Vacances très prométeuses
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Vacances très prométeuses
Bonjour,
Nous avons décidé de partir en vacances avec Laurence et Christophe.
La semaine précédent notre départ, ils sont venus chez nous pour discuter de l’organisation et des modalités de l’hébergement.
Laurence nous a expliqué, qu’ils allaient chez une femme divorcée près de la Palmyre sur la côte atlantique. Laurence nous a expliqué que cette femme partageait volontiers toutes les sensations qu’ils avaient envie de faire.
Je suis un peu surpris mais je comprends que Laurence et Christophe ont dû faire des parties à trois.
Je vous avoue que je m’attendais à rencontrer une personne d’une soixantaine d’année. Valérie demande à Laurence si elle a un penchant plutôt femme ou homme.
Laurence a rassuré Valérie, car Peggy est très ouverte à tout mais surtout au plaisir.
Laurence lui explique que Peggy aime tout et certaines choses qu’elle nous laissera découvrir.
Les vacances s’annoncent alors très bonnes.
Christophe me rappelle que je ne dois pas oublier mon ensemble kway, car il me propose une petite randonnée tous les deux ou tous les cinq peut être.
Je ne vous cache pas que l’homosexualité partagé avec Christophe en toute conscience, confiance et vue de ma femme.
Valérie et moi avons discuté de la nos expériences avec Laurence, Christophe et les autres amis.
Nous nous aimons, nous partageons et avons partagé beaucoup d’expériences dans la vie, mais je pense que si nous sommes toujours ensemble, c’est que nous vivons pour le plaisir de l’autre.
Enfin le jour venu de partir en vacances.
Nous passons chercher Laurence et Christophe pour prendre la route. Valérie propose à Christophe de monter devant avec moi.
Nous avons un monospace très confortable avec des vitre teintées à l’arrière.
Nous discutons et plaisantons sur un peu tout.
Christophe débute par me dire que je ne devais pas me tromper de levier de vitesse.
Valérie lui rétorque qu’il ne devait pas me perturber pour éviter tout accident. Je réponds qu’en cas d’excitation, le code de la route m’oblige à rester maître de mon véhicule et de mes capacités. Alors je serai dans l’obligation de m’arrêter.
Les filles rigolent et Laurence dit que dans ce cas nous aurions dû partir la veille.
Bon, je ne vais pas vous raconter la totalité du trajet dans ce chapitre mais je peux vous dire que Christophe m’a fait du bien comme Laurence en a fait à Valérie avec Christophe et moi aussi quand je ne conduisais pas. Enfin nous avons mis 12h00 pour faire 500km avec 4 arrêts.
Nous sommes arrivés à la Palmyre à 19h00.
La propriétaire n’était pas là, mais avait laissé les clés pour que nous puissions rentrer.
La maison est belle et bien décorée. Les 5 chambres sont aussi somptueuses que tout l’ensemble qui est aménagé avec gout. Christophe nous a fait découvrir les pièces une à une. Plusieurs portes sont fermées car c’est une réserve et une chambre que la propriétaire se réserve.
Fatigué par la route et nos ébats, nous sommes allés nous coucher.
Le matin je suis le premier à me lever.
J’arrive dans la cuisine en caleçon, comme d’habitude.
Je suis surpris de voir que le petit déjeuner est déjà près et que la table est mise avec les bols, les verres et les jus de fruits. C’est mieux que l’hôtel. Mais personnes dans la maison et hier soir je suis sûr que rien n’était près en allant me coucher.
Je retourne voir les chambres. Dans la nôtre, Valérie dort toujours, alors je passe près de celle de Laurence et Christophe et j’entends des gémissements.
Je ne suis pas très étonné mais ma curiosité m’ordonne d’ouvrir la porte pour regarder les ébats du couple.
Je croche la poignée de la porte, et j’entrebâille la porte.
Surprise, je pensais voir Christophe en train de s’occuper de Laurence mais l’image est totalement différente.
Une femme brune plus jeune que nous, elle doit avoir environ 45 ans, elle est avec une combinaison noire en vinyle, harnachée d’un gode ceinture et elle pénètre avec virilité le fondement de Christophe qui est à quatre pattes. Laurence est assise dans un fauteuil avec encore son imperméable en vinyle mais elle se masturbe avec un gode vibrant tout en se pelotant les seins.
Je n’en reviens pas et je regarde seulement dans l’entrebâillement de la porte.
La femme se mets à insulter Christophe et fait claquer son gode à fond. Il pousse un gémissement à chaque fois qu’elle arrive au fond. Laurence l’encourage et lui ordonne d’aller plus vite.
Les coups de reins sont de plus en plus rapides. Christophe demande d’arrêter, parce qu’il a le cul en feu. La femme arrête et se retire du cul de Christophe, pour laisser apparaitre l’anus ouvert et rougi.
Lorsqu’elle se retourne, elle me voit et se dirige vers la porte pour l’ouvrir complètement.
Elle me dit « Alors c’est toi François ! rentre et viens ça va être ton tour ».
C’est une belle femme brune qui est de taille moyenne et très énergique.
Depuis que j’ai entrebâillé la porte je bande super bien fort.
Elle porte une main directement sur mon sexe à travers le caleçon et le baisse.
Je ne la laisse pas faire et je le remonte.
Elle me dit « ah tu ne veux pas, j’aime ceux qui me résistent mais tu ne vas pas me résister longtemps ».
Devant Christophe et Laurence, je dis qu’il m’est impossible de faire quoi que ce soit sans que ma femme ne soit pas là.
Laurence se lève de son fauteuil, elle vient vers moi. Elle me dit de commencer à faire la connaissance de Peggy pendant qu’elle va réveiller Valérie et revenir avec nous.
Très surpris de faire la connaissance de la propriétaire que je m’imaginais avec un âge plus important.
Je l’attrape par la taille et l’emmène vers Christophe qui est toujours à quatre pattes et avec le sexe toujours en érection, qui pend par son poids et le gland bien gonflé que j’adore.
Je fais remarquer à « Peggy » qu’elle est belle et séduisante.
Je la lâche pour attraper les fesses de Christophe et lui caresser, il ne se cache pas de ma venue et il pousse un « humm » de plaisir.
« Alors Christophe je vois que tu démarre bien la journée et que tu ne perds pas de temps pour les vacances ! Tu aurais dû venir nous chercher pour faire la connaissance de Peggy tous ensemble ! »
J’ai très envie de Christophe et qu’il me prenne mais Valérie n’est pas là et bizarrement cela me bloque.
Peggy voit que je suis embarrassé et que je suis timide devant elle. Elle entame la conversation sur la façon que Laurence nous a présenté. En même temps qu’elle me parle elle réintroduit un doigt dans le cul de Christophe.
Je pense qu’elle est bien vicieuse cette belle gazelle. Je ne me sens pas rassuré car je vois qu’elle fait paraitre une certaine perversité qui ne me correspond pas et dont je ne suis pas sûre que cela convienne à ma petite femme.
Elle me dit « allez vas-y, baisse ton caleçon que je vois comment tu es monté ! ».
Ma réponse est toujours « Non », mais Christophe me dit de lui faire plaisir et de retirer mon caleçon car je ne crains rien.
Je regarde Christophe dans les yeux et je baisse alors doucement mon caleçon pour laisser apparaitre mon sexe qui est à demi-érection car elle m’a interloqué par l’ordre de le faire.
Elle me dit « Ah, je savais que tu me la ferais voir ! elle me convient mais cela serait mieux si tu la relevais par une bonne érection. »
Je lui rétorque « Tu vois Peggy, il ne faut pas être individualiste et reconnaitre qu’elle doit « nous » plaire et non à toi toute seule. C’est comme ça que nous pourrons partager beaucoup de plaisir ».
Elle me répond « alors là, je ne m’attendais pas à se que l’on me fasse la morale, mais je suis d’accord avec ce que tu dis. Peut-être que nous aurions dû faire connaissance dans un premier temps avec ta femme, tu n’aurais peut-être pas été sur la défensive ? mais je vous ai vu en photos et j’ai dit à Laurence que vous faisiez un beau couple très souriant ».
Au même moment Valérie arrive avec Laurence pour se joindre à notre compagnie.
Valérie me rejoint directement et regarde Peggy de la tête aux pieds au passage.
Valérie me dit « tu ne perds pas de temps toi mon cochon, tu as déjà le caleçon à tes pieds mais je vois que Christophe est collé avec le doigt de cette charmante madame ».
En rigolant elle demande à Peggy si elle est proctologue et si elle cherche quelque chose dans l’anus de Christophe.
Sans rien dire Peggy retire son doigt et vient au contact de Valérie.
Face à face, avec les lèvres à moins de quelques centimètres, Peggy répond qu’elle est mignonne au saut du lit. Laurence se rapproche des deux et je les vois toutes les trois se regarder et se parler seulement par le regard.
Je présent qu’elles vont s’embrasser. Valérie me regarde avec des yeux très timides et par le hochement de la tête, je lui fais comprendre qu’elle doit écouter ses envies et de les suivre.
Laurence porte une main sur les lèvres de Valérie pour les porter après sur celles de Peggy, se qui donne le signal et l’aval de Laurence pour une étreinte des deux femmes.
Cette action me redonne une super énergie et je lâche ma femme dans les bras des deux autres femelles excitées.
Je regarde Christophe et je lui dis de me rejoindre après m’être assis sur le fauteuil.
J’écarte les jambes afin qu’il vienne se mettre à me sucer.
Il est comme déchainé et il me suce avec ardeur en même temps qu’il me décalotte à fond avec une de ses mains.
Avec l’autre main il s’occupe de me titiller les boules et l’anus.
C’est trop rapide pour moi, je suis obligé de l’arrêter et de lui diriger la bouche vers mes boules.
Il m’attrape alors les deux jambes pour me les mettre contre le torse et avoir ainsi les boule et le cul devant son visage.
Les filles se caressent en même temps qu’elles s’embrassent. Le spectacle et magnifique et je suis ravis que Valérie est mieux pris contact avec Peggy que moi sur le premier instant.
Christophe me gobe alors les testicules et m’enfonce un doigt dans le cul sans ménagement.
Je ne peux pas m’empêcher de crier la douleur de la pénétration.
Les filles me regardent et Valérie s’adresse à Christophe en lui disant qu’il ne ruine pas le petit cul de son mari. Christophe dit que je suis une salope et que j’aime ça mais je fais un non de la tête en direction de Valérie.
Il ressort son doigt et il vient mettre sa langue à l’entrée de mon cul, c’est très bon et la sensation et bonne.
Christophe « Tu vois il faut savoir souffrir pour avoir le meilleur ! »
Il reprend les caresses avec sa langue à l’entrée de l’anus et autour de mes boules.
Il me replante alors deux doigts et les faisant tourner.
Il est en train de faire une démonstration à nos dulcinées de notre homosexualité.
Les filles viennent autour de nous deux pour nous caresser, enfin c’est ce que je pensais.
Je vois Christophe qui se relève et remonte vers mon visage et j’ouvre la bouche pensent qu’il allait m’embrasser mais là, il me met dans la bouche les deux doigts qu’il avait dans mon cul.
J’essaye de le repousser mais mes bras sont bloqués par mes jambes qui sont contre mon torse.
Et là, pendant que je pense à vouloir dégager ses doigts de ma bouche, je sens comme un coup d’électricité dans le cul et c’est qu’il vient de me sodomiser comme j’en avais envie en regardant son sexe dans l’entrebâillement de la porte tout à l’heure.
Après le coup de la pénétration, j’ai senti le blocage en fond et ses boules qui étaient contre mes fesses. Il entame alors des aller et retour doux mais puissants. Je sens bien le membre me limer le fondement et la sensation agréable d’être pris et soumis.
Valérie vient me caresser le visage et m’embrasser puis Laurence en fait autant, Peggy vient tester ma bouche et en m’embrassant elle m’introduit sa langue douce mais visiblement longue.
Christophe s’active de plus en plus vite sur mon cul pendant que Peggy me chevauche le visage et vient applique sa vulve sur ma bouche. Je fais seulement de petits bisous pour lui activer les lèvres de son sexe mais elle m’ordonne d’ouvrir la bouche d’un ton dominante.
Je ne veux pas et ferme complètement la bouche.
Elle dit à Christophe de me sodomiser plus vite et bien à fond.
Il exécute son désir et je ne peux pas faire autrement que d’ouvrir la bouche pour laisser partir mes gémissements de bonheurs et elle en profite pour écraser son sexe sur mes lèvres, ce qui camoufle complètement mes gémissements.
Valérie vient se positionner devant Peggy et l’embrasse sous mes yeux.
Peggy m’écrase complètement le visage et se tortille à un point de venir se frotter contre mes dents.
Je comprends qu’elle veut me dominer sans pudeur devant ma femme alors je me décide à lui attraper les lèvres de son sexe pour lui mordre doucement et elle se met a grogner de gémissements.
Elle dit en parlant de moi aux autres :« oh la salope elle m’excite trop cette chienne, Valérie il est trop bon ton chéri, il va me faire jouir. Vas-y Christophe bourre lui le cul encore plus fort ça l’excite ».
Je sens que Christophe fait gonfler son sexe en même temps qu’il me pilonne bien.
Je n’en peux plus, je sens que je vais cracher mon sperme sur mon ventre et je ne peux pas le dire à voix haute.
Alors il me vient une idée, je mort fortement le sexe de Peggy et elle est obligée de se relever et de crier. Elle part de la pièce.
Peggy : « oh la chienne elle m’a bouffé la chatte trop fort »
J’en profite pour dire à Christophe que je vais jouir alors il m’attrape le sexe pour le masturber en me disant de lui dire quand je suis prêt à gicler.
Cela ne tarde pas et je lui fais signe de la tête, il se retire de mes fesses et vient se positionner sa queue sur la mienne
Nous giclons tous les deux à l’unisson.
Je me suis pris en pleine face ses giclées de sperme chaud jusque sur mes lèvres et je ne peux pas m’empêcher de lécher pour gouter et je me suis régalé.
Je regarde autour de moi et je m’aperçois qu’on est tous les deux tous seul.
Christophe se relève et il va directement dans la salle d’eau de la chambre.
J’ai mal dans les cuisses et les bras, par contre je me sens bien au niveau de l’anus.
J’essaye de me relever mais je tremble des jambes.
Je fini par me relever et je vais rejoindre la salle de bains qui est dans le couloir.
Je ne pense même plus aux trois filles.
Une fois lavé et décontracté après cet épisode de bon matin, je cherche a retrouver les filles dans la maison. C’est lorsque je suis arrivé dans le salon que je les ai trouvé toutes les trois nues sur le canapé avec Valérie qui se faisait lécher par Peggy et elle-même se faisait lécher par Laurence avec beaucoup de tendresse, Valérie me regarde avec la tête à moitié en arrière.
Je vous raconterai la suite dans le prochain chapitre.
Nous avons décidé de partir en vacances avec Laurence et Christophe.
La semaine précédent notre départ, ils sont venus chez nous pour discuter de l’organisation et des modalités de l’hébergement.
Laurence nous a expliqué, qu’ils allaient chez une femme divorcée près de la Palmyre sur la côte atlantique. Laurence nous a expliqué que cette femme partageait volontiers toutes les sensations qu’ils avaient envie de faire.
Je suis un peu surpris mais je comprends que Laurence et Christophe ont dû faire des parties à trois.
Je vous avoue que je m’attendais à rencontrer une personne d’une soixantaine d’année. Valérie demande à Laurence si elle a un penchant plutôt femme ou homme.
Laurence a rassuré Valérie, car Peggy est très ouverte à tout mais surtout au plaisir.
Laurence lui explique que Peggy aime tout et certaines choses qu’elle nous laissera découvrir.
Les vacances s’annoncent alors très bonnes.
Christophe me rappelle que je ne dois pas oublier mon ensemble kway, car il me propose une petite randonnée tous les deux ou tous les cinq peut être.
Je ne vous cache pas que l’homosexualité partagé avec Christophe en toute conscience, confiance et vue de ma femme.
Valérie et moi avons discuté de la nos expériences avec Laurence, Christophe et les autres amis.
Nous nous aimons, nous partageons et avons partagé beaucoup d’expériences dans la vie, mais je pense que si nous sommes toujours ensemble, c’est que nous vivons pour le plaisir de l’autre.
Enfin le jour venu de partir en vacances.
Nous passons chercher Laurence et Christophe pour prendre la route. Valérie propose à Christophe de monter devant avec moi.
Nous avons un monospace très confortable avec des vitre teintées à l’arrière.
Nous discutons et plaisantons sur un peu tout.
Christophe débute par me dire que je ne devais pas me tromper de levier de vitesse.
Valérie lui rétorque qu’il ne devait pas me perturber pour éviter tout accident. Je réponds qu’en cas d’excitation, le code de la route m’oblige à rester maître de mon véhicule et de mes capacités. Alors je serai dans l’obligation de m’arrêter.
Les filles rigolent et Laurence dit que dans ce cas nous aurions dû partir la veille.
Bon, je ne vais pas vous raconter la totalité du trajet dans ce chapitre mais je peux vous dire que Christophe m’a fait du bien comme Laurence en a fait à Valérie avec Christophe et moi aussi quand je ne conduisais pas. Enfin nous avons mis 12h00 pour faire 500km avec 4 arrêts.
Nous sommes arrivés à la Palmyre à 19h00.
La propriétaire n’était pas là, mais avait laissé les clés pour que nous puissions rentrer.
La maison est belle et bien décorée. Les 5 chambres sont aussi somptueuses que tout l’ensemble qui est aménagé avec gout. Christophe nous a fait découvrir les pièces une à une. Plusieurs portes sont fermées car c’est une réserve et une chambre que la propriétaire se réserve.
Fatigué par la route et nos ébats, nous sommes allés nous coucher.
Le matin je suis le premier à me lever.
J’arrive dans la cuisine en caleçon, comme d’habitude.
Je suis surpris de voir que le petit déjeuner est déjà près et que la table est mise avec les bols, les verres et les jus de fruits. C’est mieux que l’hôtel. Mais personnes dans la maison et hier soir je suis sûr que rien n’était près en allant me coucher.
Je retourne voir les chambres. Dans la nôtre, Valérie dort toujours, alors je passe près de celle de Laurence et Christophe et j’entends des gémissements.
Je ne suis pas très étonné mais ma curiosité m’ordonne d’ouvrir la porte pour regarder les ébats du couple.
Je croche la poignée de la porte, et j’entrebâille la porte.
Surprise, je pensais voir Christophe en train de s’occuper de Laurence mais l’image est totalement différente.
Une femme brune plus jeune que nous, elle doit avoir environ 45 ans, elle est avec une combinaison noire en vinyle, harnachée d’un gode ceinture et elle pénètre avec virilité le fondement de Christophe qui est à quatre pattes. Laurence est assise dans un fauteuil avec encore son imperméable en vinyle mais elle se masturbe avec un gode vibrant tout en se pelotant les seins.
Je n’en reviens pas et je regarde seulement dans l’entrebâillement de la porte.
La femme se mets à insulter Christophe et fait claquer son gode à fond. Il pousse un gémissement à chaque fois qu’elle arrive au fond. Laurence l’encourage et lui ordonne d’aller plus vite.
Les coups de reins sont de plus en plus rapides. Christophe demande d’arrêter, parce qu’il a le cul en feu. La femme arrête et se retire du cul de Christophe, pour laisser apparaitre l’anus ouvert et rougi.
Lorsqu’elle se retourne, elle me voit et se dirige vers la porte pour l’ouvrir complètement.
Elle me dit « Alors c’est toi François ! rentre et viens ça va être ton tour ».
C’est une belle femme brune qui est de taille moyenne et très énergique.
Depuis que j’ai entrebâillé la porte je bande super bien fort.
Elle porte une main directement sur mon sexe à travers le caleçon et le baisse.
Je ne la laisse pas faire et je le remonte.
Elle me dit « ah tu ne veux pas, j’aime ceux qui me résistent mais tu ne vas pas me résister longtemps ».
Devant Christophe et Laurence, je dis qu’il m’est impossible de faire quoi que ce soit sans que ma femme ne soit pas là.
Laurence se lève de son fauteuil, elle vient vers moi. Elle me dit de commencer à faire la connaissance de Peggy pendant qu’elle va réveiller Valérie et revenir avec nous.
Très surpris de faire la connaissance de la propriétaire que je m’imaginais avec un âge plus important.
Je l’attrape par la taille et l’emmène vers Christophe qui est toujours à quatre pattes et avec le sexe toujours en érection, qui pend par son poids et le gland bien gonflé que j’adore.
Je fais remarquer à « Peggy » qu’elle est belle et séduisante.
Je la lâche pour attraper les fesses de Christophe et lui caresser, il ne se cache pas de ma venue et il pousse un « humm » de plaisir.
« Alors Christophe je vois que tu démarre bien la journée et que tu ne perds pas de temps pour les vacances ! Tu aurais dû venir nous chercher pour faire la connaissance de Peggy tous ensemble ! »
J’ai très envie de Christophe et qu’il me prenne mais Valérie n’est pas là et bizarrement cela me bloque.
Peggy voit que je suis embarrassé et que je suis timide devant elle. Elle entame la conversation sur la façon que Laurence nous a présenté. En même temps qu’elle me parle elle réintroduit un doigt dans le cul de Christophe.
Je pense qu’elle est bien vicieuse cette belle gazelle. Je ne me sens pas rassuré car je vois qu’elle fait paraitre une certaine perversité qui ne me correspond pas et dont je ne suis pas sûre que cela convienne à ma petite femme.
Elle me dit « allez vas-y, baisse ton caleçon que je vois comment tu es monté ! ».
Ma réponse est toujours « Non », mais Christophe me dit de lui faire plaisir et de retirer mon caleçon car je ne crains rien.
Je regarde Christophe dans les yeux et je baisse alors doucement mon caleçon pour laisser apparaitre mon sexe qui est à demi-érection car elle m’a interloqué par l’ordre de le faire.
Elle me dit « Ah, je savais que tu me la ferais voir ! elle me convient mais cela serait mieux si tu la relevais par une bonne érection. »
Je lui rétorque « Tu vois Peggy, il ne faut pas être individualiste et reconnaitre qu’elle doit « nous » plaire et non à toi toute seule. C’est comme ça que nous pourrons partager beaucoup de plaisir ».
Elle me répond « alors là, je ne m’attendais pas à se que l’on me fasse la morale, mais je suis d’accord avec ce que tu dis. Peut-être que nous aurions dû faire connaissance dans un premier temps avec ta femme, tu n’aurais peut-être pas été sur la défensive ? mais je vous ai vu en photos et j’ai dit à Laurence que vous faisiez un beau couple très souriant ».
Au même moment Valérie arrive avec Laurence pour se joindre à notre compagnie.
Valérie me rejoint directement et regarde Peggy de la tête aux pieds au passage.
Valérie me dit « tu ne perds pas de temps toi mon cochon, tu as déjà le caleçon à tes pieds mais je vois que Christophe est collé avec le doigt de cette charmante madame ».
En rigolant elle demande à Peggy si elle est proctologue et si elle cherche quelque chose dans l’anus de Christophe.
Sans rien dire Peggy retire son doigt et vient au contact de Valérie.
Face à face, avec les lèvres à moins de quelques centimètres, Peggy répond qu’elle est mignonne au saut du lit. Laurence se rapproche des deux et je les vois toutes les trois se regarder et se parler seulement par le regard.
Je présent qu’elles vont s’embrasser. Valérie me regarde avec des yeux très timides et par le hochement de la tête, je lui fais comprendre qu’elle doit écouter ses envies et de les suivre.
Laurence porte une main sur les lèvres de Valérie pour les porter après sur celles de Peggy, se qui donne le signal et l’aval de Laurence pour une étreinte des deux femmes.
Cette action me redonne une super énergie et je lâche ma femme dans les bras des deux autres femelles excitées.
Je regarde Christophe et je lui dis de me rejoindre après m’être assis sur le fauteuil.
J’écarte les jambes afin qu’il vienne se mettre à me sucer.
Il est comme déchainé et il me suce avec ardeur en même temps qu’il me décalotte à fond avec une de ses mains.
Avec l’autre main il s’occupe de me titiller les boules et l’anus.
C’est trop rapide pour moi, je suis obligé de l’arrêter et de lui diriger la bouche vers mes boules.
Il m’attrape alors les deux jambes pour me les mettre contre le torse et avoir ainsi les boule et le cul devant son visage.
Les filles se caressent en même temps qu’elles s’embrassent. Le spectacle et magnifique et je suis ravis que Valérie est mieux pris contact avec Peggy que moi sur le premier instant.
Christophe me gobe alors les testicules et m’enfonce un doigt dans le cul sans ménagement.
Je ne peux pas m’empêcher de crier la douleur de la pénétration.
Les filles me regardent et Valérie s’adresse à Christophe en lui disant qu’il ne ruine pas le petit cul de son mari. Christophe dit que je suis une salope et que j’aime ça mais je fais un non de la tête en direction de Valérie.
Il ressort son doigt et il vient mettre sa langue à l’entrée de mon cul, c’est très bon et la sensation et bonne.
Christophe « Tu vois il faut savoir souffrir pour avoir le meilleur ! »
Il reprend les caresses avec sa langue à l’entrée de l’anus et autour de mes boules.
Il me replante alors deux doigts et les faisant tourner.
Il est en train de faire une démonstration à nos dulcinées de notre homosexualité.
Les filles viennent autour de nous deux pour nous caresser, enfin c’est ce que je pensais.
Je vois Christophe qui se relève et remonte vers mon visage et j’ouvre la bouche pensent qu’il allait m’embrasser mais là, il me met dans la bouche les deux doigts qu’il avait dans mon cul.
J’essaye de le repousser mais mes bras sont bloqués par mes jambes qui sont contre mon torse.
Et là, pendant que je pense à vouloir dégager ses doigts de ma bouche, je sens comme un coup d’électricité dans le cul et c’est qu’il vient de me sodomiser comme j’en avais envie en regardant son sexe dans l’entrebâillement de la porte tout à l’heure.
Après le coup de la pénétration, j’ai senti le blocage en fond et ses boules qui étaient contre mes fesses. Il entame alors des aller et retour doux mais puissants. Je sens bien le membre me limer le fondement et la sensation agréable d’être pris et soumis.
Valérie vient me caresser le visage et m’embrasser puis Laurence en fait autant, Peggy vient tester ma bouche et en m’embrassant elle m’introduit sa langue douce mais visiblement longue.
Christophe s’active de plus en plus vite sur mon cul pendant que Peggy me chevauche le visage et vient applique sa vulve sur ma bouche. Je fais seulement de petits bisous pour lui activer les lèvres de son sexe mais elle m’ordonne d’ouvrir la bouche d’un ton dominante.
Je ne veux pas et ferme complètement la bouche.
Elle dit à Christophe de me sodomiser plus vite et bien à fond.
Il exécute son désir et je ne peux pas faire autrement que d’ouvrir la bouche pour laisser partir mes gémissements de bonheurs et elle en profite pour écraser son sexe sur mes lèvres, ce qui camoufle complètement mes gémissements.
Valérie vient se positionner devant Peggy et l’embrasse sous mes yeux.
Peggy m’écrase complètement le visage et se tortille à un point de venir se frotter contre mes dents.
Je comprends qu’elle veut me dominer sans pudeur devant ma femme alors je me décide à lui attraper les lèvres de son sexe pour lui mordre doucement et elle se met a grogner de gémissements.
Elle dit en parlant de moi aux autres :« oh la salope elle m’excite trop cette chienne, Valérie il est trop bon ton chéri, il va me faire jouir. Vas-y Christophe bourre lui le cul encore plus fort ça l’excite ».
Je sens que Christophe fait gonfler son sexe en même temps qu’il me pilonne bien.
Je n’en peux plus, je sens que je vais cracher mon sperme sur mon ventre et je ne peux pas le dire à voix haute.
Alors il me vient une idée, je mort fortement le sexe de Peggy et elle est obligée de se relever et de crier. Elle part de la pièce.
Peggy : « oh la chienne elle m’a bouffé la chatte trop fort »
J’en profite pour dire à Christophe que je vais jouir alors il m’attrape le sexe pour le masturber en me disant de lui dire quand je suis prêt à gicler.
Cela ne tarde pas et je lui fais signe de la tête, il se retire de mes fesses et vient se positionner sa queue sur la mienne
Nous giclons tous les deux à l’unisson.
Je me suis pris en pleine face ses giclées de sperme chaud jusque sur mes lèvres et je ne peux pas m’empêcher de lécher pour gouter et je me suis régalé.
Je regarde autour de moi et je m’aperçois qu’on est tous les deux tous seul.
Christophe se relève et il va directement dans la salle d’eau de la chambre.
J’ai mal dans les cuisses et les bras, par contre je me sens bien au niveau de l’anus.
J’essaye de me relever mais je tremble des jambes.
Je fini par me relever et je vais rejoindre la salle de bains qui est dans le couloir.
Je ne pense même plus aux trois filles.
Une fois lavé et décontracté après cet épisode de bon matin, je cherche a retrouver les filles dans la maison. C’est lorsque je suis arrivé dans le salon que je les ai trouvé toutes les trois nues sur le canapé avec Valérie qui se faisait lécher par Peggy et elle-même se faisait lécher par Laurence avec beaucoup de tendresse, Valérie me regarde avec la tête à moitié en arrière.
Je vous raconterai la suite dans le prochain chapitre.
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On ne peut pas dire que ce soit le respect qui l'étouffe cette chère Peggie.