Vanessa, Nicolas et moi.
Récit érotique écrit par Paul Nicolas [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-08-2007 dans la catégorie Plus on est
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Vanessa, Nicolas et moi.
J’ai rencontré Vanessa d’une manière tout à fait banale, en faisant mes courses au supermarché. Je passais souvent dans un supermarché et Vanessa travaillait à la caisse, comme elle travaillait irrégulièrement, j’ai tout de suite pensé qu’elle était étudiante, ce qui se révéla juste.
Vanessa est une jolie noiraude, à la peau mate, type latin, ses deux parents sont d’origine espagnole. Elle a une très belle paire de seins, ni trop petits, ni très grands. Elle a des cheveux longs, très beaux. Ce qui m’a plu chez elle, c’est qu’elle est belle naturellement, mais c’est quelque chose de plus, il se dégageait d’elle un charme fou, elle avait une belle voix douce et ferme. Elle paraissait avoir 21 ou 22 ans, légèrement fragile, tout en sachant ce qu’elle veut. J’en ai 36 et bien qu’elle me plaisait, je n’envisageais rien, je me contentais de la regarder lorsque j’allais faire mes courses. Or, son sourire, sa beauté, son charme faisaient leur effet. Et un jour, j’ai osé franchir le pas, je lui ai dit que je la trouvais sympathique et que je l’invitais à boire un verre un soir si elle le désirait. Elle a refusé, me disant qu’elle avait déjà un ami et que dans cette situation, ça n’avait pas de sens de se voir. J’en ai fait mon deuil et j’ai évité le magasin quelques temps.
A peine trois semaines plus tard, j’ai été invité par un ami à l’anniversaire de sa compagne. Qu’elle ne fut pas ma surprise de rencontrer à cette occasion Vanessa, accompagnée de son ami. Comme il y avait du monde à la fête, j’ai plus ou moins essayé de l’éviter, mais dans la soirée je me suis retrouvé face à elle. Elle m’a dit bonsoir en souriant, je lui ai répondu et nous avons fait connaissance. Elle était en effet étudiante, elle voulait devenir assistante social et elle avait 21 ans. Puis son ami est revenu, il devait avoir 23 ans, blond, plus petit que moi, il était étudiant en biologie, ce qui a coupé la discussion.
Vers la fin de la soirée, elle revenue vers moi et m’a dit qu’elle trouverait sympa que l’on se rencontre pour boire le verre que je lui avais proposé, il y a quelques temps. J’ai accepté et nous avons décidé de nous revoir le dimanche suivant en début de soirée.
Le dimanche, dès quelle est arrivée nous avons commencé à parler et la soirée s’est déroulée très rapidement, je crois que ni elle, ni moi, n’avons vu le temps passé, nous avions beaucoup à nous dire et nous avions l’impression de nous connaître depuis longtemps. Vers 23h00, nous avons décidé de rentrer, comme nous habitions dans le même quartier, nous avons fait un bout de route ensemble. Avant de nous quitter nous étions face à face, nous nous sourions, ni elle, ni moi ne savions que dire. Je lui ai pris les deux mains tout en souriant et je me suis penché pour lui faire la bise, mais je l’ai embrassé. Mon premier petit baiser, un peu volé, s’est vite transformé en un long et tendre baiser. Je lui ai alors proposé de venir boire un verre chez moi et elle a accepté.
Arrivés chez moi nous nous sommes embrassés, je lui ai caressé les seins à travers le pull, je lui ai enlevé son pull, et nous sommes allés dans ma chambre. Nous avons fait l’amour, longuement, je l’ai prise 3 fois, dans la nuit. C’était parfait, c’est comme si nos corps étaient fait l’un pour l’autre, comme si nous n’attendions que cela. Je n’arrive pas toujours à faire jouir mes compagnes par la pénétration, mais ce soir-là, Vanessa a ressenti très rapidement du plaisir, j’ai adoré entendre ses soupirs lorsque le plaisir commençait à venir et qu’il se développait. Dans la nuit, elle m’a quitté en me disant qu’elle me rappelerait.
Mais je suis resté sans nouvelles de sa part pendant deux semaines. Or, un samedi matin, je l’ai revue au super marché et elle m’a dit qu’elle avait une pause de 12h30 à 13h45 et qu’elle aimerait me revoir pour parler. J’ai accepté et nous nous sommes donnés rendez-vous dans un café à côté du super marché. Lorsque nous nous sommes retrouvés, elle m’a dit qu’elle était désolée de ne pas m’avoir rappelé, qu’elle avait encore son ami et qu’elle ne savait pas quoi faire. En fait, elle m’a dit qu’elle se trouvait très bien avec moi, qu’elle n’avait jamais eu autant de plaisir sexuel que lors de notre rencontre. Je lui ai dit que moi aussi j’étais désolé, je ne me voyais pas comme un briseur de couple, mais que ça avait été plus fort que moi, parce que je l’aimais. Je lui ai dit qu’elle devait réfléchir, que je ne voulais en rien la brusquer et que j’étais prêt à l’attendre si elle avait besoin de faire le point. Je l’ai sentie plus tranquille. Elle m’a alors dit qu’elle n’avait pas encore mangé et qu’elle venait volontiers chez moi, mais qu’elle devait rapidement retourner au travail.
J’étais un peu troublé, car je sentais bien que si elle venait chez moi nous referions l’amour. En marchant chez moi, j’avais la bouche sèche, je ne pouvais rien dire et je crois qu’elle non plus. D’une certaine manière, elle savait qu’elle n’aurait pas dû me proposer d’aller chez moi. A peine arrivés chez moi, elle m’a embrassé. Je l’ai aussitôt assise sur la table, je l’ai embrassé, je lui ai caressé les seins, je lui ai enlevé son pull et caressé les seins à travers son soutif. Je lui ai enlevé ses souliers, elle m’a retiré mon pull. Nous embrassions, puis je l’ai aidé à enlever son pantalon et son slip. Elle m’a demandé de la prendre ainsi et je l’ai prise sur la table, sans préservatif, contrairement à notre première rencontre. Après quelques minutes, elle m’a demandé de m’arrêter, puis elle est descendue de la table s’est retournée et m’a demandé de la prendre dans cette position. Très vite, j’ai commencé à entendre son souffle qui marquait la montée de son plaisir, j’ai alors pris le temps de la faire jouir, alternant les va-et-viens lents et rapides, j’ai senti son plaisir monter, sa jouissance venir, lente, mais continue. Je crois que je n’ai jamais donné autant de plaisir que ce jour-là et je n’en avais rarement autant ressenti. Je me rappelle encore de mes mains sur ses anches, de son souffle.
Après cela nous avons bu un verre d’eau, alors que nous étions nus dans la cuisine, elle s’est agenouillée, elle a pris ma bite et a commencé à me la caresser avec la langue, en alternant les coups de langues et la prise complète en bouche. Je n’ai pas tardé à bander et je l’ai emmené dans mon lit. Une nouvelle fois, je l’ai prise, plus lentement, avec moins de fougue, mais plus de passion. Elle m’a remercié, m’a dit qu’elle devait retourner au travail et m’a donné rendez-vous pour le dimanche soir. Le dimanche soir, nous avons refait l’amour.
Nous avons ainsi commencé une relation, nous voyons le dimanche soir de 20h00 à minuit, car elle mangeait toujours chez ses parents le dimanche sans son ami. Après 15 jours, elle m’a proposé de nous voir le mardi après-midi en plus du dimanche soir, puis tous les jeudis de 18h00 à 20h00, lorsque son ami était au sport. Après deux mois, je lui demandé ce qu’il en était avec son ami, elle m’a dit qu’elle ne pouvait pas le quitter et qu’elle l’aimait. Je me suis accommodé de la situation, je crois que j’étais trop amoureux pour exiger qu’elle se consacre uniquement à moi. Un jeudi soir, après que nous ayons fait l’amour, elle m’a demandé si elle pouvait prendre une douche, je lui ai répondu qu’elle pouvait faire comme chez elle. Elle m’a alors dit que son ami était toujours très entreprenant le jeudi soir et qu’elle voulait nettoyer mon sperme avant de retourner chez lui. Cette phrase a déclenché en moi un fort sentiment de jalousie, mais en même temps de plaisir, de savoir que j’étais passé avant son ami. Mais j’étais aussi troublé qu’elle puisse passer d’un homme à un autre. Quelques jours plus tard, je lui en ai parlé. Elle m’a répondu, avec un air de sainte-nitouche, que c’était plus fort qu’elle, qu’elle nous aimais tous les deux. J’étais troublé, jaloux, mais en même temps très excité. Je pensais souvent à cela, à elle avec l’autre, au plaisir qu’elle prenait avec lui, au sexe de son ami dans sa chatte. Ces pensées me venaient autant lorsque j’étais seul que lorsque nous faisions l’amour. Cela m’excitait de plus en plus.
Puis un jour, elle m’a dit qu’elle avait annoncé à son ami, Nicolas, qu’elle avait une liaison ave moi. Il d’abord mal réagi, ils se sont séparés pendant une semaine. Puis, il lui a demandé de la rencontrer pour discuter, elle lui a pris la main, l’a caressé, elle l’a embrassé et ils ont fait l’amour, sauvagement, dans leur salon. Ils ont passé leur samedi soir ainsi. Puis le dimanche, elle lui a dit qu’elle venait me voir, mais qu’elle reviendrait vers minuit. Elle est venue chez moi et nous avons fait l’amour. Elle m’a alors annoncé qu’elle était à nouveau avec Nicolas et qu’ils avaient fait l’amour durant la nuit. Cela m’a excité et je l’ai prise deux fois avec force, tellement j’étais excité. Puis, vers 23h30, elle m’a dit qu’elle retournait chez son ami.
Elle m’a ensuite raconté qu’elle était rentré chez son ami, que celui-ci était déjà au lit, qu’elle s’est déshabillée et l’a rejoint au lit. Il ne dormait pas, elle l’a embrassé ; il lui a demandé si elle était vraiment avec moi et ce que nous avions fait. Elle lui a dit la vérité, qu’elle m’avait vu et que nous avions fait l’amour. Elle lui a pris une main, l’a mise dans sa chatte où il y avait encore mon sperme et elle a léché les doigts de son ami. Elle l’a embrassé et ils ont fait l’amour. Pendant qu’ils faisaient l’amour, son ami lui a demandé de raconter ce que nous avions fait et dans quelles positions. Il lui a demandé des détails sur mon anatomie – plus longue mais plus fine que la sienne. Ainsi, a commencé une relation à trois, ou tous étaient consentants. Deux mois plus tôt, aucun de nous trois n’aurait cru qu’il vivrait sereinement une telle relation. Vanessa passait ses mardis après-midi, jeudi soir et la nuit de dimanche à lundi avec moi et le reste du temps avec son ami.
Les choses sont restés ainsi deux mois, jusqu’à un samedi après-midi où je me promenais en ville. Soudain je vois Vanessa, main dans la main avec son ami. J’essaie de me faire petit et de passer sans les voir, mais Vanessa m’aperçoit, me salut et fais les présentations, Nicolas, Marc. Je suis paniqué, j’ai la bouche sèche et je ne sais pas quoi dire. Je crois que Nicolas est dans la même situation. Mais Vanessa n’est pas gênée. Elle nous propose d’aller boire un verre ensemble. Autour de la table, l’atmosphère est tendue au début, mais Vanessa anime la discussion, elle parle de tout et de rien, de son travail, des études de Nicolas et de moi. Petit à petit l’atmosphère se détend, se sent Nicolas moins farouche, je crois qu’il est aussi tendu que moi. Soudain, je lui pose une question, il répond gentiment et nous finissons par rire tous les trois suite à une plaisanterie de Vanessa. Nous passons ainsi plus d’une heure à bavarder. Puis Vanessa m’a demandé si on pouvait aller boire un verre chez moi, vu que mon appartement était tout prêt. J’ai accepté et nous sommes partis chez moi.
En marchant, personne nous ne disions rien. Je me demandais ce qui allait se passer et j’avais la gorge sèche. Je connaissais assez Vanessa et son amour du sexe pour deviner qu’il se passerait quelque chose, mais je n’arrivais pas à imaginer quoique ce soit. Cette jeune fille de 21 ans, me menait par le bout du nez. Mais j’ai su par la suite qu’elle improvisait totalement et que le côté déluré que je lui trouvais était aussi nouveau pour elle. Avant de me rencontrer, avant ce fameux dimanche soir où nous avons bu un verre et que nous avons fait l’amour sur un coup de folie, Vanessa était plutôt une fille prude, elle n’avait couché qu’avec un premier copain à 17 ans et avec Nicolas avec qui elle était depuis 18 mois. Je crois que nous nous sommes tous laissés entraînés dans cette histoire qui était nouvelle pour tous trois. Arrivés chez moi, nous nous sommes installés au salon, Vanessa et Nicolas dans le canapé et moi en face sur le fauteuil. J’ai servi un verre et nous bavardions. Vanessa avait pris la main de Nicolas, qu’elle caressait, puis elle l’a embrassée. C’était très beau de les voir ainsi, elle avec sa peau mate, ses cheveux, qui embrassait Nicolas. En principe, j’aurais dû être jaloux, mal réagir à la réalité, mais au contraire je trouvais cela très beau. Je ne sais pas pourquoi, je garde le souvenir de sa main posée sur la figure de Nicolas et de sa montre. Elle m’a regardé, m’a demandé de venir m’asseoir à côté d’elle et elle a à nouveau embrassé Nicolas. Et puis, alors que je m’étais assis à côté d’elle, simplement, elle s’est tournée vers moi et m’a embrassé. Je me rappelle de ce baiser, je sens encore le goût, provoqué par la gêne et par l’excitation de la situation. Elle a à nouveau embrassé Nicolas, je lui ai caressé les seins, puis je lui ai enlevé son pull. Pendant que je l’embrassais à nouveau, Nicolas lui a décroché le soutien-gorge. Le fait de toucher ses seins, de les caresser, a déclenché en moi une envie irrépressible de la prendre. Je leur ai alors proposé d’aller dans ma chambre. Nous nous sommes levés et nous y sommes allés.
Dans la chambre, une gêne s’est emparée de nous. Nous ne savions que faire. Une fois de plus, Vanessa a pris l’initiative, elle a enlevé le pull de Nicolas et moi le mien, elle lui a défait la ceinture et moi la mienne et pendant qu’elle embrassait Nicolas je lui ai enlevé à elle aussi son pantalon et son slip. Vanessa est montée sur le lit et nous avons commencé à la caresser et à l’embrasser, les seins, le sexe, les jambes, le ventre, nous avons tout fait pour lui donner du plaisir. Puis soudain, elle m’a dit, Marc prends-moi. J’étais gêné, mais j’en mourrais d’envie et je l’ai prise. C’était étrange de la voir jouïr alors que son ami nous regardait. Puis elle a demandé à Nicolas de la prendre, mais il a paniqué et perdu son érection. Elle l’a embrassé, elle l’a sucer et lui a embrasser le torse. Pendant qu’elle lui embrassait le torse, elle a pris sa bite d’une main et l’a attirée vers sexe à elle. Nicolas était en elle sans qu’il s’en soit aperçu et gentiment elle a commencé à le chevaucher. C’était très beau de la voir ainsi, de voir son bas du dos aller et venir, de voir ses seins qui touchaient presque le torse de Nicolas, de voir son visage s’épanouir avec la montée de la jouissance. Nicolas n’a pas été long à venir.
Après cela, Vanessa avait l’air heureuse et elle est restée sur Nicolas. J’ai commencé à la caresser, puis je l’ai prise en levrette. Nous avons ensuite mangé et nous sommes retournés au lit. Nous avons recommencé les caresses et cette fois Nicolas a eu droit à prendre Vanessa en premier. Pendant qu’il l’a prenait en levrette, je lui ai présenté mon sexe qu’elle suçait et je lui ai éjaculé au visage, ce qui m’a procuré un grand plaisir. Probablement un besoin de l’humilier du fait qu’elle ne se réservait pas à moi exclusivement. Plus tard dans la nuit, nous avons pris Vanessa à tour de rôle pendant près d’une heure, en retenant notre plaisir et nous relayant pour lui procurer une longue jouissance, je crois qu’elle n’avait jamais ressenti un plaisir aussi long.
Dès lors, une sorte de rituel s’est instauré entre nous trois. Vanessa dormait le dimanche et le jeudi soir chez moi, le mardi et le mercredi avec Nicolas et nous passions la nuit du vendredi et du samedi à trois ; le lundi Vanessa retournait dans sa colocation. A trois nous avons naturellement explorés de nombreuses situations, la double pénétration, c’est-à-dire deux bites dans le sexe de Vanessa, mais nous trouvions cela trop acrobatique et cela ne nous procurait pas de réel plaisir. Avec Nicolas nous préférions lorsque l’un de nous la prenait dans la chatte et un autre par son œillet, nous aimions particulièrement cette position, nous nous sentions ainsi proche, on peut sentir le sexe de l’autre, il y avait comme un sentiment de fusion. Mais Vanessa n’appréciait pas spécialement la pénétration anale et cela demande du temps elle provoque souvent des désagréments pour la femme. Mais finalement, ce que nous faisions le plus, c’était que l’un prenait Vanessa en levrette pendant qu’elle suçait l’autre. Ou alors, nous aimions aussi nous relayer dans son sexe, sans éjaculer, afin de procurer un long plaisir à Vanessa. Nous aimions aussi prendre Vanessa alors qu’elle avait déjà fait l’amour avec l’autre. Nous avons vécu ainsi pendant près d’un an, puis Nicolas nous a dit qu’il partait travailler dans un laboratoire de biologie à l’étranger pour son doctorat. Et c’est à ce moment-là qu’elle est tombée enceinte, au début nous ne savions pas de qui, mais après des tests, il s’est révélé que j’étais le père de notre fille. Après l’accouchement et une pause pour se remettre en forme, Vanessa m’a demandé si nous ne pourrions pas recommencer une expérience à trois. J’hésitais, mais je voulais lui faire plaisir. J’avais pourtant peur que cela détruise le couple que nous formions depuis lors. Et comment choisir le troisième partenaire ? Les choses se sont faites simplement. Un soir, Vanessa est rentrée vers 23h00, je l’ai embrassé et j’ai senti qu’il s’était passé quelque chose. Elle m’a alors avoué qu’elle venait de coucher avec un jeune stagiaire de 19 ans. Il était arrivé à son travail depuis 3 semaines et après le travail ils étaient partis boire un verre. Puis, tout en discutant gentiment, ils sont allés chez lui – il avait une chambre pour les quatre mois de son stage proche du lieu de travail. Arrivés chez lui, ils se sont assis pour boire un verre et Vanessa lui a pris la main tout en discutant, pour créer un contact et voir sa réaction. Puis elle l’a embrassé et ils ont fait l’amour. Ils ont mangé et refait l’amour. J’étais très excité par cette situation et j’ai fait l’amour a Vanessa, c’était la première fois depuis longtemps que je la retrouvais ainsi, avec le goût d’un autre et son sperme. J’ai adoré la prendre alors qu’à peine 20 minutes plus tôt un autre l’avait prise, j’étais très excité et j’ai ressenti une forte jouissance. Vanessa a continué à voir le stagiaire trois fois par semaine après le travail, puis elle revenait et nous faisions l’amour. A la fin de son stage, son amant est reparti, il voulait revoir Vanessa, mais elle a refusé, lui disant qu’elle vivait avec quelqu’un et qu’elle avait déjà un enfant. Il a été malheureux. Quelques temps plus tard, Nicolas est rentré de son séjour à l’étranger où il avait passé deux ans. Il est venu nous voir et dès que notre enfant a été au lit, il a embrassé Vanessa et ils ont fait l’amour, deux fois de suite, j’étais avec eux mais plus tôt passif. Ca été un grand plaisir pour moi de l’a prendre alors qu’elle venait de faire deux fois l’amour avec Nicolas. Il est resté une année et nous avons repris nos habitudes, parfois Vanessa couchait avec lui, parfois avec moi, parfois elle couchait d’abord avec l’un et venait rejoindre l’autre et parfois nous faisions l’amour à trois. Une telle situation provoque naturellement des sentiments de jalousie, mais elle a surtout l’avantage d’entretenir la libido, nous n’avons jamais été autant actifs que lors des relations à trois. Après six mois, Nicolas trouvé du travail dans une autre ville et il a déménagé, il venait nous rejoindre pour le week-end, puis un jour il nous dit qu’il avait une amie et qu’il espacerait ses visites. Bientôt il n’est plus venu.
Nous avons envisagé par la suite d’avoir des relations avec un autre partenaire, mais nous n’y tenions pas tellement, ce qui faisait la différence avec Nicolas, c’est que Vanessa en était amoureuse et que tout s’était fait naturellement. Le jeune stagiaire avait été une parenthèse, qui s’explique par le manque provoqué par le départ de Nicolas.
Vanessa est une jolie noiraude, à la peau mate, type latin, ses deux parents sont d’origine espagnole. Elle a une très belle paire de seins, ni trop petits, ni très grands. Elle a des cheveux longs, très beaux. Ce qui m’a plu chez elle, c’est qu’elle est belle naturellement, mais c’est quelque chose de plus, il se dégageait d’elle un charme fou, elle avait une belle voix douce et ferme. Elle paraissait avoir 21 ou 22 ans, légèrement fragile, tout en sachant ce qu’elle veut. J’en ai 36 et bien qu’elle me plaisait, je n’envisageais rien, je me contentais de la regarder lorsque j’allais faire mes courses. Or, son sourire, sa beauté, son charme faisaient leur effet. Et un jour, j’ai osé franchir le pas, je lui ai dit que je la trouvais sympathique et que je l’invitais à boire un verre un soir si elle le désirait. Elle a refusé, me disant qu’elle avait déjà un ami et que dans cette situation, ça n’avait pas de sens de se voir. J’en ai fait mon deuil et j’ai évité le magasin quelques temps.
A peine trois semaines plus tard, j’ai été invité par un ami à l’anniversaire de sa compagne. Qu’elle ne fut pas ma surprise de rencontrer à cette occasion Vanessa, accompagnée de son ami. Comme il y avait du monde à la fête, j’ai plus ou moins essayé de l’éviter, mais dans la soirée je me suis retrouvé face à elle. Elle m’a dit bonsoir en souriant, je lui ai répondu et nous avons fait connaissance. Elle était en effet étudiante, elle voulait devenir assistante social et elle avait 21 ans. Puis son ami est revenu, il devait avoir 23 ans, blond, plus petit que moi, il était étudiant en biologie, ce qui a coupé la discussion.
Vers la fin de la soirée, elle revenue vers moi et m’a dit qu’elle trouverait sympa que l’on se rencontre pour boire le verre que je lui avais proposé, il y a quelques temps. J’ai accepté et nous avons décidé de nous revoir le dimanche suivant en début de soirée.
Le dimanche, dès quelle est arrivée nous avons commencé à parler et la soirée s’est déroulée très rapidement, je crois que ni elle, ni moi, n’avons vu le temps passé, nous avions beaucoup à nous dire et nous avions l’impression de nous connaître depuis longtemps. Vers 23h00, nous avons décidé de rentrer, comme nous habitions dans le même quartier, nous avons fait un bout de route ensemble. Avant de nous quitter nous étions face à face, nous nous sourions, ni elle, ni moi ne savions que dire. Je lui ai pris les deux mains tout en souriant et je me suis penché pour lui faire la bise, mais je l’ai embrassé. Mon premier petit baiser, un peu volé, s’est vite transformé en un long et tendre baiser. Je lui ai alors proposé de venir boire un verre chez moi et elle a accepté.
Arrivés chez moi nous nous sommes embrassés, je lui ai caressé les seins à travers le pull, je lui ai enlevé son pull, et nous sommes allés dans ma chambre. Nous avons fait l’amour, longuement, je l’ai prise 3 fois, dans la nuit. C’était parfait, c’est comme si nos corps étaient fait l’un pour l’autre, comme si nous n’attendions que cela. Je n’arrive pas toujours à faire jouir mes compagnes par la pénétration, mais ce soir-là, Vanessa a ressenti très rapidement du plaisir, j’ai adoré entendre ses soupirs lorsque le plaisir commençait à venir et qu’il se développait. Dans la nuit, elle m’a quitté en me disant qu’elle me rappelerait.
Mais je suis resté sans nouvelles de sa part pendant deux semaines. Or, un samedi matin, je l’ai revue au super marché et elle m’a dit qu’elle avait une pause de 12h30 à 13h45 et qu’elle aimerait me revoir pour parler. J’ai accepté et nous nous sommes donnés rendez-vous dans un café à côté du super marché. Lorsque nous nous sommes retrouvés, elle m’a dit qu’elle était désolée de ne pas m’avoir rappelé, qu’elle avait encore son ami et qu’elle ne savait pas quoi faire. En fait, elle m’a dit qu’elle se trouvait très bien avec moi, qu’elle n’avait jamais eu autant de plaisir sexuel que lors de notre rencontre. Je lui ai dit que moi aussi j’étais désolé, je ne me voyais pas comme un briseur de couple, mais que ça avait été plus fort que moi, parce que je l’aimais. Je lui ai dit qu’elle devait réfléchir, que je ne voulais en rien la brusquer et que j’étais prêt à l’attendre si elle avait besoin de faire le point. Je l’ai sentie plus tranquille. Elle m’a alors dit qu’elle n’avait pas encore mangé et qu’elle venait volontiers chez moi, mais qu’elle devait rapidement retourner au travail.
J’étais un peu troublé, car je sentais bien que si elle venait chez moi nous referions l’amour. En marchant chez moi, j’avais la bouche sèche, je ne pouvais rien dire et je crois qu’elle non plus. D’une certaine manière, elle savait qu’elle n’aurait pas dû me proposer d’aller chez moi. A peine arrivés chez moi, elle m’a embrassé. Je l’ai aussitôt assise sur la table, je l’ai embrassé, je lui ai caressé les seins, je lui ai enlevé son pull et caressé les seins à travers son soutif. Je lui ai enlevé ses souliers, elle m’a retiré mon pull. Nous embrassions, puis je l’ai aidé à enlever son pantalon et son slip. Elle m’a demandé de la prendre ainsi et je l’ai prise sur la table, sans préservatif, contrairement à notre première rencontre. Après quelques minutes, elle m’a demandé de m’arrêter, puis elle est descendue de la table s’est retournée et m’a demandé de la prendre dans cette position. Très vite, j’ai commencé à entendre son souffle qui marquait la montée de son plaisir, j’ai alors pris le temps de la faire jouir, alternant les va-et-viens lents et rapides, j’ai senti son plaisir monter, sa jouissance venir, lente, mais continue. Je crois que je n’ai jamais donné autant de plaisir que ce jour-là et je n’en avais rarement autant ressenti. Je me rappelle encore de mes mains sur ses anches, de son souffle.
Après cela nous avons bu un verre d’eau, alors que nous étions nus dans la cuisine, elle s’est agenouillée, elle a pris ma bite et a commencé à me la caresser avec la langue, en alternant les coups de langues et la prise complète en bouche. Je n’ai pas tardé à bander et je l’ai emmené dans mon lit. Une nouvelle fois, je l’ai prise, plus lentement, avec moins de fougue, mais plus de passion. Elle m’a remercié, m’a dit qu’elle devait retourner au travail et m’a donné rendez-vous pour le dimanche soir. Le dimanche soir, nous avons refait l’amour.
Nous avons ainsi commencé une relation, nous voyons le dimanche soir de 20h00 à minuit, car elle mangeait toujours chez ses parents le dimanche sans son ami. Après 15 jours, elle m’a proposé de nous voir le mardi après-midi en plus du dimanche soir, puis tous les jeudis de 18h00 à 20h00, lorsque son ami était au sport. Après deux mois, je lui demandé ce qu’il en était avec son ami, elle m’a dit qu’elle ne pouvait pas le quitter et qu’elle l’aimait. Je me suis accommodé de la situation, je crois que j’étais trop amoureux pour exiger qu’elle se consacre uniquement à moi. Un jeudi soir, après que nous ayons fait l’amour, elle m’a demandé si elle pouvait prendre une douche, je lui ai répondu qu’elle pouvait faire comme chez elle. Elle m’a alors dit que son ami était toujours très entreprenant le jeudi soir et qu’elle voulait nettoyer mon sperme avant de retourner chez lui. Cette phrase a déclenché en moi un fort sentiment de jalousie, mais en même temps de plaisir, de savoir que j’étais passé avant son ami. Mais j’étais aussi troublé qu’elle puisse passer d’un homme à un autre. Quelques jours plus tard, je lui en ai parlé. Elle m’a répondu, avec un air de sainte-nitouche, que c’était plus fort qu’elle, qu’elle nous aimais tous les deux. J’étais troublé, jaloux, mais en même temps très excité. Je pensais souvent à cela, à elle avec l’autre, au plaisir qu’elle prenait avec lui, au sexe de son ami dans sa chatte. Ces pensées me venaient autant lorsque j’étais seul que lorsque nous faisions l’amour. Cela m’excitait de plus en plus.
Puis un jour, elle m’a dit qu’elle avait annoncé à son ami, Nicolas, qu’elle avait une liaison ave moi. Il d’abord mal réagi, ils se sont séparés pendant une semaine. Puis, il lui a demandé de la rencontrer pour discuter, elle lui a pris la main, l’a caressé, elle l’a embrassé et ils ont fait l’amour, sauvagement, dans leur salon. Ils ont passé leur samedi soir ainsi. Puis le dimanche, elle lui a dit qu’elle venait me voir, mais qu’elle reviendrait vers minuit. Elle est venue chez moi et nous avons fait l’amour. Elle m’a alors annoncé qu’elle était à nouveau avec Nicolas et qu’ils avaient fait l’amour durant la nuit. Cela m’a excité et je l’ai prise deux fois avec force, tellement j’étais excité. Puis, vers 23h30, elle m’a dit qu’elle retournait chez son ami.
Elle m’a ensuite raconté qu’elle était rentré chez son ami, que celui-ci était déjà au lit, qu’elle s’est déshabillée et l’a rejoint au lit. Il ne dormait pas, elle l’a embrassé ; il lui a demandé si elle était vraiment avec moi et ce que nous avions fait. Elle lui a dit la vérité, qu’elle m’avait vu et que nous avions fait l’amour. Elle lui a pris une main, l’a mise dans sa chatte où il y avait encore mon sperme et elle a léché les doigts de son ami. Elle l’a embrassé et ils ont fait l’amour. Pendant qu’ils faisaient l’amour, son ami lui a demandé de raconter ce que nous avions fait et dans quelles positions. Il lui a demandé des détails sur mon anatomie – plus longue mais plus fine que la sienne. Ainsi, a commencé une relation à trois, ou tous étaient consentants. Deux mois plus tôt, aucun de nous trois n’aurait cru qu’il vivrait sereinement une telle relation. Vanessa passait ses mardis après-midi, jeudi soir et la nuit de dimanche à lundi avec moi et le reste du temps avec son ami.
Les choses sont restés ainsi deux mois, jusqu’à un samedi après-midi où je me promenais en ville. Soudain je vois Vanessa, main dans la main avec son ami. J’essaie de me faire petit et de passer sans les voir, mais Vanessa m’aperçoit, me salut et fais les présentations, Nicolas, Marc. Je suis paniqué, j’ai la bouche sèche et je ne sais pas quoi dire. Je crois que Nicolas est dans la même situation. Mais Vanessa n’est pas gênée. Elle nous propose d’aller boire un verre ensemble. Autour de la table, l’atmosphère est tendue au début, mais Vanessa anime la discussion, elle parle de tout et de rien, de son travail, des études de Nicolas et de moi. Petit à petit l’atmosphère se détend, se sent Nicolas moins farouche, je crois qu’il est aussi tendu que moi. Soudain, je lui pose une question, il répond gentiment et nous finissons par rire tous les trois suite à une plaisanterie de Vanessa. Nous passons ainsi plus d’une heure à bavarder. Puis Vanessa m’a demandé si on pouvait aller boire un verre chez moi, vu que mon appartement était tout prêt. J’ai accepté et nous sommes partis chez moi.
En marchant, personne nous ne disions rien. Je me demandais ce qui allait se passer et j’avais la gorge sèche. Je connaissais assez Vanessa et son amour du sexe pour deviner qu’il se passerait quelque chose, mais je n’arrivais pas à imaginer quoique ce soit. Cette jeune fille de 21 ans, me menait par le bout du nez. Mais j’ai su par la suite qu’elle improvisait totalement et que le côté déluré que je lui trouvais était aussi nouveau pour elle. Avant de me rencontrer, avant ce fameux dimanche soir où nous avons bu un verre et que nous avons fait l’amour sur un coup de folie, Vanessa était plutôt une fille prude, elle n’avait couché qu’avec un premier copain à 17 ans et avec Nicolas avec qui elle était depuis 18 mois. Je crois que nous nous sommes tous laissés entraînés dans cette histoire qui était nouvelle pour tous trois. Arrivés chez moi, nous nous sommes installés au salon, Vanessa et Nicolas dans le canapé et moi en face sur le fauteuil. J’ai servi un verre et nous bavardions. Vanessa avait pris la main de Nicolas, qu’elle caressait, puis elle l’a embrassée. C’était très beau de les voir ainsi, elle avec sa peau mate, ses cheveux, qui embrassait Nicolas. En principe, j’aurais dû être jaloux, mal réagir à la réalité, mais au contraire je trouvais cela très beau. Je ne sais pas pourquoi, je garde le souvenir de sa main posée sur la figure de Nicolas et de sa montre. Elle m’a regardé, m’a demandé de venir m’asseoir à côté d’elle et elle a à nouveau embrassé Nicolas. Et puis, alors que je m’étais assis à côté d’elle, simplement, elle s’est tournée vers moi et m’a embrassé. Je me rappelle de ce baiser, je sens encore le goût, provoqué par la gêne et par l’excitation de la situation. Elle a à nouveau embrassé Nicolas, je lui ai caressé les seins, puis je lui ai enlevé son pull. Pendant que je l’embrassais à nouveau, Nicolas lui a décroché le soutien-gorge. Le fait de toucher ses seins, de les caresser, a déclenché en moi une envie irrépressible de la prendre. Je leur ai alors proposé d’aller dans ma chambre. Nous nous sommes levés et nous y sommes allés.
Dans la chambre, une gêne s’est emparée de nous. Nous ne savions que faire. Une fois de plus, Vanessa a pris l’initiative, elle a enlevé le pull de Nicolas et moi le mien, elle lui a défait la ceinture et moi la mienne et pendant qu’elle embrassait Nicolas je lui ai enlevé à elle aussi son pantalon et son slip. Vanessa est montée sur le lit et nous avons commencé à la caresser et à l’embrasser, les seins, le sexe, les jambes, le ventre, nous avons tout fait pour lui donner du plaisir. Puis soudain, elle m’a dit, Marc prends-moi. J’étais gêné, mais j’en mourrais d’envie et je l’ai prise. C’était étrange de la voir jouïr alors que son ami nous regardait. Puis elle a demandé à Nicolas de la prendre, mais il a paniqué et perdu son érection. Elle l’a embrassé, elle l’a sucer et lui a embrasser le torse. Pendant qu’elle lui embrassait le torse, elle a pris sa bite d’une main et l’a attirée vers sexe à elle. Nicolas était en elle sans qu’il s’en soit aperçu et gentiment elle a commencé à le chevaucher. C’était très beau de la voir ainsi, de voir son bas du dos aller et venir, de voir ses seins qui touchaient presque le torse de Nicolas, de voir son visage s’épanouir avec la montée de la jouissance. Nicolas n’a pas été long à venir.
Après cela, Vanessa avait l’air heureuse et elle est restée sur Nicolas. J’ai commencé à la caresser, puis je l’ai prise en levrette. Nous avons ensuite mangé et nous sommes retournés au lit. Nous avons recommencé les caresses et cette fois Nicolas a eu droit à prendre Vanessa en premier. Pendant qu’il l’a prenait en levrette, je lui ai présenté mon sexe qu’elle suçait et je lui ai éjaculé au visage, ce qui m’a procuré un grand plaisir. Probablement un besoin de l’humilier du fait qu’elle ne se réservait pas à moi exclusivement. Plus tard dans la nuit, nous avons pris Vanessa à tour de rôle pendant près d’une heure, en retenant notre plaisir et nous relayant pour lui procurer une longue jouissance, je crois qu’elle n’avait jamais ressenti un plaisir aussi long.
Dès lors, une sorte de rituel s’est instauré entre nous trois. Vanessa dormait le dimanche et le jeudi soir chez moi, le mardi et le mercredi avec Nicolas et nous passions la nuit du vendredi et du samedi à trois ; le lundi Vanessa retournait dans sa colocation. A trois nous avons naturellement explorés de nombreuses situations, la double pénétration, c’est-à-dire deux bites dans le sexe de Vanessa, mais nous trouvions cela trop acrobatique et cela ne nous procurait pas de réel plaisir. Avec Nicolas nous préférions lorsque l’un de nous la prenait dans la chatte et un autre par son œillet, nous aimions particulièrement cette position, nous nous sentions ainsi proche, on peut sentir le sexe de l’autre, il y avait comme un sentiment de fusion. Mais Vanessa n’appréciait pas spécialement la pénétration anale et cela demande du temps elle provoque souvent des désagréments pour la femme. Mais finalement, ce que nous faisions le plus, c’était que l’un prenait Vanessa en levrette pendant qu’elle suçait l’autre. Ou alors, nous aimions aussi nous relayer dans son sexe, sans éjaculer, afin de procurer un long plaisir à Vanessa. Nous aimions aussi prendre Vanessa alors qu’elle avait déjà fait l’amour avec l’autre. Nous avons vécu ainsi pendant près d’un an, puis Nicolas nous a dit qu’il partait travailler dans un laboratoire de biologie à l’étranger pour son doctorat. Et c’est à ce moment-là qu’elle est tombée enceinte, au début nous ne savions pas de qui, mais après des tests, il s’est révélé que j’étais le père de notre fille. Après l’accouchement et une pause pour se remettre en forme, Vanessa m’a demandé si nous ne pourrions pas recommencer une expérience à trois. J’hésitais, mais je voulais lui faire plaisir. J’avais pourtant peur que cela détruise le couple que nous formions depuis lors. Et comment choisir le troisième partenaire ? Les choses se sont faites simplement. Un soir, Vanessa est rentrée vers 23h00, je l’ai embrassé et j’ai senti qu’il s’était passé quelque chose. Elle m’a alors avoué qu’elle venait de coucher avec un jeune stagiaire de 19 ans. Il était arrivé à son travail depuis 3 semaines et après le travail ils étaient partis boire un verre. Puis, tout en discutant gentiment, ils sont allés chez lui – il avait une chambre pour les quatre mois de son stage proche du lieu de travail. Arrivés chez lui, ils se sont assis pour boire un verre et Vanessa lui a pris la main tout en discutant, pour créer un contact et voir sa réaction. Puis elle l’a embrassé et ils ont fait l’amour. Ils ont mangé et refait l’amour. J’étais très excité par cette situation et j’ai fait l’amour a Vanessa, c’était la première fois depuis longtemps que je la retrouvais ainsi, avec le goût d’un autre et son sperme. J’ai adoré la prendre alors qu’à peine 20 minutes plus tôt un autre l’avait prise, j’étais très excité et j’ai ressenti une forte jouissance. Vanessa a continué à voir le stagiaire trois fois par semaine après le travail, puis elle revenait et nous faisions l’amour. A la fin de son stage, son amant est reparti, il voulait revoir Vanessa, mais elle a refusé, lui disant qu’elle vivait avec quelqu’un et qu’elle avait déjà un enfant. Il a été malheureux. Quelques temps plus tard, Nicolas est rentré de son séjour à l’étranger où il avait passé deux ans. Il est venu nous voir et dès que notre enfant a été au lit, il a embrassé Vanessa et ils ont fait l’amour, deux fois de suite, j’étais avec eux mais plus tôt passif. Ca été un grand plaisir pour moi de l’a prendre alors qu’elle venait de faire deux fois l’amour avec Nicolas. Il est resté une année et nous avons repris nos habitudes, parfois Vanessa couchait avec lui, parfois avec moi, parfois elle couchait d’abord avec l’un et venait rejoindre l’autre et parfois nous faisions l’amour à trois. Une telle situation provoque naturellement des sentiments de jalousie, mais elle a surtout l’avantage d’entretenir la libido, nous n’avons jamais été autant actifs que lors des relations à trois. Après six mois, Nicolas trouvé du travail dans une autre ville et il a déménagé, il venait nous rejoindre pour le week-end, puis un jour il nous dit qu’il avait une amie et qu’il espacerait ses visites. Bientôt il n’est plus venu.
Nous avons envisagé par la suite d’avoir des relations avec un autre partenaire, mais nous n’y tenions pas tellement, ce qui faisait la différence avec Nicolas, c’est que Vanessa en était amoureuse et que tout s’était fait naturellement. Le jeune stagiaire avait été une parenthèse, qui s’explique par le manque provoqué par le départ de Nicolas.
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