Vieux Cantinier Rêve de Soumettre la Belle CPE du Collège - histoire érotique

La situation

Je suis gérant de cantine scolaire dans un petit collège de banlieue parisienne. Nous avons une jeune Conseillère Principale d'Education (CPE) que je trouve magnifique. Elle est belle, sur la trentaine, les traits arabes avec de beaux cheveux noirs ondulés et un très beau cul. Elle porte toujours des tenues professionnelles mais très sexy: petits chemisiers semi-transparents qui laissent entrevoir son soutien-gorge, pantalons de soie qui moulent son beau cul (et elle porte souvent des strings), chaussures à talons, rouge à lèvre. Les gamins sont évidemment fous d'elles et font souvent des remarques sur son cul quand elle n'est pas là, mais elle sait se faire respecter et elle est très appréciée. Je suis quant à moi dans la cinquantaine, malheureusement un peu bedonnant déjà, divorcé. Je ne pense pas qu’elle m’ait jamais vraiment regardé comme quelqu'un qu'elle pourrait baiser (et en plus elle est mariée). Mais il y a un je-ne-sais-quoi chez elle qui me fait penser qu'elle doit bien aimer le cul. Je pense donc souvent à elle quand je me fais plaisir, et j'aimerais partager avec vous un de mes fantasmes.

Mon fantasme

La cantine est vide et je suis en train de faire les derniers rangements avant de fermer. La CPE arrive pour me demander un compte-rendu sur un gamin qui a fait n'importe quoi avec la nourriture sur son plateau et qui va avoir une heure de colle. Elle est belle, souriante, et nous rions ensemble de l'imagination culinaire du gamin. J'admire sa superbe poitrine à la dérobée pendant que nous parlons. Avant qu'elle ne parte, je prends mon courage à deux mains et lui dit:
- Samia, je voudrais t'avouer quelque chose depuis un moment, mais... j'ai peur de que ce ne soit pas très approprié dans un cadre professionnel...
- Mais vas-y, Robert, tu peux tout me dire, me dit-elle avec un air inquiet. De quoi s'agit-il?
- Je... je te trouve très belle. Ne t'inquiète pas, je sais que je ne suis pas de ton âge, et que tu es mariée. Mais... j'avoue que ça m'arrive de penser à toi quand je suis seul. Désolé je n'aurais pas du dire ça...
- Ah oui, effectivement, ce n'est pas très professionnel, dit-elle en rougissant. Puis Après une pause: Et... à quoi tu penses, quand tu penses à moi?

Elle me regarde droit dans les yeux. Elle a rougi, mais elle n'a pas l'air plus choquée que ça, plutôt amusée et incrédule. Je retrouve aussi cette lueur dans son regard qui me fait penser qu'elle doit bien aimer le cul.
- Je... je ne sais pas, si je devrais te dire ça, mais parfois je m'imagine que tu aimes être soumise au lit.
Après un silence interloquée, elle me dit:
- Ecoute Robert... ça va peut-être t'étonner que je te dise ça... mais tu n'as pas tout à fait tort. J'aime bien être soumise au lit... Après une longue pause: Est-ce que tu voudrais me demander quelque chose maintenant?
Je ne suis pas sure de comprendre.
- Euh... c'est à dire?
- Je peux te sucer par exemple.
- Maintenant? Heu... oui bien sur.... Tu... tu voudrais bien me sucer? Je ne suis même pas sur d'être très propre, j'ai pris une douche ce matin mais...
Elle m'arrête:
- Ecoute Robert... je veux bien te faire une fellation, mais il faut que tu sois plus directif avec moi. Pas de "si", pas de "mais". Tu exiges et c'est tout. Tu comprends? Si je n'ai pas envie de faire ce que tu me demandes, je te le dirais, fais-moi confiance là-dessus. OK?

Elle est incroyable. Je commence à me détendre, et me laisse aller à rêver de ce que j'aimerais vraiment lui faire. Je rêve depuis tellement longtemps de simplement voir son cul à nu. D'une voix étranglée, je lui dis:
- Je voudrais que tu te mettes à quatre pattes sur le sol. Je voudrais voir ton cul.

Elle a l'air satisfaite et me regarde en souriant en coin, l'air de penser: "c'est donc ça que tu veux, vieux cochon". Elle se met lentement à quatre pattes sur le sol, et laisse ses beaux cheveux couvrir son visage. Je m'agenouille derrière elle, je descends délicatement son pantalon de soie et son petit string, comme dans un rêve. J'écarte ses fesses doucement mais complétement de manière à bien exposer sa chatte et son trou du cul. La zone est complétement détrempée de mouille. Je mate fixement son petit trou du cul sombre tout en lui écartant les fesses encore un peu plus, à la limite du tiraillement. A force de l'admirer, j'ai furieusement envie de gouter à ce cul. J'approche ma bouche et je lèche une fois sa raie. Elle se laisse faire. Je me mets alors à lécher plus grossièrement la région de son anus. Je bave, et finit par oser introduire ma langue dans l'entrée de son petit trou du cul. Elle pousse légèrement son cul à la rencontre de ma langue et pousse un gémissement. Décidemment, elle aime vraiment le cul! Et elle apprécie de le faire avec un vieux cochon comme moi! Je lui propose de me sucer et elle accepte.

Je me relève donc et m'agenouille devant son visage. Je sors mon sexe de ma braguette. Il n'est pas encore tout à fait dur, collé par la sueur et un peu odorant. J'ai honte de ne pas être tout à fait propre mais elle m'a bien dit que ça ne la dérangeait pas. Je lui présente donc ma bite. Elle l'embouche et me suce tendrement, jusqu'à ce que je sois très dur dans sa bouche. Elle descend ensuite vers mes couilles et me les happe tendrement. Je pousse des soupirs de contentement. Elle lève les yeux vers moi et cherche mon regard. Son regard est étincelant, elle à l'air de beaucoup s'amuser avec mes couilles dans la bouche. Elle se libère pour me dire:
- Ca m'excite de lécher tes couilles. Continue à me demander des choses s'il te plait. Souille-moi. Je veux que tu me traites comme ta putain, tu comprends?

Elle est si bonne avec moi et cette situation est déjà tellement incroyable! Elle m'a déjà donné tant que je n'aurais jamais songé à lui demander quoi que ce soit de plus. Mais je ne veux pas la décevoir et satisfaire son appétit de soumission. J'ai alors une idée qui me fait chavirer: c'est une idée qui m'a toujours fait beaucoup bandé, mais que je n'aurais jamais osé réaliser avec quiconque. Je me relève alors qu'elle reste à genoux, je lui tourne le dos et place une main contre le mur de sorte à pouvoir me pencher légèrement en avant. Moi, un vieux bedonnant, je suis tranquillement en train de présenter mes fesses à une magnifique jeune femme à genoux. Je ne crois pas à ma chance. Je saisi Samia par l'arrière de la tête et approche doucement son visage de mes fesses, à l'aveuglette derrière mon dos. Elle est visiblement surprise, réticente même, mais elle ne dit rien. J'en déduis qu'elle n'objecte pas, comme elle me l'a expliqué. Je continue donc de pousser son visage avec force vers mes fesses, jusqu'à ce que je sente un contact. Je la guide alors pour que son nez et sa bouche pénètrent dans ma raie. Je la maintiens ainsi par la nuque et je me surprends à lui dire d'un ton dur:
- Occupe-toi de mon cul avec ta langue, salope. Je veux que tu le nettoies à fond, c'est compris?

Elle s'exécute lentement, explorant timidement ma raie avec sa langue. Elle rencontre les poils drus que j'ai autour de l'anus ce qui ne doit pas être agréable, mais elle salive bien de sorte que très rapidement je sens la zone entière devenir glissante. Je savoure cette caresse et mon sexe commence à être douloureux à force d'être raide. Pendant qu'elle continue de lécher mon cul, je réfléchis à la manière dont je voudrais éjaculer. Est-ce je vais tout simplement me branler dans sa bouche et la remplir de sperme? Ce serait très excitant mais je ne suis pas sur que cette idée soit à la hauteur des besoins de soumission de Samia. J'ai alors une idée plus perverse, qui je pense va lui plaire. Je me branle simplement pendant qu'elle continue son œuvre. Au bout de quelques secondes, je me vide sur le sol de la cafétéria, là où des dizaines d'élèves ont marché quelques heures plus tôt. Mon sperme fait plusieurs petites taches blanches sur le sol. Je libère mon étreinte de la nuque de Samia et lui pointe les taches du doigt:
- Tu vois le résultat de ton comportement? Tu m'as fait jouir sur le sol. Il va falloir nettoyer tout ça maintenant. Et c'est toi qui va le faire à quatre pattes. C'est entendu, salope?

Je lui laisse quelques instants pour comprendre ce que je lui demande. Lentement, elle approche son visage du sol, toujours à quatre pattes, et avec des gestes très sensuels se met à lécher les traces à même le sol. Je me met derrière elle pour admirer son énorme cul cambré pendant qu'elle fait ça. Un merveilleux gros cul, qui s'active au rythme de son bassin ondulant pendant qu'elle lèche le sol. C'était tellement bon: elle avait d'abord léché mon cul, et maintenant elle lapait mon sperme à même le sol.
- C'est incroyable ce que tu es belle dans cette position, je m'exclame. Tu es un ange.

Après avoir bien lapé le sol, elle se relève, réajuste ses vêtements avec soin puis me dit avec une voix rauque avant de partir:
- C'était bon. J'ai beaucoup aimé ce que tu m'as fait Robert. Je vais y repenser souvent. Mais ça reste entre nous, OK?

Elle me sourit et s'en va, plus belle que jamais.

PS: Si quelque chose vous a excité dans ce récit où que vous avez un autre fantasme qui vous excite, faites-le moi savoir dans les commentaires! En particulier, j'aimerais savoir m'y prendre mieux avec les femmes et connaitre mieux leurs fantasmes. Merci d'avance.