Van life en Italie

- Par l'auteur HDS Nicla -
Récit érotique écrit par Nicla [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Van life en Italie Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Van life en Italie
Dans les campagnes autour de rome, il trouva á 60 km de la capitale des endroits de plaines voisins de montagnes vraiment plaisants avec beaucoup de petites fermes maraîchères fournissant rome en légumes, il en prospecta une avec succès et fut embauché, au noir, l’idéal, afin de partir á son gré, pour cueillir et apprêter les cœurs artichauts, son équipe de ramassage et préparation composée surtout de jeunes, lui réserva une surprise.
Une jeune fille très jolie dans les 25 ans, Mélina, avec des proportions fessières remarquables et étonnantes travaillait près de lui.
Au bout de deux jours á rire ensemble, il y eut du désir entre eux, ils passèrent leur jour de repos tout les deux, déjeunèrent en ville avec du bon vin de pays qui les émoustilla, ils ne cessaient de se toucher de s’embrasser, de se coller l’un á l’autre, de se frotter.
Bref, la température de leur culotte s’échauffait bigrement, Bernard conduisant, Mélina lui caressait l’entre-jambes en sussurant des mots mouillés de désir, ses gros seins sortis de leur écrin de soie rouge et sa mini jupe toute petite relevée dévoilant des bas noirs et bretelles de jarretière sur bande de cuisses d’un blanc affolant, pour l’exciter et s’exciter par son affichage d’envie de sexe, elle extirpa son nœud de sa braguette et ravie de ses proportions l’emboucha en poussant des hum hum hummm de contentement.
Bernard trouva un coin propice ombragé pour l’étape des sens á célébrer, ils passèrent derrière au salon, il ferma les rideaux, appaira sa caméra BT au phone et déplia sa banquette, lui écarta les cuisses, oh !... pas de culotte, superbe cadeau prémédité, grand merci, oh !... vision alléchante d’une forêt de poils noirs débordant sur des cuisses épaisses tavelées de petits points piquetant sa graisse tant espérée, son trou de cul gris au centre, auréolé d’un bleuâtre étonnant, visible avec émoi, entouré de sa sombre fourrure envahissante, troublante, son ventre laiteux á plis appétissants, il embrassa, lécha tout ça en palpant ses chairs, ses fesses au contact aliénant, pressant et caressant, puis il écarta ses escalopes intimes et colla sa langue pointue dans son trou rose tout baveux, surmonté d’un gros bec d’amour, le réservant pour plus tard tant il voulait goûter sa grosse figue, certainement mouillée, avant tout autre chose, á la langue et au nez, à s’en barbouiller tout le visage, elle se cabra á cette langue ressentie et dit : oui, oui, mange moi, mange longtemps, j’aime beaucoup ça, il defit en même temps les attaches des bas et les baissa sur ses genoux pour tâter la peau des cuisses grasses á souhait, se pourléchant les babines il remonta á son clito qu’il travailla longuement en caressant sa framboise grise aux doigts trempés dans sa chatoune pour que ça glisse, elle tressaillit á ce contact, révélant son goût secret pour la pénétration anale, et s’agita d’avant en arrière en poussant des petits cris d’extases successives ponctués de : ouiiii, ouiiiii, ouiiiiiii, d’aveux de total abandon á cette frénésie de caresses linguale intime.
Elle hurla quand de ses deux mains il titilla ses gros tétons presque violets, sa langue frétillant toujours sur le clito, á partir de cette instant elle ne cessa de hurler en secouant sa tête de droite á gauche, oh my god disait-elle en italien, oh my god.
Ne pouvant plus résister, il l’allongea, se mit sur elle á l’envers et il commencèrent leur repas á deux convives amoureux sans chandelles, se bouffant leurs orifices et excroissances avec folie.
Elle jouit trois fois sans crier, ne voulant pas briser le contact de sa bite en bouche, juste des hon, hon, hon incessants.
A la dernière elle l’arrosa de ses eaux et il éjacula dans sa gorge sous l’assaut de ses jets envoûtants, saoulants, les siens augmentant les coulées chaudes de Mélina.
La magie des sens exacerbés jusqu’au summum du plaisir les abandonna et ils restèrent joints haletants, privés maintenant de cette fièvre, il parla le premier á sa chatte toute proche : j’adore ton corps, il est comme je préfère entre tous les corps de femelle, il faut que je l’admire en entier et il lui ota le reste de ses vêtements puis les siens, lui prit les mains pour la soulever et la mettre debout, il s’empara de sa bouche et fit durer ce baiser aux saveurs mélées de foutre et de jute, cocktail aphrodisiaque ennivrant.
-- Défile devant moi comme un manequin, que tu ravisses mes yeux, je t’en prie ma douce.
Une moue aguichante d’envie et de promesses futures sur son magnifique visage, elle fit de courts allers-retours, chaque pas était suivi de vagues tremblées sur tout ce corps en gelée, animée de vie propre, son fessier doté de culottes de cheval cellulitées excitantes dessinait une croix en partant de la raie de ses deux fesses jointes, se prolongeant sur celles de ses cuisses rapprochées, durant les haltes oú elle tirait de profil sa langue de façon provocante, complétée par la barre transversale doublement incurvée, comme deux parenthèses horizontales du bas de ses deux fesses hypnotisantes.
De face, son ventre formait un H aussi á l’horizontale par ses plis et rebondis délicieux de chair sous ses deux seins attirants, par leur poids et volume, il s’agenouilla et la déroba á ses mouvements en l’emprisonant, ses mains tâtaient, pressaient, caressait tout le bas de ce corps gélatineux, moelleux, en embrassant son doux ventre.
Ses touchers rassasiés il proposa une pause café-mini gâreaux, achetés pour elle le matin, il tira un panneau latéral formant table et s’activa sur sa machine á expresso, puis sortit du petit réfrigérateur-tiroir une boite de pâtisseries acueillies par des oh extasiés de gourmandise.
Mangeant et sirotant, ils bavardaient, Bernard doué pour les langues, toutes sortes de langues même les plus osées, avait étudié l’italien en seconde langue, il était amoureux de cette langue aux chaudes sonorités, ah ces langues chaudes... dans le cul cette langue surtout, aaaaah, comme c’est bon là !
Elle voulut voir ses toiles qu’il tira d’un compartiment faisant toute la longueur du salon, elle admira toute cette fraîcheur de nature et s’attarda sur celles montrant une femme plantureuse dans de lascives positions.
-- C’est qui cette belle femme ?
-- Ma tante chérie.
-- Elle posait toute nue pour toi ?
-- Non, j’ai fait cela de mémoire, elle n’était plus là.
-- Mais tu l’as vue ainsi, aussi provocante, avant ?
-- Oui c’était ma maîtresse... depuis mon enfance-- Comment cela ? Dit-elle interloquéeEt il lui raconta... tout.
Elle buvait ses paroles, en demandant des détails sur des points précis, plutôt cochons, en rapport aux fluides échangés, de quelle sorte, goûtés, bus... aux endroits précis visités par les langues et sa grosse matraque...
-- Oh quelle histoire, j’en suis toute mouillée, regarde, mets ta main dans ma chatte.
Il constata en effet les effets liquides provoqués par sa confession, larmoyante par moments, ces souvenirs nostalgiques le submergeant d’émotion incontrôlable.

L’auteur de ces lignes, va de temps en temps faire pipi et il regarde son sexe d’oú coulent des filets de bave transparente terminés par une petite boule cristalline sur la fin des coulures, qui reprenent leur descente encore et encore, goutte á goutte, c’est... ce qui s’appelle : participer á l’action non ?

Cet aveux d’humidité fouetta le sexe de Bernard, qui commença á enfler, grandir pour finalement se dresser á la verticale.
Il lui dit : mets toi á quatre pattes, ton cul de rêve vers moi.
Il le regarda ce cul avec folle envie et engoufra son visage dans cet écrin fessial doux, chaud et moite, et badigeona sa rosace centrale auréolée de sombre de sa langue et de crachats pénétrants aux doigts, elle sautillait d’excitation, au bon moment, le plus tendre, il l’encula sous ses cris d’appréciation : Oh ouiii, oh ouiii, aaah mon salaud c’est trop bon dans mon cul, c’est mon plat favori celui là, va z’y pompe moi longuement, que je sente aussi tes couilles me frapper, rentre et sort, écarte bien mes fesses.
Il la lima á grands coups de reins, sortant par moments complètement pour mieux s’enfoncer au fond, s’occupant de ses fesses tremblotantes en les écartant, les claquant, elle se branlait le clito en gigotant et hurlant : Va z’y donne, donne, donne encore, frappe, défonce moi oh oui, encore, pute moi, chienne moi, gicle moi, aaaaaaah, je jouis ouiiiiiii ahhhh ouiiiii en déclanchant une chute d’eaux lui éclaboussant les couilles et les cuisses, il se retint de remplir son cul voulant aussi le côté face, là tout de suite.
Il la retourna, grimpa sur elle, l’embrassa en s’installant entre ses cuisses de façon à ce que leur cuisses enchevétrées forment un X pour que les ventres se collent avec plus de surfaces et á s’enfoncer mieux dans sa moule, aussi pour amplifier les sensations de peau en contact en sus des internes, sa bite nageait dans sa piscine gluante de foutre, il niqua sa chatte á vitesses variables, de douceur á la violence et inversements de cadences, ses mains sous ses fesses, agrippé á ce cul, elle répondait â ses secousses en éructant des saletés : je suis ta truie, tu es mon cheval, enfonce, enfonce et reprenait sa langue á pleine bouche en jouissant, trempant copieusement la banquette.
-- Donne moi ton foutre sur le visage et ma bouche, lâ maintenant, je le veux, approche ta bite vite !
Il lui en donna un maximum en crachant cinq ou six fois á jets qui partaient partout par saccades en criant rageusement á chaque envoi de jute.
-- Donne ta bouche mon cher.
Et ce long baiser au sperme accompagna leur abandon successif, après ces instants montés au paroxysme des vagues de la jouissance, jusqu’á la petite mort.

Il installa une douche dehors entourée d’un grand rideau et se frottèrent avec amour et insistance, devant et derrière leur entre cuisses longuement. Se collant en baisers langoureux ils rentrèrent pour se sécher et se rhabiller.
Il remit de l’ordre dans la cabine pendant qu’elle se maquillait, rangea la douche et lui demanda :-- Tu as faim ?
-- Oui, allons diner chez Toni, ses pizzas sont les meilleures, c’est un ami en plus.

Ils filèrent sur la route et arrivèrent devant une petite auberge en rase campagne, plutôt rurale l’auberge, des canises et un toit de tôles autour d’un four rougeoyant et des tables aux nappes á carreaux ornées de bouteilles de chianti.
Après les bises de Mélina á son pote, ils commandèrent apéros et pizzas.
Ils se tenaient les mains et se dévoraient des yeux en mettant en place un prochain rendez-vous pour apaiser les prochaines chaleurs inévitables.
Ils firent honneur á ces pizzas succulentes et au vin réconfortant leurs ardeurs dépensées et au coup de fouet du café liqueurs pour la routeIls quittèrent ce lieu champêtre calme sous la lumière déclinante du soleil pour rejoindre le logement de Mélina, il la laissa á 200 mètres de la ferme, après un dernier baiser il reprit la route pour son spot favori.

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