Vacances en tunisie 2

- Par l'auteur HDS Epistolier -
Récit érotique écrit par Epistolier [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Vacances en tunisie 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-12-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Vacances en tunisie 2
Vacances en Tunisie 2 ;
Cette seconde semaine fut elle aussi mémorable.
Nous nous sommes installés dans notre nouvel hôtel qui a la particularité de présenter de petits bungalows placés deux par deux dans un joli parc. Je ne sais par quelle manigance nous nous sommes à nouveau retrouvés dans des bungalows contigus.
Mais tout a commencé à ce fameux dîner lorsque nous nous sommes retrouvés le lendemain de notre arrivée à trois au restaurant de l’hôtel.
Après les présentations, un excellent cocktail avait commencé à rosir les joues de ces dames, avant d’attaquer un excellent repas bien arrosé. Elle a un peu parlé d'elle en nous précisant que cette année de solitude commençait à lui peser. Au cours de la conversation et à la suite de quelques allusions sur ses nuits sans sommeil, Eliane finit par rappeler à Estelle sa promesse. Elle commença alors le récit de la semaine précédente et le développa tout au long du repas. Elle raconta sans gêne dans le moindre détail, nos aventures soirée après soirée.
Eliane était toute ouie, elle ne perdait pas une miette des confidences de mon épouse, je la voyais même se tortiller de temps en temps sur sa chaise.
- Si je m’étais doutée ! Quelle chance tu as d’avoir un mari aussi conciliant ; Et elle lâchât ; Je mouille ma culotte rien que de t’écouter, c'est comme cela que l'on dit, non!
- Moi je ne risque pas, j’ai décidé de ne pas en porter de toutes les vacances.

Eliane ne fit ni une ni deux, en se contorsionnant discrètement sur sa chaise, je compris qu’elle se débarrassait de son sous vêtement.
- Voila et bien maintenant nous sommes deux !

Effaré, je la vis la tendre à Estelle qui la porta à son visage pour humer son odeur.
Elle me la tendit ensuite comme un trophée. Heureusement la salle était loin d’être pleine et discrètement j’ai fourré la culotte dans ma poche.
J’eu le temps de me rendre compte qu’effectivement elle était toute humide. Je commençais moi aussi à être excité en me remémorant tous ces souvenirs, mais là, je me suis mis à bander instantanément en ne retrouvant à l'étroit dans mon pantalon.
Elle nous expliqua que son mari était peu intéressé par les choses du sexe et qu'elle avait fait sa vie avec. Mais depuis quelque temps elle avait le sentiment qu'elle avait manqué quelque chose et elle avait envie de se rattraper avant qu'il ne soit trop tard. Mise en confiance par Estelle, elle espérait que nous l'aiderons à combler ce retard, au sens propre comme au sens figuré.
A la fin du repas, les deux femmes bras dessus bras dessous, pouffant de rire pour un rien, nous regagnâmes nos appartements. Au lieu de se diriger chacun chez soi, elles m'ont précédées toutes les deux dans le nôtre. Sitôt entrées, sans se préoccuper de moi, elles se sont jetées dans les bras l'une de l'autre et se sont embrassées à pleine bouche. Elles se sont pratiquement arrachées leur robes et nues se sont jeté sur le lit. Leurs mains se sont cherchées, et chacune a trouvé la chatte de l'autre, les cuisses grandes ouvertes, elles se sont fiévreusement masturbées l'une l'autre. Elles ont joui rapidement et presque en même temps. A peine avaient elles repris leur souffle que mon épouse m'apostropha; - Eh bien qu'est-ce que tu attends pour nous rejoindre!

Je me suis déshabillé rapidement et me suis glissé, couché entre elles deux, ma queue tendue à la verticale.
Estelle invita notre nouvelle amie à me prendre dans sa main et à me caresser ce qu’elle fit avec douceur. Bientôt, ce sont les deux têtes qui se sont penchées vers mon ventre et deux bouches qui se sont misent à me sucer tour a tour. Les yeux fermés, je me suis abandonné à leurs caresses. Je sentais tour à tour ma queue au fond d’une bouche pendant que l’autre me léchait les couilles avec sa langue mouillée.
Dans un souffle, je leur ai fait remarquer qu’à ce rythme je ne tiendrais pas longtemps. C’est Estelle qui répondit ; - Qu’à cela ne tienne, pour ce soir cela suffira, mais tu pourrais participer en nous caressant.

Je me suis dégagé, et je ne suis agenouillé entre elles, glissant chaque main entre les cuisses de l’une et de l’autre. Chaque chate semblait différentes, pourtant elles étaient aussi mouillées et douce à caresser. Elles ont repris aussitôt leur duo de fellation sans oublier elles aussi de se servir de leurs mains. Entre les sensations autour de ma queue et la vue de ces deux bouches s’activant je n’ai pas pu me retenir de jouir. J’ai lâché de longs jets de sperme qui ont atterris indifféremment sur leur visage et sur leurs mains. Terrassé par ma jouissance, je me suis écroulé entre elles deux. Elles se sont faite jouir à nouveau en se caressant l’une l’autre et en s’embrassant à pleine bouche sans se préoccuper du sperme qui maculait leur visage.
Après un rapide passage dans la salle de bain, elles se sont tout naturellement recouchées dans le lit, l’une contre l’autre, me reléguant sur un côté. Heureusement que les lits modernes de ces hôtels sont immenses.
Sur le matin, de petits chuchotements m’ont tirées du sommeil. Décidément, elles étaient déjà enlacées en train de s’embrasser ; - Le voilà qui se réveille, j’espère que tu es en forme, tu ne vas pas t’en tirer comme hier au soir, à toi de câliner nos petites chattes.

Je ne me fis pas prier, et avec ma bouche, j’ai investi tour à tour la chatte de l’une et de l’autre jouant au mieux avec ma langue. La situation me fit aussitôt bander. J’étais étonné par la « santé » de mon épouse, mais je dois avouer que j’étais aussi étonné qu’à la moindre sollicitation je me retrouve avec la bitte en érection. Toutefois, j’avais quelques doutes que cela puisse durer avec autant de bonheur le reste de semaine, enfin, pour l’heure, j’étais décidé à en profiter.
Estelle m’agrippa par les épaules et en me tirant vers elle, ma queue à d’un seul coup investi sa chate. Après quelques vas et viens, elle se dégageât et prenant ma bite en main elle m’entraîna entre les cuisses d’Eliane en disant ; - Maintenant, baise là à elle, fourre la avec ta queue.

Tout en me branlant, elle m’introduisit dans la chatte de sa nouvelle amie laissant sa main traîner sur son clitoris. Elle se mit à le caresser au rythme de mes coups de rein. Elles ont recommencées à s’embrasser et je me rendis compte que la main d’Eliane n’était pas en reste, elle s’activait entre les cuisses de mon épouse.
Je pense que nous avons jouis presque en même temps, pour ma part, mon ventre collé contre le siens je me suis déversé au fond de son vagin. J’ai repris mon souffle allongé sur le lit et aussitôt la bouche d’Estelle m’a remplacé entre les cuisses d’Eliane, comme pour lui faire sa toilette à grand renfort de coups de langue. Elle lui a maintenue la tête avec ses deux mains et s’est carrément branlée contre son visage d’avant en arrière avec son bassin et elle n’a pas tardé à jouir à nouveau avec de long râle de plaisir.
Eliane qui parlait de rattraper le temps perdu, elle en prenait visiblement le chemin.
Dans le courant de l’après-midi, nous nous sommes retrouvés tous les trois sur la plage de l’hôtel pour profiter du soleil. Je me suis installé sur un transat et elles se sont approchées du bord les pieds dans l’eau. Je me suis fait la réflexion qu’elle était toutes les deux très belles et que j’avais beaucoup de chance. Après cette pensée, j’ai sombré dans un sommeil réparateur. Lorsque j’ai émergé de ma sieste, je les ai aperçues sur le terrain de volley bal jouant avec plusieurs jeunes et deux animateurs de l’hôtel. C’était les deux seules femmes et je compris petit à petit pourquoi le ballon leur arrivait très haut la plus part du temps. Elles étaient obligées de sauter la plus part du temps ce qui occasionné presque à chaque fois le débordement d’un bout de sein et parfois l’éjection complète d’un sein du bonnet du soutiens gorge de leur bikini deux pièces. Prisent par le jeu, elles ne semblaient pas s’en apercevoir.
La partie pris fin et les deux animateurs les ont raccompagnés en bavardant jusqu'à nos transats. En me voyant, ils ont semblés déçut et l’un d’eux ne put s’empêcher de dire ; - Ha ! Vous êtes avec vos maris !

Estelle se mit à rire ; - Plus exactement, nous avons un mari pour deux.

Les deux garçons se sont regardés semblant ne pas comprendre.
Eliane se mit à rire à son tour ; - En fait comme mon amie est bonne fille, elle me le prête, comme cela, nous le partageons.

Je me suis mis à rire à mon tour devant l’aplomb des deux femmes.
Cherchant toujours la trace d’une plaisanterie, les deux garçons ont finis par se mettre à rire à leur tour.
Entrant dans leur jeu j’ai rajouté à mon tour ; - En les entraînant à votre jeu de ballon, vous m’avez permis de faire une petite sieste réparatrice, vous comprenez, avec deux femmes c’est beaucoup plus fatigant qu’avec une seule.

L’un des deux avait de la répartie ; - Vous savez monsieur, si vous le souhaitez, on peut vous aider !

Et tous nous repartîmes dans un éclat de rire général.
J’ai invité les deux garçons qui avaient terminés leur prestation sur la plage à venir prendre un verre au bar. Nous avons parlés tous les cinq de tout et de rien, de nos vacances de leur travail à l’hôtel et pour finir, je leur ai demandé s’ils pouvaient nous indiquer quelques bons restaurants ou nous pourrions manger du poisson.
Effectivement, ils nous en indiquèrent un en nous précisant qu’il était quelque peu difficile à trouver.
Qu’à cela ne tienne, s’ils avaient leur soirée libre, c’est avec plaisir qu’ils étaient invités à nous accompagner. Il fut convenu d’une heure où nous devions nous retrouver devant l’hôtel avec notre voiture de location.
A l'heure dite, nous voilà parti tous les cinq. Effectivement le guide fut utile mais nous ne fumes pas déçut, le cadre était magnifique, on nous installa sur des poufs autour d'une table basse circulaire dans une petite alcôve.
Les deux garçons côte à côte, une dame de chaque côté et moi entre elles. Pour commander le menu et les vins, nous fîmes confiances à nos deux accompagnateurs et là aussi ce fut parfait.
Le repas fut convivial, nous parlâmes d'une chose et d'autre mais la conversation revenait sur notre relation à trois. Au fur et à mesure que l'atmosphère se détendait les questions se faisaient plus précises, est ce que les deux amies faisaient l'amour entre elles, est que j'arrivais a les satisfaire a toutes les deux, est ce que j'avais besoins d'aide??
Eliane se leva pour aller aux toilettes, et son voisin se leva aussitôt se proposant de lui indiquer l'endroit. Ils revinrent au bout de quelques minutes, elle les joues un peu plus rouge qu'en partant et lui un peu gêné dans sa démarche et ils reprirent tout deux leur place.
Elle s'éclaffa; - Il m'a enlacé et je peux vous dire qu'il bande ferme. J'ai même mis ma main dans son pantalon et sa queue semble de belle taille.
- Moi je peux vous dire qu'elle ne porte pas de culotte et qu'elle est toute mouillée.
- Moi non plus je ne porte pas de culotte, dit Estelle en posant la main sur les cuisses de son voisin, et je peux vous dire que lui aussi il bande dans son pantalon.

Elle se met à le masser avec sa main; - Il y a l'air d'avoir une belle bitte là dessous aussi.

Le garçon, enhardi par nos sourires lui glisse une main sous sa robe; - He bien! Là-dessous aussi c'est tout mouillé.

Décidément, peut-être le vin aidant, ces femmes m'étonneront toujours.
La main du garçon était toujours sous la robe d'Eliane qui avait largement écarté les cuisses pour se laisser caresser, et elle continuait ses massages avec sa main sur le pantalon.
L'autre garçon avait lui aussi sa main qui fouillait l'entrecuisse d'Eliane et celle-ci avait carrément sorti la queue de son prétendant et la branlait discrètement.
Heureusement que nous étions à la fin du repas, je me suis levé pour régler cette excellente soirée et en revenant a notre table, je me suis dit qu'il était temps de partir avant que des clients ou des serveurs s'aperçoivent du manège.
Ils se sont tous réajustés pour sortir le plus dignement possible mais sitôt sur le parking, ils prirent chacun leur chacune et en profitèrent pour s'embrasser a pleine bouche, les mains des uns sous les jupes, les mains des autres dans les pantalons.
Arrivé à la voiture, je pris le volant, celui qui nous avait servi de guide pour l'aller s'installa à côté de moi, sa queue qui bandait sortait encore de sa bargette ouverte et son compagnon s'installa entre les deux dames à l'arrière.
- Vous voyez, on est sympa, comme on vous l'avez proposez on vous prête main-forte; et en se retournant, toi derrière n'en profite pas trop.

Un rapide coup d'œil dans le rétroviseur me permit de vois que ma femme était penchée sur le ventre du garçon et était en train de lui tailler une pipe pendant qu'Eliane le branlait. En roulant, je regardais de temps en temps dans le rétroviseur et je les voyais alterner leurs caresses, et le sucer à tour de rôle.
Nous sommes rapidement arrivés à destination et les garçons ont bien entendu proposé de nous raccompagner jusqu'à nos bungalows. Connaissant l'hôtel, nous sommes rentrés discrètement et avons gagné nos appartements au milieu du parc, ou plutôt notre appartement.
Aussitôt la porte refermée, les filles furent débarrassées de leurs robes en un tour de main et les garçons se retrouvèrent nus rapidement, leur sexes fièrement dressés. Ils étaient tellement excités qu'ils jouirent rapidement dans la bouche de l'une et de l'autre. Celui qui jouit le premier était celui qui avait déjà profité des largesses de ces dames. Il tenait la tête d'Eliane à deux mains et il allait et venait dans d'amples coups de reins, se servant de la bouche comme d'un vagin. Il jouit avec de petits soubresauts, le ventre collé contre son visage. Elle déglutissait au fur et à mesure de chaque décharge ne pouvant faire autrement que tout avaler. Malgré tout, elle reçut les dernières giclées sur son visage. De son coté, Estelle avait le bout de la queue de l'autre garçon dans la bouche et le branlait à toute vitesse, tant et si bien que lui aussi joui à son tour. Elle se délecta de voir les longs jets de spermes atterrir sur son visage et couler entre ses seins. Après quelques instants, ils reprirent chacun leurs esprits et elles passèrent toute les deux par la case salle de bain. A leur retour les garçons avaient à peine débandés pour leur plus grande satisfaction.
Ils se retrouvèrent ensuite tous les quatre sur le grand lit et se fut le début d'une partie de jambes en l'air mémorable. La queue de l'un dans la bouche de l'une, la bouche de l'autre collée contre une chatte. Ils changeaient de position et de partenaires aux grés de leurs envies. Je m'étais mis à l'aise dans un fauteuil, ne pouvant m'empêcher de me branler en profitant du spectacle. Les filles se sont retrouvées en position de soixante-neuf, Eliane sur le dessus une queue qui lui labourait la chate et une autre qui allait et venait dans sa bouche. Elles ont inversé leur position et ce fut bientôt Estelle qui se retrouva prise entre deux bites.

Ce manège dura longtemps, les garçons étaient endurants et les filles jouirent plusieurs fois chacune. Pour finir, elles se retrouvèrent toutes les deux à genoux cote à cote prisent en levrette une fois par l'un une fois par l'autre. Les deux males allaient et venaient de plus en plus vite dans d'amples coups de reins. N'y tenant plus, je me suis levé et approché et j'ai joui en me branlant entre elles et en jouissant contre leur visage, les aspergeant tour à tour. Elles se sont regardées et se sont embrassées à pleine bouche pendant que je finissais de décharger. Les garçons ont jouis à leur tour, leur ventre bien callé contre les fesses des deux femmes chacun y allant de leur soupirs. Tout cela déclencha encore deux orgasmes féminins.
Ce fut le signe du départ, les garçons se sont rhabillés et après avoir embrassées Eliane et Estelle, ils se sont éclipsés discrètement.
Le reste de la nuit fut bienvenu pour un repos bien mérité.
Au matin, je me suis réveillé fort tard seul dans le lit.
Après un petit déjeuner en solitaire, j'ai rejoint la plage ou déjà elles profitaient du soleil. Dans l'après-midi nos deux compagnons de la veille, sont venus les chercher, sans familiarités particulières, pour participer à des exercices avec d'autres vacanciers.
Nous les avons retrouvés tous les deux en fin de journée au bar de la plage après leur service. Comme la veille, nous avons discutés autour d'un verre et le soir arrivant, ils ont demandé à leur collègue du bar, un grand black que tout le monde surnommé Jef, si il pouvait nous faire à manger. En principe le soir, il n'y avait pas de service au bar de la plage, mais pour ses collègues, il était prêt à s'arranger avec le règlement.
Nous nous sommes retrouvés seul tous las quatre avec notre cuisinier serveur et nous l'avons invité à manger avec nous, c'était la moindre des choses.
Le repas et le vin bien frais aidant, l'atmosphère s'est rapidement détendue. La teneur de nos discussions et les différentes allusions à la soirée de la veille retenait l'attention de Jef qui, de temps en temps se penchait vers son voisin et certainement lui posait des questions à l'oreille. Les deux filles commençaient à rire de tout et de rien, et avant que cela ne s'enflamme trop quelqu'un pouvait passer, j'ai proposé que nous rentrions.
Les deux garçons ont aussitôt proposés de nous raccompagner, ce que toutes les deux ont tôt fait d'accepter. Eliane rajouta même; - Pour remercier Jef de ce repas, ce serait bien sympathique qu'il nous accompagne aussi.

Décidément….
Bien entendu suite aux confidences faites au cours du repas, il s'est empressé d'accepter. La nuit était bien tombée et nous voilà parti tous les six, discrètement, vers notre bungalow.
Une fois à l'intérieur, comme la veille, Eliane et Estelle eurent tôt fait de se retrouver nues dans les bras des deux garçons et tous les quatre basculèrent sur le lit en se caressant. Pour ma part, je m'étais installé comme la veille, seul Jef était resté debout, ne sachant quelle contenance tenir. Il finit par se masser l'entrejambe d'une main en profitant du spectacle.
Je l'invitai à s'asseoir dans l'autre fauteuil ou à aller les rejoindre. Enhardis par ma sollicitation, il s'est rapidement déshabillé lui aussi. On évoque souvent la taille du sexe des blacks en fantasmant un peu, mais là… Les deux compères étaient plutôt bien montés, mais là, Jef exhibait une queue hors norme, un énorme mandrin noir à demi bandé qui battait jusqu'à mi cuisses. Les deux filles qui suivaient le déshabillage de Jef poussèrent à l'unisson un Ho!... de surprise.
Eliane la plus proche tendis la main, s'en empara et se mit doucement à le caresser. Elle dû le prendre à deux mains pour en faire le tour, lentement elle commença à le branler. Sous les regards de nous tous, elle approcha sa bouche, se mit à le lécher en essayant de l'introduire dans sa bouche pour le sucer. La bite était tellement grosse qu'elle réussit seulement à emboucher le gland. De son coté, il avait introduit plusieurs doigts entre ses jambes et il la massait lentement.
Rapidement, elle bascula sur le dos et l'attira sur elle. Sa bite était maintenant entièrement bandée et était encore plus impressionnante. Les deux garçons lui saisirent chacun une jambe et les ouvrirent au maximum dressées vers le plafond. Estelle se saisi de la queue et lentement la présenta à l'entrée de la chatte luisant de mouille de son amie. Lentement cet énorme pieu s'enfonça dans le ventre d'Eliane. Elle poussa un long feulement lorsqu'il fut totalement introduit. Je n'aurais jamais pensé qu'un tel engin puisse être entièrement avalé par cette chate, les grandes lèvres tendues tout autour. Il entama des vas et viens réguliers qui tiraient de grands soupirs à Eliane.
Excités par ce spectacle, les trois autres n'étaient pas en reste. Après les avoir sucés tour à tour, elle se faisait prendre par l'un tout en suçant l'autre et pour comparer la douceur des orifices visités disaient-ils, ils inversaient leur positons. Le premier a joui dans sa bouche, sur son visage, jusque dans ses cheveux et rapidement le second, a long jets dans sa chatte et sur son dos. De son coté, Eliane après avoir joui plusieurs fois, les doigts plantés dans les fesse de Jef lui imprimait des mouvements de plus en plus rapide jusqu'à ce que celui-ci ne puisse plus se retenir et jouisse à son tour. Avec de petits soubresauts des reins il déchargeait dans la chatte béante. Cela dura et lorsque il se dégagea, un long filet de sperme se mit à couler hors de la chate.
Toujours dans le fauteuil, fasciné par le spectacle, je m'étais mis à me masturber.
Ils reprirent rapidement leurs esprits et Estelle apostrophant Jef: - J'espère que ton engin fonctionne plusieurs fois de suite car moi aussi, je veux l'essayer.
Cela ne semblait pas poser de problème car il avait à peine débandé. Elle le poussa à s'allonger sur le dos et vint l'enjamber à califourchon. Elle saisit la queue d'une main et se laissa glisser dessus l'introduisant petit à petit. C'est elle qui imprima son rythme de vas a viens en poussant de grands gémissements.
Les deux garçons eux, s'occupaient d'Eliane, l'un lui suçait la chate et elle avait engouffré l'autre dans sa bouche. Bientôt, elle prit la même position qu'Estelle est se mis à chevaucher l'un des garçons. L'autre se présenta derrière elle, ce qui sembla la contrarier, il n'insista pas et alla rejoindre l'autre couple. Il passa ses mains sur la croupe tendue d'Estelle et insista dans la raie des fesses. Il s'attarda sur son petit trou, il se pencha pour l'embrasser et passer sa langue dessus. Ensuite, il introduisit un doigt, puis deux. Estelle se cambra davantage, et soutenue par Jef, elle ouvrit ses fesses à deux mains. Devant l'invitation, le garçon présenta sa queue contre son anus et lentement, il s'introduisit au plus profond, son ventre contre ses fesses.
Ma femme se faisait baiser par cette énorme queue noire et en même temps, une autre queue l'enculait à fond. Cette vision me fit jouir d'un seul coup et de longs jets de spermes atterrirent sur le plancher.
Excitée par la prestation d'Estelle, Eliane s'agitait de plus en plus vite en d'amples vas et viens et finit par jouir en s'effondrant sur le torse de son baiseur qui jouit à son tour.
Les trois autres arrivèrent eux aussi au bout de leur plaisir. Le premier se déversa au tréfonds de l'anus mais fut désarçonné par les coups de reins de Jef qui projetait Estelle dans tous les sens et les derniers jets de sperme atterrirent sur ses fesses. Elle s'effondra, terrassé par un ultime orgasme sur la poitrine de Jef qui n'en finissait pas de jouir dans la chate dégoulinante. Lorsqu'elle bascula sur le côté, il continua à décharger sur son ventre.
Ce fut la fin des réjouissances et nos trois amis nous quittèrent sans bruits. Après un passage à la salle d'eau nous nous sommes couchés et avons sombrés tous les trois dans un sommeil réparateur.
Nos jeunes amis nous avaient avertis qu'ils seraient fort occupés les deux soirées suivantes par des animations en fin de journées à l'hôtel, nous nous sommes donc organisés pour visiter la région.
Eliane avait entendu parler, l'année précédente, d'une oasis appartenant à des étrangers qui l'avait transformée en hôtel restaurant fréquenté par des occidentaux. Un lieu un peu particulier semble-t-il, offrant plus de liberté que le reste du pays compte tenue de la religion.
Dans le courant de la journée, nous nous y sommes arrêtés souhaitant réserver le diner du lendemain. L'ensemble était abrité derrière d’immenses haies arborées et nous avons dû parlementer avec un vigile pour pouvoir entrer avec notre voiture. Je suis donc allé me renseigner s'il été possible de retenir une table pour trois, il n'y avait pas de problème, toutefois, la charmante réceptionniste me précisa le caractère un peu particulier du lieu. Cela semblait correspondre à la description faite par Eliane.
Nous avons terminé notre journée au restaurant de l'hôtel et notre soirée tous les trois dans notre chambre.
Allongés sur le lit nous nous remémorions la soirée de la veille. Les filles étaient intarissables sur la taille et les performances de Jef. Je dois avouer que j'étais un peu vexé, mais on ne peut rien contre la nature. Eliane semblait particulièrement intéressée par un sujet et elle finit par poser la question à Estelle.
- Tu arrives à te faire prendre à la fois par devant et par derrière, comme j'ai pu le voir?
- Oui, et c'est très excitant.
- Et tu à l'habitude par derrière?
- Tu n'as jamais essayé?
- Non, j'aimerais bien essayer mais…Hier au soir, les garçons ont bien tentés, je n'ai pas voulue.
- Mais, il faut rapidement remédier à cela!
- Oui avec vous deux je veux bien essayer de me ….
- Et bien fini ta phrase, ose dire ce que tu veux!
- Avec vous deux, je veux bien essayer de me faire…enculer.

Estelle se pencha et l'embrassa langoureusement.
Eliane se coucha sur le dos et Estelle en lui ouvrant les jambes entrepris de lui embrasser sa chate. Elle faisait aller et venir sa langue dans la fente et descendit lentement vers son anus sur lequel elle s'attarda longuement. Sa langue allait et venait, pontait sue le petit trou écarquillé en essayant de le pénétrer. Elle introduisit précautionneusement un doigt, puis deux en imprimant un doux vas et viens. Intéressé par leur caresse, je ne les quittais pas des yeux et rapidement je commençais à bander. Estelle se saisit de ma queue avec son autre main et se mit à la masturber. Satisfaite du résultat, tant du côté d'Eliane que du mien et me tenant toujours à pleine main elle me positionna entre les jambes d'Estelle ouvertes au maximum et pointa mon gland sur son anus luisant de salive. Me lâchant, elle salivât dans sa main et se remis aussitôt à me branler. Lentement, j'ai fait pénétrer ma bite qui fut bientôt avalée sur toute sa longueur quand mon ventre vint buter sur ses fesses. Je coulissais lentement dans l'étroit fourreau et Eliane tenait ses yeux fermés en respirait bruyamment.
- Voilà qui est fait! dit Estelle, tu n'es plus pucelle d'aucun trou, bienvenue au club. Plutôt que de garder les yeux fermés, regarde comme c'est beau cette bite qui t'encule profond.

Eliane releva sa tête pour voir la queue qui la prenait et qui lentement entrait et sortait de son derrière.

Elle agrippa mes fesses à deux mains et imprima elle-même mes coups de reins. Estelle passa sa main entre nous deux et se mit à lui caresser le clitoris avec des mouvements de plus en plus rapide. Eliane se tendant comme un arc ne tarda pas à jouir et ne pouvant me retenir plus longtemps, j'ai joui longuement moi aussi mon vente collé contre ses fesses.
- Alors?
- En reprenant ses esprit Eliane répondit; c'est un autre plaisir mais c'était très bon, merci à tous les deux!
- Et tu verras, en levrette, le cul bien cambré, c'est encore meilleur, tu sens bien la queue qui te fouille encore plus profond. Mais ce n'est pas tout, vous en avez bien profité tous les deux, à moi maintenant. Tu me dois bien de me faire jouir avec ta langue.

Aussitôt dis aussitôt fait, Eliane s'agenouilla entre les jambes ouverte d'Estelle et se mit à lui lécher la chate et lui sucer le clitoris. Elle devait être déjà bien excitée car elle jouit bruyamment presque aussitôt.
La nuit qui suivit, plus longue que d'habitude nous permis de rattraper des heures de sommeil que nous avions en retard.
La journée suivante nous continuâmes nos excursions et visites dans la région de manière à nous retrouver en fin de journée proche de l'oasis pour le diner. Avant d'arriver, nous nous sommes arrêtés en pleine nature afin de nous changer. J'ai troqué mon bermuda et mon tee shirt contre un pantalon et une chemise en lin, pour ces dames ce fut plus simples, nu dessous, elles n'ont fait que changer de robe.
Une fois arrivé, après avoir présenté notre carton de réservation au vigile, nous avons été accueillis par une charmante jeune dame qui nous a conduits à la salle de restaurant dont un certain nombre de table était déjà occupées. La salle n'était pas très grande, les tables éclairées par des bougeoirs étaient dressées avec beaucoup de gout. Une légère lumière éclairait les angles de la pièce et une douce musique complétait l'impression d'intimité. Elle nous a installés à une table à proximité d'une déjà occupée par deux couples qui nous ont saluées à notre arrivée. La cuisine était excellente, les vins et le service de grande qualité. Au cours du repas, nous avons eu l'impression que notre table intriguait nos quatre voisins, peut-être, le nombre impair de convives autour de la nôtre, quelques regards et quelques sourires furent échangés.
En fin de repas, l'un des deux hommes s'approcha et nous proposa; - C'est l'anniversaire de mon épouse ce soir, et cela nous ferai plaisir que vous vous joignez a nous pour l'aider à souffler ses bougies.

Nous nous sommes concerté du regard, ce fut Estelle qui répondit; - Votre invitation est sympathique, c'est avec plaisir.

Nous nous sommes installés autour de leur table et nous nous sommes présentés tour à tour. Un des couples vivait à l'année dans le pays et leur couple d'amis leur rendait visite régulièrement. A chacune de leur venue, ils venaient passer avec beaucoup de plaisir une soirée à l'oasis. Du champagne et un gâteau sont arrivés avec bien entendu les traditionnelles bougies dont nous tairons le nombre. Après les avoir soufflés, Chantal, la dame dont c'était l'anniversaire, posa la question, nous les avions bien intrigués en étant trois et qui plus est, deux femmes pour un seul homme.
- Habituellement une dame est souvent accompagnée par son maris et son amant mais rarement le contraire.

Estelle leur a rapidement raconté les circonstances de notre récente rencontre ce qui a suscité un regain d'intérêt de nos hôtes.
Le mari de Chantal repris; - Vous ne pouviez pas mieux tomber pour passer cette soirée, c'est un endroit extraordinaire. J'ai retenus pour tout à l'heure un petit salon pour un spectacle de danse orientale un peu particulier et je vous invite à vous joindre à nous.

Il nous en ensuite parlé de cet oasis qu'ils semblaient bien connaître. Les occidentaux résidant ou en vacance trouvés ici un espace de liberté que l'on ne trouve nulle part ailleurs dans le pays. Le restartant était le lieu central et tous autour, était disposé des alcôves plus ou moins importante avec chacune un thème différent et les couple pouvaient s'y retrouver seul ou a plusieurs pour réaliser leurs fantasmes. Il y avait entre autre la tente berbère bien entendu, la jungle, la pièce des miroirs, le bateau, pour les adeptes du SM, une pièce équipée d'une cage, d'une croix de saint andré et des chaines qui vont avec et le salon des spectacles avec une petite scène. Il y avait aussi un grand jacuzzi, un hammam et une petite piscine intérieure.
Le moment venus nous nous sommes déplacés vers le fameux salon. Il comportait effectivement une scène et tout autour étaient disposés de confortables sofas. Nous nous sommes installés, la lumière s'est tamisée avec en sourdine une musique orientale. Le rideau s'est levé laissant apparaître une danseuse orientale drapée dans un déshabillé blanc entourée de deux magnifiques black en tenue de mameluk chacun la tannant par une main. Ils lui quittèrent le déshabillé et elle apparut dans sa tenue de danseuse du ventre. Elle commença à danser lascivement en ondulant des hanches et du bassin. Les deux garçons se sont approchés, lui ont dégrafé son soutiens gorges, suivi par le bas de sa tenue et elle a continué à danser seulement vêtu de son string à paillètes dorées.

Ses seins lourds se balançaient au rythme de la musique. Les deux garçons toujours proches avaient entrepris de la caressaient avec leurs mains. Elle entreprit de son coté de défaire simultanément les boutons de leur chemise qu'elle réussit à leur quitter. Tout en continuant à danser elle tira un lien sur leur pantalon qui eut pour effet de les dégrafer et ils tombèrent à leurs pieds. Les deux garçons se retrouvèrent à leur tour avec un petit string qui voilait leur sexe avec peine. C'était deux beaux athlètes, leurs muscles étaient saillants et ils en jouaient sous la lumière.
Les yeux de ces dames étaient de plus en plus brillants et je crois que toutes poussèrent un énorme soupir lorsqu'ils se sont débarrassés de leur dernier vêtement. Un soupir énorme comme leur deux sexes qui se balançaient jusque au milieu de leur cuisse au rythme de la musique. Elle en prit un dans chaque main et se mit à les caresser lentement. Il ne fallut que quelques vas et viens pour qu'ils trouvent toute leur vigueur et se dressent fièrement. De leur cotés ils continuaient à la caresser, lui pétrissant les seins, lui pinçant délicatement les mamelons. Les mains trainaient aussi sur les fesses et entre ses jambes qu'elle fléchissait pour faciliter les caresses.
Ce spectacle semblait ne laisser personne indifférent, pour ma part, je commençais à me trouver à l'étroit dans mon pantalon de lin. En regardant autour de moi, j'aperçus une des dames qui masturbait la queue de son mari sorti du pantalon pendant que celui-ci fouillait sous sa robe. Eliane et Estelle elles, s'embrassaient à pleine bouche en se caressant mutuellement. Chantal se faisait du bien toute seule de même que son mari qui lui se massait au travers de son pantalon. Rapidement il incita son épouse à rejoindre le trio sur scène ce qu'elle fit aussitôt. Elle prit un garçon en main, surtout sa queue, et elle l'embrassa sur la bouche en le masturbant lentement. Elle fit signe a son amie de venir la rejoindre et aussitôt sur la scène, elle s'occupa de l'autre garçon. C'était très excitant de voir ces deux femme blanche, blonde et menue dans les bras des deux colosses noir.
Les deux hommes sans pour autant perdre des yeux leurs épouses respectives sur scène se sont rapprochées d'Eliane et d'Estelle intéressés aussi par leurs jeux saphiques auxquels ils se sont mêlés.
J'étais seul sur mon sofa, mais pas pour longtemps. Les deux males étant dans de bonne main sur scène, la danseuse est venue vers moi, s'est agenouillée entre mes jambes et a commencé à me caresser. Lentement, au travers du tissu tout d'abord, elle l'a ensuite dégrafé et passé sa main à l'intérieur. Le massage était très efficace et j'ai rapidement été à l'étroit. Elle a dégagé ma queue et a continué, tour à tour à me caresser lentement ou à me branler plus énergiquement. Elle a fini par me débarrasser de mon pantalon et m'a pris dans sa bouche. Quelle pipe! Jamais comme cela. Elle était vraiment experte, faisant monter mon plaisir pour ralentir aussitôt et le prolonger. J'ai été prés de jouir plusieurs fois mais elle savait à merveille faire tomber la tension et la relancer aussitôt.
De leurs côtés, mon épouse et notre amie se partageaient les deux hommes, l'une les suçant tour à tours pendant que l'autre, les cuisses ouverte se faisait lécher puis prendre par l'un puis par l'autre. Elles inversaient fréquemment leur positions, c'était tantôt l'une qui suçait, tantôt l'autre qui se faisait baiser qui de l'une en levrette, qui de l'autre sur le dos, les jambes dressées ouvertes à l'équerre.
Sur la scène aussi, ces dames y mettaient tout leur cœur, chacune s'occupant tour à tour de l'un des deux blacks montés comme des ânes. Chantal finit par chevaucher le siens avec un énorme soupir d'aise pendant que son amie Lucie profitant de la vue, branlait le second d'une main et elle de l'autre. Le maintenant par sa queue bandée, elle s'approcha de la croupe de Chantal et lui caressa la raie des fesses avec le gland. Le chevauché retira sa bite de la chate et laissa sa place a son camarade qui l'enfila aussitôt. Lucie, l'amie de Chantal en profita pour lui enfiler un, puis deux, puis trois doigts dans le petit trou et elle gémie de plus belle. Après quelques vas et viens, la queue luisante de mouille, il se retira à son tour et laissa à nouveau la place qui aussitôt fut investie. Elle reprit ensuite la bite en main et la pointa sur l'anus de Chantal qui pour signifier son accord pour ce qui allait lui arriver, écarta en grand ses fesse a deux mains en se cambrant au maximum. La queue s'introduit peu à peu, le gland d'abord qui disparut avalé par l'œillet plissé, la colonne, suivi ensuite jusqu'à coller son ventre contre les fesses. Les gémissements ont redoublés sous la poussée des deux énormes queues noires, elle était prise en sandwich entre les deux males, baisée et enculée à la fois.
La tête soutenue par Lucie, elles s'embrassaient à pleine bouche. Rapidement, les gémissements ont montés crescendo et Chantal s'est mise à jouir sans retenue, ballotée entre les coups de boutoirs de plus en plus rapides. Les deux garçons ont finis par jouir à leur tour, se déversant dans les orifices distendus. Ils reprirent leurs esprits et se dégagèrent, ils avaient à peine débandés. Chantal, de son coté, encore dans les vapeurs de son orgasme était comme une poupée de chiffon.
Les deux autres couples, après un temps d'arrêt, subjugués par la double pénétration, avaient repris leurs ébats, quant à moi, j'étais toujours dans la bouche experte de ma suceuse.
Lucie, subissait à son tour les assauts des deux blacks. Certainement prudente, par rapport à la taille de leurs engins, elle les recevait allongée sur le dos. L'un avait pénétré sa chate et la baisait d'un vas et viens régulier, l'autre se faisait sucer. Cela dura un certain temps et ils avaient échangés plusieurs fois leurs positions avant de faire jouir Lucie et à nouveau de jouir à leur tour. De voir les longs jets de sperme inonder son visage fut certainement le déclencheur des orgasmes d'Estelle et d'Eliane qui a leur tour furent aspergées par nos deux hottes. Quant à moi, ma suceuse me libéra enfin et je déchargeais longuement sur sa bouche, le sperme coulant en long filets, sur son menton et sur ces seins.
Après un passage rapide dans le jacuzzi, nous avons pris congé pour prendre le chemin du retour. Cela sembla un peu long à nous trois et s'est avec soulagement que nous retrouvâmes notre lit pour sombrer aussitôt dans un sommeil de plomb.

Le lendemain, j'avais prévus une excursion pour toute la nuit avec départ en fin de journée et retour au petit matin. C'était un bivouac dans le désert afin de voir le lever du soleil sur les dunes. Ces dames ont choisi de rester à l'hôtel, il fallait passer la nuit sans confort et se lever bien trop tôt. Je les ai confiées à nos deux plagistes qui ont aussitôt promis la main sur le cœur qu'avec eux elles étaient dans de bonnes mains. J'ai bien aimé leur second degré et je leur ai dit en souriant que j'avais confiance. J'ai rejoint le petit groupe pour le départ après s'être promis de chacun se raconter sa soirée.
A mon retour au petit matin, elles étaient toutes les deux endormies, je me suis allongé sur le sofa et je me suis endormi à mon tour. Ce sont elles qui m'ont réveillé en me disant que le petit déjeuner était passé et qu'il était temps de penser à aller déjeuner. A table, j'ai commencé à raconter mon excursion avec le dépaysement de coucher à la belle étoile et la magie du lever du soleil sur les dunes.
A leur tour, elles m'ont raconté leur soirée. Les deux plagistes leur ont proposés de les accompagner à une petite fête organisée pour le départ d'un jeune barman qui avait réussi son concours d'entrée à l'université locale.
- En confiance, nous les avons suivi, m'ont-elles dit, la soirée étant organisé dans le bâtiment ou étaient logés les hommes. Il y avait effectivement derrière l'hôtel un bâtiment qui leur était réservé, un bâtiment ou étaient logés les femmes et au milieu un bâtiment plus petit pour les cadres et la direction. Celle-ci interdisant aux uns d'entrer dans les logements des autres. Nous avons visité leur chambre, elles étaient semblables à des chambres d'étudiants chez nous, ils avaient une salle commune pour la toilette et une salle de repos ou était organisé la soirée. Nous avons reconnus le jeune garçon sur le départ, il officiait avec zèle au bar de l'hôtel.
- Mes collègues m'avaient prévenu de votre possible venu et je suis ravis que vous soyez là, c'est exceptionnel que de jolies femmes soient ici.
- Il y avait de la musique, une grande table basse avec plateaux de victuailles et ils nous ont offert un cocktail de leur composition a base d'alcool de figue, de plantes et de jus de fruit frais qui était très agréable à boire. La petite salle s'est rapidement remplie et après quelques verres, l'ambiance s'est détendue.
- Je vous ai servi plusieurs fois au bar et de belles femmes comme vous, nous font rapidement fantasmer.
- Il y a tellement de jeunes femmes de votre âge dans l'hôtel que c'est curieux de fantasmer sur nous qui sommes plus âgés.
- Les femmes comme vous sont beaucoup plus sympathiques avec nous et certaine fois plus facile à aborder. Alors de vous avoir là c'est encore plus excitant.
- Eliane lui a alors demandé; C'est excitant comment? Il l'a regardé droit dans les yeux, lui a pris la main et l'a posée sur son pantalon au-dessous de sa taille. Mais c'est vrais qu'il bande, ne laisse pas ta queue à l'étroit. Il entrouvrit le tissu et un membre de belle taille jailli aussitôt. Elle le repris en main et commença à le masturber lentement. Un des plagistes se tenait derrière moi et commença à me pétrir les seins à pleine main au travers de ma robe. Rapidement celle-ci passa par-dessus ma tête et je me retrouvais nue au milieu de tous ces hommes. Je vis qu'il en était de même pour Eliane, sa robe avait était enlevée et à genoux elle suçait le jeune homme. J'ai été rapidement allongée sur un grand pouf et mon peloteur s'est rapidement introduit dans ma chate. Il devait être bien excité, car il jouit rapidement. Un autre garçon a pris sa place et un autre ensuite. Je la regardais en même temps et Eliane se faisait baiser en levrette pendant qu'elle suçait toujours le garçon. Dans ta chate aussi ils se remplaçaient après avoir déchargés. La plupart ne devaient pas avoir baissé depuis longtemps car ils jouissaient rapidement. A tu compté combien se sont remplacés dans ta chatte?
- Je n'avais pas la tête à cela! Je me demande bien quel genre d'herbe ils avaient rajouté dans leur cocktail, j'avais tendance à planer.
- Moi aussi, j'avais la tête dans les étoiles. J'ai commencé à compter au début, cela m'excitait de me dire que je me faisais baiser à la chaine et cela m'a fait jouir une première fois. Ensuite, j'ai un peu plané moi aussi, les bites se succédaient dans ma chate, dans ma bouche, je sentais parois de giclées de sperme sur mes seins, sur ma figure.
- Pour ma part, ma position en levrette les fesse en l'air, en a incité un à essayer de pénétrer mon petit trou. Mes fesses étaient tellement barbouillées de mouille et de sperme que sans coup férir il m'a enculé à fond. J'aurais bien voulu que cela s'arrête là mais j'étais maintenue dans la position et plusieurs se sont succédé au fond de mon anus. Il commençait à être un peu endolori lorsque j'ai réussi à me dégager et à me tourner sur le dos. Ma bouche n'avait pas été en reste, j'avais aussi du sperme qui coulait sur mes joues et mon menton. Aussitôt retourné, ils ont continués les uns après les autres en pilonnant ma chate.
- Je pense que chacun d'entre eux nous a baissé plusieurs fois, pendant un moment cela n'arrêtai pas. Au bout d'un moment repus, les hommes commencèrent à s'éclipser. Ils n'étaient bientôt plus que cinq ou six à passer d'un chate à l'autre, d'une bouche à l'autre. Ils déchargèrent les uns après les autres et bientôt nous nous sommes retrouvées couverte de sperme seule avec le jeune garçon. Il nous aida à trouver la salle de douche et nous avons remis nos robes toutes chiffonnées. Nous étions déjà bien au milieu de la nuit et il proposa de nous raccompagner jusqu'à notre chambre.
Il entra avec nous, nous remercia pour cette mémorable soirée qui, nous dit-il, le faisait bander à nouveau rien que d'y penser. Il qu'émenda une dernière gâterie et c'est à genoux que nous l'avons sucée toute les deux. Il a fait durer son plaisir un moment et a fini par jouir une fois de plus. Nous sommes repassés sous la douche puis nous nous sommes couchées et endormies aussitôt, nous ne t'avons pas entendu rentrer.
- Mais qu'est-ce que tu à?

Leur récit m'avait excité, je bandais depuis un moment et j'ai fini par décharger dans mon caleçon.
- Et bien mon cochon, il ne te reste plus qu'à aller te changer.

De retour dans nos chambres, nous avons terminés nos valises et avons le soir même pris le chemin du retour.

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