Vacances en Tunisie - histoire érotique

Cela date de quelques années où ni les attentats ni la Covid emmerdaient le monde !
Nous étions trentenaires, avec notre fils (6 ans) nous sommes partis à Djerba, bel hôtel, piscine et plage à proximité. Ma femme n’est pas un canon de beauté, elle est dans la moyenne avec ce qu’il faut où il faut !
Le moins que l’on puisse dire et constater en Tunisie, c’est que les locaux ne sont pas gênés d’accoster et draguer toutes femmes même accompagnées !
C’est ce qui nous ai arrivé durant notre séjour, juste une huitaine mais dès le premier jour tout était bon pour aborder une éventuelle proie… je pense qu’ils sentent celles qui pourraient capituler.
Pendant les vacances, à l’inverse d’autres personnes, je ne m’occupe pas spécialement de mon épouse, la chambre commune avec notre fils ne facilitant pas les rapprochements.
J’avais repéré un homme de l’accueil, environ la quarantaine, très typé, qui était toujours très prévenant envers ma femme, toujours un sourire, un petit contact physique, un mot gentil, je lui en avais fait la remarque et sa réponse était : ils ont d’autres femmes seules où plus belles que moi à s’occuper ! n’empêche qu’il lui faisait une cour pas des plus discrètes et je surveillais de loin leurs échanges. Je voyais bien qu’elle n’était pas totalement indifférente à cette drague et elle s’arrangeait pour maintenir un échange courtois avec lui.
C’est la veille de notre retour que j’ai senti une différence dans le comportement de ma femme, nous étions à la piscine vers 16 heures après la sieste du petit, elle me dit : je retourne au bungalow, j’ai oublié le goûter du petit, d’ailleurs je ne sais pas si j’ai encore des biscuits, faut peut-être que je passe par le buffet du restaurant. J’ai de suite compris son besoin de se soustraire à nous un moment.
C’est vers 16h45 qu’elle est réapparue ! je l’ai regardé et elle a eu un moment de gène.
La suite elle me l’a raconté à notre retour, mais j’avais pu constater dès notre retour dans la chambre avant d’aller manger que le lit avait été témoin d’une joute physique !
Je n’ai rien dit, quelques jours après notre retour alors que nous étions dans notre lit, je lui ai demandé des explications.
Sachant que nous allions repartir, le type de l’accueil lui avait demandé de se libérer un court moment dans l’après-midi, elle lui avait dit que cela serait difficile mais qu’elle essayerait. Le charme discret de ce quadra l’avait émoustillé…Pour rejoindre notre chambre, elle est passée par le hall et lui a fait un signe, il lui a emboité le pas et ils se sont retrouvés dans notre bungalow. N’ayant sur elle que son maillot deux pièces elle se retrouva nue et en travers du lit. Il se déshabilla aussi rapidement, son sexe était bandé. Sans préliminaires, il s’installa entre ses cuisses, elle était consentante et n’attendait qu’une chose, que ce membre dont elle était privée depuis notre arrivée pénètre sa chatte. L’interdiction, l’exotisme, le fait que depuis plusieurs jours il lui faisait la cour, l’attention qu’il lui portait, les mots qu’il employait et quelques attouchements l’avait bien excitée. Il s’est couché sur elle et elle empoigna ce membre et le dirigea à l’entrée de son nid d’amour, elle frotta le gland sur son clitoris quelques instants face à cet envahisseur de chair qui d’un coup de rein puissant s’introduit au plus profond de son être. Elle poussa un petit feulement lors de cet investissement. Ils n’avaient pas beaucoup de temps pour eux mais l’essentiel autant pour l’un que pour l’autre était de prendre du plaisir.
Cette joute dura une petite demi-heure où il la fit se mettre à genou pour la prendre en levrette avant de la repositionner sur le dos et de la saillir sauvagement, elle évitait d’être trop sonore pour les voisins de chambre, il essaya de la sodomiser mais elle refusa.
Il l’a amené de son propre aveu à plusieurs orgasmes et quand il voulut se retirer elle le bloqua avec ses jambes pour qu’il se vide dans ce ventre bienveillant ! Il s’est rajusté et a filé avant que quelqu’un ne puisse le surprendre. Elle n’a pas pris le temps de faire disparaître les traces de son forfait et c’est le fond de son bas de maillot maculé du sperme de son amant qu’elle me rejoignit à la piscine avec certes un paréo autour de la taille.
Je pensais qu’elle en avait fini mais elle me dit : j’ai autre chose à t’avouer… Le même soir, tu es parti coucher le petit et j’ai prétexté de discuter avec ce couple dont nous avions échangé durant le séjour ! en fait rapidement je suis retourné à l’accueil, il m’attendait. Quand je t’ai dit qu’il avait voulu me sodomiser et que j’avais refusé, il était déçu ! Je lui avais dit que je ferai mon possible pour le voir après le repas. Il m’a emmené au cabanon de la piscine, nous étions seuls, il m’a appuyé face contre la cloison, a retroussé ma robe, tu ne l’avais pas vu mais pour aller manger je n’avais pas de culotte, j’ai écarté mes cuisses, il a sorti son membre, il m’a d’abord prise par devant, j’aurai voulu qu’il s’en contente j’appréciai sa queue en moi, puis il a humecté mon petit trou, avec ses doigts il m’a dilaté le muscle, quand il a constaté que j’étais prête il a pointé son gland sur mon œillet et j’ai poussé pour qu’il me pénètre. J’ai eu un peu mal mais très rapidement j’ai ressenti du bien être en moi, il m’a pilonné un bon moment, il m’a masturbé durant notre joute et quand j’ai senti son sperme gicler en moi j’ai eu un orgasme phénoménal. Après avoir repris nos esprits, il m’a conduite sur la plage, nous étions seuls, je sentais son plaisir coulait le long de mes cuisses, il m’a demandé de retrousser ma robe et de marcher ainsi.
Ensuite nous nous sommes assis sur le sable, rapidement je me suis retrouvée allongé, il s’est couché sur moi son sexe avait repris de la vigueur, j’ai écarté les cuisses et il m’a à nouveau pénétré, comme il venait de jouir il me baisa plus longuement, une fois de plus j’ai apprécié de le sentir palpiter en moi, j’aurai aimé passer la nuit dans ses bras.
L’heure tournait, je lui ai dit que tu allais te poser et me poser des questions, il amplifia le mouvement de son membre dans mon ventre, je l’ai senti grossir en moi, nous avons joui ensemble, il est resté en moi quelques minutes et me demanda une dernière faveur, je n’ai pas pu lui refuser, mais je ne voulais pas sur la plage.
Il me raccompagna jusqu’au bungalow, nous nous sommes mis à l’abri dans les haies, je me suis agenouillée, il a sorti son sexe et je l’ai sucé, il a éjaculé dans ma bouche, comme il le souhaitait j’ai avalé son nectar, nous nous sommes embrassés une dernière fois et je suis rentrée, tu dormais, j’ai failli retourner à l’accueil !
En fait, je ne dormais pas lui dis-je !
Je t’ai regardé dans la salle de bain. Quand tu as retiré ta robe, j’ai bien vu que tu n’avais pas où plus de culotte, ensuite tu as essayé sans bruit de faire disparaître toutes traces de ta conduite, puis tu t’es couchée à mes côtés, je faisais toujours semblant de dormir et pourtant j’aurai voulu moi aussi te prendre.
Je me doutais de comment tu avais occupé ton après-midi et je savais que ton envie de rester dans les salons de l’hôtel n’avait pour but que de te retrouver avec cet homme, j’ai même pensé un moment que cela n’avait pas matché quelques heures plus tôt, mais en fait tu en as bien profité !
Suite à ces vacances et ses aveux, nous sommes devenus candauliste, moi surtout, elle me raconte ses extras à caractères sexuels et nous ne sommes pas retournés en Tunisie.