Vacances en bord de mer - histoire érotique

Nous passons nos vacances dans un village du sud de la France, on a réussi à prendre un mois complet ensemble.
Ça fait à peine deux jours que nous sommes arrivés et nous avons déjà pris des couleurs.
Il fait chaud ce soir, on décide avec ma femme d'aller se balader un peu. Nos pas nous emmènent sur la plage. L'air est doux, une petite brise caresse nos corps.
- J'ai envie de me baigner, l'eau doit être merveilleusement bonne, me dit Sylvie.
- Mais nous n'avons pas de maillot, ce n'est pas vraiment raisonnable.
- Tant pis, on se baignera tout nus, on l'a déjà fait, ça ne t'avais pas trop dérangé cette fois-là
- Non, mais on était dans un coin désert, il faisait jour. Là, la ville n'est même pas à 200 mètres.
- Et alors, on s'en fout.
Elle commence a se déshabiller, posant ses vêtements en tas.
Je la regarde, elle est comme je l'ai rencontré il y a 10 ans. Ce fut un moment inoubliable.
J'avais a peine 18 ans. J'avais été invité à une soirée chez un pote, Ludo, pour jouer sur la console et passer une bonne soirée. La soirée fut bien, mais elle s'améliora quant sa sœur débarqua à l'improviste. Elle avait 22 ans, elle portait une mini-jupe, vraiment mini et un haut très moulant qui mettait ses seins admirablement en valeur. En plus, on voyait très bien qu'elle ne portait pas de soutien-gorge.
- Salut frangine, où tu vas attifée ainsi, faire le tapin, lui avais t-il dit en s'esclaffant de rire.
- Non, je venais te voir, petit con.
- Je suis peut-être plus petit et plus jeune que toi, mais moi au moins je ne suis pas obligé de me costumer pour sortir et draguer.
- Vu ce que tu te "lève", tu devrais essayer, ça te changera.
Elle jette un œil sur moi et lui demande :
- Qui c'est ? Encore un amoureux de la manette ?
- Soit polie, c'est Julien, un pote de bahut.
- Bonsoir, lui dis-je avec un grand sourire, passant sur sa remarque désobligeante.
- Ouais, salut.
Glacial comme bonsoir, j'ai connu mieux comme salutations.
- Arrête de mater mes nichons, ou tu vas prendre une baffe.
Je ne peux détacher mon regard de ses seins, je les trouve magnifiques, ronds, bien fait et ses tétons qui pointent à travers le haut.
- Sérieux, je crois que tu viens de l'accrocher avec ta tenue, lui dit Ludo avec un large sourire.
- Il a surtout envie de me baiser, oui.
- L'amour serait plus approprié comme terme.
- Ah bon, il y a une différence pour toi ?
- Oui, baiser, c'est juste un coup vite fait, mal fait. L'amour est plus sensuel, a mon goût.
- Encore un romantique, j'ai déjà donné, merci.
Elle va s'asseoir sur le pouf, à côté de son frère. Elle croise les jambes et j'ai pu voir sa culotte, son string plus exactement. C'est à ce moment-là que j'ai commencé à avoir une érection.
- Vas-y ne te gêne surtout pas, tu veux peut-être que j'enlève mon string, tu auras une meilleure vue comme ça.
Je détourne mon regard et tente de me replonger dans le jeu.
Ludo est plié en deux et lui lance :
- A mon avis, si tu te foutais à poil ce serais encore mieux, je pense.
- Tu arrive a penser, j'ai cru que ton cerveau avais été oublié lors du montage de ta carcasse.
- Moi au moins je ne pense pas avec mon cul.
- Normal, tu penses avec ta bite, enfin si tu en a une.
Ils continuèrent à se lancer des vannes, plus pourries les unes que les autres. On dirait un vieux couple en train de s'engueuler. Ça en est presque risible de les voir ainsi.
- Bon je vais vous laisser continuer sans moi, je m'en vais.
- Non, reste, on a la partie à finir.
- Enregistre-la et je reviendrai la finir plus tard.
Elle continue a s'amuser a jouer avec ses jambes. Les décroisant, et les recroisant. Je décide de me lever, quelque peu gêné par le sens que prend leur discussion. Elle arrête de parler avec son frère, regarde la bosse qui déforme mon jeans.
- Hé ben, je te fais autant d'effet que ça ?
- D'après vous ?
Ludo jette un œil et me regarde stupéfait.
- Tu veux que je te laisse un moment avec elle peut-être ?
On se regarde, Sylvie et moi. Un fou-rire la prend et dit :
- Non, c'est moi qui vais partir. Il faut que j'y aille.
Elle se lève lentement du pouf, ses jambes légèrement écartées, me laissant voir son entre-jambes. Mon sexe est vraiment à l'étroit, j'aurais du mettre un jean un peu plus large. Elle se dirige vers la porte, sa jupe est repliée vers le haut, laissant ses fesses à l'air libre. Ludo ne dis rien et me regarde en souriant. Je la rejoins et lui baisse sa mini-jupe. La sentant bouger, elle se retourne, s'approche, place son visage à 5 centimètres du mien et me regarde. Dans les yeux. Nous restons figés un court moment dans cette position. Je sens son parfum doux et fruité, sa respiration m'effleurant à peine. Profitant de ce moment, elle m'embrasse sur la bouche, un bisou plein de malice. Nous nous revîmes un peu plus tard, nous avions notre premier rencard.
Elle glisse dans l'eau, ne faisant plus qu'un avec la mer. Je décide de rester sur la plage, la laissant nager à son aise. J'entends de bruits de voix, des gens approchent. J'appelle Sylvie, pour qu'elle revienne mais elle ne m'entend pas. Un couple fait son apparition, ils sont d'humeur coquine. Le jeune homme a relevé le tee-shirt de sa copine, il tient son téton entre ses doigts et s'amuse avec. Ils ne m'ont pas encore vu. Elle a une main dans son short, le masturbe légèrement. Quant ils m'aperçoivent enfin, ils sont trop excités pour s'arrêter.
- Vous êtes seul ? me demande la fille.
- Non, j'attends ma femme, elle prend un bain de minuit.
- Quelle bonne idée, me dit-elle.
Elle enlève ses vêtements et se retrouve nue à son tour. L'homme se déshabille aussi.
- Ca ne vous ennuierai de garder nos vêtements pendant que l'on se baigne ? me fit-il.
- Pas du tout, allez-y. Je reste là.
Ma femme sortant de l'eau à quelques mètres au moment où ils y rentrent. Elle me rejoint et me demande si je les connais.
- Non, c'est la première fois que je les vois.
Elle décide alors de me masturber, Elle fait glisser une main dans mon bermuda, attrape mon sexe et décide de le faire durcir. Elle sait y faire, il ne me faut pas longtemps pour être en forme. Elle entreprend de faire glisser mon bermuda et mon caleçon, de manière à être plus à l'aise pour me faire une gâterie. Elle met sa tête entre mes jambes, entame une fellation comme elle sait les faire. Je m'allonge sur le sable tiède, profite de ce moment de délice. Y' a pas à dire, elle sait tailler des pipes comme personne, pourtant j'en ai essayé des bouches, mais elle les surpasse toutes. Je lui passe la main dans les cheveux, lui caresse le dos et descend vers ses fesse nues. Ma main passe sur son sillon, elle frémit. Je la faire changer de position pour avoir un meilleur accès à son puits d'amour. Il est trempe et ce n'est pas de l'eau de mer. Je m'applique à lui donner autant de plaisir qu'elle m'en donne. On reste ainsi de longues minutes, moi profitant de sa bouche sensuellement chaude et humide et elle de mes doigts inquisiteurs.
Le couple sort de l'eau, il nous regarde avec une certaine envie. L'homme a une érection e voir ce spectacle. Sa femme attrape son sexe et commence une lente masturbation. Sylvie se rend compte de leur présence, les regardes et décide de me chevaucher. Elle passe une jambe au-dessus de ma tête et se place pour pouvoir s'empaler sur mon sexe. Elle ne les quitte pas des yeux, elle descend lentement sur ma bite durcie par ses caresses buccales. Elle entame des vas et viens lents et profonds. Le mec est de plus en plus excité, sa verge est maintenant dressée comme un I, prête a prendre le premier trou qui lui passe devant. Sylvie tend les mains vers la femme tout en continuant ses montées et descentes. Celle-ci s'approche doucement, je remarque une brillance entre ses cuisses. Ma femme va pour lui caresser son minou mais elle a un mouvement de recul.
- Je n'ai jamais été touchée par une femme.
- Tu verras, tu apprécieras grandement mes caresses. Laisse toi aller.
- Laisse-la faire chérie, tu ne risque rien, si ce n'est de prendre du plaisir, enchérit son homme.
Doucement, elle se rapproche, se laisser toucher par la main fine et douce de Sylvie. Elle sait aussi bien y faire avec les femmes qu'avec les hommes. Elle lui fait écarter légèrement les cuisses, son puits d'amour luit comme si il était recouvert de fine particules réfléchissantes. Ses doigts courent le long de la fente, passant du capuchon jusqu'à l'entrée de son petit trou. Ses caresses produisent l'effet désiré, elle mouille de plus en plus, son jus coulant le long de ses cuisses et sur les doigts de ma femme. L'homme reste en retrait, attendant une invitation, se masturbant lentement. Je lui fis signe de s'approcher, de se faire sucer par ma femme. Il comprit ce que je venais de lui "dire". Sa queue est maintenant entre les lèvres expertes de Sylvie. Il ne sait pas à quel point ma femme est douée dans les jeux de langues. Le spectacle qui s'offre à moi est des plus excitants.
- Penche-toi en avant, viens m'embrasser, ton homme pourra te prendre ainsi, lui dit ma femme.
La femme s'exécute, le mec passe derrière et lui plante sa bite sans ménagement. Elle pousse un petit cri, rapidement étouffé par les lèvres de Sylvie. L'homme est si excité qu'il ne lui fait pas l'amour mais la baise comme une chienne. La femme gémit de plus en plus au fur et à mesure que monte son orgasme. Sylvie accélère la cadence, fait bouger son bassin pour me faire venir en elle. L'homme sort son sexe et envoie des jets de spermes si loin, qu'ils se déposent sur la tête de ma femme.
- Hé ben mon salaud, tu aurais pu attendre de la faire jouir avant de te lâcher. Sermonne ma femme.
- Désolé, mais la voir ainsi, se faire embrasser par une femme, c'en en été trop pour moi, s'excuse le mec.
La femme s'allonge sur le ventre, laissant la semence sécher en place.
- Je sens que je vais venir moi aussi, lui dit-je dans un râle.
- Vas-y explose en moi, inonde moi de ton foutre.
J'éjacule donc en elle. Ça fait un moment que nous n'avions pas fait l'amour, on s'en tenait aux préliminaires. Elle pousse un "Oui" de satisfaction lorsqu'elle sent mon jus la remplir. Elle reste ainsi, mon sexe retrouvant sa position de repos encore fiché en elle. Elle se lève et la femme prend mon sexe en bouche, le lèche, le suce pour goûter à ma jouissance. Ma femme s'assoie, les jambes écartées et demande à la femme :
- Tu veux bien me nettoyer aussi ?
- Avec plaisir, mais il faudra me guider un peu, je n'ai jamais fait ça.
- Tu te connais non ? Pense à ce qui te fait plaisir et ça ira très bien.
La femme entreprend de lui nettoyer le minou avec application, léchant et avalant ce mélange de sperme et de mouille. L'homme recommence à bander, caresse avec sa bite les fesses de sa femme et glisse le long de la faille.
- Vas-y encule moi, défonce moi le petit trou, depuis le temps que tu en meurs d'envie.
Il lui relève le bassin, place son gland gonflé devant l'entrée si longtemps interdite. Il pousse lentement sa queue, la fait progresser petit à petit. Elle gémit, mordille le clito de ma Sylvie. Le voilà entièrement en elle, reste ainsi le temps que l'œil de bronze se fasse a son passage. Il entame des vas et viens lents et profonds. Elle gémit de plus en plus fort au fur et a mesure des mouvements du bassin de son homme.
Ma femme me rejoint, s'assoie entre mes jambes et regarde le spectacle. La femme crie de plus en plus fort au fur et a mesure de la montée en cadence. Elle se penche de plus en plus, son visage se posant délicatement sur nos vêtements. On voit ses fesses bouger quant son homme entre en elle. Ils restent dans cette position un moment puis l'homme sort son sexe, avance a genoux vers le visage de sa femme et lui éjacule dessus. Elle lui prend la bite la suce pour qu'elle soit propre et prête à resservir.
- Merci pour ce spectacle, j'en suis toute mouillée, dit ma femme en se caressant.
La femme s'approche de Sylvie et l'embrasse goulûment.
Finalement nous nous relevons et nous rentrons chez nous, je constate que le couple nous suit, je leur demande où est-ce qu'ils habitent, l'homme le répond :
- Dans la résidence des flots bleus, pourquoi ?
- Nous aussi, nous avons le pavillon de la Rascasse et vous ?
- Nous sommes dans celui du Mérou.
- Mais il est juste en face du notre alors, s'exclame Sylvie.
Nous rentrons ensemble, finalement nous avons passés le reste de nos vacances ensembles.