Vendeuse particulière, suite
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-03-2011 dans la catégorie A dormir debout
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Vendeuse particulière, suite
Finalement la nuit chez ma patronne a été courte. Nous n’avons pas arrêter de baiser. C’est ma première femme, moi qui aime les hommes avec leurs queues bien dures dans mon cul. Au fond elle n’a fait que me baiser avec ses godes, sauf deux fois ou nous avons fait un 69 royal. Quand fatiguées nous nous sommes arrêtées, c’était pour nous endormir enlacées. Quand je me suis réveillée elle s’habillait pour aller au magasin. Il n’était pas tard:
- Je te quitte pour réceptionner des colis de marchandises. Il doit même y en avoir pour toi.
Je la rejoins bien vite après ma douche matinale qui finit toujours par le jet sur la sexe. Dès mon premier orgasme, je vais au magasin. En effet deux colis sont pour moi. Je les descends dans « ma pièce » pour les ouvrir et ranger les objets. Ce ne sont que des réassortiments. Je range tout et j’attends la clientèle qui ne vient pas: il est trop tôt. Ma patronne que je vient voir m’embrasse légèrement
- Tu sais que tu es douée pour baiser.
- Merci, c’est ma nature, j’aime jouir alors cette nuit j’ai donné mon plaisir. Ne t’en plains pas.
- Tu as le temps encore avant que les premières clientes arrivent. En principe elle viennent un peu plus tard, après une nuit d’amour avec leur jules ou leurs amantes: elle ne viennent pour avoir un supplément soit en nature: tu devras les masturber ou pour acheter et dans ce cas-tu dois leur montrer le fonctionnement, surtout des godes vibrant et de boules de geisha. C’est extraordinaire de voir des femmes qui viennent se faire troncher après une nuit agitée.
Elle fini à peine de parler quand une jolie fille de 25 ans environ demande le rayon des jouets. Je l’accompagne en bas. J’ai eu le temps de la voir: elle est grande, avec une belle poitrine, une femme parfaite.
Que veut-elle , il a simplement besoin de changer de gode: le sien est vieux, elle en veut un vibrant. C’est risible de voir une femme bien comme il faut, avec une allure sérieuse demander simplement, comme un objet banal ce qu’elle va se mettre plus tard. Il faut quand même que je lui montre le fonctionnement. La démonstration est rapide, je le range dans son paquet d’origine, passe à la caisse et s’en va.
Ma patronne a raison. Je vois une dizaine de femme de tout âge qui viennent chercher leur pousse à jouir. Je sors ce qu’elle veulent. La plus part ont déjà essayé les objets coquins: je n’ai pas de démonstration particulière à faire, sinon que leur faire acheter le plus cher.
Dans l’après midi je reçoit une femme de mon âge à la recherche de plaisir « autre ». Je ne comprend qu’on bout d’un moment ce qu’elle appelle autre. Elle cherche de quoi faire jouir sa compagne et elle-même ensemble dans le même mouvement. Je lui demande si elles pratiquent le 69. J’ai posé une question idiote, bien sur qu’elles se lèchent longuement. Je propose le double gode: je lui explique qu’il suffit d’être couchées avec une extrémité de l’engin dans le sexe de chacune des deux, que la maitresse du jeu, la dominante fasse coulisser dans chaque foufoune les bouts pour éprouver les mêmes orgasmes que quand on est baisée.
Elle ne me crois pratiquement pas. Je lui propose d’essayer avec moi. Elle m’examine un instant.
- Je vais dire oui, parce que vous me plaisez.
- Vous aussi, je vais prendre un moment de plaisir avec vous.
Nous nous déshabillons de concert, nous nous embrassons sur la bouche.. C’est elle qui me caresse pour m’exciter. Si elle savait combien j’ai envie d’elle, elle se serait passé de me caresser partout. Je lui donne le double. Elle me couche et je la guide pour qu’elle soit en bonne position pour me baiser. Elle tient absolument à me baiser. Je l’aurai bien fait, mais la cliente a toujours raison. Elle commence à l’envers en me le mettant d’abord. Quand elle se le met, elle le fait sortir de mon ventre. J’arrive à rattraper le coup. C’est moi qui dirige maintenant. Je la lui met dans sa chatte et commence mes allers et venues. Au début, elle ne semble pas avoir de plaisir particulier quand soudain elle se déchaîne. Elle gémit de plus en plus fort. Elle se caresse les seins et pose une main sur son bouton. Sans être prude je m’étonne qu’elle prenne son clitoris entre deux doigts pour compléter le plaisir que je lui donne.
- Oui, c’est bon.
- Tu en veux encore ?
- Bien sur continu. Si tu peux mets moi la au cul.
- Avec plaisir.
J’adore la sodomie, je ne vais pas lui donner à elle seule ce que j’aime. Je sors le gode de nos deux cons pour changer d’endroit. Je le lui pose sur l’anus, le rentre à moitié, le ressort un peu pour me le mettre. Il est assez long pour que je nous encule à fond. Elle est encore déchaînée, se masturbe encore et ajoute deux doigts dans son vagin. J’arrive à nous faire jouir.
Le temps de me remettre je peux la convaincre d’acheter ce double gode et deux autres normaux pour qu’elle puisse pratiquer les doubles pénétration avec son amante.
Quand elle sort, je pousse un soupir de soulagement. Enfin je peux me reposer.
C’est-ce que je croyais, quand arrive un couple de plus de 45 ans. L’homme explique que depuis qu’ils se connaissent ils ont fait l’amour à peu près sous toutes les formes; (madame écoute en rougissant comme si d’avoir baisé était impardonnable). Ils me demande ce qui pourrait apporté le plus de jouissance à sa femme. Pour lui, il ne demande rien; si sa femme jouit bien, il sait qu’elle le fera éjaculer souvent.
Je demande à cette femme un peu trop prude de se mettre nue. Il faut que le mari la pousse à accepter. Je la regarde en détail: elle a juste la poitrine qui descends un peu. Je comprends qu’ils baisent en y prenant beaucoup de plaisir.
Je vais plus loin dans mes interrogations: je lui demande si elle se masturbe et combien de fois par jour. C’est encore le mari qui répond:
- Elle se branle au moins trois fois par jour devant moi. Je ne sais pas si elle le fait en mon absence.
- Oui j’aime me branler et quand il n’est pas là je me caresse au moins trois fois de plus. Je me caresse le clitoris et ensuite je me doigte.
Je crois avoir ce qu’il faut:
- Si vous sortez en ville je vous conseille des boules de geisha.
Ils semblent ignorer de quoi je parle:
- Vous savez ce sont des boules reliées par un cordon qui sont vides avec une petit bille à l’intérieur qui quand vous marchez bougent, font des petites sensations qui ajouter les unes aux autres vous font jouir assez facilement: c’est très recommandé pour aller faire des courses et jouir en même temps. Si vous les gardez toute la journée le soir vous êtes prête pour une bonne baise.
Elle les veut bien à condition que je lui montre comment bien les mettre. Je sort les boule de démonstrations, soulève ma jupe, m’assois sur le lit, j’écarte bien les jambes, montrant ainsi au couple qui n’en demandait pas tant, je prend les boules, en rentre une, ce qui bien sur me fait mouiller, j’entre l’autre en les enfonçant bien dans mon ventre. Je me lève un peu pour marcher. Excitée comme je suis, je jouis en trois pas. Le couple est séduit par ces boules. Je fais un paquet et ils passent à la caisse.
Moi, je suis encore avec les boules dans ma chatte. J’hésite à les enlever: c’est réellement très agréable. Je vais les garder le plus possible.
Enfin la fermeture. La patronne me demande de venir avec elle pour la nuit. Je refuse, j’ai envie d’un vrai bite et le sperme qui va avec. Je le lui dit.
- Connais-tu des endroit où trouver un homme ?
- Pas du tout.
- Nous allons aller ensemble pour trouver deux types pour la nuit, sois à quatre soit en couple, comme tu veux.
- A quatre je ne l’ai jamais fait. J’aimerai bien essayer.
Nous voilà parti dans un bar où erre les gens comme nous, à la recherche de l’âme seule pour la nuit. Elle a l’œil , elle remarque deux hommes du même gabarit qui cherchent. Sans pudeur, elle va nous offrir. Ils me semblent forts mignons, sans doute bien montés.
Nous sommes maintenant chez elle à quatre. Elle offre d’abord à boire: un whisky bien tassé à chacun. Nous sirotons la liqueur pendant que nous faisons connaissance. J’ai le béguin pour le plus grand, pas le plus beau. Il me semble qu’il pourra bien me prendre. Ma patronne donne l’exemple en se mettant nue après une striptease: elle est tellement sexy que l’autre homme va l’embraser sur la bouche. Mon préféré en fait autant. A mon tour de me lever pour mettre ma bouche sur la sienne.
Au moins l’ambiance sexy est affirmée. Je vais sur les genoux de celui qui me plait: il m’embrasse longuement sur la bouche. Je n’ai pas de temps à perdre: je ne me lève même que pour enlever les boules de geisha que je porte encore. Il peut voir les boules pleine de cyprine et la chatte ouverte. Il pose une main entre mes cuisses pour venir sur mon bouton. Je m’écarte un peu de lui pour sortir sa bite qui est bien come je le pensais: grosse et longue. Je commence par le branler avant qu’il me le fasse. J’espère pour lui et pour moi qu’il tiendra le coup. Je prends le haut de son membre pour faire descendre la peau jusqu’à ses couilles. Je le sens frémir tout le temps de ma caresse. Il est arrivé à mon bouton. La vache, qu’il branle bien. Ses doigts vont et viennent sur moi. Je ne sais si c’est à cause de la journée que j’ai eu, je ne résiste pas longtemps: je jouis plus fort encore qu’avec celle à qui j’ai appris à baiser avec le double gode.
Je pense qu’elle aurait pu baiser avec un homme plutôt que d’employer des méthodes artificielles. Je fais comme ma patronne, je suis enfin nue. Je revient sur les genoux de mon amant pour lui donner mon cul. Je m’assieds sur lui, cherche sa bite et la dirige vers l’anus. Je me laisse glisser sur lui: la pine entre doucement dans le fourreau de mon cul. J’accentue mon plaisir en prenant sa main pour qu’il me branle le bouton. Il le fait remarquablement bien.
Je jette un œil sur ma patronne: elle est en 69 avec son type. Je suis étonnée: elle est dessous lui qui carrément lui baise la bouche. Même s’il la suce bien, elle ne doit pas être à l’aise.
Je me laisse partir vers le paradis d’Eros. Je ne peux plus me retenir: j’ai un orgasme rare. Quand je me relève il jouit dans le vide. Je me précipite pour avoir sa liqueur: je ne récupère pas le tout, seulement une bonne partie. J’avais envie de liqueur masculine depuis un moment, depuis la dernière nuit avec ma patronne quand elle me suçait.
Mon amant ne bande plus. Celui de ma patronne jouit à cet instant. Elle se relève, me voit et partage le sperme avec moi.
Nous avons encore envie. Elle va chercher le double gode. Nous nous allongeons sur le tapis et nous nous baisons longuement. J’en suis au point où je me demande ce qui est le meilleur pour me faire jouir: une femme ou un homme. J’ai la réponse un peu plus tard quand je fais un 69 avec elle et que mon amant vient sur moi pour me la mettre encore une fois dans le cul.
Les deux ont leurs avantages.
Je suis au magasin depuis bientôt 5 ans, je baise avec ma patronne souvent et avec des clientes au moins trois fois pas jour. J’ai aussi un amant bien monté qui me baise.
- Je te quitte pour réceptionner des colis de marchandises. Il doit même y en avoir pour toi.
Je la rejoins bien vite après ma douche matinale qui finit toujours par le jet sur la sexe. Dès mon premier orgasme, je vais au magasin. En effet deux colis sont pour moi. Je les descends dans « ma pièce » pour les ouvrir et ranger les objets. Ce ne sont que des réassortiments. Je range tout et j’attends la clientèle qui ne vient pas: il est trop tôt. Ma patronne que je vient voir m’embrasse légèrement
- Tu sais que tu es douée pour baiser.
- Merci, c’est ma nature, j’aime jouir alors cette nuit j’ai donné mon plaisir. Ne t’en plains pas.
- Tu as le temps encore avant que les premières clientes arrivent. En principe elle viennent un peu plus tard, après une nuit d’amour avec leur jules ou leurs amantes: elle ne viennent pour avoir un supplément soit en nature: tu devras les masturber ou pour acheter et dans ce cas-tu dois leur montrer le fonctionnement, surtout des godes vibrant et de boules de geisha. C’est extraordinaire de voir des femmes qui viennent se faire troncher après une nuit agitée.
Elle fini à peine de parler quand une jolie fille de 25 ans environ demande le rayon des jouets. Je l’accompagne en bas. J’ai eu le temps de la voir: elle est grande, avec une belle poitrine, une femme parfaite.
Que veut-elle , il a simplement besoin de changer de gode: le sien est vieux, elle en veut un vibrant. C’est risible de voir une femme bien comme il faut, avec une allure sérieuse demander simplement, comme un objet banal ce qu’elle va se mettre plus tard. Il faut quand même que je lui montre le fonctionnement. La démonstration est rapide, je le range dans son paquet d’origine, passe à la caisse et s’en va.
Ma patronne a raison. Je vois une dizaine de femme de tout âge qui viennent chercher leur pousse à jouir. Je sors ce qu’elle veulent. La plus part ont déjà essayé les objets coquins: je n’ai pas de démonstration particulière à faire, sinon que leur faire acheter le plus cher.
Dans l’après midi je reçoit une femme de mon âge à la recherche de plaisir « autre ». Je ne comprend qu’on bout d’un moment ce qu’elle appelle autre. Elle cherche de quoi faire jouir sa compagne et elle-même ensemble dans le même mouvement. Je lui demande si elles pratiquent le 69. J’ai posé une question idiote, bien sur qu’elles se lèchent longuement. Je propose le double gode: je lui explique qu’il suffit d’être couchées avec une extrémité de l’engin dans le sexe de chacune des deux, que la maitresse du jeu, la dominante fasse coulisser dans chaque foufoune les bouts pour éprouver les mêmes orgasmes que quand on est baisée.
Elle ne me crois pratiquement pas. Je lui propose d’essayer avec moi. Elle m’examine un instant.
- Je vais dire oui, parce que vous me plaisez.
- Vous aussi, je vais prendre un moment de plaisir avec vous.
Nous nous déshabillons de concert, nous nous embrassons sur la bouche.. C’est elle qui me caresse pour m’exciter. Si elle savait combien j’ai envie d’elle, elle se serait passé de me caresser partout. Je lui donne le double. Elle me couche et je la guide pour qu’elle soit en bonne position pour me baiser. Elle tient absolument à me baiser. Je l’aurai bien fait, mais la cliente a toujours raison. Elle commence à l’envers en me le mettant d’abord. Quand elle se le met, elle le fait sortir de mon ventre. J’arrive à rattraper le coup. C’est moi qui dirige maintenant. Je la lui met dans sa chatte et commence mes allers et venues. Au début, elle ne semble pas avoir de plaisir particulier quand soudain elle se déchaîne. Elle gémit de plus en plus fort. Elle se caresse les seins et pose une main sur son bouton. Sans être prude je m’étonne qu’elle prenne son clitoris entre deux doigts pour compléter le plaisir que je lui donne.
- Oui, c’est bon.
- Tu en veux encore ?
- Bien sur continu. Si tu peux mets moi la au cul.
- Avec plaisir.
J’adore la sodomie, je ne vais pas lui donner à elle seule ce que j’aime. Je sors le gode de nos deux cons pour changer d’endroit. Je le lui pose sur l’anus, le rentre à moitié, le ressort un peu pour me le mettre. Il est assez long pour que je nous encule à fond. Elle est encore déchaînée, se masturbe encore et ajoute deux doigts dans son vagin. J’arrive à nous faire jouir.
Le temps de me remettre je peux la convaincre d’acheter ce double gode et deux autres normaux pour qu’elle puisse pratiquer les doubles pénétration avec son amante.
Quand elle sort, je pousse un soupir de soulagement. Enfin je peux me reposer.
C’est-ce que je croyais, quand arrive un couple de plus de 45 ans. L’homme explique que depuis qu’ils se connaissent ils ont fait l’amour à peu près sous toutes les formes; (madame écoute en rougissant comme si d’avoir baisé était impardonnable). Ils me demande ce qui pourrait apporté le plus de jouissance à sa femme. Pour lui, il ne demande rien; si sa femme jouit bien, il sait qu’elle le fera éjaculer souvent.
Je demande à cette femme un peu trop prude de se mettre nue. Il faut que le mari la pousse à accepter. Je la regarde en détail: elle a juste la poitrine qui descends un peu. Je comprends qu’ils baisent en y prenant beaucoup de plaisir.
Je vais plus loin dans mes interrogations: je lui demande si elle se masturbe et combien de fois par jour. C’est encore le mari qui répond:
- Elle se branle au moins trois fois par jour devant moi. Je ne sais pas si elle le fait en mon absence.
- Oui j’aime me branler et quand il n’est pas là je me caresse au moins trois fois de plus. Je me caresse le clitoris et ensuite je me doigte.
Je crois avoir ce qu’il faut:
- Si vous sortez en ville je vous conseille des boules de geisha.
Ils semblent ignorer de quoi je parle:
- Vous savez ce sont des boules reliées par un cordon qui sont vides avec une petit bille à l’intérieur qui quand vous marchez bougent, font des petites sensations qui ajouter les unes aux autres vous font jouir assez facilement: c’est très recommandé pour aller faire des courses et jouir en même temps. Si vous les gardez toute la journée le soir vous êtes prête pour une bonne baise.
Elle les veut bien à condition que je lui montre comment bien les mettre. Je sort les boule de démonstrations, soulève ma jupe, m’assois sur le lit, j’écarte bien les jambes, montrant ainsi au couple qui n’en demandait pas tant, je prend les boules, en rentre une, ce qui bien sur me fait mouiller, j’entre l’autre en les enfonçant bien dans mon ventre. Je me lève un peu pour marcher. Excitée comme je suis, je jouis en trois pas. Le couple est séduit par ces boules. Je fais un paquet et ils passent à la caisse.
Moi, je suis encore avec les boules dans ma chatte. J’hésite à les enlever: c’est réellement très agréable. Je vais les garder le plus possible.
Enfin la fermeture. La patronne me demande de venir avec elle pour la nuit. Je refuse, j’ai envie d’un vrai bite et le sperme qui va avec. Je le lui dit.
- Connais-tu des endroit où trouver un homme ?
- Pas du tout.
- Nous allons aller ensemble pour trouver deux types pour la nuit, sois à quatre soit en couple, comme tu veux.
- A quatre je ne l’ai jamais fait. J’aimerai bien essayer.
Nous voilà parti dans un bar où erre les gens comme nous, à la recherche de l’âme seule pour la nuit. Elle a l’œil , elle remarque deux hommes du même gabarit qui cherchent. Sans pudeur, elle va nous offrir. Ils me semblent forts mignons, sans doute bien montés.
Nous sommes maintenant chez elle à quatre. Elle offre d’abord à boire: un whisky bien tassé à chacun. Nous sirotons la liqueur pendant que nous faisons connaissance. J’ai le béguin pour le plus grand, pas le plus beau. Il me semble qu’il pourra bien me prendre. Ma patronne donne l’exemple en se mettant nue après une striptease: elle est tellement sexy que l’autre homme va l’embraser sur la bouche. Mon préféré en fait autant. A mon tour de me lever pour mettre ma bouche sur la sienne.
Au moins l’ambiance sexy est affirmée. Je vais sur les genoux de celui qui me plait: il m’embrasse longuement sur la bouche. Je n’ai pas de temps à perdre: je ne me lève même que pour enlever les boules de geisha que je porte encore. Il peut voir les boules pleine de cyprine et la chatte ouverte. Il pose une main entre mes cuisses pour venir sur mon bouton. Je m’écarte un peu de lui pour sortir sa bite qui est bien come je le pensais: grosse et longue. Je commence par le branler avant qu’il me le fasse. J’espère pour lui et pour moi qu’il tiendra le coup. Je prends le haut de son membre pour faire descendre la peau jusqu’à ses couilles. Je le sens frémir tout le temps de ma caresse. Il est arrivé à mon bouton. La vache, qu’il branle bien. Ses doigts vont et viennent sur moi. Je ne sais si c’est à cause de la journée que j’ai eu, je ne résiste pas longtemps: je jouis plus fort encore qu’avec celle à qui j’ai appris à baiser avec le double gode.
Je pense qu’elle aurait pu baiser avec un homme plutôt que d’employer des méthodes artificielles. Je fais comme ma patronne, je suis enfin nue. Je revient sur les genoux de mon amant pour lui donner mon cul. Je m’assieds sur lui, cherche sa bite et la dirige vers l’anus. Je me laisse glisser sur lui: la pine entre doucement dans le fourreau de mon cul. J’accentue mon plaisir en prenant sa main pour qu’il me branle le bouton. Il le fait remarquablement bien.
Je jette un œil sur ma patronne: elle est en 69 avec son type. Je suis étonnée: elle est dessous lui qui carrément lui baise la bouche. Même s’il la suce bien, elle ne doit pas être à l’aise.
Je me laisse partir vers le paradis d’Eros. Je ne peux plus me retenir: j’ai un orgasme rare. Quand je me relève il jouit dans le vide. Je me précipite pour avoir sa liqueur: je ne récupère pas le tout, seulement une bonne partie. J’avais envie de liqueur masculine depuis un moment, depuis la dernière nuit avec ma patronne quand elle me suçait.
Mon amant ne bande plus. Celui de ma patronne jouit à cet instant. Elle se relève, me voit et partage le sperme avec moi.
Nous avons encore envie. Elle va chercher le double gode. Nous nous allongeons sur le tapis et nous nous baisons longuement. J’en suis au point où je me demande ce qui est le meilleur pour me faire jouir: une femme ou un homme. J’ai la réponse un peu plus tard quand je fais un 69 avec elle et que mon amant vient sur moi pour me la mettre encore une fois dans le cul.
Les deux ont leurs avantages.
Je suis au magasin depuis bientôt 5 ans, je baise avec ma patronne souvent et avec des clientes au moins trois fois pas jour. J’ai aussi un amant bien monté qui me baise.
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