vengence de femme en vinyle
Récit érotique écrit par fvkway [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
vengence de femme en vinyle
Bonjour,
Je vais vous raconter mon histoire qui est complètement vraie.
Nous avions 45ans tous les deux et nous étions plutôt pantouflards.
Je suis chargé d'affaires dans un bureau.
Avec ma femme nous vivions une vie complètement banale.
Bref, l’amour une fois par semaine, sans vraiment être des champions dans le lit et loin de réaliser mes fantasmes.
L’année dernière, pour la première fois, nous sommes partis en vacances avec un couple d’amis, dans une belle propriété avec beaucoup de confort et une piscine.
Nos amis sont : Patricia, hypnose thérapeute pour les personnes qui souffre de traumatismes et Arnaud, magasinier dans une entreprise d’électricité.
Après deux jours, le soir pendant l’apéritif au bord de la piscine, nos femmes ont commencé à parler de sexe, mais Valérie ma femme, qui est la secrétaire de Patricia, elle parle de sexe mais elle ne passera jamais à l’action.
Nous étions, Arnaud et moi, en maillot de bain avec la forme du sexe qui se voyait.
Il a fallu qu’elles remarquent les bosses, et regarde Arnaud, pour que je me rende compte qu’il avait un paquet plus gros que le mien.
Sans faire de remarque désobligeante je leur dis :
« Si vous insistez nous allons sortir notre sexe et vous allez pouvoir comparer… »
Patricia : « Sa va pas non, et puis quoi encore, j’espère que tu t’imagines pas qu’on va échanger de mec même si tu en a une plus grosse… Moi le mien me suffit »
Valérie : « Laisse Patricia, c’est bien les mecs pour se venter, mais le mien il parle plus que ce qu’il peut montrer, et c’est comme la neige, on ne sait pas combien on va en avoir et combien de temps ça va durer »
Arnaud : « Patricia, nous parions combien qu’on le fait ? »
Patricia : « il n’en n’est même pas question »
Comme Valérie m’avait ridiculisé devant les amis, je me suis dit qu’il fallait que je me venge.
Arnaud avait senti que j’étais vexé. Il m’a alors proposer d’aller dans la piscine pour laisser les femmes délirer toutes les deux.
Une fois dans l’eau, Arnaud me dit qu’il a un plan pour que je puisse me venger, il se doutait bien que je n’avais pas apprécié la blague de ma femme.
Arnaud : « j’ai déjà fait un plan avec d’autres amis, tu vas voire c’est génial et tu vas prendre ton pied pour te venger, ce soir quand on va se coucher, je vais faire disjoncter l’électricité. Nous pourrons alors échanger nos places dans le lit, dans le noir nos femmes ne se rendront pas compte du subterfuge. Par contre il faudrait que tu me dises ce que Valérie aime quand tu la baise et ce qu’elle n’aime pas ».
Moi : « elle aime que je la baise directement à sec avant que mon sexe soit complètement en érection, elle adore sentir le grossissement dans son vagin et elle n’aime pas que je me couche sur elle, il faut toujours garder un espace entre elle et moi. »
Arnaud : « Avec Valérie, c’est plus compliqué, elle aime que je la baise une un drap en vinyle avec un peu d’eau, elle ne veut pas être prise en levrette et elle n’a jamais accepté de me faire une fellation, ne t’inquiète pas car quand on prévoit de baiser, elle s’occupe de mettre le drap en vinyle et je vais chercher de l’eau dans la salle de bain. Sa tombe bien car j’aurai fait disjoncter, quand tu reviendras dans la chambre avec l’eau elle pensera que c’est moi. »
Moi : « c’est du sadomasochisme ça ??? »
Arnaud : « non, elle aime sentir l’eau sur sa peau »
Moi : « c’est du fétichisme alors, je n’ai encore jamais fait ça et ça me parait bizarre, je ne sais pas si je pourrai ».
Arnaud : « écoute, je l’ai déjà fait, je vais m’occuper de ta femme pendant que tu t’occuperas de la mienne…tu ne regretteras pas je te l’assure… on se donne 30mn pour essayer la femme de l’autre OK ! »
Après la soirée décontracte, au moment d’aller se coucher, j’ai donc dis à Valérie que ce soir j’allai lui faire l’amour en prenant mon temps pour lui faire plaisir, elle me répondit :
« Peut-être, Monsieur est vexé, on ne peut plus rigoler maintenant, ça se voyait que tu faisais la gueule après ma blague !!!, ma patronne l’a remarqué »
Sa blague, plutôt une insulte…
Je me couche, je laisse ma lumière allumée afin de comprendre le moment où je devrai rejoindre Arnaud.
10mn plus tard, Valérie se couche et au même moment, la lumière se coupe.
Je rassure Valérie et je lui dis de ne pas s’inquiéter, que je m’occupe de voir ce qui ce passe.
Il faisait nuit noire et les volets électriques ne pouvaient pas être remontés pour faire de la lumière de l’extérieur.
Je rejoins Arnaud, à tatillon dans le couloir.
Je le retrouve dans la cuisine, il est avec son portable pour éclairer.
Moi :« j’ai le trac »
Arnaud : « aller, on y va, tu ne vas pas regretter, elle m’attend ou plutôt elle t’attend… »
C’est parti, je prends la direction de la chambre avec un petit arrosoir à la main.
J’arrive dans la chambre, je rentre à tatillon, et Patricia me dit :
« J’ai une surprise pour toi, viens me caresser avant de me mettre l’eau… ».
Stress à mort, qu’est-ce qu’elle a préparé, dans ma tête je panique, je ne sais plus comment faire et surtout ne pas parler.
Je marmonne « hun,hun, »
Je m’approche du lit, je pose une main et je sens le vinyle du tissu posé sur le lit.
Je fais glisser ma main pour aller dans la direction de la voie de Patricia, j’arrive sur son pied.
Je remonte, la cheville et là je sens du vinyle, elle porte un pantalon.
Je continu quand même mon ascension vers son entrejambe et je sens une fermeture éclair entre ces cuisses.
Patricia :« ha ! j’ai acheté la combinaison en vinyle comme je rêvais, je veux que tu me prennes ce soir et que tu passes par l’entrebâillement de la fermeture sans me déshabiller, ça va te plaire ».
Pas sûr pour moi….
Le stress continu à monter et je n’ai jamais fait l’amour dans ce genre de situation.
Comme je cherchais la fermeture et que je ne trouvais pas, j’ai mis mon visage sur son entre jambe pour lui faire la simulation que je voulais la léchée.
Elle m’a attrapé par les cheveux pour me bloquer sur sa chatte.
J’ai senti l’odeur du vinyle neuf mais une autre odeur, qui venait de la fermeture éclair, c’était celle de son sexe.
Et là, mon stress c’est complètement évanoui.
Après je suis remonté le long de son corps pour finir sur sa bouche.
Elle me parlait mais à chaque fois je faisais « chute ».
Elle a ouvert elle-même la fermeture et elle ma masturbé pendant quelques minutes pendant que m’introduisais avec ma langue dans sa bouche.
Je me suis alors retourné vers son sexe afin d’aller lui brouter un petit peu avant de la prendre.
A ma surprise, elle s’est mise à se branler le sexe sur mes lèvres et appuyait jusqu’à mes dents.
Je lui léchais la chatte et lui mettant aussi un doigt pour bien écarter les lèvres. Je faisais tourner mon doigt doucement et délicatement sur toute l’entrée de son sexe.
Elle s’est mise à pousser des petits grognements sourds mais qui voulaient bien dire que son désir était en train de la travailler.
Je sentais que ses cuisses s’écartaient de plus en plus sans avoir à lui demander….
Et j’ai décidé de me mettre en 69 et de lui donner davantage de plaisirs,
Elle n’a pas opposé de résistance quand je l’ai enjambé.
Elle me masturbait toujours sauf que ma bite se trouvait sur le côté de sa joue.
J’ai poursuivi mon jeu avec son vagin et elle s’est mise à donner des petits couts reins au moment où je passais sur son clito. Et plus ça aller, plus elle aimait ça.
D’un seul coup, elle s’est mise à me dire :
« Tu peux y aller maintenant, arrose moi d’eau et baise moi… »
J’en ai profité, j’ai relevé mon bassin, j’ai pris le bout de ma bite dans une main et je l’ai appuyé à l’entrée de sa bouche avec le côté de la main, elle a voulu me faire une bise sur la main et là j’ai enfoncé directement ma bite dans sa bouche avec tout mon poids.
J’ai senti sa tête se tortiller et elle ma saisie les anches avec ses ongles qu’elle m’a rentré dans la peau, pour me faire arrêter.
Elle me faisait mal.
Je n’ai pas lâché le clitoris et elle s’est mise à accepter ma bite dans sa bouche en se mettant à la sucer.
Après quelques minutes, je me relève et je me retourne pour lui mettre ma bite.
Elle était bien préparée et elle a senti mon sexe faire les allers et retours.
Elle se mets à protester car je ne lui ai pas mis d’eau sur elle.
Dans ma tête je me dis « alors là, tu vas être servie »
Je me relève, je prends l’arrosoir qui est au pied du lit et je lui balance l’eau directement sans ménagement.
Elle cris que je vais en mettre partout.
Je ne lui laisse pas le temps de dire quoi que ce soit, je l’attrape, je la retourne très facilement car l’eau permet de la faire glisser sans problème et elle ne peut même pas s’agripper car sa glisse.
Derrière elle, je lui attrape les anches et la relève pour la prendre en levrette.
Elle s’énerve encore, mais je la bloque, elle ne peut pas m’échapper.
Je lui introduis alors ma bite et je reprends mes vas et vient.
Elle grogne, elle finit par me dire :
« Tu me comble vraiment ce soir, continues, je sens mon excitation monter, je prends mon pied, … »
Lorsque je sens que mon sperme est prêt à gicler, alors je me suis retirer et j’ai gicler sans doute sur son cul.
Elle pensait vraiment que c'était Arnaud, elle croyait avoir craqué à ces demandes.
Je suis reparti dans le couloir pour rejoindre la salle de bain.
J’ai rejoint Arnaud dans la salle de bain, dans le noir, je le cherchais.
Comme il n’était pas là, j’ai donc repris le chemin de ma chambre.
Arrivé devant la porte, j’entendais ma femme et Arnaud qui été en train de baiser.
J’ai entendu les coups que donnait Arnaud, au fond du sexe de ma femme.
Le claquement de chaque arrivée en butoir du sexe, provoquait chez ma femme, des petits gémissements et elle a dit à Arnaud : « Moins fort, tu me fais mal au fond ».
J’ai compris qu’il avait un sexe plus long que le miens.
Je me suis remis à bander, lorsque j’ai entendu le final, ma femme en train de dire à un autre homme : tu as la forme ce soir…
Arnaud a fini par décharger avec un gémissement important.
Il sorti aussitôt, il m’a bousculé dans le noir, car il ne savait pas que j’étais là en train d’écouter.
Je l’ai suivi jusque dans la cuisine et il a remis le disjoncteur.
On était à poil dans la cuisine dont lui avec du sperme et une sorte de truc gluant et blanchâtre autour de la bite qui est belle et encore gonflée.
C’est vrai que son sexe est plus long que le miens mais pas en diamètre.
On s’est raconté l’expérience de chacun et nous étions surpris tous les deux d’avoir apporté une différence dans le plaisir du sexe à notre concubine.
Nous sommes retournés dans notre lit respectif.
Lorsque je suis arrivé dans la chambre, Valérie était sur le dos avec les jambes relevées avec une mains sur l’entrebâillement du sexe, rouge et gonflé.
Valérie me dit : mes jambes tremblent. J’aime bien faire l’amour comme ça. Es-tu capable de me prendre encore une fois ?
Surpris, je lui dis oui, car je bande à moitié par ce que j’avais entendu quelques minutes auparavant.
Je viens derrière elle et je la pénètre.
Elle me demande d’aller moins profond, alors, sans l’écouter, je donne des coupes de reins rapide et force avec mes mains, mon bassin à aller plus loin pour que mon sexe rentre plus profond.
Ma bite nage dans le bonheur d’Arnaud. Sa me dégoutte un peu, mais je me force à aller de plus en plus vite et je claque contre ces fesses.
Je me retire et je la retourne pour la mettre en levrette
Elle me dit : vas y prend moi les cheveux.
Surpris, car Arnaud m’a rien dit, j’attrape ces cheveux délicatement.
Elle me demande de tirer plus fort, je m’exécute mais je n’aime pas.
Alors j’attrape à deux mains les cheveux et je continu à la pilonner.
Arrive un moment où je ne peux plus me retenir et je gicle dans le fond de son vagin.
Je me retire pour voir l’entrée de son vagin avec encore l’empreinte du diamètre de ma bite.
Sa chatte est toute rouge comme jamais je l’avais vue, avec la même crème qui était autour de la bite d’Arnaud.
Valérie c’est habillé d’un peignoir et elle est partie dans la salle de bain.
Lorsqu’elle est revenue, nous nous sommes embrassés et elle m’a dit : Je ne sais pas si c’est les vacances sans notre fils mais j’ai l’impression de me lâcher plus facilement pour faire l’amour.
Je lui dis : tu n’as pas tort mais c’est aussi de le faire dans le noir, on était plus prêt de nos sens et comme notre fils n’est pas dans la chambre tu as pu laisser exprimer ta jouissance.
Nous avons dormi aussitôt.
Le lendemain matin on se lève pour déjeuner sur la terrasse.
Patricia qui arrive et me demande si je suis toujours vexé de la blague de Valérie.
Je lui dis que non et que nous nous étions réconcilié sur le lit.
Elle me dit : ah, vous aussi ?
Un peu gêné, je lui rétorque que les conflits ne durent jamais longtemps.
Après le petit déjeuné, je suis allé dans la piscine pour avoir un peu de frais car il commençait à faire chaud.
Une fois dans l’eau je vois Arnaud qui arrive avec les yeux encore fermés. Il fait la bise à Patricia et à Valérie.
Avant de prendre son petit déjeuné, il décide de me rejoindre dans la piscine.
Il rentre dans l’eau et Patricia l’appel.
Il ressort et il parte tous les deux dans la maison.
D’un seul coup, nous avons entendu Patricia piquer une crise de nerfs avec Arnaud mais on ne savait pas trop pourquoi et on ne comprenait pas bien les phrases.
Quelques minutes plus tard ils reviennent tous les deux, Arnaud me rejoint dans la piscine.
Il me dit : Il faudrait aller faire les courses, je t’expliquerai.
En sortant de l’eau, Patricia m’a regardé avec un air bizarre.
Je suis allé m’habiller et nous sommes partis.
Dans la voiture Arnaud m’explique que Patricia a remarqué les griffures que j’avais dans le bas du dos et que lui n’en avait pas. Elle se rappelait que la nuit dernière elle avait serré avec ces ongles Arnaud, en fait c’était moi.
Arnaud ne s’est pas démonté, il a avoué que c’était lui qui avait tout mijoté et qui m’avait proposé d’inverser.
Patricia l’a menacé de tout révéler à Valérie.
Arnaud a dû s’expliquer, puis elle lui a dit, qu’elle avait vécu une nuit vraiment spéciale.
Arnaud m’a rétorqué, que finalement, elle avait aimé mes caresses longues et ma bite.
C’est pour ça qu’elle avait céder pour faire une pipe.
Arnaud m’a reproché de ne pas lui avoir dit et qu’elle était satisfaite de lui foutre par la figure, qu’elle avait eu sa première fellation par un autre homme.
Néant moins, Patricia a donné son opinion et qu’elle allait se venger.
Elle ne lui a pas dit comment mais elle a exigé que nous allions faire toutes les courses pendant les vacances.
Enfaite c’est une grosse galère de faire les magasins en période estival, mais ma surprise sera après les vacances, quand Patricia va me dévoiler sa vengeance qu’elle aura réalisée pendant les 10 derniers jours.
Donc après notre retour de vacances, Patricia m’envoie un mail en copie à Arnaud.
Elle nous demande à Arnaud et moi, d’être chez eux à 14h00 sinon elle divulgue tout à Valérie.
J’arrive devant chez eux, le portail est ouvert la voiture de Arnaud est là, ainsi que celle de Patricia.
Le portail se referme derrière moi mais je ne les vois pas.
Je frappe à l’entrée et Patricia viens m’ouvrir, elle est habillée avec ça combinaison en vinyle « NOIR », je rentre et là je vois Arnaud sur la table de la salle, nu, les jambes relevées avec un bâillon et attaché avec des cordes.
Mes yeux se sont écarquillé et je ne savais pas quoi dire.
Patricia me dit : Je veux que tu me baises devant Arnaud, il ne pourra pas bouger et il ne pourra rien dire.
Moi : Non il n’en est pas question. Je vous apprécie tous les deux et je ne voudrai pas rompre l’amitié avec Arnaud.
Patricia : Je vais lui retirer le bâillon pour qu’il te le dise lui-même qu’il veut te voir me baiser.
Moi : Non, de toutes les façons, je ne veux pas par rapport à Valérie que j’aime.
Patricia : Je m’en doutais que tu allais me dire ça, alors je vais te faire voire que ta petite femme aime plus les femmes que toi !
Patricia tourne son ordinateur portable et mets en route une vidéo ou je vois ma femme habillée de son imperméable en vinyle noir et harnachée d’un gode, entrain de baiser Patricia.
L’horreur, Valérie entrain de donner des coups de reins et Patricia qui jouis à voix haute.
La scène se passe sur le bord de la piscine des vacances.
Je comprends rapidement que Valérie est devenue le jouet de Patricia.
Je me rapproche de l’écran pour voir si ce n’est pas un montage, mais non, Valérie est bien entrain de baiser Patricia.
Patricia me passe plusieurs vidéos dont une où Valérie est sur le leur lit avec le drap en vinyle, elle arrose Valérie qui est en levrette.
Patricia ricane et passe à une autre vidéo dans leur jardin, je reconnais Valérie, elle est avec un long imperméable en vinyle rouge et avec ces bottes Aigle orange. Je ne l’ai jamais vu avec cet imper mais je reconnais les bottes.
Valérie est contre un arbre, Après avoir donné à quelqu’un sa caméra, Patricia qui porte l’imper noir en vinyle de Valérie, se dirige vers elle et lui dis :
Dis-le que tu m’aimes ! vas-y, ton mari va le savoir ! avoues que tu m’aimes et que tu aimes être une gouine.
Valérie : Oui je t’aime, et j’aime te faire l’amour.
Patricia ouvre l’imperméable et laisse apparaitre le corps tout nu de Valérie.
Il pleut à grosses gouttes, Patricia lui attrape les seins pour lui malaxer.
Après elle sort un vibromasseur pour lui présenter devant la fente.
Patricia : Écarte tes cuisses ma gouine.
Valérie exécute, je doute qu’elle se rende compte qu’elle est filmée.
Et là je vois une troisième femmes qui s’approche et qui porte le même imper que Valérie.
La femme ouvre son imperméable et laisse apparaitre un godemichet qu’elle s’est attaché.
Patricia s’écarte de Valérie et laisse la place à l’autre.
Elle se place entre les jambes de ma femme, Patricia lui saisit l’imper pour le relever et laisser apparaitre son petit cul et la femme empale Valérie sur cette bitte en plastique, sans ménagement.
Valérie pousse un hurlement. Patricia lui met une claque sur les cuisse et lui dit : « ferme là »
Je suis déstabilisé, je me demande si je rêve ou si c’est la réalité.
Je n’ai pas envie de bander car je ne veux pas croire à ce que je vois.
La vidéo se poursuit et Patricia vois que j’ai les yeux qui rougissent par cette vision.
Patricia pose une main sur mon épaule et me dit : Sa te fait quoi là ? Regarde la suite….
J’ai envie de tout casser, mes nerfs commence à gonfler, je regarde par intermittence Patricia, avec mon regard qui tue.
Sur la vidéo je vois Patricia prendre la bouche de ma femme et lorsqu’elle la laisse, c’est pour lui remettre le vibromasseur pour quelle le suce.
Patricia arrête les vidéos et me dit :
« Maintenant pour que l’on soit quitte, je veux que tu me baise pour me punir d’avoir abusé de ta femme sous hypnose et que tu te finisses dans le cul de mon mari pour lui apprendre qu’il ne faudra plus jamais qu’il se prenne à faire des conneries de ce genre ».
L’énervement et la vengeance m’ont permis d’accepter les vœux de Patricia, mais avec l’arrière-pensée de ne pas toucher à Arnaud.
Alors je me suis approché d’elle est je l’ai pelotée à travers sa combinaison en plastique, elle a joué un rôle important pour me faire monter aux rideaux.
Je me suis excité mais avec un état de sauvageons, je lui ai trituré les fesses, pincé les seins à travers le tissu, je l’ai retournée, je lui ai claqué les fesses, j’ai attrapé les seins par derrière pour les serrer plus forts.
Je l’ai attrapé et emmenée vers l’entre cuisse de son mari.
Arnaud a relevé la tête pour voir sa femme face à lui.
J’ai attrapé ces cheveux à pleine main et j’ai commencé à lui taper l’arrière train.
Ma bite me faisait mal car elle était emprisonnée dans mon Jeans.
N’en pouvant plus, j’ai tout lâché et je me suis mis à poils.
Patricia se tortillait dans sa combinaison en vinyle pour faire du bruit et bien faire voir son cul.
Avec une érection au TOP, je me suis directement dirigé vers l’entrecuisse de Patricia, j’ai attrapé la fermeture éclair sans ménagement, je n’ai pas fait attention s’il y avait des poils, j’ai tiré d’un coup.
Patricia c’est mise à crier, je lui dis : ta gueule, tu vas morfler Salope, fallait pas t’en prendre à Valérie.
Je ne suis plus le même, je me déchaine.
Sans plus de commentaires, je présente ma bite devant la vulve serrée par l’entrebâillement de la fermeture éclair.
J’attrape avec mes deux mains chaque côté de la fermeture et j’écarte au maximum.
Ma main va fouiller la vulve, je remonte aussitôt à mon nez et je dis :
« Tu sens bon de la chatte »
« Penche toi d’avantage, que je puisse te la mettre comme en vacances ! »
Patricia : « non pas encore, je veux que tu me lèche »
Moi : « Retourne toi, je vais te brouter »
Aussitôt elle exécute et pose sa tête sur le ventre d’Arnaud.
Je m’agenouille et commence à lui lécher sa vulve.
Je ne sais pas pourquoi, mais elle ricane en même temps.
Est-ce que c’est parce que je lui fais de l’effet ? Je vais comprendre plus tard pourquoi.
Lorsque j’ai senti à ma salive qu’il y avait un gout différent, j’ai compris qu’elle avait de la cyprine qui coulait par le bonheur.
Je me suis relevé et je l’ai pénétré.
Je m’exécute et là j’entends ma femme dire :
« Vas-y te gêne pas, baise là de toute tes forces, sa lui apprendra ».
Lorsque je tourne la tête je vois Valérie, elle était dans l’encoignure de la porte de la cuisine.
Patricia est une vrai Salope, elle m’a piégé.
Valérie est venu derrière moi pour me pincer le cul avec ces ongles (j’ai encore les traces).
Je voulais me retirer mais Valérie m’a bloqué.
Sous ses ordres j’ai continué à baiser Patricia.
Lorsque je suis venu pour gicler, Patricia s’est retirée et ma demander de me finir dans le cul de Arnaud.
Je me suis dirigé vers Arnaud qui bandait à mort.
Je n’ai jamais eu de relation homo, alors pas facile.
Je présente ma bitte et la Patricia m’arrête pour me mettre du gel sur la queue en disant :
« Il ne faudrait pas non plus que tu lui déchire ces petits plis soleil… »
Après avoir mis le gel, Valérie et Patricia se placent derrière moi et m’ordonnent de le pénétrer.
Sans autre choix pour leur prouver que l’idée d’échange venait d’Arnaud.
Arnaud me regardait dans les yeux avec les jambes remontées sur son torse avec l’aire de me dire « non ne me pénètre pas »
J’ai poussé mais je n’ai pas pu rentrer et surtout je n’ai jamais fait.
Sans trop le vouloir j’ai éjaculé à l’entrée de son cul.
Les deux femmes ont aussitôt libéré Arnaud, qui ne pouvait plus bouger car il était resté presque une heure dans cette situation.
Valérie est venue m’embrasser aussitôt, elle a attraper ma bite dans sa mains pour seulement la caressée et récupérer le sperme.
Depuis, nous nous revoyons tous les 15 jours pour normalement faire une bouffe ensemble quand nos enfants sont de sortie pour le week-end, mais cela se transforme en partie fétichiste et échangiste.
Maintenant j’ai compris que les femmes avaient une vengeance plus importante et calculée que là notre.
Mais le mal à toujours un bien, c’est que maintenant nous avons, Valérie et moi une vie sexuelle plus épanouie. On envisage les vacances avec les amis de Patricia et Arnaud au mois d’Août…. Se sera des vacances avec du vinyle, avec des personnes expérimentées suivant les dires de « Patricia ».
Je vais vous raconter mon histoire qui est complètement vraie.
Nous avions 45ans tous les deux et nous étions plutôt pantouflards.
Je suis chargé d'affaires dans un bureau.
Avec ma femme nous vivions une vie complètement banale.
Bref, l’amour une fois par semaine, sans vraiment être des champions dans le lit et loin de réaliser mes fantasmes.
L’année dernière, pour la première fois, nous sommes partis en vacances avec un couple d’amis, dans une belle propriété avec beaucoup de confort et une piscine.
Nos amis sont : Patricia, hypnose thérapeute pour les personnes qui souffre de traumatismes et Arnaud, magasinier dans une entreprise d’électricité.
Après deux jours, le soir pendant l’apéritif au bord de la piscine, nos femmes ont commencé à parler de sexe, mais Valérie ma femme, qui est la secrétaire de Patricia, elle parle de sexe mais elle ne passera jamais à l’action.
Nous étions, Arnaud et moi, en maillot de bain avec la forme du sexe qui se voyait.
Il a fallu qu’elles remarquent les bosses, et regarde Arnaud, pour que je me rende compte qu’il avait un paquet plus gros que le mien.
Sans faire de remarque désobligeante je leur dis :
« Si vous insistez nous allons sortir notre sexe et vous allez pouvoir comparer… »
Patricia : « Sa va pas non, et puis quoi encore, j’espère que tu t’imagines pas qu’on va échanger de mec même si tu en a une plus grosse… Moi le mien me suffit »
Valérie : « Laisse Patricia, c’est bien les mecs pour se venter, mais le mien il parle plus que ce qu’il peut montrer, et c’est comme la neige, on ne sait pas combien on va en avoir et combien de temps ça va durer »
Arnaud : « Patricia, nous parions combien qu’on le fait ? »
Patricia : « il n’en n’est même pas question »
Comme Valérie m’avait ridiculisé devant les amis, je me suis dit qu’il fallait que je me venge.
Arnaud avait senti que j’étais vexé. Il m’a alors proposer d’aller dans la piscine pour laisser les femmes délirer toutes les deux.
Une fois dans l’eau, Arnaud me dit qu’il a un plan pour que je puisse me venger, il se doutait bien que je n’avais pas apprécié la blague de ma femme.
Arnaud : « j’ai déjà fait un plan avec d’autres amis, tu vas voire c’est génial et tu vas prendre ton pied pour te venger, ce soir quand on va se coucher, je vais faire disjoncter l’électricité. Nous pourrons alors échanger nos places dans le lit, dans le noir nos femmes ne se rendront pas compte du subterfuge. Par contre il faudrait que tu me dises ce que Valérie aime quand tu la baise et ce qu’elle n’aime pas ».
Moi : « elle aime que je la baise directement à sec avant que mon sexe soit complètement en érection, elle adore sentir le grossissement dans son vagin et elle n’aime pas que je me couche sur elle, il faut toujours garder un espace entre elle et moi. »
Arnaud : « Avec Valérie, c’est plus compliqué, elle aime que je la baise une un drap en vinyle avec un peu d’eau, elle ne veut pas être prise en levrette et elle n’a jamais accepté de me faire une fellation, ne t’inquiète pas car quand on prévoit de baiser, elle s’occupe de mettre le drap en vinyle et je vais chercher de l’eau dans la salle de bain. Sa tombe bien car j’aurai fait disjoncter, quand tu reviendras dans la chambre avec l’eau elle pensera que c’est moi. »
Moi : « c’est du sadomasochisme ça ??? »
Arnaud : « non, elle aime sentir l’eau sur sa peau »
Moi : « c’est du fétichisme alors, je n’ai encore jamais fait ça et ça me parait bizarre, je ne sais pas si je pourrai ».
Arnaud : « écoute, je l’ai déjà fait, je vais m’occuper de ta femme pendant que tu t’occuperas de la mienne…tu ne regretteras pas je te l’assure… on se donne 30mn pour essayer la femme de l’autre OK ! »
Après la soirée décontracte, au moment d’aller se coucher, j’ai donc dis à Valérie que ce soir j’allai lui faire l’amour en prenant mon temps pour lui faire plaisir, elle me répondit :
« Peut-être, Monsieur est vexé, on ne peut plus rigoler maintenant, ça se voyait que tu faisais la gueule après ma blague !!!, ma patronne l’a remarqué »
Sa blague, plutôt une insulte…
Je me couche, je laisse ma lumière allumée afin de comprendre le moment où je devrai rejoindre Arnaud.
10mn plus tard, Valérie se couche et au même moment, la lumière se coupe.
Je rassure Valérie et je lui dis de ne pas s’inquiéter, que je m’occupe de voir ce qui ce passe.
Il faisait nuit noire et les volets électriques ne pouvaient pas être remontés pour faire de la lumière de l’extérieur.
Je rejoins Arnaud, à tatillon dans le couloir.
Je le retrouve dans la cuisine, il est avec son portable pour éclairer.
Moi :« j’ai le trac »
Arnaud : « aller, on y va, tu ne vas pas regretter, elle m’attend ou plutôt elle t’attend… »
C’est parti, je prends la direction de la chambre avec un petit arrosoir à la main.
J’arrive dans la chambre, je rentre à tatillon, et Patricia me dit :
« J’ai une surprise pour toi, viens me caresser avant de me mettre l’eau… ».
Stress à mort, qu’est-ce qu’elle a préparé, dans ma tête je panique, je ne sais plus comment faire et surtout ne pas parler.
Je marmonne « hun,hun, »
Je m’approche du lit, je pose une main et je sens le vinyle du tissu posé sur le lit.
Je fais glisser ma main pour aller dans la direction de la voie de Patricia, j’arrive sur son pied.
Je remonte, la cheville et là je sens du vinyle, elle porte un pantalon.
Je continu quand même mon ascension vers son entrejambe et je sens une fermeture éclair entre ces cuisses.
Patricia :« ha ! j’ai acheté la combinaison en vinyle comme je rêvais, je veux que tu me prennes ce soir et que tu passes par l’entrebâillement de la fermeture sans me déshabiller, ça va te plaire ».
Pas sûr pour moi….
Le stress continu à monter et je n’ai jamais fait l’amour dans ce genre de situation.
Comme je cherchais la fermeture et que je ne trouvais pas, j’ai mis mon visage sur son entre jambe pour lui faire la simulation que je voulais la léchée.
Elle m’a attrapé par les cheveux pour me bloquer sur sa chatte.
J’ai senti l’odeur du vinyle neuf mais une autre odeur, qui venait de la fermeture éclair, c’était celle de son sexe.
Et là, mon stress c’est complètement évanoui.
Après je suis remonté le long de son corps pour finir sur sa bouche.
Elle me parlait mais à chaque fois je faisais « chute ».
Elle a ouvert elle-même la fermeture et elle ma masturbé pendant quelques minutes pendant que m’introduisais avec ma langue dans sa bouche.
Je me suis alors retourné vers son sexe afin d’aller lui brouter un petit peu avant de la prendre.
A ma surprise, elle s’est mise à se branler le sexe sur mes lèvres et appuyait jusqu’à mes dents.
Je lui léchais la chatte et lui mettant aussi un doigt pour bien écarter les lèvres. Je faisais tourner mon doigt doucement et délicatement sur toute l’entrée de son sexe.
Elle s’est mise à pousser des petits grognements sourds mais qui voulaient bien dire que son désir était en train de la travailler.
Je sentais que ses cuisses s’écartaient de plus en plus sans avoir à lui demander….
Et j’ai décidé de me mettre en 69 et de lui donner davantage de plaisirs,
Elle n’a pas opposé de résistance quand je l’ai enjambé.
Elle me masturbait toujours sauf que ma bite se trouvait sur le côté de sa joue.
J’ai poursuivi mon jeu avec son vagin et elle s’est mise à donner des petits couts reins au moment où je passais sur son clito. Et plus ça aller, plus elle aimait ça.
D’un seul coup, elle s’est mise à me dire :
« Tu peux y aller maintenant, arrose moi d’eau et baise moi… »
J’en ai profité, j’ai relevé mon bassin, j’ai pris le bout de ma bite dans une main et je l’ai appuyé à l’entrée de sa bouche avec le côté de la main, elle a voulu me faire une bise sur la main et là j’ai enfoncé directement ma bite dans sa bouche avec tout mon poids.
J’ai senti sa tête se tortiller et elle ma saisie les anches avec ses ongles qu’elle m’a rentré dans la peau, pour me faire arrêter.
Elle me faisait mal.
Je n’ai pas lâché le clitoris et elle s’est mise à accepter ma bite dans sa bouche en se mettant à la sucer.
Après quelques minutes, je me relève et je me retourne pour lui mettre ma bite.
Elle était bien préparée et elle a senti mon sexe faire les allers et retours.
Elle se mets à protester car je ne lui ai pas mis d’eau sur elle.
Dans ma tête je me dis « alors là, tu vas être servie »
Je me relève, je prends l’arrosoir qui est au pied du lit et je lui balance l’eau directement sans ménagement.
Elle cris que je vais en mettre partout.
Je ne lui laisse pas le temps de dire quoi que ce soit, je l’attrape, je la retourne très facilement car l’eau permet de la faire glisser sans problème et elle ne peut même pas s’agripper car sa glisse.
Derrière elle, je lui attrape les anches et la relève pour la prendre en levrette.
Elle s’énerve encore, mais je la bloque, elle ne peut pas m’échapper.
Je lui introduis alors ma bite et je reprends mes vas et vient.
Elle grogne, elle finit par me dire :
« Tu me comble vraiment ce soir, continues, je sens mon excitation monter, je prends mon pied, … »
Lorsque je sens que mon sperme est prêt à gicler, alors je me suis retirer et j’ai gicler sans doute sur son cul.
Elle pensait vraiment que c'était Arnaud, elle croyait avoir craqué à ces demandes.
Je suis reparti dans le couloir pour rejoindre la salle de bain.
J’ai rejoint Arnaud dans la salle de bain, dans le noir, je le cherchais.
Comme il n’était pas là, j’ai donc repris le chemin de ma chambre.
Arrivé devant la porte, j’entendais ma femme et Arnaud qui été en train de baiser.
J’ai entendu les coups que donnait Arnaud, au fond du sexe de ma femme.
Le claquement de chaque arrivée en butoir du sexe, provoquait chez ma femme, des petits gémissements et elle a dit à Arnaud : « Moins fort, tu me fais mal au fond ».
J’ai compris qu’il avait un sexe plus long que le miens.
Je me suis remis à bander, lorsque j’ai entendu le final, ma femme en train de dire à un autre homme : tu as la forme ce soir…
Arnaud a fini par décharger avec un gémissement important.
Il sorti aussitôt, il m’a bousculé dans le noir, car il ne savait pas que j’étais là en train d’écouter.
Je l’ai suivi jusque dans la cuisine et il a remis le disjoncteur.
On était à poil dans la cuisine dont lui avec du sperme et une sorte de truc gluant et blanchâtre autour de la bite qui est belle et encore gonflée.
C’est vrai que son sexe est plus long que le miens mais pas en diamètre.
On s’est raconté l’expérience de chacun et nous étions surpris tous les deux d’avoir apporté une différence dans le plaisir du sexe à notre concubine.
Nous sommes retournés dans notre lit respectif.
Lorsque je suis arrivé dans la chambre, Valérie était sur le dos avec les jambes relevées avec une mains sur l’entrebâillement du sexe, rouge et gonflé.
Valérie me dit : mes jambes tremblent. J’aime bien faire l’amour comme ça. Es-tu capable de me prendre encore une fois ?
Surpris, je lui dis oui, car je bande à moitié par ce que j’avais entendu quelques minutes auparavant.
Je viens derrière elle et je la pénètre.
Elle me demande d’aller moins profond, alors, sans l’écouter, je donne des coupes de reins rapide et force avec mes mains, mon bassin à aller plus loin pour que mon sexe rentre plus profond.
Ma bite nage dans le bonheur d’Arnaud. Sa me dégoutte un peu, mais je me force à aller de plus en plus vite et je claque contre ces fesses.
Je me retire et je la retourne pour la mettre en levrette
Elle me dit : vas y prend moi les cheveux.
Surpris, car Arnaud m’a rien dit, j’attrape ces cheveux délicatement.
Elle me demande de tirer plus fort, je m’exécute mais je n’aime pas.
Alors j’attrape à deux mains les cheveux et je continu à la pilonner.
Arrive un moment où je ne peux plus me retenir et je gicle dans le fond de son vagin.
Je me retire pour voir l’entrée de son vagin avec encore l’empreinte du diamètre de ma bite.
Sa chatte est toute rouge comme jamais je l’avais vue, avec la même crème qui était autour de la bite d’Arnaud.
Valérie c’est habillé d’un peignoir et elle est partie dans la salle de bain.
Lorsqu’elle est revenue, nous nous sommes embrassés et elle m’a dit : Je ne sais pas si c’est les vacances sans notre fils mais j’ai l’impression de me lâcher plus facilement pour faire l’amour.
Je lui dis : tu n’as pas tort mais c’est aussi de le faire dans le noir, on était plus prêt de nos sens et comme notre fils n’est pas dans la chambre tu as pu laisser exprimer ta jouissance.
Nous avons dormi aussitôt.
Le lendemain matin on se lève pour déjeuner sur la terrasse.
Patricia qui arrive et me demande si je suis toujours vexé de la blague de Valérie.
Je lui dis que non et que nous nous étions réconcilié sur le lit.
Elle me dit : ah, vous aussi ?
Un peu gêné, je lui rétorque que les conflits ne durent jamais longtemps.
Après le petit déjeuné, je suis allé dans la piscine pour avoir un peu de frais car il commençait à faire chaud.
Une fois dans l’eau je vois Arnaud qui arrive avec les yeux encore fermés. Il fait la bise à Patricia et à Valérie.
Avant de prendre son petit déjeuné, il décide de me rejoindre dans la piscine.
Il rentre dans l’eau et Patricia l’appel.
Il ressort et il parte tous les deux dans la maison.
D’un seul coup, nous avons entendu Patricia piquer une crise de nerfs avec Arnaud mais on ne savait pas trop pourquoi et on ne comprenait pas bien les phrases.
Quelques minutes plus tard ils reviennent tous les deux, Arnaud me rejoint dans la piscine.
Il me dit : Il faudrait aller faire les courses, je t’expliquerai.
En sortant de l’eau, Patricia m’a regardé avec un air bizarre.
Je suis allé m’habiller et nous sommes partis.
Dans la voiture Arnaud m’explique que Patricia a remarqué les griffures que j’avais dans le bas du dos et que lui n’en avait pas. Elle se rappelait que la nuit dernière elle avait serré avec ces ongles Arnaud, en fait c’était moi.
Arnaud ne s’est pas démonté, il a avoué que c’était lui qui avait tout mijoté et qui m’avait proposé d’inverser.
Patricia l’a menacé de tout révéler à Valérie.
Arnaud a dû s’expliquer, puis elle lui a dit, qu’elle avait vécu une nuit vraiment spéciale.
Arnaud m’a rétorqué, que finalement, elle avait aimé mes caresses longues et ma bite.
C’est pour ça qu’elle avait céder pour faire une pipe.
Arnaud m’a reproché de ne pas lui avoir dit et qu’elle était satisfaite de lui foutre par la figure, qu’elle avait eu sa première fellation par un autre homme.
Néant moins, Patricia a donné son opinion et qu’elle allait se venger.
Elle ne lui a pas dit comment mais elle a exigé que nous allions faire toutes les courses pendant les vacances.
Enfaite c’est une grosse galère de faire les magasins en période estival, mais ma surprise sera après les vacances, quand Patricia va me dévoiler sa vengeance qu’elle aura réalisée pendant les 10 derniers jours.
Donc après notre retour de vacances, Patricia m’envoie un mail en copie à Arnaud.
Elle nous demande à Arnaud et moi, d’être chez eux à 14h00 sinon elle divulgue tout à Valérie.
J’arrive devant chez eux, le portail est ouvert la voiture de Arnaud est là, ainsi que celle de Patricia.
Le portail se referme derrière moi mais je ne les vois pas.
Je frappe à l’entrée et Patricia viens m’ouvrir, elle est habillée avec ça combinaison en vinyle « NOIR », je rentre et là je vois Arnaud sur la table de la salle, nu, les jambes relevées avec un bâillon et attaché avec des cordes.
Mes yeux se sont écarquillé et je ne savais pas quoi dire.
Patricia me dit : Je veux que tu me baises devant Arnaud, il ne pourra pas bouger et il ne pourra rien dire.
Moi : Non il n’en est pas question. Je vous apprécie tous les deux et je ne voudrai pas rompre l’amitié avec Arnaud.
Patricia : Je vais lui retirer le bâillon pour qu’il te le dise lui-même qu’il veut te voir me baiser.
Moi : Non, de toutes les façons, je ne veux pas par rapport à Valérie que j’aime.
Patricia : Je m’en doutais que tu allais me dire ça, alors je vais te faire voire que ta petite femme aime plus les femmes que toi !
Patricia tourne son ordinateur portable et mets en route une vidéo ou je vois ma femme habillée de son imperméable en vinyle noir et harnachée d’un gode, entrain de baiser Patricia.
L’horreur, Valérie entrain de donner des coups de reins et Patricia qui jouis à voix haute.
La scène se passe sur le bord de la piscine des vacances.
Je comprends rapidement que Valérie est devenue le jouet de Patricia.
Je me rapproche de l’écran pour voir si ce n’est pas un montage, mais non, Valérie est bien entrain de baiser Patricia.
Patricia me passe plusieurs vidéos dont une où Valérie est sur le leur lit avec le drap en vinyle, elle arrose Valérie qui est en levrette.
Patricia ricane et passe à une autre vidéo dans leur jardin, je reconnais Valérie, elle est avec un long imperméable en vinyle rouge et avec ces bottes Aigle orange. Je ne l’ai jamais vu avec cet imper mais je reconnais les bottes.
Valérie est contre un arbre, Après avoir donné à quelqu’un sa caméra, Patricia qui porte l’imper noir en vinyle de Valérie, se dirige vers elle et lui dis :
Dis-le que tu m’aimes ! vas-y, ton mari va le savoir ! avoues que tu m’aimes et que tu aimes être une gouine.
Valérie : Oui je t’aime, et j’aime te faire l’amour.
Patricia ouvre l’imperméable et laisse apparaitre le corps tout nu de Valérie.
Il pleut à grosses gouttes, Patricia lui attrape les seins pour lui malaxer.
Après elle sort un vibromasseur pour lui présenter devant la fente.
Patricia : Écarte tes cuisses ma gouine.
Valérie exécute, je doute qu’elle se rende compte qu’elle est filmée.
Et là je vois une troisième femmes qui s’approche et qui porte le même imper que Valérie.
La femme ouvre son imperméable et laisse apparaitre un godemichet qu’elle s’est attaché.
Patricia s’écarte de Valérie et laisse la place à l’autre.
Elle se place entre les jambes de ma femme, Patricia lui saisit l’imper pour le relever et laisser apparaitre son petit cul et la femme empale Valérie sur cette bitte en plastique, sans ménagement.
Valérie pousse un hurlement. Patricia lui met une claque sur les cuisse et lui dit : « ferme là »
Je suis déstabilisé, je me demande si je rêve ou si c’est la réalité.
Je n’ai pas envie de bander car je ne veux pas croire à ce que je vois.
La vidéo se poursuit et Patricia vois que j’ai les yeux qui rougissent par cette vision.
Patricia pose une main sur mon épaule et me dit : Sa te fait quoi là ? Regarde la suite….
J’ai envie de tout casser, mes nerfs commence à gonfler, je regarde par intermittence Patricia, avec mon regard qui tue.
Sur la vidéo je vois Patricia prendre la bouche de ma femme et lorsqu’elle la laisse, c’est pour lui remettre le vibromasseur pour quelle le suce.
Patricia arrête les vidéos et me dit :
« Maintenant pour que l’on soit quitte, je veux que tu me baise pour me punir d’avoir abusé de ta femme sous hypnose et que tu te finisses dans le cul de mon mari pour lui apprendre qu’il ne faudra plus jamais qu’il se prenne à faire des conneries de ce genre ».
L’énervement et la vengeance m’ont permis d’accepter les vœux de Patricia, mais avec l’arrière-pensée de ne pas toucher à Arnaud.
Alors je me suis approché d’elle est je l’ai pelotée à travers sa combinaison en plastique, elle a joué un rôle important pour me faire monter aux rideaux.
Je me suis excité mais avec un état de sauvageons, je lui ai trituré les fesses, pincé les seins à travers le tissu, je l’ai retournée, je lui ai claqué les fesses, j’ai attrapé les seins par derrière pour les serrer plus forts.
Je l’ai attrapé et emmenée vers l’entre cuisse de son mari.
Arnaud a relevé la tête pour voir sa femme face à lui.
J’ai attrapé ces cheveux à pleine main et j’ai commencé à lui taper l’arrière train.
Ma bite me faisait mal car elle était emprisonnée dans mon Jeans.
N’en pouvant plus, j’ai tout lâché et je me suis mis à poils.
Patricia se tortillait dans sa combinaison en vinyle pour faire du bruit et bien faire voir son cul.
Avec une érection au TOP, je me suis directement dirigé vers l’entrecuisse de Patricia, j’ai attrapé la fermeture éclair sans ménagement, je n’ai pas fait attention s’il y avait des poils, j’ai tiré d’un coup.
Patricia c’est mise à crier, je lui dis : ta gueule, tu vas morfler Salope, fallait pas t’en prendre à Valérie.
Je ne suis plus le même, je me déchaine.
Sans plus de commentaires, je présente ma bite devant la vulve serrée par l’entrebâillement de la fermeture éclair.
J’attrape avec mes deux mains chaque côté de la fermeture et j’écarte au maximum.
Ma main va fouiller la vulve, je remonte aussitôt à mon nez et je dis :
« Tu sens bon de la chatte »
« Penche toi d’avantage, que je puisse te la mettre comme en vacances ! »
Patricia : « non pas encore, je veux que tu me lèche »
Moi : « Retourne toi, je vais te brouter »
Aussitôt elle exécute et pose sa tête sur le ventre d’Arnaud.
Je m’agenouille et commence à lui lécher sa vulve.
Je ne sais pas pourquoi, mais elle ricane en même temps.
Est-ce que c’est parce que je lui fais de l’effet ? Je vais comprendre plus tard pourquoi.
Lorsque j’ai senti à ma salive qu’il y avait un gout différent, j’ai compris qu’elle avait de la cyprine qui coulait par le bonheur.
Je me suis relevé et je l’ai pénétré.
Je m’exécute et là j’entends ma femme dire :
« Vas-y te gêne pas, baise là de toute tes forces, sa lui apprendra ».
Lorsque je tourne la tête je vois Valérie, elle était dans l’encoignure de la porte de la cuisine.
Patricia est une vrai Salope, elle m’a piégé.
Valérie est venu derrière moi pour me pincer le cul avec ces ongles (j’ai encore les traces).
Je voulais me retirer mais Valérie m’a bloqué.
Sous ses ordres j’ai continué à baiser Patricia.
Lorsque je suis venu pour gicler, Patricia s’est retirée et ma demander de me finir dans le cul de Arnaud.
Je me suis dirigé vers Arnaud qui bandait à mort.
Je n’ai jamais eu de relation homo, alors pas facile.
Je présente ma bitte et la Patricia m’arrête pour me mettre du gel sur la queue en disant :
« Il ne faudrait pas non plus que tu lui déchire ces petits plis soleil… »
Après avoir mis le gel, Valérie et Patricia se placent derrière moi et m’ordonnent de le pénétrer.
Sans autre choix pour leur prouver que l’idée d’échange venait d’Arnaud.
Arnaud me regardait dans les yeux avec les jambes remontées sur son torse avec l’aire de me dire « non ne me pénètre pas »
J’ai poussé mais je n’ai pas pu rentrer et surtout je n’ai jamais fait.
Sans trop le vouloir j’ai éjaculé à l’entrée de son cul.
Les deux femmes ont aussitôt libéré Arnaud, qui ne pouvait plus bouger car il était resté presque une heure dans cette situation.
Valérie est venue m’embrasser aussitôt, elle a attraper ma bite dans sa mains pour seulement la caressée et récupérer le sperme.
Depuis, nous nous revoyons tous les 15 jours pour normalement faire une bouffe ensemble quand nos enfants sont de sortie pour le week-end, mais cela se transforme en partie fétichiste et échangiste.
Maintenant j’ai compris que les femmes avaient une vengeance plus importante et calculée que là notre.
Mais le mal à toujours un bien, c’est que maintenant nous avons, Valérie et moi une vie sexuelle plus épanouie. On envisage les vacances avec les amis de Patricia et Arnaud au mois d’Août…. Se sera des vacances avec du vinyle, avec des personnes expérimentées suivant les dires de « Patricia ».
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Les avis des lecteurs
A la base si 1 mec ou 1 femme n'a pas envi de se faire enculer c'est non sinon ça s'appelle du viol !!!