Vacances à Majorque

- Par l'auteur HDS Naninette -
Récit érotique écrit par Naninette [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Vacances à Majorque Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-03-2012 dans la catégorie Plus on est
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Vacances à Majorque
Vacances à Majorque

Août 2011, mes premières vacances avec mon chéri et au programme, 3 jours chez ma
grand-mère, 4 jours chez ses parents et une semaine à Majorque.
On avait commencé par se fixer des règles très strictes, la semaine famille devait
être basée sur le romantisme et l’abstinence, tandis que la seconde, tout serait
permis.
Mes parents vivant à l’étranger depuis plus de six ans, c’est ma grand-mère qui m’a
hébergé pendant la fin de mes études et qui a terminé de faire mon éducation de jeune
fille.
Elle a toujours été pour moi une âme bienveillante et je l’ai trouvé rayonnante du
haut de ses 74 ans, quand elle m’a vu arriver au bras de Nicolas.
Il y a des choses qui rendent heureuse sans avoir besoin de les provoquer, et là,
passer 3 jours avec les 2 personnes que l’on aime le plus au monde, et les voir
s’accepter comme si cela était réellement naturel, j’étais aux anges.
Je n’en dirais pas plus, car je trouve cela pour moi plus intime, que de parler de mes
frasques sexuelles.
Le restant de la semaine fut beaucoup plus solennel chez ses parents.
Déjà à l’arrivée, une maison immense au fond d’une grande propriété, mais passé ma
première frayeur, un accueil super gentil et des personnes chaleureuses.
Je n’entrerais pas trop dans les détails, mais pour résumer, des parents sympa et très
content de voir leur fils leur amener enfin une petite amie.
Je ferai donc l’impasse sur les sujets mariage, enfants, travail et tout le curieux
finalement naturel d’une première rencontre pour des parents.
En tout cas, cela m’aura permis de voir un peu où et dans quel condition mon chéri
avait grandi, ainsi que les traditionnelles photos de famille souvent assez drôles.
J’espère ne pas vous avoir trop ennuyé avec tous cela, mais j’avais besoin aussi de
vous expliquer que je vis ma relation de couple comme tout le monde.
Et le samedi, nous voilà enfin arrivé à l’aéroport de Barcelone avec un total
changement complet de garde- robe.
Hormis les maillots de bain, l’intégralité de mes sous-vêtements sont restés dans le
coffre avec l’ensemble de mes pantalons et de mes petits pulls bien sage.
Je suis parti avec pour seul vêtement, 4 petites robes vraiment courte et légère, 3
débardeurs, 3 shorts, une paire de tong et 2 paires d’escarpins.
Première conséquence, pour être en état de passer la douane sans se faire remarquer,
il a fallu que je mette un terme à la majestueuse érection de Nicolas et ceci dans les
toilettes de l’aéroport.
Première déconvenue, en trente seconde il m’avait tapissé le palais de son trop plein
de crème et j’ai dû me caresser toute seule pour évacuer aussi mon trop plein
d’appétit sexuel généré par une semaine d’abstinence.
Je vous passe le voyage en avion d’une vingtaine de minute et la digestion refoulée du
gamin d’à côté, à l’arrivée, enfin l’hôtel et le début des vacances.
Le truc génial fut d’abord l’hôtel Hawaï, les pieds dans l’eau et à proximité de tout,
je précise quand même pas pour les monuments historiques, mais exclusivement pour tous
les lieux de plaisir et la mer.
Du vrai bonheur pour un couple de notre âge, et c’est la sieste crapuleuse qui a
occupé nos premières heures, un gros câlin à poil avec les rideaux ouvert mais la
fenêtre fermée car sans la climatisation, là-bas on meurt.
Le doux membre de mon homme dans ma bouche, mon ventre et mes fesses, après une
semaine sans rapport, ça vaut tous le bonheur du monde.
Finalement, ce n’est que vers 18h00 que l’on est sorti pour mon premier bain de mer,
je n’étais acheté une petite 2 pièce à ficelle tous mignon et surtout très facile à
enlever.
Ce que je fis dès que je fus rentré dans l’eau jusqu’au coup, pour aller nager vers
les bouées plus au large.
Moi qui fait de la natation toute l’année, je n’ai pas mis longtemps à distancer
Nicolas qui avait mon maillot dans les poches de son caleçon et je fis déjà mon petit
effet aux quelques plongeur en apnée qui se sont rincés l’œil à mon passage.
J’aurais bien aimé que mon amour me prenne accrochée à la bouée loin des regards, mais
la fraîcheur de l’eau et surement ainsi que la petite séance de galipettes des heures
précédentes, n’ont pas permis à mon homme de s’exécuter, mais ce n’était que partie
remise.
On est finalement remonté à l’hôtel pour le diner avec pour tout vêtement, ma petite
robe à fleur et mes tongs.
Je ne vous dis pas le nombre de regards qui se sont perdus dans mon décolleté quand je
me servais au buffet et s’ils avaient pu imaginer que j’avais aussi les fesses à
l’air, j’en mouillais d’excitation.
J’ai d’ailleurs eu peur à la fin du repas, de me retrouver avec une auréole sur ma
robe qui aurait trahi mon état, mais ce ne fut quand même pas le cas.
Je me suis finalement soulagée avec le manche de la brosse à cheveux en remontant à la
chambre et Nico a particulièrement apprécié en faisant des commentaires sur les autres
clients du restaurant en imaginant ce qu’ils auraient pu me faire s’ils voyaient ce
que j’étais en train de faire en ce moment et cela m’excitait encore plus.
On est enfin descendu au bar de l’hôtel pour profiter un peu du « all inclusive »,
avec une petite préférence pour le rhum coco.
Vers les 23 heures, on s’est enfin décidé à sortir vers les distractions du soir.
Les rues étaient pleines d’anglais, plutôt jeunes comme nous, voir encore plus.
Les anglaises ont une vraie caractéristiques dans leurs tenues et leur maquillage,
elles ne sont pas grossières, mais en règle générale plutôt bien chair avec les sous
vêtement apparents et abusant outrageusement de la peinture.
Pour les anglais, eux c’est un peu différents, ils sont souvent en groupe, plutôt
alcoolisé et souvent chantant bruyamment.
J’avais ce soir-là un petit short en jean des petits escarpins et un débardeur noir
avec inscrit devant en blanc « I want sex », ce qui ne laissait pas vraiment
indifférent les passants.
Il y avait dans l’artère principale un grand nombre de bars et restaurant mais aussi
pas mal boîte de striptease, mais la grande attraction c’est surtout une boîte de nuit
énorme, avec tout autour des gogo-danseurs et gogo-danseuse plutôt bien gaulés.
On est resté un bon moment à les regarder avant de rentrer dans la boîte.
Jamais encore je n’étais rentré dans une discothèque aussi grande, elle ressemblait
trait pour trait à ce que l’on voit parfois à la télé à Ibiza et malgré sa taille, on
se retrouvait serré comme ce n’est pas possible.
Finalement au lieu de danser, on passait plus de temps à se frotter les uns aux
autres et je ne cessais de rentrer les nibards qui se faisaient la malle.
A la fin, je les laissais finalement faire leur vie et je ne vous dis pas le nombre de
mains que j’ai senti passer dessus, mais je ne trouvais pas vraiment cela très
agréable finalement, alors nous sommes ressortis.
C’était peut -être la fatigue, mais nous sommes rentrés nous coucher, un peu déçu de
la soirée, pour une grosse nuit de sommeil.
Le lendemain matin, on était déjà beaucoup plus en forme, petit breakfast à l’anglaise
pour commencer, une bonne douche et direction la mer.
Il devait être pas loin de 11 heures et rebelote, le maillot aux orties.
On a longé la côte pendant plusieurs centaines de mètres et le long des rochers, je
lui ai demandé de me prendre dans l’eau en lui promettant que s’il y arrivait, je
m’abandonnerais totale le soir à toutes ses fantaisies.
Ça l’a réellement motivé car là, aucun problème d’érection et même si au niveau
hygiène je ne sois pas certaine que ce soit le top, au niveau sensation, c’est divin.
Le contact de l’eau froide, les tétons qui pointent et la sensation de ventouse quand
il entre et ressort de mon ventre, c’est une expérience originale que je vous
recommande à tous.
Maintenant à moi de me plier à l’imagination souvent surprenante de mon amour.
Et là, il a vraiment assuré.
Soirée fesse à l’air avec petite robe et escarpin, jusque- là rien de bien méchant,
mais direction une boîte à striptease, ça commencé à devenir intéressant.
Dans la boîte, il devait y avoir une bonne trentaine de mecs pour 2 nanas dont moi-
même et bien sur plusieurs danseuses.
Je l’ai vu venir quand il m’a demandé de monter sur la scène, mais il m’a spécifié de
ne pas enlever ma robe mais par contre de bien leur laisser entrevoir que je n’avais
rien dessous.
Je me suis exécuté avec énormément de plaisir et me suis même vraiment amusé à les
provoquer autour de la barre, il y a juste un truc que je n’ai pas réalisé
immédiatement, c’est que contrairement aux filles du spectacle, je ne sortais pas par
l’entrée des artistes.
Et j’ai compris en sortant de la boîte quand les trois quart des clients nous ont
emboités le pas, et une bonne dizaine d’entre eux se sont installés dans le même bar
que nous.
Je demandais à Nicolas ce qu’il attendait de moi et lui de me répondre juste de faire
ce qui me plairait.
Le fait qu’il me laisse le choix m’a aussitôt excité et c’est vraiment de ma propre
initiative que j’ai commandé une glace que j’ai dégusté de la façon la plus suggestive
possible pour les provoquer un peu plus.
On est allé ensuite se promener dans l’obscurité de la plage et j’ai fait signe à nos
poursuivants de s’approcher et j’ai sorti le sexe déjà un peu humide de mon homme.
Et bien entendu, c’est une bonne dizaine de sexe qui sont venu visités ma bouche pour
mon plus grand bonheur.
A un moment j’ai eu un peu peur que cela dégénère quand j’ai commencé à sentir des
mains sur mes fesses, mais Nicolas leur a fait comprendre qu’il ne fallait pas allé
plus loin et cela a été respecté.
On est ensuite rentré à l’hôtel avec ma robe toute tachée que j’ai retiré carrément
dans l’ascenseur en me foutant royalement à ce moment précis de croiser quelqu’un dans
le couloir.
Il s’en est suivi une séance de sexe bestiale entre nous tellement j’étais excité.
Chose que je ne fais jamais d’ordinaire, je lui ai demandé de m’insulter en me faisant
l’amour et cela auto alimentait notre désir.
Il me tirait les cheveux, me malaxait les fesses pendant que je me frottais
vigoureusement le clitoris ou me rentrais trois doigts dans la fente en pensant à tous
ces mecs autour de moi.
J’ai eu ce soir-là sans exagérer au moins sept ou huit orgasmes et mon amour m’a
délivré trois fois sa liqueur dont une fois dans les fesses.
Dans l’état ou j’étais, je crois que si tous ces mecs étaient rentrés dans ma chambre
à ce moment-là, je me serais livré à eux.
Heureusement pour moi, ce n’était pas le cas et quand j’y repense, cela me fait un peu
peur parfois de perdre les pédales ainsi.
C’est quand même le lendemain que notre plus belle aventure nous est arrivée.
Effectivement, après mon devenu traditionnel bain de mer du matin, j’ai remis mon
slip, mais pas de haut et je suis allé nager seule au milieu des voiliers amarrés,
Nicolas ne se sentant pas forcément capable de parcourir une telle distance.
J’avais quand même un peu présumé de mes forces et j’ai du plusieurs fois me reposer
accrochée aux bouées d’amarrages.
C’est à l’une de ces pauses que j’ai entamé la conversation avec le propriétaire de
l’un des voiliers, un suisse d’’une cinquantaine d’année, très surpris de voir une
fille accrochée à la bouée se son bateau.
Il m’a invité à poursuivre ma pause à bord et j’ai accepté, le trouvant plutôt
gentil.
Il fut tout d’abord surpris de découvrir que j’étais topless, mais cela ne nous mis ni
l’un ni l’autre mal à l’aise.
On a discuté de banalités, je lui avais toutefois annoncé que mon copain m’attendait
sur le rivage et que je ne pouvais pas rester longtemps.
Pas un seul mot ni geste déplacé et pourtant je voyais bien au travers de son short
que je ne le laissais pas indifférent.
Il est allé préparer un café et à son retour il a faillit tout renverser quand il a vu
mon maillot posé sur la tablette.
J’aurai bien aimé faire l’amour avec cet homme, mais il n’avait pas de préservatif
alors je me suis donc contenté de me caresser et de le sucer, ce qui fut un peu bref à
mon gout.
I l m’a demandé avant que je parte, si cela m’intéressait de faire le tour de l’île
dans l’après midi avec mon copain.
Je lui ai griffonné mon 06 sur un papier pour qu’il me rappelle en début d’après midi.
Quand j’ai enfin rejoint le rivage, Nicolas était déjà remonté à la chambre et j’ai
moyennement apprécié de traverser une bonne partie de l’hôtel les seins à l’air, au
milieu des familles et des enfants.
Finalement on s’est boudé 1 heure avant de se réconcilier, et de lui raconter mon
aventure sur le bateau.
I l m’a traité de cinglée de monter comme ça avec un inconnu en mer et je trouvais ça
très attendrissant qu’il s’inquiète de ma sécurité alors que je venais de lui raconter
que je venais de sucer un parfait inconnu et je crois que c’est pour cela que je
l’aime.
Je lui parlais aussi de sa proposition, qu’il n’a pas tardé à accepter.
On s’est fixé rendez vous au bout du ponton à coté de l’hôtel où il nous a rejoint à
bord d’un petit bateau à moteur.
Et nous voilà parti, avec moi pour tout vêtement une petite robe bleue et une paire de
tong, que je n’ai d’ailleurs pas gardé bien longtemps.
Juste le temps de sortir de la baie et l’on était à poil tous les 3, un cordon de
capotes posé à côté de la télévision.
J’ai demandé un volontaire pour m’enduire d’huile solaire et notre capitaine sous
l’œil complaisant de mon amour s’est proposé, confiant la barre à Nico.
Il a commencé par les épaules le dos les fesses et l’arrière de mes cuisses et m’a
ensuite retourné pour terminer avec mes seins mon ventre et la petite chatte devenu
toute huileuse.
J’ai pris son sexe dans ma bouche et j’ai profité d’avoir aussi les mains toutes
grasse pour lui enfoncer un doigt dans le derrière, ce qui l’a fait sursauter mais
malheureusement éjaculer presqu’aussitôt.
C’est Nicolas qui a du se dévouer comme il dit, pour me prendre sur l’avant du bateau
et en profiter pour jouer avec le bouchon du tube de crème solaire entre mes fesses.
La situation, le vent marin et cet étranger qui nous regardait, je n’ai pas trop tardé
à prendre mon pied.
On a ensuite continué notre tour de l’île comme de vrais touristes et je suis la seule
à être restée toute nue.
On a ainsi croisé un bon nombre de bateaux et je pu vite me rendre compte que je
n’étais pas vraiment la seule à naviguer dans cette tenue.
D’ailleurs, à un moment on a discuté avec un couple d’allemand, dont l’homme avait un
sexe magnifique que j’aurais bien vu dans mes fesses, mais il ne s’est rien passé.
Juste avant le retour, on a du faire un grand écart vers le large, pour éviter le
passage des ferries, qui sont gigantesques à côté de notre bateau.
Avant de quitter le bateau, j’ai laissé notre capitaine me faire l’amour, ce ne fut
pas l’extase, mais quand Nicolas se joignit à lui par l’entrée de service, j’eu tout
de même un petit orgasme.
J’avais passé une excellente journée, mais sexuellement je n’étais pas satisfaite et
j’en ai fait part à mes 2 amants.
Le capitaine m’a demandé si la nuit prochaine, je voulais faire une balade au large
avec plusieurs matelots.
L’idée m’a aussitôt enchanté et je me suis empressé d’accepter son offre que je n’ai
d’ailleurs pas regrettée.
J’ai passé la journée du lendemain à me faire un million de film et pour faire monter
un peu plus la température, pas de sexe du tout jusqu’au soir.
Quand le capitaine est venu nous chercher au bout du ponton, je n’arrêtais pas de me
languir de le voir arriver.
Au fur et à mesure que nous nous approchions du voilier, je commençais à distinguer
plusieurs silhouettes au loin et je fus déçu de n’en voir que 2 finalement, alors que
je m’étais préparé au pire.
J’acceptais toutefois la situation, quatre mecs pour moi toute seule en pleine mer, ça
devrait être pas mal quand même.
La première sensation que j’ai eu en nous éloignant de la côte, c’est le silence et
l’obscurité.
Je m’étais mise seule à l’avant du bateau, pendant que les hommes prenaient des
boissons et discutaient, mais je ne comprenais pas ce qu’ils racontaient.
Ce n’est qu’après une bonne heure de navigation, que j’ai entendu le moteur se couper
et vu les lumières s’éteindre.
J’ai plus deviné que vu les ombres s’approcher de moi, c’était terriblement excitant.
Je me suis rapidement senti entouré et palpé par toutes ces mains.
Je me suis laissé faire et quand le premier sexe s’est présenté à l’entrée de mon
ventre, je me suis carrément empalé dessus pour en jouir en moins d’une minute.
Et juste après ce bref moment de plaisir, j’ai senti le désir monter en moi et je me
suis régalé de tous ces membres à ma disposition.
Je ne savais pas qui j’avais dans la bouche le ventre ou les fesses, c’était super, et
en plus je ne sais pas pourquoi, mais malgré mes craintes, cela durait et je prenais
un pied d’enfer.
Finalement, c’est moi qui au bout d’une heure et demi de ce traitement qui commençait
à montrer des signes de fatigue et mon excitation qui redescendait peu à peu.
C’est seulement quand ils ont allumé le projecteur que j’ai compris comment ils
avaient pu être aussi performants.
En fait, il y avait 2 autres bateaux amarrés au notre et ce n’était pas 4 mais 11
hommes qui avaient profité de moi pour mon plus grand plaisir.
Je pense que si je l’avais su depuis le début, je n’aurais pas accepté, mais dans les
conditions où cela s’est passé, je ne l’ai pas regretté.
Le seul désagrément que j’ai rencontré ce soir- là fut au retour, je ne sais pas si
c’est la houle, l’alcool ou la quantité de sperme que j’ai ingurgité, mais je suis
mise à vomir pendant un bon quart d’heure sous les rires de tous.
On est rentré à l’hôtel vers les trois heures du matin et j’ai dormi plus de 12
heures.
Nicolas m’a cajolé toute la journée et un énorme bouquet de fleur qui devait couter
une fortune, nous a été livré à la chambre et petite anecdote on a dû demander un
super gros vase à l’accueil.
Pendant 2 jours, ce fut tourisme un peu plus classique dont une sortie super sympa à
Aqualand, un petit resto aux chandelles et une ballade en vélo.
Il ne restait plus que 2 jours et contre l’avis de Nicolas, j’avais envie de
recommencer.
Il ne trouvait pas cela très raisonnable et c’était tellement vrai, mais j’ai su me
montrer très persuasive.
On était loin de chez, on ne faisait de mal à personne et finalement ce n’était pas
tous les jours que l’on pouvait avoir ce genre d’aventure.
On n’a appelé le capitaine, mais ses enfants venaient d’arriver, il a joint le
propriétaire d’un des 2 autres bateaux qui était d’accord pour prendre la relève.
Je n’avais posé aucune condition sur le nombre de participant, mais j’espérais
secrètement qu’ils seraient au moins aussi nombreux.
Finalement, il y en avait juste un de plus et ça je le sais car on est parti de jour
et j’ai ainsi pu complètement profiter du spectacle.
On est parti vers les 19 heures et pendant le trajet, j’ai changé plusieurs fois de
bateau pour faire l’amour à l’intérieur des cabines.
Ça m’a vraiment fait drôle quand la première fois, je suis passé toute nue sur le
bateau d’à côté en laissant Nicolas derrière moi.
Finalement, c’était dans une ambiance bonne enfant que je faisais l’amour avec eux.
Ne croyez pas que je prenais mon pied avec tous, mais même quand ça n’était pas le
cas, c’était tout de même très agréable.
Quand on s’est tous retrouvé ensemble, ils m’avaient tous au moins sauté une fois et
on s’est tous mis à table avant l’assaut final ou je devais être le dessert.
J’avais énormément apprécié leurs bonnes manière jusque- là, mais j’aurais voulu qu’à
ce moment précis, ils me traitent avec une peu moins d’égard.
Je l’ai murmuré à l’oreille de Nicolas qui a ouvert des yeux comme des soucoupes avant
de sourire.
Il a attendu la fin du repas avant d’annoncer aux autres que je ne voulais qu’ils me
fassent l’amour.
Et là tout le monde s’est regardé et même moi je ne comprenais plus rien.
Elle préfèrerait qu’on la baise à mort comme une salope.
L’expression m’a fait frissonner et j’ai eu comme une contraction dans le ventre.
Je les ai tous dévisagé et j’ai vu comme une espèce de lueur dans leurs yeux malgré la
pénombre, c’était excitant et flippant en même temps.
Nicolas m’a demandé de leur prouver que j’en avais vraiment envie et j’ai ainsi débuté
une séance de masturbation des grands jours.
J’ai commencé par me sucer les doigts, puis par me martyriser les tétons pour les
faire grossir.
Je suis vite descendu vers mon clitoris que je n’ai pas caressé avec douceur comme
d’ordinaire, mais plutôt frotté avec beaucoup de vigueur avant de m’enfoncer deux
doigts dans le chaudron bouillant de mon entrecuisse et de faire de même avec mon trou
du cul (rien que de le repenser et de l’écrire, je suis en train de mouiller ma
culotte).
Et là ils se sont jetés sur moi, ce fut très violent mais pas physiquement car ils
faisaient tout de même attention à ne pas me blesser.
Mais je ne maitrisais plus rien de ce qu’ils me faisaient et c’était très fort.
Je ne suis pas capable de me rappeler si les mots qui me reviennent étaient juste
pensés ou prononcés, mais je voulais qu’ils m’enculent et me cassent le cul.
Je ne sais pas pourquoi, mais si je ne suis pas fan des grosses pénétrations
vaginales, c’est totalement le contraire pour l’anal.
Et je crois que cela leurs a plu, car les trois quart du temps ils se sont acharnés
sur mon anus qui a passé une des soirées.
J’ai beaucoup joui pendant presque une heure, mais après c’était plus du plaisir
intellectuel, ils me disaient toutes les cochonneries qu’ils pourraient me faire.
Et moi je jouais le jeu en leur disant qu’une centaine comme eux ne me faisait pas
peur, c’était une surenchère permanente des mots.
Heureusement pour tout le monde, cela n’était que des mots prononcés dans des moments
d’excitation extrême avec des gens suffisamment intelligents pour le comprendre.
Finalement on est resté avec eux jusqu’au lendemain soir, je les ai bien sucé un peu
dans la journée, mais de façon bien plus tranquille.
Mais pour le reste ce n’était pas possible, car j’étais beaucoup trop irrité et ils
n’ont pas insisté d’ailleurs.
C’est là que l’on sait que le corps a des limites bien plus petites que l’esprit.
On est rentré bien sagement à l’hôtel pour reprendre l’avion le lendemain matin.
Aujourd’hui avec le recul, je pense que ce que j’ai fait n’est rien d’autre que
quelque chose de stupide.
Mais dans nos jeux amoureux, j’aime beaucoup quand mon homme fait allusion à certaines
de mes fantaisies et nous y prenons mutuellement beaucoup de plaisir.
Certains ou certaines me jugent négativement, mais je ne pense pas nuire à quiconque.
Je peux admettre que certaines de mes pratiques ne sont pas très orthodoxes, mais je
les assume.
Pour toutes celles qui se masturbent en cachette, sachez que moi j’adore le faire
devant mon mec et quand il fait de même quand je lui dis ou lui fait des trucs
cochons, c’est génial.
Souvent, maintenant on se laisse même des trucs très sexe sur l’ordinateur(je lui
laisse lire tous les commentaires que je reçois par mail) pour que l’autre le vois,
contrairement à tous ceux qui le cache.
Je suis loin d’être parfaite que ce soit à vivre ou physiquement, mais je suis
heureuse et amoureuse, et j’espère qu’un jour il me mettra un gros bébé dans le ventre
pour pouvoir transmettre tous le bonheur que l’on partage.
Bisous à tous.

Nanette

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