre, met sa langue dans le nombril et trouve ma queue bandante, bien décalottée et déjà suintante, excitée par ce qu’elle a entendu. Il donne un bisou sur le gland, des petits coups de langue pour enlever le liquide qui sort lentement, la prend en main et l’embouche. Je sens ma queue glisser sur sa langue. Il insiste et mon gland touche sa luette, il tousse, mais ne se retire pas jusqu’à ce que ses lèvres et son nez soient dans mes poils pubiens. Il me caresse les couilles, et suce avidement ma queue toute entière. C’est vraiment un grand plaisir, ma main suit ses mouvements sur sa tête, puis il revient s’allonger sur moi.

- tu vas bien me préparer le cul Fabrice tu sais c’est la première fois, alors tu vas y aller doucement, je ne veux pas avoir mal, enfin pas trop. Je te fais confiance.

- oui mon bébé je vais te faire ça dans les règles, allez donne moi ton cul.

Il se met à quatre pattes à travers le lit, je me mets debout derrière lui, caresse ses belles fesses dures, les écarte et admire ce beau petit trou serré, très serré, que j’ai déjà eu l’occasion de lécher et aujourd’hui j’ai la permission de forer.

J’ai léché avec la pointe de ma langue durcie, son petit trou, qui a peiné à s’ouvrir. Le premier doigt a fini par entrer et j’ai entendu Mehdi gémir, sa main se caressait les couilles. J’ai sorti le tube de gel et en ai mis sur l’anus.

- c’est froid dit Mehdi c’est quoi ?

- du gel, ça va aider pour la douleur dis-je.

Et du bout du doigt j’ai tartiné son anus, mon doigt entrait bien maintenant, comme il faut toujours élargir le cercle de ses amis, j’ai mis deux doigts qui ont glissé comme une lettre à la poste dans le petit trou qui s’ouvrait bien maintenant, et j’ai doigté en les tournant, sous les gémissements de plus en plus forts de Mehdi. J’allais essayé de le prendre maintenant.

J’ai mis un préservatif, sous l’œil étonné de Mehdi. Je l’ai badigeonné de gel et lui ai mis une claque sur les fesses.

- prêt pour le sacrifice mon pote ?

Il a rigolé et a bien tendu son petit cul divin.

J’ai posé mon gland en capoté et graissé sur l’anus. J’ai avancé mon bassin, le gland commençait à entrer et Mehdi a reculé ses fesses, j’ai arrêté de bouger, le laissant faire. Il a fait entrer ma queue à son rythme, en soufflant, gémissant et quand mes poils ont commencé à lui chatouiller les fesses, il s’est arrêté.

Je l’ai pris par les hanches, le bloquant en bougeant mon bassin. Il a poussé un petit cri, il devait sentir ma grosse queue en lui, bouger, alors je me suis retiré lentement, et je suis revenu d’un seul coup faisant claquer mon pubis contre ses fesses. Il a mis sa tête dans les draps, les mordant. Il savait que cela allait commencer vraiment.

Son cul bien tendu, j’ai commencé des vas et viens qui allaient de plus en plus vite. Ma queue a fini par bien coulisser, je sentais le boyau se refermer sur ma queue, et son cul était bien ouvert maintenant. Je le tenais fermement par les hanches et mes coups de reins n’avaient rien à envier à ceux que je donnais dans le petit cul de mon turc Izmir qui en raffolait.

Mehdi avait l’air d’apprécier. Je sentais le plaisir monter dans le cul de mon pote et je me suis souvenu qu’il m’avait dit qu’il voulu sentir mon jus l’inonder. J’ai ressorti ma queue complètement, retiré la capote vite fait et remis ma queue dans son fourreau. Le cri de plaisir de Mehdi me redonna de la vigueur et les coups de reins furent encore plus secs jusqu’à ce que le plaisir monte de mes reins et qu’une première giclée inonde l’intérieur de Mehdi.

Il couinait, criait que c’était bon, que c’était chaud et les autres giclées ont suivies finissant de le remplir. Il s’est écroulé sur le lit sortant ma bite de son cul. Je l’ai retourné. Sa queue magnifique pointait vers le plafond, je me suis jeté sur lui pour l’avaler en lui serrant les couilles. Sa belle queue circoncise, bien raide, bien chaude où je n’ai eu qu’à faire deux allers retours pour recevoir mon cadeau. Il s’est vidé dans ma bouche dans un râle de jouissance que je ne lui avais encore jamais connu. J’ai avalé tout son jus comme souvent entre nous.

Il m’a attiré à lui, il est revenu m’embrasser, me caresser, nos queues semi molles se frottaient encore.

- je savais que ça serait magnifique avec toi, je t’aime Fabrice, je t’appartiens pour toujours, tu feras tout ce que tu veux de moi.

Et il recommence ses bisous. J’étais comblé, ravi, heureux.

On s’est endormi dans les bras l’un de l’autre. J’ai été réveillé dans la nuit, il me tétait la bite. Je l’ai remis en position pour l’embrasser, mais il m’a tourné le dos, a pris ma queue bandée en main et l’a dirigé vers son cul. Il n’y avait pas besoin d’explications, ma bite glissa dans son conduit, il s’enfonça bien dessus, serra ses petites fesses et dit:

- maintenant on peut dormir.

Je l’ai serré contre moi et je me suis rendormi la queue bien au chaud.

On s’est réveillé vers 10h30 le samedi matin, ma queue n’était plus dans son petit cul, c’est lui qui était dans mes bras et me souriait.

Il me dit tout plein de mots gentils, ses yeux brillaient de mille feux.

- tu fais quoi aujourd’hui ?

- ben, des courses et… merde Izmir doit venir. Il vient tous les samedi et des fois, avant midi.

Son sourire est parti de son visage.

- écoute Mehdi, je t’aime c’est sûr, mais voilà j’aime aussi Izmir, quand je suis avec lui je suis sûrement aussi heureux que quand je suis avec toi. C’est sûr on a plus de complicité entre nous et maintenant avec ce qui vient de se passer cette nuit, mais je ne peux pas laisser tomber Izmir comme ça et je n’ai pas envie de le perdre comme je n’ai pas envie de te perdre.

- donc tu veux les deux dit-il d’un air goguenard.

- et tous les trois ? on serait pas bien tous les trois ?

- je ne veux pas qu’il m’encule dit Mehdi d’un air boudeur.

- t’en fait pas pour ça, ce qu’il aime c’est en avoir une dans le cul et je crois me rappeler que tu y as déjà mis la tienne non ?

- oui c’est vrai, bon on verra bien! mais pour l’instant j’aimerais bien la sentir encore en moi ta belle queue! baise moi encore Fabrice.

Et il se met sur le dos, les pattes en l’air, écarte bien ses fesses, mettant à jour son anus légèrement ouvert.

- c’est la position que je préfère quand j’encule un mec dit Mehdi.

Je me mets derrière lui, ma queue déjà prête, je crache sur son trou, sur mon gland et je l’enfonce sans difficulté en lui. Je vois son visage grimacer, il me fixe, sourit.

- vas-y baise moi fort! n’oublie pas que je suis ta pute dit-il avec force.

Puisqu’il voulait que se soit ainsi, j’ai enfoncé ma queue bien au fond et l’ai martelé de coups de reins de plus en plus secs. Sa main s’était saisie de son gros sgeg et se branlait aux rythmes de mes coups de reins. C’est lui qui gicla le premier, un long jet de sperme blanc qui arriva à son menton. Il resserre ses fesses sur ma queue et je gicle en lui encore une fois, une multitude de petites giclées suivent. Je me penche sur lui, lui lèche le menton et l’embrasse.

- t’es vraiment un bon coup mon pote! je t’adore et je t’aime!

Une douche, et on était encore au petit déj que ça frappe à la porte. Je vais ouvrir sur Izmir, comme à son habitude, sourire aux lèvres, yeux souriants et brillants. Il se jette à mon cou et m’embrasse à pleine bouche..

- tu m’as manqué dit-il j’ai tellement envie de toi..

- attends dis-je j’ai un invité ce matin..

Je l’entraîne dans la cuisine et il voit Mehdi, en robe de chambre attablé au petit déj. Le bonjour entre les deux est disons pas froid mais pas chaleureux non plus.

Izmir a bu un café, et la discussion a commencé, enfin si on peut appeler ça une discussion et puis il fallait bien se décider :

- qui reste pour déjeuner ?

Le “moi” est venu des deux en même temps, cela aurait pu être risible mais là, euh ça riait jaune!

- faut aller en courses dis-je Mehdi tu t’habilles, et on va tous les trois faire les courses.

Je ne dirais pas que ce fut un plaisir. On trouva de quoi se sustenter et revenus chez moi, il n’y avait toujours pas plus de grande discussion entre eux. J’ai demandé à Izmir de mettre la table, à Mehdi d’aller chercher du bois pour remettre la cheminée en route. On voyait sans problème que j’étais le chef!! j’avais deux esclaves à la maison!

J’ai allumé le feu, ils sont venus près de moi. Oh ils n’étaient jamais bien loin. Je les ai attiré à moi, chacun d’un côté, les poussant l’un à l’autre.

- bon maintenant vous allez faire la paix! embrassez vous.

Là j’ai eu franchement envie de rire. Mehdi fait une bise sur le front d’Izmir et Izmir sur sa joue.

- bon les mecs! je veux mettre les choses au point. (je les tenais fermement contre moi) je vous aime tous les deux, pas de la même façon, mais je vous aime. Je ne pourrais jamais choisir entre vous deux alors j’ai décidé, et si vous êtes d’accord de vous garder tous les deux.

J’embrassais Izmir sur la bouche et Mehdi également. Ils se regardaient tous les deuxn attendant sûrement la réponse de l’autre.

- alors faîtes la paix, embrassez vous comme deux potes qui ont déjà couché ensemble. Nom de Dieu!! dis-je assez fort en souriant.

Ils se sont mis à rire, se sont penchés l’un vers l’autre jusqu’à ce que leurs bouches se touchent, j’ai vu la langue d’Izmir forcer la bouche de Mehdi qui se laisse faire. Je les tenais fermement dans mes bras, et j’ai joins mes lèvres aux leurs. Ils se sont séparés et m’ont envahi la bouche de leur langue.

Je crois que j’avais gagné une bataille.

Leurs langues étaient chaudes et agiles, un vrai plaisir!

- les mecs j’ai une proposition.

les regards se sont tournés vers moi.

- on mange et je serais partant pour une petite sieste. Je n’ai pas bien dormi cette nuit, y’avait un mec dans mon lit qui bougeait tout le temps.

J’avais réussi à les dérider et je savais, enfin je me doutais que, quand ils seraient à poils que tout allait s’arranger au moins pour aujourd’hui.

Déjeuner, café, bisous, caresses et ils m’entraînent dans ma chambre que tous les deux connaissent.

Déshabillé par quatre mains expertes, caressé de partout, embrassé, sucé, léché, même Mehdi m’a léché le cul en me faisant un clin d’œil. C’est Izmir qui s’est mis à quatre pattes demandant à être enculé pendant qu’il suce le deuxième. C’est moi qui ai pris son cul en premier, pendant que Mehdi enfonçait sa grosse queue dans sa bouche. Il l’enfonçait bien à fond mais Izmir adore ça, alors il ouvre bien la bouche et tend bien son cul.

Il est rempli des deux côtés puis il a droit à deux bouches pour le faire jouir et se partager son bon nectar qui jailli et retombe sur son corps. Mehdi le retourne et lui lèche le cul, écartant bien ses petites fesses, je vois que sa queue a repris des forces, il l’approche de son cul et s’enfonce sans ménagement en lui.

- donne moi ta bite dit Izmir.

Il s’enfonce sur ma queue qui commence à se redresser et me suce aux rythmes des coups de reins de Mehdi. Il le lime fort et sec. Je crains qu’il essaie de se venger en essayant de faire mal à Izmir mais en le regardant je vois qu’il prend son pied dans ce petit cul si accueillant et je le comprends. Dans un râle il joui, il me faut un peu plus de temps pour inonder le palais d’Izmir.

On s’allonge sur le lit, un minet dans chaque bras… HEUREUX!

Mais ils sont insatiables, les caresses et les bisous reprennent sur mon corps.

Au bout d’un moment je demande à Mehdi :

- Izmir t’a déjà bouffé le cul ? parce que c’est un vrai plaisir dis-je.

- euh non… répond Mehdi.

En me redressant :

- alors mets toi à quatre pattes et tu vas sentir la langue d’Izmir.

Un peu avec réticence Mehdi prend la position. Izmir lui caresse ses belles fesses en les écartant et il voit l’anus encore entrouvert. Il le lèche, avec sa belle et longue langue et Mehdi met le moteur des gémissements en route. Je viens devant lui, mon visage à sa hauteur, lui caresse le visage et l’embrasse tendrement. Une langue dans le cul, une dans la bouche, je lui glisse à l’oreille :

- à la place des langues tu pourrais avoir des bites.

Et avant qu’il dise quelque chose je l’embrasse et il gémit encore et encore. Je connais l’effet de la langue d’Izmir et en ce moment il doit s’appliquer. Il a du comprendre que je voulais enculer Mehdi alors il lui prépare bien son petit cul et Mehdi gémit en suçant ma langue.

- donne moi ta queue réclame Mehdi.

- où ? demandais je en souriant.

- je veux te sucer dit Mehdi.

Et j’ai joui dans sa bouche sans qu’il arrête de gémir. Il s’est retourné, a présenté sa queue à Izmir qui s’est fait un plaisir de le faire jouir également.

Cela a duré jusqu’à 17h30 où j’ai sifflé la fin du match, qu’il était l’heure de rentrer chez eux. Izmir sans problème car sa mère lui interdisait de découcher et Mehdi croyait que j’allais accepter qu’il reste une autre nuit en téléphonant à sa mère mais j’ai tenu bon et ils sont repartis. Il fallait les laisser digérer tout ça!


Ce matin j’ai eu la visite de Mehdi tout souriant qui m’a annoncé :

- je suis d’accord avec tout ce que tu nous a dit hier, je t’aime, tu m’aimes et je partage avec Izmir. J’espère que l’on se retrouvera tous les trois le plus souvent possible.

Il ne pouvait pas rester, c’était couscous du dimanche et il avait intérêt à être présent. Les foudres maternelles étaient à craindre et il craignait sa mère qui est si gentille!

Izmir est venu en début d’après midi, égal à lui-même, on a parlé de Mehdi, il a bien vu qu’il était jaloux de lui. Je lui ai expliqué que c’était réglé.

- alors on arrose ça dit Izmir en riant.

Nous avons passé du temps dans le canapé, devant le feu de cheminée cuisant nos corps nus et entremêlés. L’après midi a été douce de bonheur et il est reparti. L’heure c’est l’heure dans la famille à Izmir, sa mère le surveillait peut être un peu trop!

Eh bien mes chers amis me voilà coincé entre la Turquie et le Maroc… pour mon plus grand plaisir…!

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Joli, et sympa.



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