Vacances antillaises

- Par l'auteur HDS Thierrleg -
Récit érotique écrit par Thierrleg [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Vacances antillaises Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-09-2012 dans la catégorie Plus on est
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Vacances antillaises
Quelles merveilleuses vacances et quelle nouvelle expérience pendant ces vacances. Nous étions avec Karine en vacances aux Antilles. Cette quinzaine sans les enfants nous est profitable mais déjà plus que quelques jours avant notre départ. Nos enfants sont grands, et se débrouillent seuls : c’est l’avantage de les avoir eu très tôt. Après des vacances familiales, nous voici donc ici à quelques jours du départ. Karine est de plus en plus expressive sur sa sexualité et je la pousse à exprimer ses désirs. Après avoir fait du « lobbying », j’ai réussi à lui démonter qu’un après midi à la plage naturiste serait sympas pour profiter pleinement du soleil et de la mer et pourquoi pas de faire une bonne petite partie de jambes en l’air avant que regagne note hôtel. Je m’étais renseigné sur l’endroit, un peu chaud, dans tous les sens du terme et ça m’allait très bien : très fréquentés des métropolitains et des autochtones. Cette anse est vraiment superbe. Nous nous sommes garés, pris nos affaires puis descendu vers la plage. En marchant, on découvre au loin la plage, la mer superbe et des corps dénudés qui apparaissent, soit au soleil, soit sous les palmiers et autres arbres locaux.
Nous nous approchons et nous trouvons un endroit sympa, sous des arbres très bas, laissant filtrer un peu de soleil mais assez enveloppant malgré tout.
Nous nous déshabillons, étendons nos draps de plage, aussi grand que des draps de lit. Nous restons allongés avec cette chaleur très agréable. Il est 14h, nous avons déjeuné léger, après un petit déjeuner très copieux. Déjà une heure que nous sommes là, et je préviens Karine que je vais me baigner. Juste quelques mètres de sable à parcourir et me voici dans l’eau chaude. Karine me rejoint et se rafraîchît aussi. Nous remontons sur notre endroit et après s’être essuyé nous nous allongeons. Vers 15h, nous voyons arriver 2 hommes, des locaux : un qui a la peau très noir, et l’autre un peu plus clair. Ils sont grands, bien bâtis, et le plus noir a un petit ventre. Ils sont pas mal physiquement. Ils ne portent qu’un short de bain et ont chacun un petit sac. Ils regardent aux alentours, et j’ai vu que Karine, comme moi, les regardait arriver. On les voit s’engouffrer dans les buissons bien au dessus de nous. Nous reprenons notre lecture et je dis à Karine en rigolant :
- Pas mal non ?
Elle me répond en riant :
-J’en ferai bien mon goûter !
Je réponds :
- Au chocolat bien sur ! Je crois que tu as les yeux plus gros que le ventre, avec deux mecs comme ça, si leurs queues sont en rapport avec leur taille, tu serais bien emmerdé ! »
Elle répond :
- Ah c’est sur que là, je serai rassasié.
Nous reprenons notre lecture, puis quelques minutes plus tard, quelqu’un arrive par le buisson devant nous et nous voyons arriver les deux mecs de tout à l’heure.
Ils nous demandent pour s’installer un peu dessus de nous, à 10 mètres, pour profiter de l’ombre de nos arbustes et ainsi ils peuvent avoir une vue sur la plage également.
D’où ils sont, ils sont protégés, car les buissons étant en arrondis, il faut être en face sur la plage et dans l’eau pour les voir. Les gens aux alentours ne peuvent les voir.
Ils étendent de grande serviette et enlève leur short pour s’installer.
Derrière nos lunettes, je dis nos car je sens ma femme qui fait exactement comme moi, nous observons brièvement en relevant la tête nos deux « invités » qui nous apparaissent nus. Dans ma tête, immédiatement, je me dis :
- Ouah ! Ca c’est de la bite. Celle qui est capable de prendre çà, elle doit douiller. Enfin douiller de plaisir si elle est aime les bonnes grosses queues.
Je me surprends à imaginer Karine en train de se faire pilonner la chatte par une queue pareille.
Je reprend mes esprits et me remets à lire.
Comme nous sommes dos à la mer, et allongés vers les 2 blacks, il suffit de lever le niveau des yeux au dessus de nos livres, pour voir les mecs.
Ils se sont assis, les jambes relevées, et les coudes sur leurs genoux, les deux mains étant jointes. Leurs queues, non circoncises, pendouillent vers le bas, et reposent sur la serviette. Je remarque que le plus foncé de peau a une paire de couilles énormes alors que pour l’autre, c’est sa queue qui est plus grosse : ceci est relatif, et je fais le difficile dans ma comparaison car les deux queues sont assez énormes.
Les deux gars discutent, apparemment en créole, car seuls quelques mots nous sont compréhensibles, mais on ne comprend rien à leur discussion : en plus, il ne parle pas fort, mais j’ai l’impression que par moment il parle de nous.
Cela fait 30 mn qu’ils sont arrivés et je sens l’air, comme dire, s’électriser, je ne sais pas pourquoi…
Par moment, nos deux acolytes se touchent la queue, comme pour bien la remettre en place. Ils le font plusieurs fois.
Moi et Karine ne réagissons pas mais nous faisons juste quelques commentaires par moment.
Les gars sentant qu’on ne réagit pas, sont de plus en plus à l’aise, et par moment, ils décalottent leur sexe, montrant ainsi un gros gland très noir, et un autre très rose. Ils font quelques va et vient sur le manche et repose leurs queues. Je trouve cela excitant, bien que je ne sois pas homo. Je discute avec Karine en lui faisant remarquer qu’ils devaient bien s’exhiber, sans doute se sachant très bien foutu, et sans doute adulé par les femmes blanches, ils s’amusent sans doute ainsi histoires de faire fantasmer les blanches en vacances, et leur laisser un souvenir au retour. Karine trouve cela marrant.
Karine décide d’aller se baigner. Moi je reste mais je me lève et la regarde s’éloigner vers l’eau puis je m’allonge en la regardant. Elle ne reste pas longtemps et revient s’allonger et regardant vers la mer. Elle me dit que l’eau est encore plus chaude et que c’est agréable. Je lui caresse doucement la fesse mais repensant à nos invités derrière, j’enlève ma main et je dis à Karine :
- S’il me voit te caresser, ça va les exciter. Il faut mieux que je me calme, et puis moi aussi ça me ferai bander.
Nous discutons et je regarde Karine entre deux et je l’aperçois, tout en me parlant, bouger les jambes, puis les écarter doucement par moment. Karine se rase un peu le minou, mais il est toujours bien propre, avec juste ce qu’il faut comme poils. Elle est très bien foutu : 1,69 pour 62 kg, et une belle petite poitrine, avec un petit cul bien rebondi. Avec ses mouvements de jambes, je sais désormais que les mecs entrevoient par moment l’entrejambe de Karine : je suppose, car je ne peux pas savoir, qu’ils voient son anus, et son petit trou de chatte avec quelques petits poils autour. Ils doivent imaginer sa chatte bien humide, accueillante, et prête à absorber leurs gourdins bien dressés. J’imagine des scènes de plus en plus obscènes et avant que je mette à bander, je dis à Karine que je vais dans l’eau.
En me levant, j’ai vu, que les mecs se paluchaient la bite sans se cacher, ils n’étaient pas raides, mais je dirais que leurs queues étaient à moitié en érection. Karine me regarde m’éloigner vers la mer.
Je m’engouffre dans l’eau, nage et je suis vite rejoint par l’un des blacks. Le plus jeune à la peau plus claire. En nageant, on s’est rapproché et on se met à discuter de banalité. Nous restons ainsi 15 mn à discuter dans l’eau tout en marchant. Je lui explique nos vacances, notre retour dans quelques jours. Il me fait des compliments sur ma femme. A un moment, j’ose lui demander :
- Par hasard, je sais pas si vous savez, mais avec ma femme, on aime bien des fois, faire l’amour dans la nature, et là, est-ce que vous savez s’il y a un endroit un peu tranquille pour qu’avec ma femme on puisse tous les deux aller faire l’amour.
Le gars m’explique un endroit. Ca n’a pas l’air compliqué, juste à marcher pas mal pour être isoler du passage. Entre deux, je vois Karine qui discute toujours. De quoi peut-elle bien parler ?
Je sors de l’eau et remonte vers notre place, et le black remonte aussi. Le black qui est resté ne bande pas, et descend vers la mer se baigner avec son acolyte qui le rejoint. Je les vois discuter dans l’eau après avoir nagé.
Je demande à Karine de quoi elle a discuté : elle me répond de choses et d’autres, tout comme moi.
Nous sommes allongés vers la mer, et en jetant un œil et voyant que personne ne peut nous voir, je passe ma main entre ses fesse, elle serre les jambes, je lui dis, allez écarte un peu, et là, je passe un petit doigt et remarque aussitôt sa chatte toute humide. Est-ce la chaleur ou l’excitation. Je ne saurai pas, car les deux blacks remontent et j’enlève ma main.
Les deux gars s’essuient le corps et s’assoient : je prend à boire et en propose à Karine : j’en propose à nos deux voisins qui acceptent. Ils tirent sur serviette et s’avance plus près de nous. Nous nous mettons à discuter. Par moment, ils se tripotent la queue tout en discutant, mais sans malice, ça doit être machinale chez eux, je pense. Par moment, je regarde le plus âgé, il a dans le regard, quelque chose de fort, bestial, viril, masculin, et je sens que Karine est sous le charme mais bon. Nous parlons un peu de sexe : ils disent que ça arrivent dans le coin, des gens qui font leur affaire dans les parages, mais ça en reste là.
L’heure avance, et au bout d’un moment, je propose à Karine d’y aller. Nous préparons nos affaires, disons au revoir à nos voisins, en leur disant qu’on reviendra sans doute ici avant notre départ.
Nous repartons, et je dis à Karine, on irait bien baiser un ptit coup : elle me répond, j’ai la même envie que toi, et ajoute, tu sais, tout à l’heure, quand je discutais avec le black, je lui ai demandé s’il y avait un endroit tranquille et il m’a expliqué où c’était.
- On y va ?
- Oui !
Je ne lui pas que j’ai demandé la même chose à l’autre gars. Au moment de bifurquer vers le chemin indiqué, je regarde vers la plage et je vois les 2 blacks quitter à leur tour la plage.
Nous marchons et arrivons dans différents petits endroits, qui ont du être déjà fréquentés : la configuration des lieux fait qu’on dirait qu’ils ont été fait pour çà. La nature est sauvage, et pas trop épaisse, impeccable pour se cacher ou même être vus d’ailleurs. Karine avance encore en disant, il a dit par là : tiens l’autre m’a dit pareil. On avance encore quelques minutes et elle dit qu’on pourrait s’installer là. Je suis d’accord : bien entendu.
On déballe nos draps et serviettes et on se prépare un coin sympa. On commence à s’embrasser et je me mets à bander très vite. Je rentre déjà mon sexe qui glisse dans sa chatte toute humide jusqu’à la garde. Elle relève ses jambes et les nouent contre mes reins et je lui assènes des coups de queues assez violents, mais elle gémit : sa chatte est déjà hyper mouillé. Je relâche l’étreinte, je bascule le bassin pour faire sortir ma queue, et je descend lui bouffer le minou.
Sa vulve est chaude, et ouverte, et j’y engouffre ma langue. Elle relève les jambes e se tient par les genoux bien écartés et je lui bouffe sa chatte et son cul. Je mets un doigt dans son trou et elle apprécie.
Je viens auprès d’elle, agenouillé, et elle me prend la queue à pleine bouche. D’une main, je lui triture doucement les tétons, et de l’autre, je mets deux doigts dans sa chatte, et lui travaillant bien le trou. Elle soupire.
- Oui vas-y tes doigts, hum, c’est bon, oui travaille moi bien mon ptit trou. Hum elle est bonne ta queue. Viens, prends moi.
Je change à nouveau de position et je reviens en levrette sur elle. Ma queue rentre comme dans du beurre ramolli, je ne sens même pas les parois de sa chatte, tellement elle est ouverte. Elle prend ses pieds dans ses mains et remonte ses jambes en les écartant. Inconsciemment, je me dis : quelle chienne. Je me redresse sur mes mains, et là, je coulisse en elle à fond. Ma queue rentre et ressors à chaque fois : je sais qu’elle aime çà : soit être cogné au fond, soit laminé sur le bord à l’entrée du trou de chatte. Elle est vaginale !
Alors que je la ramone bien, en redressant la tête, je vois devant nous au loin, nos deux blacks. J’ai un moment d’hésitation mais je continue à besogner Karine. Elle me dit y’a quelque chose, je dis non, c’est trop bon mais je veux pas jouir maintenant.
Apparemment, ils sont fixes mais semble se branler. Difficile de voir d’ici.
Je ralentis le mouvement de mes va et vient. Je ne veux pas jouir et je ne veux pas qu’elle jouisse non plus tout de suite.
Je lui demande de changer de position et de venir sur moi. Je me retire de sa chatte et m’allonge sur le dos, sexe tenu en main, et elle vient s’agenouiller sur ma queue.
Ma bite disparaît complètement en elle, jusqu’aux couilles. Elle pose ses mains sur ma poitrine et moi je lui pelote les seins à pleines mains. Elle fait monter et descendre son bassin doucement puis de plus en plus vite tout en me regardant. Maintenant mes doigts commencent à agresser ses tétons. Elle gémit.
- Ah oui, c’est bon, elle est bonne ta queue. Ah, vas-y donne des coups de reins aussi. Hummmmm. Oui bien à fond.
Je lâche ses seins et lui claque les fesses doucement puis j’écarte ses lobes fessiers
- Tiens, allez, descend bien à fond là, oui, c’est çà. Je lui indique le mouvement à suivre de mes mains.
Tout à coup, elle s’affale sur moi et me parle à l’oreille.
- Hey, les deux mecs de tout à l’heure, ils sont là.
- Quoi ?
- Les mecs de la plage, ils sont là. Ils nous regardent et apparemment ils se branlent tout en nous regardant ! Qu’est ce qu’on fait, ils vont nous voir ?
- Ben, là, ils nous ont déjà vu et ça doit faire un moment qu’ils sont là. Ben on continue non ? C’était trop bon ! Hein ?
- T’es sur ? Si ils s’approchent ?
- Mais non. Ils se rincent l’œil. Et si ils s’avancent, que veux-tu qu’ils fassent ? Ils ne vont pas porter plainte. Hey c’est nos vacances, c’est bon, on en profite, on est que nous deux. J’aimerai bien jouir, pas toi ?
- Ben si mais bon…
- Bon on continue ou tu veux qu’on rentre.
- Oui t’as raison, on verra bien. C’était trop bon
Elle se redresse et remet ses mains sur mes épaules et remue à nouveau son bassin. Je lui triture les seins.
Je lui dis :
- Voilà, allez vas-y. Fais toi jouir, profites-en, te gêne pas. S’ils veulent se rincer l’œil, qu’il en profite. Ca doit super les exciter…
- Ah oui, c’est bon. Ah oui les seins aussi. C’est bon. Ah oui, j’en veux, j’en veux…
Karine s’en donne à cœur joie. Rarement je l’ai vu comme çà. Elle a les yeux mis clos en se défoncer sur ma queue. D’où je suis, je ne peux pas voir derrière ma tête, mais j’ai entendu de bruissements sur le sol qui se rapprochent. Je pense que elle, elle doit voit avec ses yeux mis clos, mais fait comme si de rien n’était.
J’hésite entre tout arrêter ou continuer, me doutant que ça va finir en partie à 4 si je ne fais rien.
Cela dure environ 3 à 4 minutes puis je vois arriver au dessus de moi les deux noirs, de chaque côté de Karine. Je vois leurs queues au dessus de moi, à quelques cm du visage de Karine. Elles ne sont pas raides, ils doivent se demander si c’est du lard ou du cochon…
Elle lâche mes épaules et se redresse en bougeant plus lentement sur ma queue.
Les deux blacks lui prennent une main et la porte vers leurs queues.
Elle saisit les deux bambous noirs, et commence à les branler en les décalottant bien à fond. Elle prend la queue du plus âgé et la porte à sa bouche et l’avale entièrement, mais cela ne dure pas longtemps, car elle fait ressortir cette grosse queue qui gonfle et ne peut être contenue dans sa bouche. Elle se met à sucer l’autre et branle le premier. Le premier s’appelle Norbert et l’autre Augustin. La queue de Norbert est ENORME et je pense qu’elle doit faire au moins 3 fois la largeur de main de Karine, avec un paquet de couilles énormes. Son gland est gros comme une petite orange. Augustin est bien membré, je dirais deux fois la largeur de la main. Les deux queues sont au garde à vous. Elle essaie de sucer Norbert, et heureusement que sa queue se ramollit par moment, ce qui lui permet de le prendre un peu en bouche, sinon, elle le suce le long, les couilles, dans tous les sens. Elle arrive à bien sucer Augustin.
Norbert/
- Alors Karine, elle te plaise nos deux queues ?
Karine :
- Oh oui, elles sont grosses et bonnes.
- Profites en, tu vas ramener de bons souvenirs en France hein ? T’as jamais vu des queues comme ça hein ?
- Non, elles sont énormes.
- Allez, vas-y, suce bien Augustin, il adore çà.
- Je vais voir ta petite chatte, hein, je ne l’ai pas bien vu tout à l’heure.
Il s’est met entre mes jambes et relève le cul de Karine. Ma queue sort dans un bruit de pet un peu long.
- Oh, la bonne cochonne. Quand la chatte pète comme çà, c’est qu’elle en veut, et qu’elle aime çà.
Ma queue raide est contre le pubis de Karine, et je vois Norbert qui crache dans la raie du cul de Karine et mouille les doigts puis commence à lui doigter la chatte. Je ne sais pas combien de doigts il a mis, 2 ou 3 je pense. Je sens au travers de ma queue contre sa chatte que les doigts s’activent très vite.
Karine :
- Ah oui, c’est bon, oui, branle moi ma ptite chatte, oui là, bien à l’entrée, hummmm, putain que c’est bon !
Moi :
- Attend, Norbert, j’ai envie de la prendre à 4 pattes pendant qu’elle va vous pomper !
Norbert retire ses doigts, et dès qu’elle bouge pour se mettre en position, sa chatte pétouille à nouveau, ce qui nous excitent au plus haut point.
Je me dégage et elle se met en position à 4 pattes, la croupe bien remontée. Je viens me mettre derrière elle, je pose mes mains sur ses fesses que j’écarte bien, son petit trou s’entrouvre, et en basculent mon bassin, je fais rentrer mon gland puis en poussant, toute ma tige rentre en elle, faisant un bruit glaireux.
Je commence mes va et vient et les 2 blacks regardent ma queue coulisser dans son antre humide.
Augustin :
- Ouah, elle est vachement mouillé de la chatte, regarde sa queue est trempée ! J’irai bien m’y fourrer moi aussi. Elle doit être génial sa ptite chatte.
Je vois les yeux d’Augustin qui ne quitte pas la chatte de Karine tout en se masturbant alors que Norbert s’est mis devant pour se faire sucer les boules.
Augustin lâche sa bite et écarte les fesses de Karine.
Moi :
- Qu’est ce qu’elle est bonne ta ptite chatte. Ah oui, cambre bien tes reins. Oui remonte bien ta croupe comme çà. Ah oui c’est bon ! Ah regardes ça Augustin, elle me prend bien à fond.
Norbert s’est allongé devant Karine, les jambes de chaque côté d’elle, et elle le suce goulûment. Je n’arrive pas à voir précisément la bouche de Karine, mais apparemment, Norbert apprécie. Par moment, il parle en créole à Augustin et je ne comprends pas mais bon peu importe : j’image les choses qu’ils doivent se dire.
Augustin :
- Ah j’aimerai bien la prendre aussi ta femme et lui donner du plaisir avec ma queue de black. Tu veux bien ? J’ai des capotes hein, pas de problème…
Moi :
- C’est à Karine de décider.
Norbert prend la parole :
- Karine, si tu aimes bien la queue, tu vas adorer, il va te rendre folle Augustin.
Augustin me regarde et sourit.
Karine en retournant sa tête :
- Si tu es d’accord, pourquoi pas ? Qu’en penses tu ?
Moi :
- Oui, il va mettre une capote, ça fait comme si c’était un god après tout ?
Elle ne répond pas, et suce à nouveau Norbert qui lui caresse les cheveux.
Je me recule et je ressors, la queue raide comme jamais je l’ai vu. En sortant, la chatte de Karine émet un gros bruit glaireux ce qui est normal avec sa position à 4 pattes. Déjà Augustin a enfiler sa capote, et sortit un gros tube de gel (je me dis, ben ils sont équipés les gars) : il appuie et une grosse giclée de gel coule dans la raie du cul de Karine. On a vu son trou du cul vibrer sous l’effet rafraîchissant du gel. Il barbouille avec sa main du gel partout, et comme la chatte de Karine est encore béante, il dirige le bout de la bouteille vers le trou et appuie dessus. Une bonne pichnette rentre dedans. Puis il appuie a nouveau sur la bouteille de gel sur sa queue et l’étale bien. Il pose ses mains sur les fesses de Karine et les écarte vers l’extérieur. Sa vulve s’ouvre. Il approche son bassin et uniquement en bougeant ce dernier, il dirige sa queue vers l’entrée bouillante de ma femme. Le gland est à l’entrée et il pousse doucement. Je vois le gland disparaître dans ma femme. Il s’arrête juste à l’entrée et remue en cercle son bassin. Je vois sa queue se tordre et former des arrondis et dans le même temps, je vois le trou de la chatte de ma femme se remuer aussi, et son anus se plisse au rythme de cette queue infernale. Je devine Karine reculer son bassin pour engloutir cette bite démentielle, mais Augustin sait jouer du bassin pour se reculer et maintient fermement Karine en avant à la bonne profondeur, c'est-à-dire, juste le gland. Ainsi, il lui travaille la vulve, les lèvres, il lui échauffe toute l’entrée du vagin. Je me dis : il va la rendre folle. En fait, il va la rendre salope, il veut qu’elle réclame de la bite à fond et quelque chose me dit qu’il va réussir son plan.
Karine :
- Allez, viens, prend moi à fond, baise moi !
Augustin :
- Attend, coquine, pas encore. C’est pas bon comme ça, juste à l’entrée de ta ptite chatte hein ?
Karine :
- Si putain, c’est bon, tu me travailles bien l’entrée, mais rentre, remplis moi.
Augustin décrit des mouvements de bassin encore plus amples ce qui a pour effet de faire tournoyer la chatte de Karine dans tous les sens.
Karine :
- Tu vas me rendre folle. Vas-y baise moi, défonces moi.
Je suis choqué à ces mots, mais ça devait être les mots clés, car aussitôt après, Augustin enfonce continuellement et entièrement son gros mandrin marron jusqu’à la base de ses couilles. Il écarte très largement les fesses et les lèvres de Karine, comme s’il voulait faire ressortir l’intérieur de sa chatte et plaque son ventre contre les fesses de ma femme.
Il donne des petits coups de rein secs, bien à fond. Karine remue son cul dans tous les sens.
Norbert :
- Vas-y Augustin. Tapes, tapes, tapes. Tapes à fond. Cognes bien le fond. Fais la jouir, elle a bien mérité. Tapes, tapes, tapes.
Augustin :
- Oui, je sens bien le fond de sa chatte. T’aimes ça Karine hein ?
Karine :
- Oui vas-y. Tu me baises bien. Oui bien à fond, ah c’est bon !
Augustin commence à limer en longueur. Il fait coulisser son engin dans le fourreau de ma femme. Tel un moteur, on dirait le piston qui astique les parois de la culasse. Ses coups sont francs, rapides, profonds. Maintenant, il tient Karine par le haut des épaules, il la besogne, la pilonne, l’empêche d’aller en avant en la maintenant par les épaules, ses coups de butoir font secouer Karine un max. Je glisse un doigt dans le cul de Karine, et je sens la queue à travers la fine paroi. Je sens son anus se contracter, elle fait le dos rond, et de mon autre main, je lui appuie sur le bas du dos pour qu’elle se cambre bien, son cul remonte, et Augustin la maintient encore plus fermement, et lui assène des coups de plus en plus violent. Il se relève légèrement et le met presque en position debout, les jambes de chaque côté du flan de Karine. J’enlève mon doigt de son anus, car je gène Augustin. Dans cette position, elle est complètement soumise, et Augustin accélère encore le rythme.
Norbert :
-Tapes, tapes, tapes, tapes, t’arrête pas mec, vas-y, elle va jouir.
Karine ne suce plus Norbert, elle respire fort, gémit, le font contre la serviette. Norbert regarde son copain et l’encourage. Je me positionne derrière Karine et je vois la queue rentrer et sortir à fond, les couilles cognant sa chatte. Le bas ventre d’Augustin claque dans un bruit démentiel les fesses de Karine qui s’agitent et ballottent dans tous les sens.
Augustin lui assène un dernier coup à fond comme s’il voulait rentrer ses couilles en même temps.
Karine :
- Ah oui, je vais jouir, vas-y, oui vite, ah c’est bon ! Oui, continue, c’est çà. Encore, encore, oui, encore, encore.
Karine, tout en tremblant, le dos arrondi :
- Ahhhhrrrrrrrrrr… Huuummmmmmmmmm… C’est boooooonnnnnn !
Augustin, qui n’a pas jouit, remet ses jambes entre celle de Karine, s’agenouille, bascule en arrière, et prend Karine contre lui, sans sortir de sa chatte.
Karine est en sueur, la tête sur l’épaule d’Augustin. Elle respire rapidement encore.
Moi :
- C’était pas bon hein ?
Karine :
- Ah, si. Dément. Ma ptite chatte va être toute défoncée. Pffffff (elle soupire).
Norbert :
- Tu rigoles. Je crois avoir compris que tu étais vaginale, plutôt, alors pour ta ptite chatte, enfin grosse chatte pour le moment, t’as pas à t’inquiéter, dans 5 mn elle serait capable d’en reprendre autant, même pire.
Karine :
- Alors là, je crois pas.
Moi :
- Tu devrais pas faire des promesses que tu ne peux pas tenir.
Karine s’adressant à moi :
- Donne moi à boire s’il te plait, et à Augustin aussi, il est en nage.
Karine se redresse et se dégage la chatte. A nouveau, elle pète grave ! Désolé nous dit-elle. On éclate de rire.
Norbert :
- Au contraire, c’est génial, ta chatte montre toute sa satisfaction. J’adore entendre se bruit là.
Nous nous allongeons quelques instants.
Très rapidement, je me dis que ça serait bien que Karine se prenne l’énorme queue de Norbert, mais ça me semble un peu compliqué. Je me dis que je vais tenter. Cela fait 10 mn qu’on est allongé et on va rester là jusqu’à ce qu’il fasse nuit. Je commence à caresser l’entrejambe de Karine et à ma grande surprise, elle entrouvre les jambes.
Je lui caresse le clito, qui est assez saillant, et très vite je sens à nouveau son bassin imprimer des mouvements ondulatoires.
Norbert et Augustin se redresse et se mettent de chaque côté de Karine et lui prenne chacun une jambe et la relève en l’écartant. Je continue à lui titiller le clito, puis je sens leurs doigts lui tripoter les lèvres, la vulve. Il commence à la doigter à tout de rôle. J’insiste sur son clito. Elle remue encore plus.
Augustin, s’adressant à Norbert :
- Tu pourrais peut-être la prendre toi aussi.
Karine :
- Oh non, non. Elle est trop grosse. Ca ne rentrera jamais. Non, non.
Moi :
- Ben on pourrait essayer, juste pour voir. Juste à l’entrée à la rigueur, juste pour te masser les lèvres.
Norbert me regarde avec un air complice. Il m’a compris.
- Oui on peut essayer, juste à l’entrée, tout doucement, à la rigueur le bout de mon gland, tu verras bien si ça le fait ou pas ?
Moi :
- Pa ni problem.
A l’idée de pouvoir tenter le coup, je vois mes deux antillais se mettre à bander, ce qui a pour effet de me faire bander à mon tour ( ???).
On prend des serviettes qu’on place sous les fesses de Karine pour la rehausser. Norbert s’agenouille devant elle et enfile 2 préservatifs (va la masse de sa bite, un seul pourrait craquer) en mettant beaucoup de gel. Il beurre le minou de Karine abondement et rentre le bout de la bouteille dans sa chatte et appuie plusieurs fois dessus. On voit du gel ressortir.
Karine :
- Ah c’est frais, ça fait du bien. Ca me fait peur quand même votre truc là. Ca ne va jamais rentrer.
Moi :
- On verra bien. Si ça rentre pas, c’est pas un drame. Penses à prendre du plaisir, c’est tout.
Norbert et moi tenons les jambes de Karine bien relevées et écartées. Norbert s’avance et pointe son gland, enfin son, son, son je sais pas quoi car vu la grosseur, je sais pas si le mot gland est adapté, mais bon. Il pointe donc son gland juste au ras du trou de Karine. Il tient fermement sa queue en main et donne de tous petits coups de rein histoire de commencer à détendre la vulve et à la préparer doucement au terrible assaut. Karine y met du sien, et souffle doucement, elle se caresse elle-même le clito tout doucement. Nous voyons les tissus se détendre gentiment, puis au bout quelques instants, nous voyons le gland qui est rentré à la moitié et à l’instant d’après, comme aspiré, le gland disparaît complètement. On ne voit plus que le prépuce de Norbert. Karine a juste fait un petit râle de rien.
Moi :
- Alors tu vois, le gland est rentré. C’était pas si terrible que çà quand même ?
Karine :
- C’est vrai, je croyais que ça aurait été pire. Enfin, Augustin m’a bien préparé avant aussi. Ma ptite chatte a déjà pas mal morflé quand même.
Augustin :
- Morflé ? C’était pas bon ?
Karine :
- Ah si, mais ce que je veux dire, c’est que tu y es pas aller de main morte, même si ça été d’enfer.
Norbert attrape de ses immenses mains le bassin de Karine, histoire de la maintenir fermement. Puis je le vois basculer doucement sur ses genoux et avancer son bassin. Sa queue s’engouffre plus profondément.
Apparemment Karine ne dit rien. Je vois les centimètres de chair noire disparaître dans la chair blanche et légèrement poilue de ma femme. Norbert avance très doucement. Il est super ce mec. Déjà la moitié de rentrée, et je vois le bas ventre de Karine se gonfler. Il doit tout pousser la dedans. Je me dis : c’est dingue ce qu’une femme peut se détendre et encaisser. Le tour de la queue de Norbert est proche en équivalent d’un gobelet blanc en plastique dans sa partie la plus large au ras du pubis. La chatte de ma femme avale les centimètres de bite apparemment sans problème. Je n’en reviens pas. Je regarde Norbert interrogatif. Il semble tout aussi surpris tout comme Augustin.
Moi :
- Alors Karine, ça va ? Ca rentre§
Karine :
- Oui, j’ai l’impression d’être bien remplis. Ca tiraille, mais bizarrement, c’est agréable en même temps.
Elle se relève et regarde son entre jambe ou il reste un tiers d’un gros bout d’ébène à rentrer. Norbert recule de quelques centimètres, remet du gel sur le préservatif, et recommence sa plongée en avant. Il commence à imprimer des petits mouvements de va et vient, léger, sournoisement je dirais même. Karine commence à gémir et à haleter doucement. Elle lâche son clito pour se tripoter les seins qu’elle remue lourdement comme pour les soupeser. Elle ferme les yeux et ouvre la bouche. Sa respiration devient légèrement haletante. Je vois désormais le poil de la chatte de ma femme se mêler au poil du pubis de Norbert. Nous y sommes presque. Je me dis intérieurement : elle pourra dire qu’elle s’est fait vraiment défoncer la ptite salope. Je m’en veux de ces mots, mais nous sommes dans la folie du moment de sexe que nous partageons ensemble.
Norbert se redresse et montre, en chevalier glorieux, son exploit. Il se ravise et dit :
- Bon on y est presque. Plus que quelques centimètres. J’ai l’impression d’être au fond. En terme montagneux, je dirais, il faut dépasser le col !
Il tape des petits coups légèrement violents, mais pas trop, avec la régularité d’un métronome. A chaque coup de semonces, Karine dit : ah, ah, ah. Ils sont bien en rythme. Régulièrement, Norbert se redresse pour montrer sa progression et il progresse le bougre. Bientôt, le compte y est. Tout est rentré. Il cambre les reins et montre son exploit. De mon côté, je devine la chatte distendue, ravagée, défoncée, malmenée, mais excitée, humide, chaude que ma femme ressent.
Norbert rentre bien ancrée à fond dans ma femme, tel un mat soudé à son bateau. Il remue son bassin en décrivant des cercles comme s’il voulait encore plus détendre la chatte déjà complètement déformée de ma femme et comme si il voulait faire encore de la place pour en mettre plus gros ou plus long.
Au bout de quelques minutes de ce traitement, Karine râle de plus en plus et j’ai l’impression qu’elle recommence à vivre ce qu’elle vient de vivre il y une heure avec Augustin. L’excitation la gagne. Je me dis : Yes ! Ca va donner !
Norbert commence tout doucement son va et vient. Il commence à limer doucement ma femme. Juste 2 ou 3 centimètres de queues qui ressortent et re-rentrent à chaque fois. Bien entendu, le nombre de centimètres s’allonge au rythme des râles, gémissements, et onomatopées en tout genre que Karine commence à nous débiter.
Les centimètres qui rentrent et sortent s’allongeant, le chemin devient de plus en plus facile pour cet engin pourfendeur de chatte.
Norbert demande à Karine :
-As-tu déjà éjaculé ?
Karine, entre deux respirations :
- Quoi ? C’est les mecs qui éjaculent !
Norbert :
Non les femmes aussi. Surtout les vaginales, car en général, c’est du vagin que ça part. Ca te dirait d’essayer, c’est intense comme plaisir.
Karine :
- Pas pire que tout à l’heure avec Augustin !
Norbert :
- C’est rien à côté d’une éjaculation féminine.
Karine :
- Bon allons-y, je suis plus à ça prêt. De toute façon, c’est trop bon, alors tant que j’ai pas mal, je veux bien essayer.
Augustin commence à frotter le clito de Karine.
Karine, en pleine lucidité :
- Ben je croyais que c’était avec le vagin que ça marchait
Norbert :
- Oui, mais avec le clito, ça amorce, et c’est mieux, c’est plus fort, et plus facile à faire.
Norbert commence à limer Karine de plus en plus vite, je vois ses queues rentrer et sortir à un rythme effréné et je me demande même comment ma femme peut supporter de tels assauts mais elle a l’air d’apprécier. On la croirait dans les vapes, dans un autre monde. Les yeux mi clos, elle se pelote toujours les seins.
Augustin frotte du bout des doigts la région du clito, et semble maltraitée, toute cette région comme s’il voulait y mettre le feu. Il le fait à un rythme de plus en plus rapide : il s’arrête jute par moment le temps de mettre partout dans cette zone une bonne pichenette de gel et reprend de plus belle. 2 ou 3 fois Karine a essayé de le faire arrêter, mais il repousse ça main, et lui dit de se laisser faire. Norbert tient fermement Karine par le bassin et ce n’est pas un problème pour lui, vu sa corpulence, sa masse et la taille des ses mains. Karine ne pourrait se défaire de cette emprise même si elle le voulait. Maintenant, c’est Norbert qui fait aller et venir la chatte de Karine sur sa bite raide et énorme. C’est incroyable la maîtrise du geste. Je vois maintenant la chatte de ma femme qui expulse cet gourdin noir jusqu’au gland et le ravale aussitôt.
Augustin :
- Alors, Norbert, elle est bonne ?
Norbert :
- Putain, oui. Ca c’est d’la chatte. Rarement vu une salope pareille. Non mais regarde moi çà, elle gobe tout, jusqu’aux couilles.
Norbert a de plus en plus de mal à continuer de branler la région du clitoris tellement Karine est remuée, ballottée dans tous les sens par Norbert qui la tient fermement.
Karine :
- J’ai envie de faire pipi. Arrêtez. Vite, je vais finir par pisser sinon. Allez, je vais finir par vous pisser dessus merde§
Augustin à Norbert :
- C’est bon, ça vient. T’inquiètes Karine, laisses toi aller, c’est ça ton envie de pisser. C’est parce que tu vas bientôt éjaculer. Alors vas-y lâches toi, pisses toi dessus.
Karine :
- Vous êtes sur ? J’ai vraiment envie de pisser.
Je me branle en regardant ma femme en transe. Elle se contorsionne dans tous les sens et Norbert use de toute sa force pour la maintenir en position et continuer son va et vient infernal tel un piston de voiture de 300 chevaux. Augustin a passer une main sous les fesses de Karine pour la maintenir aussi en position et lui donner un appui le temps de continuer à lui massacrer le clito.
Karine :
- Je sens que je vais pisser. Ca vient, je vais me lâcher.
A chaque coup de butoir, je vois le ventre de Karine se gonfler. Elle gueule, râle, gémit, se contorsionne comme si elle était démente : de son côté Norbert la contrôle, la bloque, lui assène des coups de butoir, et la contraint à venir se coulisser sur ce membre infernale qui lui écartèle la chatte, la défonce, mais qui va l’amener à une super jouissance.
Norbert, qui devient cru :
- Karine, putain, lâches toi. Vas-y, tu la sens ma queue qui te ramone à fond, tu le sens ton clito qui va exploser, hein ?
Karine :
- Oui je suis votre chose, baiser moi, faites moi jouir, ah, c’est bon, je vais pisser, ça vient !
Norbert :
- Oui c’est çà, je sens ta chatte se contracter, elle me comprime la bite, vas-y, lâche prise, putain ma queue est toute serrée.
Norbert maintient Karine encastrée à fond sur sa bite, elle se contorsionne encore car elle sent son vagin, enfin tout son intérieur se durcir.
Augustin libéré des mouvements de Norbert fait aller et venir sa main dans tous les sens sur le clito de Karine, il lui massacre les lèvres, le clito.
Norbert m’ordonne :
- Mets lui 2 doigts dans le cul et remue les bien pour masser le fond !
Je m’exécute.
Karine :
- Ah oui, ça y est. Ahhhhhhhh. Ouiiiiii je vous pisse dessus. Tienssss.
Et nous voyons Karine se raidir, bombé le torse, et plusieurs jets de cyprines expulsent violemment de son corps et inonde la main d’Augustin, trempe le torse et la queue de Norbert. J’ai senti avec mes doigts la violence de sa jouissance. Norbert râle et je le vois agité par des soubresauts. Je me doute qu’il a jouit. Je regarde de côté et je vois qu’Augustin a balancé son sperme sur la serviette. Quant à moi, j’ai joui quand j’ai senti dans mes doigts le bonheur qu’avait ressenti ma femme avec cette nouvelle découverte.
Nous restons avachis quelques instants. Nous nous remettons de nos émotions. La fin de journée approche et la nuit tombe vite sous ces tropiques. Nous buvons un coup et regagnons le parking tous les quatre. Norbert propose de nous laisser son numéro car si on veut, on pourrait remettre ça avec quelques potes à eux avant notre départ. Nous ne sommes pas très chauds : cela fait juste quelques instants que nous venons de prendre un pied d’enfer. Nous gardons le numéro de téléphone. On verra…

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