Vengeance
Récit érotique écrit par Avasexe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-01-2010 dans la catégorie Plus on est
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Vengeance
Je m'appelle Stéphanie, j'ai quarante-deux ans et je suis séparée depuis deux ans.
Je vais vous raconter une expérience inoubliable que j'ai vécue il y a trois ans.
A cette époque, je vivais avec un homme pas très "chaud", faire l'amour se résumait à me pénétrer et à éjaculer quand il y arrivait. Rien ne semblait lui plaire dans le sexe. Même les films X l'ennuyaient. Les préliminaires ne l'intéressaient pas et il ne m'a jamais fait "minette". Lui aimait que je le suce et je le faisais car cela m'apportait du moins pendant quelques années un certain plaisir. A la fin, nous ne "faisions" l'amour qu’une fois par mois et ce n'était pas le nirvana.
Je rêvais souvent à l'époque de caresses buccales et de biens d'autres histoires avec des hommes plus virils. Je me masturbais presque chaque jour en pensant à ces sexes tendus qui ne pensaient qu'à pénétrer mon intimité et me noyer de leur sperme chaud et salé. Je mouillais en pensant à ces langues suçant et titillant mon bouton d'amour si peu utilisé sauf par moi.
Je me suis souvent retrouvée sur mon lit, les jambes écartées, mon œuf magique dans une main et un gode en bouche à rêver de sucer une bite et être léchée en même temps bien que j'apprécie faire ces choses séparément maintenant que j'y ai goûté.
L'aventure que j'ai vécue s'est déroulée alors que mon mari était parti en voyage d'affaire deux jours en Italie. Je m'étais concocté une petite soirée cool : chips, vin, coca, chocolat et un petit film X pour satisfaire mon minou et passer une bonne nuit.
Vers 22.00 heures, je me suis mise à l'aise dans mon gros peignoir et j'ai mis le DVD en marche. L'histoire n'était pas terrible mais dans mon état, cela suffisait à mettre en marche mes sens. Je fus vite au bord de l'orgasme en voyant deux hommes s'occuper d'une jeune fille mouillant comme une fontaine et hurlant son plaisir. Ma main s'activait sur mon clito et j'étais trempée.
C'est à ce moment que la sonnette retentit, surprise et inquiète vu l'heure tardive, j'allais voir à la fenêtre de l'appartement. En bas, se trouvait Marc, un ami d'enfance. Il revenait d'un sortie au restaurant avec des potes et comme il me savait seule venait me faire un petit coucou.
Je lui ouvris, coupait vite le film et ajustait mon peignoir.
Marc revenait d'une soirée avec son copain Bob, un collègue de travail belge. Il avait l'air un peu éméché et m'expliqua qu'il avait assez bien bu et qu'en vérité il venait chez moi prendre un café et récupérer avant de rentrer. Je le taquinais aussitôt sur son motif de passage et remarquais alors que son regard ne quittait que très rarement mon décolleté et mes cuisses. Il est vrai que je suis bien roulée 80 D. Au fur et à mesure de la discussion, je vis une bosse se former dans son pantalon. Je ne pouvais plus quitter cette protubérance des yeux et l'excitation procurée quelques instants plus tôt par le film revenait au galop. Je mouillais comme une femelle en chaleur. Marc légèrement "pété" se sentait pousser des ailes osa aventurer une main sur ma cuisse et m'embrasser à pleine bouche. Nos langues, s'aspiraient mutuellement et laissaient présager d'autres caresses. Je me suis vite retrouvée à poil et Marc aussi. Son sexe coulait littéralement d'excitation. Il me coucha sur le lit et entrepris une minette que je n'oublierai jamais. Sa langue léchait mes lèvres, remontant vers mon clito sans le toucher. D'un doigt, il caressait l'entrée de ma chatte sans vraiment pénétrer à l'intérieur. Sa langue frôlait mon bouton et je soulevais à chaque passage mon bassin pour tenter d'être touchée par cette langue si habille. Je le suppliais d'enfoncer son doigt, de sucer mon clito mais il ne m'écouta pas. Après quelques minutes, alors que j'étais à bout, sa bouche toute entière se colla à mon clito et son doigt s'enfonça profondément en moi. En deux secondes, j'étais prise de convulsions et je criais ma jouissance. C'était incroyable.
A peine remise, je me redressais tremblante. Je vis alors que le sexe de Marc était tendu et coulant. Je décidais alors de lui rendre cette caresse et j'entrepris de sucer cette tige coulante. Je suçais son sexe avec tant d'ardeur qu'il me dit de me calmer ou qu'il allait éjaculer. Je n'écoutais rien comme lui et en guise de réponse, je lui enfonçais un doigt mouillé de jus de bite dans le cul. Il me saisi par les cheveux et alors que je le pénétrais vigoureusement avec un puis deux doigts, il éjacula dans ma bouche. Il y avait tant de sperme que je dus le cracher dans un scottex.
Nous étions tous deux vidés mais toujours excités.
Son portable sonna et il me dit que son copain Bob n'avait pu rentrer chez lui car il avait oublié sa clef.
Marc était ennuyé, Bob était en bas et il avait envie de me baiser. Je crois que c'est son état d'excitation et le fait qu'il avait un peu bu qui le fis oser cette demande. Marc pouvait-il se joindre à nous. Moi, je n'avais pas bu mais était toujours excitée comme une chienne en manque et sans réfléchir j'acceptais.
Bob monta, me fit la bise et Marc l'attira dans la salle de bain. Je ne sais pas ce qu'il lui a dit et croyez moi, à cet instant je m'en foutais. Deux mâles pour moi, j'allais rattraper le temps perdu.
A peine sortis de la salle de bain, ils se sont littéralement jetés sur moi. Ils m'ont dit, tu vas en avoir pour ton argent, tu vas crier et jouir comme jamais et tu vas en redemander.
Cette phrase à peine terminée que je me retrouvais couchée à même le sol sur ma grande carpette en mouton. Un me caressait, l'autre m'embrassait à pleine bouche. Des doigts pénétraient mon intimité et des langues fouillaient ma bouche. Je ne savais pas si c'était Marc ou Bob qui avait ses doigts en moi et je m'en fichais, je profitais.
Un moment, ils se sont placé un sous moi à l'envers et l'autre entre mes jambes. Ils ont commencé à me lécher comme des fous. Bob le belge était sous moi, sa langue léchait mon anus pour remonter vers ma chatte. Marc suçait mon clitoris comme une sucette, je criais mon plaisir. Je leurs disait des mots crus pour les exciter et ça marchait, ils devenaient fous, leurs doigts me pénétraient deux trois, je ne sais plus, leurs langues suçaient léchaient aspiraient, je hurlais ma jouissance. Quand leur langue se touchaient, çà les excitaient et ils enfonçaient leurs doigts dans mes trous, j'étais comblée et je devenais de plus en plus crue dans mes paroles: sucez-moi salops, j'aime vos bites dures et coulantes, j'ai envie de sentir vos queues me pénétrer par tous mes trous, j'ai envie de sentir votre jus couler en moi, je veux que tu crache dans ma bouche en me tenant par les cheveux, enfin je devenais incontrôlable. Ces paroles les avaient tellement excité qu’ils m’ont retournée et pendant que Marc me prenait par derrière Bob toujours couché suçait mon clito. Cette caresse déclencha un orgasme si important que j'éjaculais comme un homme. Il n'en fallait pas plus pour Marc qui éjaculait dans mon cul.
Bob toujours couché sur le sol avait son sexe tendu et coulant, je savais par Marc que Bob était bi et çà m'excitait. Je me mis à le sucer et je descendis lentement vers ses boules gonflées de sperme. Puis, je m'aventurais vers son petit trou. Je caressais ce dernier du bout de la langue et enfonçait cette dernière de plus en plus. Avec mon doigt mouillé de salive je contournais son auréole et y pénétrait un doigt. Bob gémissait, son sexe coulait de plus en plus. Pour faire monter son excitation de plus en plus, je pris du sperme de Marc sur mes doigt sans oublier de lui dire avant et introduisit mon doigt gluant dans son intimité. Il devenait fou, je lui léchait la queue et les couilles et fouillais son intimité avec mes doigts remplis du sperme de Marc.
Marc excité par cette scène avait de nouveau une terrible érection. Cette petite scène l'avait excité et il se plaça derrière moi, introduisit son sexe dans ma chatte brûlante et me donna un gode déjà lubrifié par son jus.
Sans hésiter, j'obligeais Bob à sucer ce sexe humide de la semence de son ami. Il le suçait comme une femme et moi j'avais Marc en moi et mes doigts dans l'intimité de Bob.
Je plaçais alors le gode à l'entrée du cul de Bob et l'appuyais contre mon ventre. Les poussée de Marc faisaient entrer le gode en Bob qui gémissait et demandait plus.
Je me retirais de l'emprise de Marc et saisi Bob par la taille, j'enfonçais le gode de plus en plus profondément. J'étais excitée, je possédais un mâle. D'une main je tenais le gode de l'autre j'agitais la queue de Bob. Je sentais mon jus couler sur ma main droite et le liquide séminale de Bob couler sur l'autre main. Mes mouvements étaient de plus en plus rapides et violents. Bob hurla et cracha tout son jus sur le tapis. Moi j'eus un nouvel orgasme si fort que je pissais littéralement sur la main de Marc qui me fouillait pendant cette scène.
Pour terminer, Marc me saisit par la nuque et cracha quatre à cinq jets de sperme chaud sur mon visage et mes seins.
Je n'ai jamais joui comme ça auparavant et maintenant que je suis libre, je voudrais trouver un homme avec lequel je pourrais avoir du sexe à volonté.
Je vais vous raconter une expérience inoubliable que j'ai vécue il y a trois ans.
A cette époque, je vivais avec un homme pas très "chaud", faire l'amour se résumait à me pénétrer et à éjaculer quand il y arrivait. Rien ne semblait lui plaire dans le sexe. Même les films X l'ennuyaient. Les préliminaires ne l'intéressaient pas et il ne m'a jamais fait "minette". Lui aimait que je le suce et je le faisais car cela m'apportait du moins pendant quelques années un certain plaisir. A la fin, nous ne "faisions" l'amour qu’une fois par mois et ce n'était pas le nirvana.
Je rêvais souvent à l'époque de caresses buccales et de biens d'autres histoires avec des hommes plus virils. Je me masturbais presque chaque jour en pensant à ces sexes tendus qui ne pensaient qu'à pénétrer mon intimité et me noyer de leur sperme chaud et salé. Je mouillais en pensant à ces langues suçant et titillant mon bouton d'amour si peu utilisé sauf par moi.
Je me suis souvent retrouvée sur mon lit, les jambes écartées, mon œuf magique dans une main et un gode en bouche à rêver de sucer une bite et être léchée en même temps bien que j'apprécie faire ces choses séparément maintenant que j'y ai goûté.
L'aventure que j'ai vécue s'est déroulée alors que mon mari était parti en voyage d'affaire deux jours en Italie. Je m'étais concocté une petite soirée cool : chips, vin, coca, chocolat et un petit film X pour satisfaire mon minou et passer une bonne nuit.
Vers 22.00 heures, je me suis mise à l'aise dans mon gros peignoir et j'ai mis le DVD en marche. L'histoire n'était pas terrible mais dans mon état, cela suffisait à mettre en marche mes sens. Je fus vite au bord de l'orgasme en voyant deux hommes s'occuper d'une jeune fille mouillant comme une fontaine et hurlant son plaisir. Ma main s'activait sur mon clito et j'étais trempée.
C'est à ce moment que la sonnette retentit, surprise et inquiète vu l'heure tardive, j'allais voir à la fenêtre de l'appartement. En bas, se trouvait Marc, un ami d'enfance. Il revenait d'un sortie au restaurant avec des potes et comme il me savait seule venait me faire un petit coucou.
Je lui ouvris, coupait vite le film et ajustait mon peignoir.
Marc revenait d'une soirée avec son copain Bob, un collègue de travail belge. Il avait l'air un peu éméché et m'expliqua qu'il avait assez bien bu et qu'en vérité il venait chez moi prendre un café et récupérer avant de rentrer. Je le taquinais aussitôt sur son motif de passage et remarquais alors que son regard ne quittait que très rarement mon décolleté et mes cuisses. Il est vrai que je suis bien roulée 80 D. Au fur et à mesure de la discussion, je vis une bosse se former dans son pantalon. Je ne pouvais plus quitter cette protubérance des yeux et l'excitation procurée quelques instants plus tôt par le film revenait au galop. Je mouillais comme une femelle en chaleur. Marc légèrement "pété" se sentait pousser des ailes osa aventurer une main sur ma cuisse et m'embrasser à pleine bouche. Nos langues, s'aspiraient mutuellement et laissaient présager d'autres caresses. Je me suis vite retrouvée à poil et Marc aussi. Son sexe coulait littéralement d'excitation. Il me coucha sur le lit et entrepris une minette que je n'oublierai jamais. Sa langue léchait mes lèvres, remontant vers mon clito sans le toucher. D'un doigt, il caressait l'entrée de ma chatte sans vraiment pénétrer à l'intérieur. Sa langue frôlait mon bouton et je soulevais à chaque passage mon bassin pour tenter d'être touchée par cette langue si habille. Je le suppliais d'enfoncer son doigt, de sucer mon clito mais il ne m'écouta pas. Après quelques minutes, alors que j'étais à bout, sa bouche toute entière se colla à mon clito et son doigt s'enfonça profondément en moi. En deux secondes, j'étais prise de convulsions et je criais ma jouissance. C'était incroyable.
A peine remise, je me redressais tremblante. Je vis alors que le sexe de Marc était tendu et coulant. Je décidais alors de lui rendre cette caresse et j'entrepris de sucer cette tige coulante. Je suçais son sexe avec tant d'ardeur qu'il me dit de me calmer ou qu'il allait éjaculer. Je n'écoutais rien comme lui et en guise de réponse, je lui enfonçais un doigt mouillé de jus de bite dans le cul. Il me saisi par les cheveux et alors que je le pénétrais vigoureusement avec un puis deux doigts, il éjacula dans ma bouche. Il y avait tant de sperme que je dus le cracher dans un scottex.
Nous étions tous deux vidés mais toujours excités.
Son portable sonna et il me dit que son copain Bob n'avait pu rentrer chez lui car il avait oublié sa clef.
Marc était ennuyé, Bob était en bas et il avait envie de me baiser. Je crois que c'est son état d'excitation et le fait qu'il avait un peu bu qui le fis oser cette demande. Marc pouvait-il se joindre à nous. Moi, je n'avais pas bu mais était toujours excitée comme une chienne en manque et sans réfléchir j'acceptais.
Bob monta, me fit la bise et Marc l'attira dans la salle de bain. Je ne sais pas ce qu'il lui a dit et croyez moi, à cet instant je m'en foutais. Deux mâles pour moi, j'allais rattraper le temps perdu.
A peine sortis de la salle de bain, ils se sont littéralement jetés sur moi. Ils m'ont dit, tu vas en avoir pour ton argent, tu vas crier et jouir comme jamais et tu vas en redemander.
Cette phrase à peine terminée que je me retrouvais couchée à même le sol sur ma grande carpette en mouton. Un me caressait, l'autre m'embrassait à pleine bouche. Des doigts pénétraient mon intimité et des langues fouillaient ma bouche. Je ne savais pas si c'était Marc ou Bob qui avait ses doigts en moi et je m'en fichais, je profitais.
Un moment, ils se sont placé un sous moi à l'envers et l'autre entre mes jambes. Ils ont commencé à me lécher comme des fous. Bob le belge était sous moi, sa langue léchait mon anus pour remonter vers ma chatte. Marc suçait mon clitoris comme une sucette, je criais mon plaisir. Je leurs disait des mots crus pour les exciter et ça marchait, ils devenaient fous, leurs doigts me pénétraient deux trois, je ne sais plus, leurs langues suçaient léchaient aspiraient, je hurlais ma jouissance. Quand leur langue se touchaient, çà les excitaient et ils enfonçaient leurs doigts dans mes trous, j'étais comblée et je devenais de plus en plus crue dans mes paroles: sucez-moi salops, j'aime vos bites dures et coulantes, j'ai envie de sentir vos queues me pénétrer par tous mes trous, j'ai envie de sentir votre jus couler en moi, je veux que tu crache dans ma bouche en me tenant par les cheveux, enfin je devenais incontrôlable. Ces paroles les avaient tellement excité qu’ils m’ont retournée et pendant que Marc me prenait par derrière Bob toujours couché suçait mon clito. Cette caresse déclencha un orgasme si important que j'éjaculais comme un homme. Il n'en fallait pas plus pour Marc qui éjaculait dans mon cul.
Bob toujours couché sur le sol avait son sexe tendu et coulant, je savais par Marc que Bob était bi et çà m'excitait. Je me mis à le sucer et je descendis lentement vers ses boules gonflées de sperme. Puis, je m'aventurais vers son petit trou. Je caressais ce dernier du bout de la langue et enfonçait cette dernière de plus en plus. Avec mon doigt mouillé de salive je contournais son auréole et y pénétrait un doigt. Bob gémissait, son sexe coulait de plus en plus. Pour faire monter son excitation de plus en plus, je pris du sperme de Marc sur mes doigt sans oublier de lui dire avant et introduisit mon doigt gluant dans son intimité. Il devenait fou, je lui léchait la queue et les couilles et fouillais son intimité avec mes doigts remplis du sperme de Marc.
Marc excité par cette scène avait de nouveau une terrible érection. Cette petite scène l'avait excité et il se plaça derrière moi, introduisit son sexe dans ma chatte brûlante et me donna un gode déjà lubrifié par son jus.
Sans hésiter, j'obligeais Bob à sucer ce sexe humide de la semence de son ami. Il le suçait comme une femme et moi j'avais Marc en moi et mes doigts dans l'intimité de Bob.
Je plaçais alors le gode à l'entrée du cul de Bob et l'appuyais contre mon ventre. Les poussée de Marc faisaient entrer le gode en Bob qui gémissait et demandait plus.
Je me retirais de l'emprise de Marc et saisi Bob par la taille, j'enfonçais le gode de plus en plus profondément. J'étais excitée, je possédais un mâle. D'une main je tenais le gode de l'autre j'agitais la queue de Bob. Je sentais mon jus couler sur ma main droite et le liquide séminale de Bob couler sur l'autre main. Mes mouvements étaient de plus en plus rapides et violents. Bob hurla et cracha tout son jus sur le tapis. Moi j'eus un nouvel orgasme si fort que je pissais littéralement sur la main de Marc qui me fouillait pendant cette scène.
Pour terminer, Marc me saisit par la nuque et cracha quatre à cinq jets de sperme chaud sur mon visage et mes seins.
Je n'ai jamais joui comme ça auparavant et maintenant que je suis libre, je voudrais trouver un homme avec lequel je pourrais avoir du sexe à volonté.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Vous avez eu bien raison d'en profiter et pour une première fois ce n'était pas mal. Mais j'ai l'impression que vous nous racontez un fantasme. Ai-je raison?