Une vie 6
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Une vie 6
IL FAUT SAUVER LE SOLDAT IZMIR (1ÈRE PARTIE)
Depuis la fin du ramadan, passé avec Mehdi, ses frères et ses parents, notre balade en forêt et nos baises, tout semblait rouler comme sur des roulettes dans le meilleur des Mondes.
Mehdi était accaparé avec son nouveau mec Cédric qu'il baisait autant qu'il pouvait le faire… et refusait de me le présenter disant que j'allais lui piquer comme si je n'étais pas assez occupé avec lui et Izmir.
Izmir passait me voir de plus en plus souvent, toujours souriant, toujours adorable. Me disant sans cesse qu'il m'aimait et que je lui manquais. Il m'avait demandé de lui faire une vidéo où je me branle et joui pour qu'il puisse la regarder le soir lorsqu'il pensait à moi en se faisant plaisir. Je lui avais fait cela avec plaisir et j'avais eu droit à son petit cul, encore une fois, comme récompense. Il était heureux et moi aussi.
Jusqu'à il y a une dizaine de jours, le couvre feu était encore à 20 heures. Je l'ai vu arriver à la maison peu avant l'heure fatidique, le visage ravagé par des traces de larmes. Je ne l'avais jamais vu dans cet état, lui si souriant d'habitude.
A peine la porte ouverte, j'ai juste eu le temps de voir les dégâts sur son visage, qu'il était dans mes bras me serrant contre lui, sa tête dans mon cou et les sanglots ont commencé. Il pleurait en silence, les épaules se secouaient en tremblant. Je n'ai rien dit. Je l'ai serré fort contre moi caressant sa belle chevelure noire, essayant de l'apaiser. Les secousses de ses épaules ont diminué. Il reniflait ses larmes dans mon cou. Je lui ai fait des bisous sur la tête. J'ai soulevé sa tête par le menton, quelle tristesse de voir ses yeux pleins de larmes qui coulaient sur ses joues. Je les essuyais avec mon pouce, on se regardait, je souriais mais ses yeux étaient tristes.
- tu veux me raconter dis-je doucement viens on va dans le canapé.
- oui mais je veux rester dans tes bras.
Je me suis assis dans le canapé, il est venu à califourchon sur moi, m'entourant les épaules de ses bras, m'a fait quelques bisous dans le cou.
- je t'aime tu sais Fabrice, je voudrais rester avec toi ce soir.
- bien sûr Izmir tu sais très bien que tu es toujours le bienvenue mais tu commences à m'inquiéter maintenant, alors je t'en prie raconte ce qui se passe. Il est arrivé un malheur dans ta famille ?
Pourquoi faut-il que je pense toujours au pire moi !
- non non ils vont tous très bien et personne sait que je suis ici. Voilà, hier soir j'étais à poils sur mon lit dans ma chambre et je me caressais la queue en regardant la belle vidéo que tu m'as faite. J'adore quand on voit le sperme sortir et gicler de ta queue, mais mon frère Ozgürd est entré à ce moment et a vu la vidéo. Il est entré dans une rage folle, me traitant de pédé, d'enculé et de tout plein de noms… mais le pire c'est qu'il a sorti sa queue et voulait que je le suce. Je n'ai jamais eu envie de faire ça avec mon frère quand même! tu vois le tableau. J'ai réussi à le faire sortir de la chambre sans rien faire et sans trop faire de bruit pour ne pas alerter les parents.
-Ozgürd c'est ton frère aîné ?
- oui, il a un an de plus que moi dit Izmir.
- et il s'est passé autre chose ?
- oui, ce matin lorsque j'étais en train de me préparer dans la salle de bains, il est venu, il était en boxer et on voyait bien qu'il bandait le salaud. Alors en se tripotant la queue devant moi il m'a dit "ce soir tu me suces ou sinon je dis aux parents que tu es pédé, que tu regardes des mecs se branler". Je l'ai envoyé promener et je suis allé au boulot.
- et c'est pour ça que tu es ici ?
- oui car surtout il a rajouté que si je ne le faisais pas, j'étais sûr d'être envoyé en Turquie pour être éduquer par la famille là-bas. Le pire c'est que je suis né ici et que la famille en Turquie je ne la connais pas, je ne parle pas turc.
Il s'était remis à pleurer.
- calme toi mon amour tu peux rester ici tout le temps que tu veux. Je t'aime aussi tu le sais bien et tu es majeur surtout!
Il m'a embrassé tendrement, passant ses mains sous mon tee-shirt pour me caresser de ses belles mains fines et chaudes. Je l'ai déshabillé, lui enlevant le haut, pour que nos corps se touchent, se caressent et il a fini à genoux entre mes jambes, sortant ma queue déjà raide et prête à l'emploi. Il l'a bien décalotté, faisant ressortir le gland pour le lécher lentement en me fixant de ses grands yeux noirs. Sa langue agile en faisait bien le tour, salivant bien, pour que ses lèvres viennent la récupérer et descendre sur la hampe.
Il avait la facilité d'avaler ma queue directement au fond de sa gorge, sans tousser, sans cracher. Il faisait de longs vas et viens dessus, tenant en caressant mes couilles, il suçait et aspirait ma queue. Je lui caressais la tête, les joues. La pipe s'est accélérée quand il a senti ma queue durcir et quand le premier liquide annonciateur des giclées de sperme sont sorties, il s'est bloqué, ma queue au fond de sa gorge et a recueilli jusqu'à la dernière goutte tout le nectar qu'il désirait et il a recommencé à bien me lécher la queue pour me regarder avec son beau sourire qui était revenu.
En le soulevant pour l'approcher de moi.
- dis donc salopiot tu sors du boulot, t'es pas rentré chez toi donc t'as pas pris de douche ton petit cul toi sentir la sueur… et si je te lavais sous la douche.
Il m'embrasse.
- tu vas pas faire que me laver.
- si avec mes doigts magiques.
Je l'ai entraîné vers la douche, on s'est mis nu tous les deux. Je l'ai pris dans mes bras, le reniflant un peu partout descendant vers sa bite dressée, circoncise et suintante.
- oh ça sent la bite pleine ici, pleine de bon jus de petit mâle en rut.
Je donnais juste un coup de langue sur le gland et je le retournais pour voir son beau petit cul devant moi. Deux belles fesses lisses, fermes, adorables, douces à la caresse que je malaxais tendrement en les écartant. Il me tendait bien son petit cul et l'anus était là, il le faisait palpiter juste pour m'exciter. Je mets mon nez dans la raie.
- et là ça sent le cul affamé de bite, le pauvre petit trou qui palpite et réclame son dû.
Je me redresse derrière lui, lui faisant bien sentir que je bande pour lui. Ma queue vient se poser dans la raie. J'actionne le robinet, un jet frais nous coule dessus, qui se réchauffe rapidement et c'est le petit cul qui cherche la bite pour se faire enfiler. Je plie un peu mes genoux, il écarte bien ses jambes, le gland sur l'anus, je pousse en me redressant et m'a queue entre en lui lentement, l'élargissant bien. Il se cramponne à la paroi de la douche. Mes mains lui caressent le corps, je l'embrasse dans la nuque sous le jet d'eau et je fais bouger ma queue en lui, de petits vas et viens qui le font crier. Mais il se donne, s'offre à mes coups de reins qui deviennent plus rapide. Une main descend sur sa poitrine pour se saisir de sa queue bien raide et je le branle en cadence de mes coups de reins.
Je sens bien ma queue coulisser sans problème en lui et sa queue se branler dans ma main.
C'est lui qui jouit en premier dans ma main, serrant bien fort ma queue dans son cul ce qui me fait jouir en lui de bonnes giclées bien chaudes. Il penche sa tête en arrière et nous nous embrassons tendrement. Il se retourne pour venir dans mes bras et m'embrasser encore plus… un vrai bisounours!
- c'est comme ça que tu laves les gens chez toi ? dit Izmir en souriant.
- faut commencer par l'intérieur avant l'extérieur.
Il riait maintenant, alors on s'est savonné mutuellement partout. On se faisait des bisous. On s'est rincé, on s'est séché et on est allé dîner.
On a rediscuté de la situation mais on ne voyait pas tellement de solutions. Mais, même si les parents savaient qu'il était homo, est-ce qu'ils le renverraient en Turquie ? là était la question!
On avait tout le week-end pour essayer de régler la situation.
La première nuit fut assez sage et au réveil, j'adore le regarder dormir, passer mon doigt doucement sur son visage doux, ses petites moustaches fines qu'il s'évertue à vouloir garder et aucune trace de barbe à son grand désarroi mais il est tellement beau comme ça.
Le samedi matin on est allé faire les courses. Il était redevenu rieur, taquin, espiègle comme il sait si bien le faire… amoureux!
Et en début d'après midi, nous étions dans le salon regardant la télé, la porte d'entrée s'est ouverte et une voix, que j'ai reconnu comme étant celle de Mehdi…
- t'es là Fabrice ? si t'es sous la douche, j'arrive! ne bouge pas…
Ce qui a bien fait rire Izmir et il fallait voir la tête de Mehdi quand il nous a vu tous les deux dans le salon.
-ah heureusement que c'est Izmir qui est là dis-je en riant.
- ça va mes amoureux ?
- ça peut aller dis-je.
- ben vous sortez pas avec ce beau temps. J'avais envie d'aller faire un tour à B., y'a des trucs à voir, vous venez… j'suis tout seul, Cédric ne peut pas…
- non on peut pas dis-je le plus sérieusement du monde, Izmir ne peut pas sortir.
- il est malade ? demande Mehdi en le regardant.
- mais non! c'est pas ça! on lui dit ? demandais je à Izmir, de toute façon il va tellement nous casser les pieds qu'on finira par lui dire.
Izmir sourit.
- oh vous en faites des cachoteries tous les deux… si vous voulez rien me dire… ne me dites rien…
- tu vois Izmir c'est comme ça qu'il s'y prend.
- arrêtez de vous chamailler tous les deux, je vais lui raconter.
Mehdi s'installe dans un fauteuil et écoute l'histoire d'Izmir.
- quel salaud ton frangin! j'lui casserais bien la gueule moi!
- ah ça ! ça arrangerait les choses c'est sûr dis-je.
-Ozgürd c'est ton frère aîné demande Mehdi t'as une photo de lui ?
Izmir fouille dans son portable, fait défiler les photos et tend un portrait de son frère.
- il est beau ce petit con dit Mehdi, mais je le connais, je l'ai déjà vu.
- où ça ? demande Izmir.
- vous allez rigoler commence Mehdi (je m'attendais au pire avec lui) eh bien je l'ai rencontré, et parlé même, dans le jardin où tous les vieux pédés viennent pour sucer les jeunes mecs, en leur laissant un peu de fric.
- et son frère se fait sucer ?
- je l'ai pas vu, mais il m'a dit qu'il se faisait un peu de fric comme ça.
- et toi aussi ? demandais je sournoisement.
- moi je bosse monsieur au cas où tu l'aurais oublié et sucer ma queue ça se mérite. Je la donne pas à n'importe qui! même pour du fric! j'suis quand même pas une pute.
- je blague Mehdi…
- mais ça nous avance à quoi de savoir ça, même s'il se fait sucer par des mecs, on n'en a pas la preuve.
- t'as raison dit Mehdi, mais je pense qu'on peut y arriver.
- oh la la! attention! tu veux dire quoi là Mehdi ?
- rien pour l'instant… je réfléchis mais je crois bien que j'ai trouvé la solution il faut que je vois le père B.
- le vieux qui traîne tout le temps au jardin ?
- oui il a sucé tous les pédés de la ville et les connait tous et comme je le connais il me le dira s'il connait le frère d'Izmir.
- t'es sûr ?
- ben oui… mais pour avoir la réponse il faudra que je paye de ma personne…
- c'est pour la bonne cause dis-je et une pipe ça se refuse pas.
- oui mais il n'est pas de la première fraîcheur le papy.
- oui mais il a l'expérience! et on a tous éclaté de rire.
- Izmir, envoie moi la photo de ton frère, que je puisse la montrer au vieux!
Ce qui fut fait et pour faire plaisir à Mehdi on est allé traîner tous les trois dans la ville voisine pour rentrer sagement avant 20 heures.
Le dimanche s'est écoulé sans autre nouvelle de Mehdi, aux messages envoyés, il répondait qu'il n'avait pas vu le vieux.
J'avais du boulot à la maison, Izmir m'a aidé. Lui qui d'habitude venait juste pour tirer un coup, manger et dormir. C'est comme si on vivait tous les deux m'a-t-il dit plusieurs fois dans la journée. On n'a pas oublié de baiser, mon squatteur avait de la ressource!
Et le boulot a repris. Izmir a appelé sa mère pour lui dire que tout allait bien qu'il ne fallait pas qu'elle s'inquiète et lui a donné des nouvelles tous les jours. Son frère est venu le voir à la sortie de son travail lui demandant pardon qu'il pouvait revenir à la maison, qu'il ne ferait pas ce qu'il lui avait dit. Mais Izmir avait peur, qu'un coup revenu chez lui son frère parvienne à ses fins et en fait, rester avec Fabrice… ce n'était pas si mal!
La semaine est passée. Mehdi n'avait pas vu le vieux qui avait disparu depuis une semaine pour ne réapparaître que le week-end suivant.
Et, le samedi midi, Mehdi m'annonce qu'il vient déjeuner avec nous. Il arrive, triomphant, son sourire de vainqueur au visage. Il nous fait la bise sur nos lèvres.
- faut que je vous aime les mecs! je ne vais pas faire durer le suspens plus longtemps Izmir tu es sauvé! tu pourras retourner chez toi quand tu veux ton frère ne pourra plus rien contre toi.
- comment ça ? dit Izmir.
- bon je vais vous raconter. Il a fallu que je paie de ma personne… encore une fois mais j'ai pensé à vous deux. J'ai dit, il faut bien sauver Izmir.
- abrège Mehdi! on sait, tu es le plus beau, le meilleur! et on ne pourra jamais se passer de toi.
- ah enfin de la reconnaissance d'un jeune vieux… (j'ai trois mois de plus que lui!!)
Izmir, soulagé, riait dans son coin.
- vous êtes impayables tous les deux!
- c'est pour ça qu'on s'aime dit Mehdi. Bon je vous raconte, j'ai vu le vieux hier avant le couvre feu. Il avait peur d'avoir contracté le virus, alors il restait cloîtrer chez lui. Donc on a parlé, faut pas le bousculer le vieux et, qu'est ce qu'il a les mains baladeuses.
C'est toujours un plaisir d'entendre Mehdi raconter une histoire mais là, j'avais de suite deviné qu'il avait une preuve irréfutable concernant le frère d'Izmir et qu'il allait nous faire durer son histoire. On allait avoir doit à tous les détails arrangés sauce Mehdi.
- enfin, je lui ai parlé de ton frère en lui montrant la photo. Il a voulu savoir pourquoi je voulais savoir ça, j'ai dit qu'il voulait faire chanter un pote qui faisait comme lui alors je cherchais à savoir si c'était vrai que lui aussi le faisait. Le vieux a commencé à me faire un peu de chantage… qu'il y avait une semaine qu'il n'avait pas touché la queue d'un beau mec… comme moi a-t-il même ajouté et il m'a tripoté. Je l'ai laissé faire. Il m'a fait des compliments et m'a dit qu'il me sucerait bien, j'ai dit ok mais que je voulais une réponse avant. Il m'a dit que oui il l'avait déjà sucé et qu'il avait une preuve de ça. J'ai été étonné et il m'a dit : je te suce, tu me donnes ton jus et je te montre ma preuve…
- des vrais marchands de tapis le vieux et toi dis-je en rigolant, alors il t'a sucé sur un banc ?
- non, il a son coin, derrière les fourrés. J'ai sorti ma queue, il l'a admirée, tâtée dans tous les sens et m'a taillé une pipe! putain que c'était bon. Il a fait durer, et a tout avaler ce que je lui ai donné. Ah il était content papy alors je lui ai demandé sa preuve. Il a sorti son téléphone, a cherché dedans et m'a montré une petite vidéo où l'on reconnait le vieux suçant une bite dans le fourré et à un moment le vieux vicieux filme le propriétaire de la bite et… bingo c'est ton frère!
- t'as la vidéo ? demande Izmir.
- attends! ne vas pas si vite dit Mehdi, naturellement je lui ai demandé s'il pouvait me l'envoyer sur mon portable. Il a fait celui qui réfléchissait, m'a dit qu'il pourrait, mais que c'était plus cher. J'm'suis dit il va vouloir que je le suce! alors là les mecs j'avoue que j'ai hésité. J'vous aime, mais de là un sucer un vieux papy, j'ai hésité.
- tu l'as sucé alors ?demande Izmir qui tombe dans le panneau amené par Mehdi.
- ah non dit-il en prenant un air triste en regardant Izmir, c'est pas ça qu'il voulait… il voulait que je l'encule.
Je n'ai pas pu m'empêcher de rire suivi par Izmir qui commençait à comprendre le manège de Mehdi.
- j'ai dit Ok, mais à une condition c'est qu'il me suce encore, avant. Ah il s'est pas fait prier le vieux, il suce bien. Il m'a bien fait durcir en un rien de temps, s'est tourné a baissé son falzar, son vieux slip blanc et une vision d'un vieux cul ouvert sur un trou pratiquement béant. Il s'est emmanché sur ma queue et je l'ai baisé comme un chef! il a couiné le papy mais il aimait ça. Alors j'ai fait durer le plaisir et je lui ai arrosé copieusement son vieux cul accueillant quand même! et il m'a envoyé la fameuse vidéo… que voici!
Et Mehdi nous tend son portable, où l'on voit bien la bite en gros plan, le vieux suçant avec plaisir cette belle tige et la caméra remonter vers le visage où l'on reconnait bien Ozgürd. Putain qu'on a été soulagé de voir ça! on tenait notre vengeance.
- alors les mecs! qu'est ce qu'on dit au Père Noël Mehdi ?
- bah on va lui dire un grand merci hein Izmir ?
- bien sûr un très très grand merci.
- c'est tout ? dit Mehdi, c'est bien la peine que je me décarcasse.
- à moins qu'on lui montre que les jeunes savent sucer autant que les vieux dit Izmir en se levant et venant se mettre à genoux devant Mehdi qui dégrafe déjà son jean.
Je suis venu me mettre à côté, juste au moment où la belle queue de Mehdi sautait aux yeux d'Izmir. Je vois mon chéri s'en emparer en me regardant donnant de petits coups de langue sur le gland et me tend la queue que je viens lécher également. On se partage la queue en la léchant. Nos lèvres se touchent en caressant la queue de Mehdi. Il a posé une main sur nos têtes et suit les mouvements en pacha avec ses deux esclaves.
- j'aime vous avoir à mes pieds dit Mehdi je vois enfin la puissance que j'ai…
J'ai tiré sur son pantalon pour qu'il le retire, il s'est laissé faire, le caleçon a disparu également, Izmir s'est attaqué aux couilles. J'ai enlevé une de ses chaussettes, et j'ai léché son pied. Cela lui a cloué le bec, je ne lui fais pas ça souvent alors il a joué, il bougeait ses orteils sur mes lèvres, me caressait le visage avec son pied. Il avait le sourire aux lèvres et Izmir s'activait sur sa belle queue. J'ai remonté le long de sa jambe, lui embrassant les cuisses légèrement poilues, il sent bon mon Mehdi, pour arriver à la queue.
- lève toi Mehdi.
Sans chercher à comprendre, il obéi et voit Izmir s'installer par terre, sur le dos, la tête sur le siège du fauteuil..
-tu peux lui baiser la bouche pendant que je m'occupe de ton beau petit cul que ma langue n'a pas visité depuis longtemps.
Izmir a déjà ouvert la bouche et attend son cadeau qui ne tarde pas.
La queue s'engouffre dans sa bouche, glissant sur sa langue. Mehdi est obligé de s'accroupir pour baiser la bouche d'Izmir ce qui lui ouvre bien les fesses laissant à ma merci son petit cul.
Alors je lui donne de grands coups de langue. Je l'entends gémir le Mehdi en enfonçant sa grosse queue dans la bouche de mon chéri. J'aime les voir baiser ensemble mes amours. Je lèche bien son petit trou et ma langue va au plus profond qu'elle peut. Je mouille le plus possible, ça sent le cul, mais le cul de Mehdi, son odeur est bien là. Je la reconnaîtrais entre toutes.
Je lui mets un doigt qui glisse bien en lui, lui arrachant un petit cri de surprise, et je doigte son cul de plus en plus vite en cadence qu'il fait entrer sa bite dans la bouche d'Izmir. Il apprécie, alors j'en mets deux et les visse en lui, m'enfonçant au chaud. Je vois Izmir sortir sa queue et se branler. Je baisse mon jean, descend mon caleçon, sort ma belle queue qui connait déjà le cul de Mehdi, je la décalotte bien, retire les deux doigts et dans la foulée fait entrer le gland d'un seul coup qui fait entrer plus profond la bite de Mehdi dans la gorge d'Izmir qui ne bronche pas et continue de se branler.
Je saisi Mehdi par son petit cul qui reçois une ou deux claques et je lui fais sentir ma queue en lui, coulisser et s'enfoncer dans son beau petit cul chaud et humide. Il vient même reculer sur ma queue pour s'offrir alors je le baise en cadence. Il gémit, Izmir aussi, ma queue chauffe dans le cul, quel plaisir ce cul!
C'est Izmir qui jouit en premier suivit de Mehdi qui inonde la gorge d'Izmir, Mehdi resserre bien son sphincter sur ma queue qui en profite pour tout lâcher et inonder mon beau Mehdi qui soupire de satisfaction. Les respirations reprennent leur rythme, Mehdi se retourne, m'embrasse tendrement.
- t'es bien le meilleur pour me baiser me dit-il tout bas.
- flatteur va!
Izmir se relève, vient se frotter à nous.
- et moi ? j'ai pas droit à des bisous.
Les bisounours étaient en action.
Après avoir remis un peu d'ordre on s'est désaltéré et la question d'Izmir est arrivée.
- ben on va en faire quoi de la vidéo maintenant ?
- ben on va te venger mon bébé.
- comment ?
- on va faire goûter nos queues à ton frère si tu veux bien…
- mais y voudra jamais dit Izmir.
- tu nous connais pas avec Mehdi, quand on a une idée derrière la tête on y arrive toujours.
- mais c'est quoi ton idée ? demande Mehdi.
- de nous faire sucer par son frère.
- ah on va aller le voir! salut Ozgürd, tu veux pas nous sucer ?
- oui c'est ça et on le filme, mais on a besoin de la complicité d'Izmir…
- comment ça ? dit Izmir le visage inquiet.
- je vous explique ce qu'on va faire…
Depuis la fin du ramadan, passé avec Mehdi, ses frères et ses parents, notre balade en forêt et nos baises, tout semblait rouler comme sur des roulettes dans le meilleur des Mondes.
Mehdi était accaparé avec son nouveau mec Cédric qu'il baisait autant qu'il pouvait le faire… et refusait de me le présenter disant que j'allais lui piquer comme si je n'étais pas assez occupé avec lui et Izmir.
Izmir passait me voir de plus en plus souvent, toujours souriant, toujours adorable. Me disant sans cesse qu'il m'aimait et que je lui manquais. Il m'avait demandé de lui faire une vidéo où je me branle et joui pour qu'il puisse la regarder le soir lorsqu'il pensait à moi en se faisant plaisir. Je lui avais fait cela avec plaisir et j'avais eu droit à son petit cul, encore une fois, comme récompense. Il était heureux et moi aussi.
Jusqu'à il y a une dizaine de jours, le couvre feu était encore à 20 heures. Je l'ai vu arriver à la maison peu avant l'heure fatidique, le visage ravagé par des traces de larmes. Je ne l'avais jamais vu dans cet état, lui si souriant d'habitude.
A peine la porte ouverte, j'ai juste eu le temps de voir les dégâts sur son visage, qu'il était dans mes bras me serrant contre lui, sa tête dans mon cou et les sanglots ont commencé. Il pleurait en silence, les épaules se secouaient en tremblant. Je n'ai rien dit. Je l'ai serré fort contre moi caressant sa belle chevelure noire, essayant de l'apaiser. Les secousses de ses épaules ont diminué. Il reniflait ses larmes dans mon cou. Je lui ai fait des bisous sur la tête. J'ai soulevé sa tête par le menton, quelle tristesse de voir ses yeux pleins de larmes qui coulaient sur ses joues. Je les essuyais avec mon pouce, on se regardait, je souriais mais ses yeux étaient tristes.
- tu veux me raconter dis-je doucement viens on va dans le canapé.
- oui mais je veux rester dans tes bras.
Je me suis assis dans le canapé, il est venu à califourchon sur moi, m'entourant les épaules de ses bras, m'a fait quelques bisous dans le cou.
- je t'aime tu sais Fabrice, je voudrais rester avec toi ce soir.
- bien sûr Izmir tu sais très bien que tu es toujours le bienvenue mais tu commences à m'inquiéter maintenant, alors je t'en prie raconte ce qui se passe. Il est arrivé un malheur dans ta famille ?
Pourquoi faut-il que je pense toujours au pire moi !
- non non ils vont tous très bien et personne sait que je suis ici. Voilà, hier soir j'étais à poils sur mon lit dans ma chambre et je me caressais la queue en regardant la belle vidéo que tu m'as faite. J'adore quand on voit le sperme sortir et gicler de ta queue, mais mon frère Ozgürd est entré à ce moment et a vu la vidéo. Il est entré dans une rage folle, me traitant de pédé, d'enculé et de tout plein de noms… mais le pire c'est qu'il a sorti sa queue et voulait que je le suce. Je n'ai jamais eu envie de faire ça avec mon frère quand même! tu vois le tableau. J'ai réussi à le faire sortir de la chambre sans rien faire et sans trop faire de bruit pour ne pas alerter les parents.
-Ozgürd c'est ton frère aîné ?
- oui, il a un an de plus que moi dit Izmir.
- et il s'est passé autre chose ?
- oui, ce matin lorsque j'étais en train de me préparer dans la salle de bains, il est venu, il était en boxer et on voyait bien qu'il bandait le salaud. Alors en se tripotant la queue devant moi il m'a dit "ce soir tu me suces ou sinon je dis aux parents que tu es pédé, que tu regardes des mecs se branler". Je l'ai envoyé promener et je suis allé au boulot.
- et c'est pour ça que tu es ici ?
- oui car surtout il a rajouté que si je ne le faisais pas, j'étais sûr d'être envoyé en Turquie pour être éduquer par la famille là-bas. Le pire c'est que je suis né ici et que la famille en Turquie je ne la connais pas, je ne parle pas turc.
Il s'était remis à pleurer.
- calme toi mon amour tu peux rester ici tout le temps que tu veux. Je t'aime aussi tu le sais bien et tu es majeur surtout!
Il m'a embrassé tendrement, passant ses mains sous mon tee-shirt pour me caresser de ses belles mains fines et chaudes. Je l'ai déshabillé, lui enlevant le haut, pour que nos corps se touchent, se caressent et il a fini à genoux entre mes jambes, sortant ma queue déjà raide et prête à l'emploi. Il l'a bien décalotté, faisant ressortir le gland pour le lécher lentement en me fixant de ses grands yeux noirs. Sa langue agile en faisait bien le tour, salivant bien, pour que ses lèvres viennent la récupérer et descendre sur la hampe.
Il avait la facilité d'avaler ma queue directement au fond de sa gorge, sans tousser, sans cracher. Il faisait de longs vas et viens dessus, tenant en caressant mes couilles, il suçait et aspirait ma queue. Je lui caressais la tête, les joues. La pipe s'est accélérée quand il a senti ma queue durcir et quand le premier liquide annonciateur des giclées de sperme sont sorties, il s'est bloqué, ma queue au fond de sa gorge et a recueilli jusqu'à la dernière goutte tout le nectar qu'il désirait et il a recommencé à bien me lécher la queue pour me regarder avec son beau sourire qui était revenu.
En le soulevant pour l'approcher de moi.
- dis donc salopiot tu sors du boulot, t'es pas rentré chez toi donc t'as pas pris de douche ton petit cul toi sentir la sueur… et si je te lavais sous la douche.
Il m'embrasse.
- tu vas pas faire que me laver.
- si avec mes doigts magiques.
Je l'ai entraîné vers la douche, on s'est mis nu tous les deux. Je l'ai pris dans mes bras, le reniflant un peu partout descendant vers sa bite dressée, circoncise et suintante.
- oh ça sent la bite pleine ici, pleine de bon jus de petit mâle en rut.
Je donnais juste un coup de langue sur le gland et je le retournais pour voir son beau petit cul devant moi. Deux belles fesses lisses, fermes, adorables, douces à la caresse que je malaxais tendrement en les écartant. Il me tendait bien son petit cul et l'anus était là, il le faisait palpiter juste pour m'exciter. Je mets mon nez dans la raie.
- et là ça sent le cul affamé de bite, le pauvre petit trou qui palpite et réclame son dû.
Je me redresse derrière lui, lui faisant bien sentir que je bande pour lui. Ma queue vient se poser dans la raie. J'actionne le robinet, un jet frais nous coule dessus, qui se réchauffe rapidement et c'est le petit cul qui cherche la bite pour se faire enfiler. Je plie un peu mes genoux, il écarte bien ses jambes, le gland sur l'anus, je pousse en me redressant et m'a queue entre en lui lentement, l'élargissant bien. Il se cramponne à la paroi de la douche. Mes mains lui caressent le corps, je l'embrasse dans la nuque sous le jet d'eau et je fais bouger ma queue en lui, de petits vas et viens qui le font crier. Mais il se donne, s'offre à mes coups de reins qui deviennent plus rapide. Une main descend sur sa poitrine pour se saisir de sa queue bien raide et je le branle en cadence de mes coups de reins.
Je sens bien ma queue coulisser sans problème en lui et sa queue se branler dans ma main.
C'est lui qui jouit en premier dans ma main, serrant bien fort ma queue dans son cul ce qui me fait jouir en lui de bonnes giclées bien chaudes. Il penche sa tête en arrière et nous nous embrassons tendrement. Il se retourne pour venir dans mes bras et m'embrasser encore plus… un vrai bisounours!
- c'est comme ça que tu laves les gens chez toi ? dit Izmir en souriant.
- faut commencer par l'intérieur avant l'extérieur.
Il riait maintenant, alors on s'est savonné mutuellement partout. On se faisait des bisous. On s'est rincé, on s'est séché et on est allé dîner.
On a rediscuté de la situation mais on ne voyait pas tellement de solutions. Mais, même si les parents savaient qu'il était homo, est-ce qu'ils le renverraient en Turquie ? là était la question!
On avait tout le week-end pour essayer de régler la situation.
La première nuit fut assez sage et au réveil, j'adore le regarder dormir, passer mon doigt doucement sur son visage doux, ses petites moustaches fines qu'il s'évertue à vouloir garder et aucune trace de barbe à son grand désarroi mais il est tellement beau comme ça.
Le samedi matin on est allé faire les courses. Il était redevenu rieur, taquin, espiègle comme il sait si bien le faire… amoureux!
Et en début d'après midi, nous étions dans le salon regardant la télé, la porte d'entrée s'est ouverte et une voix, que j'ai reconnu comme étant celle de Mehdi…
- t'es là Fabrice ? si t'es sous la douche, j'arrive! ne bouge pas…
Ce qui a bien fait rire Izmir et il fallait voir la tête de Mehdi quand il nous a vu tous les deux dans le salon.
-ah heureusement que c'est Izmir qui est là dis-je en riant.
- ça va mes amoureux ?
- ça peut aller dis-je.
- ben vous sortez pas avec ce beau temps. J'avais envie d'aller faire un tour à B., y'a des trucs à voir, vous venez… j'suis tout seul, Cédric ne peut pas…
- non on peut pas dis-je le plus sérieusement du monde, Izmir ne peut pas sortir.
- il est malade ? demande Mehdi en le regardant.
- mais non! c'est pas ça! on lui dit ? demandais je à Izmir, de toute façon il va tellement nous casser les pieds qu'on finira par lui dire.
Izmir sourit.
- oh vous en faites des cachoteries tous les deux… si vous voulez rien me dire… ne me dites rien…
- tu vois Izmir c'est comme ça qu'il s'y prend.
- arrêtez de vous chamailler tous les deux, je vais lui raconter.
Mehdi s'installe dans un fauteuil et écoute l'histoire d'Izmir.
- quel salaud ton frangin! j'lui casserais bien la gueule moi!
- ah ça ! ça arrangerait les choses c'est sûr dis-je.
-Ozgürd c'est ton frère aîné demande Mehdi t'as une photo de lui ?
Izmir fouille dans son portable, fait défiler les photos et tend un portrait de son frère.
- il est beau ce petit con dit Mehdi, mais je le connais, je l'ai déjà vu.
- où ça ? demande Izmir.
- vous allez rigoler commence Mehdi (je m'attendais au pire avec lui) eh bien je l'ai rencontré, et parlé même, dans le jardin où tous les vieux pédés viennent pour sucer les jeunes mecs, en leur laissant un peu de fric.
- et son frère se fait sucer ?
- je l'ai pas vu, mais il m'a dit qu'il se faisait un peu de fric comme ça.
- et toi aussi ? demandais je sournoisement.
- moi je bosse monsieur au cas où tu l'aurais oublié et sucer ma queue ça se mérite. Je la donne pas à n'importe qui! même pour du fric! j'suis quand même pas une pute.
- je blague Mehdi…
- mais ça nous avance à quoi de savoir ça, même s'il se fait sucer par des mecs, on n'en a pas la preuve.
- t'as raison dit Mehdi, mais je pense qu'on peut y arriver.
- oh la la! attention! tu veux dire quoi là Mehdi ?
- rien pour l'instant… je réfléchis mais je crois bien que j'ai trouvé la solution il faut que je vois le père B.
- le vieux qui traîne tout le temps au jardin ?
- oui il a sucé tous les pédés de la ville et les connait tous et comme je le connais il me le dira s'il connait le frère d'Izmir.
- t'es sûr ?
- ben oui… mais pour avoir la réponse il faudra que je paye de ma personne…
- c'est pour la bonne cause dis-je et une pipe ça se refuse pas.
- oui mais il n'est pas de la première fraîcheur le papy.
- oui mais il a l'expérience! et on a tous éclaté de rire.
- Izmir, envoie moi la photo de ton frère, que je puisse la montrer au vieux!
Ce qui fut fait et pour faire plaisir à Mehdi on est allé traîner tous les trois dans la ville voisine pour rentrer sagement avant 20 heures.
Le dimanche s'est écoulé sans autre nouvelle de Mehdi, aux messages envoyés, il répondait qu'il n'avait pas vu le vieux.
J'avais du boulot à la maison, Izmir m'a aidé. Lui qui d'habitude venait juste pour tirer un coup, manger et dormir. C'est comme si on vivait tous les deux m'a-t-il dit plusieurs fois dans la journée. On n'a pas oublié de baiser, mon squatteur avait de la ressource!
Et le boulot a repris. Izmir a appelé sa mère pour lui dire que tout allait bien qu'il ne fallait pas qu'elle s'inquiète et lui a donné des nouvelles tous les jours. Son frère est venu le voir à la sortie de son travail lui demandant pardon qu'il pouvait revenir à la maison, qu'il ne ferait pas ce qu'il lui avait dit. Mais Izmir avait peur, qu'un coup revenu chez lui son frère parvienne à ses fins et en fait, rester avec Fabrice… ce n'était pas si mal!
La semaine est passée. Mehdi n'avait pas vu le vieux qui avait disparu depuis une semaine pour ne réapparaître que le week-end suivant.
Et, le samedi midi, Mehdi m'annonce qu'il vient déjeuner avec nous. Il arrive, triomphant, son sourire de vainqueur au visage. Il nous fait la bise sur nos lèvres.
- faut que je vous aime les mecs! je ne vais pas faire durer le suspens plus longtemps Izmir tu es sauvé! tu pourras retourner chez toi quand tu veux ton frère ne pourra plus rien contre toi.
- comment ça ? dit Izmir.
- bon je vais vous raconter. Il a fallu que je paie de ma personne… encore une fois mais j'ai pensé à vous deux. J'ai dit, il faut bien sauver Izmir.
- abrège Mehdi! on sait, tu es le plus beau, le meilleur! et on ne pourra jamais se passer de toi.
- ah enfin de la reconnaissance d'un jeune vieux… (j'ai trois mois de plus que lui!!)
Izmir, soulagé, riait dans son coin.
- vous êtes impayables tous les deux!
- c'est pour ça qu'on s'aime dit Mehdi. Bon je vous raconte, j'ai vu le vieux hier avant le couvre feu. Il avait peur d'avoir contracté le virus, alors il restait cloîtrer chez lui. Donc on a parlé, faut pas le bousculer le vieux et, qu'est ce qu'il a les mains baladeuses.
C'est toujours un plaisir d'entendre Mehdi raconter une histoire mais là, j'avais de suite deviné qu'il avait une preuve irréfutable concernant le frère d'Izmir et qu'il allait nous faire durer son histoire. On allait avoir doit à tous les détails arrangés sauce Mehdi.
- enfin, je lui ai parlé de ton frère en lui montrant la photo. Il a voulu savoir pourquoi je voulais savoir ça, j'ai dit qu'il voulait faire chanter un pote qui faisait comme lui alors je cherchais à savoir si c'était vrai que lui aussi le faisait. Le vieux a commencé à me faire un peu de chantage… qu'il y avait une semaine qu'il n'avait pas touché la queue d'un beau mec… comme moi a-t-il même ajouté et il m'a tripoté. Je l'ai laissé faire. Il m'a fait des compliments et m'a dit qu'il me sucerait bien, j'ai dit ok mais que je voulais une réponse avant. Il m'a dit que oui il l'avait déjà sucé et qu'il avait une preuve de ça. J'ai été étonné et il m'a dit : je te suce, tu me donnes ton jus et je te montre ma preuve…
- des vrais marchands de tapis le vieux et toi dis-je en rigolant, alors il t'a sucé sur un banc ?
- non, il a son coin, derrière les fourrés. J'ai sorti ma queue, il l'a admirée, tâtée dans tous les sens et m'a taillé une pipe! putain que c'était bon. Il a fait durer, et a tout avaler ce que je lui ai donné. Ah il était content papy alors je lui ai demandé sa preuve. Il a sorti son téléphone, a cherché dedans et m'a montré une petite vidéo où l'on reconnait le vieux suçant une bite dans le fourré et à un moment le vieux vicieux filme le propriétaire de la bite et… bingo c'est ton frère!
- t'as la vidéo ? demande Izmir.
- attends! ne vas pas si vite dit Mehdi, naturellement je lui ai demandé s'il pouvait me l'envoyer sur mon portable. Il a fait celui qui réfléchissait, m'a dit qu'il pourrait, mais que c'était plus cher. J'm'suis dit il va vouloir que je le suce! alors là les mecs j'avoue que j'ai hésité. J'vous aime, mais de là un sucer un vieux papy, j'ai hésité.
- tu l'as sucé alors ?demande Izmir qui tombe dans le panneau amené par Mehdi.
- ah non dit-il en prenant un air triste en regardant Izmir, c'est pas ça qu'il voulait… il voulait que je l'encule.
Je n'ai pas pu m'empêcher de rire suivi par Izmir qui commençait à comprendre le manège de Mehdi.
- j'ai dit Ok, mais à une condition c'est qu'il me suce encore, avant. Ah il s'est pas fait prier le vieux, il suce bien. Il m'a bien fait durcir en un rien de temps, s'est tourné a baissé son falzar, son vieux slip blanc et une vision d'un vieux cul ouvert sur un trou pratiquement béant. Il s'est emmanché sur ma queue et je l'ai baisé comme un chef! il a couiné le papy mais il aimait ça. Alors j'ai fait durer le plaisir et je lui ai arrosé copieusement son vieux cul accueillant quand même! et il m'a envoyé la fameuse vidéo… que voici!
Et Mehdi nous tend son portable, où l'on voit bien la bite en gros plan, le vieux suçant avec plaisir cette belle tige et la caméra remonter vers le visage où l'on reconnait bien Ozgürd. Putain qu'on a été soulagé de voir ça! on tenait notre vengeance.
- alors les mecs! qu'est ce qu'on dit au Père Noël Mehdi ?
- bah on va lui dire un grand merci hein Izmir ?
- bien sûr un très très grand merci.
- c'est tout ? dit Mehdi, c'est bien la peine que je me décarcasse.
- à moins qu'on lui montre que les jeunes savent sucer autant que les vieux dit Izmir en se levant et venant se mettre à genoux devant Mehdi qui dégrafe déjà son jean.
Je suis venu me mettre à côté, juste au moment où la belle queue de Mehdi sautait aux yeux d'Izmir. Je vois mon chéri s'en emparer en me regardant donnant de petits coups de langue sur le gland et me tend la queue que je viens lécher également. On se partage la queue en la léchant. Nos lèvres se touchent en caressant la queue de Mehdi. Il a posé une main sur nos têtes et suit les mouvements en pacha avec ses deux esclaves.
- j'aime vous avoir à mes pieds dit Mehdi je vois enfin la puissance que j'ai…
J'ai tiré sur son pantalon pour qu'il le retire, il s'est laissé faire, le caleçon a disparu également, Izmir s'est attaqué aux couilles. J'ai enlevé une de ses chaussettes, et j'ai léché son pied. Cela lui a cloué le bec, je ne lui fais pas ça souvent alors il a joué, il bougeait ses orteils sur mes lèvres, me caressait le visage avec son pied. Il avait le sourire aux lèvres et Izmir s'activait sur sa belle queue. J'ai remonté le long de sa jambe, lui embrassant les cuisses légèrement poilues, il sent bon mon Mehdi, pour arriver à la queue.
- lève toi Mehdi.
Sans chercher à comprendre, il obéi et voit Izmir s'installer par terre, sur le dos, la tête sur le siège du fauteuil..
-tu peux lui baiser la bouche pendant que je m'occupe de ton beau petit cul que ma langue n'a pas visité depuis longtemps.
Izmir a déjà ouvert la bouche et attend son cadeau qui ne tarde pas.
La queue s'engouffre dans sa bouche, glissant sur sa langue. Mehdi est obligé de s'accroupir pour baiser la bouche d'Izmir ce qui lui ouvre bien les fesses laissant à ma merci son petit cul.
Alors je lui donne de grands coups de langue. Je l'entends gémir le Mehdi en enfonçant sa grosse queue dans la bouche de mon chéri. J'aime les voir baiser ensemble mes amours. Je lèche bien son petit trou et ma langue va au plus profond qu'elle peut. Je mouille le plus possible, ça sent le cul, mais le cul de Mehdi, son odeur est bien là. Je la reconnaîtrais entre toutes.
Je lui mets un doigt qui glisse bien en lui, lui arrachant un petit cri de surprise, et je doigte son cul de plus en plus vite en cadence qu'il fait entrer sa bite dans la bouche d'Izmir. Il apprécie, alors j'en mets deux et les visse en lui, m'enfonçant au chaud. Je vois Izmir sortir sa queue et se branler. Je baisse mon jean, descend mon caleçon, sort ma belle queue qui connait déjà le cul de Mehdi, je la décalotte bien, retire les deux doigts et dans la foulée fait entrer le gland d'un seul coup qui fait entrer plus profond la bite de Mehdi dans la gorge d'Izmir qui ne bronche pas et continue de se branler.
Je saisi Mehdi par son petit cul qui reçois une ou deux claques et je lui fais sentir ma queue en lui, coulisser et s'enfoncer dans son beau petit cul chaud et humide. Il vient même reculer sur ma queue pour s'offrir alors je le baise en cadence. Il gémit, Izmir aussi, ma queue chauffe dans le cul, quel plaisir ce cul!
C'est Izmir qui jouit en premier suivit de Mehdi qui inonde la gorge d'Izmir, Mehdi resserre bien son sphincter sur ma queue qui en profite pour tout lâcher et inonder mon beau Mehdi qui soupire de satisfaction. Les respirations reprennent leur rythme, Mehdi se retourne, m'embrasse tendrement.
- t'es bien le meilleur pour me baiser me dit-il tout bas.
- flatteur va!
Izmir se relève, vient se frotter à nous.
- et moi ? j'ai pas droit à des bisous.
Les bisounours étaient en action.
Après avoir remis un peu d'ordre on s'est désaltéré et la question d'Izmir est arrivée.
- ben on va en faire quoi de la vidéo maintenant ?
- ben on va te venger mon bébé.
- comment ?
- on va faire goûter nos queues à ton frère si tu veux bien…
- mais y voudra jamais dit Izmir.
- tu nous connais pas avec Mehdi, quand on a une idée derrière la tête on y arrive toujours.
- mais c'est quoi ton idée ? demande Mehdi.
- de nous faire sucer par son frère.
- ah on va aller le voir! salut Ozgürd, tu veux pas nous sucer ?
- oui c'est ça et on le filme, mais on a besoin de la complicité d'Izmir…
- comment ça ? dit Izmir le visage inquiet.
- je vous explique ce qu'on va faire…
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