Vacances tendrement gays - histoire érotique

Je m’appelle Alexandre, brun, yeux marrons, mince, de taille moyenne, un peu « the boy
next door ». Nous avions tout juste 16 ans quand Antoine, un ami d’enfance m’invita
une semaine chez ses grands parents afin d’y passer une partie des vacances d’été.
Antoine est chatain aux yeux bleus de même gabarit que moi et, comme moi, il est
plutôt du genre pudique et réservé. Même si nous n’avions pas l’habitude de parler de
sexe, c’est avec lui qu’à 11 ans j’ai commencé à parler masturbation mais nous
n’avions aucun contact physique en dehors de la vue offerte par le vestiaire de la
piscine municipale.

Au programme de cette semaine de vacances : bronzette, vélo mais aussi farniente. Au
deuxième jour, nous nous sommes levés tôt pour profiter des températures matinales
plus clémentes afin de partir à vélo à travers la campagne. Nous sommes rentrés
fatigués vers midi, la maison était vide, ses grands parents étaient invités pour le
midi jusqu’en fin d’après midi alors on a composé un repas rapide pour récupérer, et,
une fois la vaisselle lavée et rangée, il était alors plus que temps d’éliminer la
transpiration du matin.... direction la douche.

Alors que nous essayions de savoir qui irait à la douche en premier, Antoine proposa
finalement de prendre notre douche ensemble pour gagner du temps. Surpris, j’acceptais
néanmoins, pressé de me sentir frais et propre. La salle de bain était assez petite et
la baignoire semblait moins pratique pour une douche à deux.

- On a qu’a gardé nos sous vêtements !?, me dit Antoine d’un air un peu
interrogateur et pas vraiment convaincu.
- Euh, tu es sûr ?, répondis-je, va falloir les faire sécher après, laisse
tomber.

Antoine acquiesça et c’est ainsi que nous nous sommes retrouvés nus tous les deux dans
la douche. Antoine semblait troublé. Il était gêné et son regard avait du mal à se
détourner de mon anatomie et il faut avouer que je faisais de même avec curiosité. La
douche avançait et la queue d’Antoine, toute savonnée, laissait apparaître un début
d’érection. A cette vue, mon sexe grandit également d’excitation bien que je n’ai
jamais été attiré plus que ça par les garçons.

- Il fait chaud dans la douche ! dis-je alors pour briser un peu le silence que
la gêne d’Antoine avait installé.

Antoine grommela ne semblant plus si sûr de l’idée de la douche à deux. Je le
soupçonnais déjà d’être plutôt attiré par les garçons mais sans certitude et il se
dépêchait de finir sa douche autant par peur que par embarras.

La douche se terminait donc un peu rapidement et, une fois sec, je proposais d’aller
faire la sieste. Nos deux lits étaient dans la même pièce, petits lits individuels
douillets. Nous nous sommes couchés en sous vêtements, « l’incident » de la douche
semblant être passé. J’étais encore un peu excité et étonnamment cela ne me posait pas
de problème, j’avais envie de me caresser et de me faire jouir.

- Tu te masturbes encore souvent ? demandais-je alors à Antoine

Il ne répondit pas tout de suite

- Oui ça m’arrive, pourquoi ?
- Non pour savoir, en général je le fais tous les jours dans la douche ou des
fois dans mon lit et toi ?
- Dans la douche, répondit Antoine

Zut ! Je me suis dit qu'on aurait presque pu le faire ensemble dans la douche.

- Du coup, tu as pas pu le faire aujourd’hui alors, lui dis-je. Tu as le droit
d’aller te soulager tu sais, je m’en fiche, on est des mecs on tiendra pas la semaine.
- Je tiendrai le coup

J’enchaîne alors :

- Tu as déjà fait d’autres trucs sexuels toi à part te masturber ?
- Non jamais et toi ?
- Non plus... Si tu devais le faire avec une fille de la classe ce serait qui ?
demandais-je
- Aucune !

Ok ! ça c’est une réponse ! Pas très bavard, zut, tant pis.

- Tu as envie de te masturber là ? insistais-je un peu. (parce que moi j’ai
envie me disais-je dans ma tête)
- Non. Dors bien !

Bon, l’ambiance était un peu froide à ce moment là pensais-je. Je n’arrivais pas à
fermer l’oeil, ma main se baladait sur mon boxer et l’envie était trop forte mais
comment rester discret ? Alors que je réfléchissais à comment j’allais m’y prendre,
j’entendis de légers gémissements provenant du lit d’à côté. Pas de doute, le bougre
était en train de se caresser. Dans la semi-obscurité de la chambre, je voyais son
caleçon en bas du lit.

- C’est ton caleçon par terre ?
- Oui il me gênait

J’enlève vite mon boxer.

- Moi aussi je préfère dormir tout nu, lui dis-je

Il alluma alors la lampe de chevet, j’étais nu sur le lit, mes modestes 15 cm bien
tendus. Antoine me regardait sans bouger.

- Tu fais quoi ? lui demandais-je
- Rien
- Alors pourquoi je vois que le drap a une bosse ?

Pris d’une envie soudaine, je pris mon sexe dans la main et m’approcha du lit
d’Antoine. Il me laissait découvrir le drap petit à petit. Sa queue était à peine plus
longue que la mienne, son corps était magnifique, plutôt lisse avec des pecs mieux
dessinés. Sans un mot, sa main s’activait doucement sur son sexe fièrement dressé.

- Vas-y fais moi un peu de place

Je m’introduis dans son lit sans réfléchir, pris dans l’excitation du moment. Je
sentais son corps me frôler et je me suis rapproché. On gémissait tous les deux et
lorsque nos regards se sont croisés, ses lèvres on rejoint les miennes. Ce baiser n’a
duré qu’une seconde mais un frisson a parcouru mon corps. Le baiser suivant fut plus
long, le suivant aussi et nos langues ont commencé à s’emmêler, et nos baisers
continuèrent dans le cou. Ma main parcourait son torse, la sienne caressait mes
fesses. L'’excitation grandissait. Sa main frôla alors ma queue, un nouveau frisson me
parcourait, j’étais aux anges, je n’avais jamais ressenti une si grande excitation.
J'ai alors attrapé son sexe, lui le mien, et nos mains s'activaient désormais sur nos
sexes tendus qui se frôlaient parfois. Nous avons joui ensemble dans une explosion de
plaisir. J’ai senti mon sperme partir en grandes quantités et à vive allure et celui
d’Antoine termina sur mon ventre. Soulagés, fatigués et couverts de sperme, nous
étions pendant quelques minutes sur une autre planète.

- Wow, c’était trop bien ! m’écrais-je
- Tiens prends un mouchoir.

On s’essuya et nous nous sommes cette fois accordés une sieste méritée. La suite de la
journée passa sans que nous en reparlions. Je sentais Antoine encore embarrassé par ce
qui s’était passé et la suite de la journée fut assez bizarre. Étrangement, ce qui
s’était passé ne me posait aucun problème de conscience et pas de questionnement
particulier, je me sentais toujours plus attiré par les filles mais un garçon ne me
laissait pas indifférent : Antoine.

Heureusement le lendemain matin, tout semblait revenu à la normal mais alors que je
pensais cette histoire terminée, la nuit avait semble-t-il porté conseil à Antoine qui
avait d’autres idées en tête que d’oublier ce qui s’était passé. C'est ainsi que nous
avons repris nos vélos sur les petites routes de campagne. Antoine s'arrêta à l'entrée
d'un chemin.

- Viens, suis-moi on passe en mode vtt, je connais un coin sympa
- Ok je te suis.

Nous sommes arrivés rapidement à proximité d'un champ d'herbe verte et de fleurs. Nous
avons avancé un peu plus loin pour s'éloigner du chemin. L'endroit était calme et
paisible et nous avons pris le temps de pique-niquer. Et maintenant place au
farniente ! Nous nous sommes allongés sur les couvertures pour profiter du soleil.

- C'est pas comme ça que je vais bronzer, s'écria Antoine.

Il enlevait son tee-shirt.

- Tu as raison, j'ai pas envie d'avoir la marque des vêtements.

Antoine et moi étions maintenant allongés côte à côte en sous vêtements. Les souvenirs
de la veille commençaient à refaire surface et mon boxer me moulant parfaitement ne
cacherait pas une érection. Antoine était avec un de ses éternels caleçons fantaisies
et même si ce n'est pas amusant de ne pas deviner son sexe en dessous, ça a son
charme.

La main d'Antoine se posa sur ma cuisse et remontait vers mon entrejambe, son pied
caressait le mien. Mon sexe commençait à prendre forme alors que mon corps
frissonnait.

- Ca a l'air de te plaire, s'amusa Antoine.
- Ben ouais c'est agréable mais pourquoi tu fais ça ?
- Comme ça
- Tu sais, hier, c'était vraiment bon

Antoine sourit et sa main glissa sous mon boxer. Je me laissais pleinement aller à ses
caresses sous les doux rayons du soleil. Le fait d'être dehors décuplait mon plaisir.
Ma main chercha alors la queue d'Antoine et on se masturbait mutuellement. Je prenais
plaisir à sentir son gland sous mes doigts, à décalotter son sexe et le sentir glisser
dans ma main. Le plaisir était intense, on échangea un baiser puis ceux d'Antoine
descendait le long de mon corps, sa bouche frôla mon sexe. Antoine guettait ma
réaction, je caressais ses cheveux et il comprit que j'avais envie d'aller plus loin.
Antoine retira mon boxer et sa langue vint caresser mon sexe de bas en haut. Je me
tortillais dans tous les sens. Sa bouche englobait désormais mon sexe et je sentais
une douce chaleur humide envelopper ma queue. Je ne pouvais retenir des gémissements,
ça y est j'avais droit à ma première fellation mais jamais je n'aurais pensé que ce
serait avec un mec. Sa langue continuait à me caresser alors qu'il dévorait mon sexe,
il avait du attendre ce moment toute la matinée. Ses mains caressaient mon torse.

- Antoine, je vais jouir, tu vas me faire jouiiiir

Je n'en pouvais plus. Antoine pris mon sexe encore trempé de salive à pleine main et
je jouis dans un grand râle de plaisir.

- A mon tour

Je me précipitais comme un mort de faim vers son caleçon. Je voulais lui rendre la
pareil et la curiosité l'emportais. Je voulais savoir ce que cela faisait de sucer une
queue. Antoine se débarrassa de son caleçon. Son sexe était tendu et je savais que je
n'aurais pas beaucoup à faire pour le faire exploser de bonheur. Je l'imitais avec ma
langue, son sexe avait un petit goût salé mais pas désagréable et je sentais cette
chaleur masculine qui me faisait tourner la tête. Je gobais son sexe avec envie,
m'appliquant sur chaque mouvement, Antoine gémissait de plus en plus fort et je finis
par le faire jouir dans ma main.

Heureux par ce plaisir partagés, nous nous sommes lovés l'un contre l'autre plusieurs
heures avant de rentrer. Nous avons recommencés quelque fois après mais nous avons
arrêtés à la rentrée au lycée, il était temps de passer à autre chose et les années
passant nous n'avons pas gardé de contact. Même si je préfère toujours les filles et
que tout cela est actuellement terminé, je prends plaisir à repenser à tout cela et
j'ai vécu d'autres histoires bisexuelles par la suite.