Virginie ou les pièges de l'infidélité (3)

- Par l'auteur HDS Subtil -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Virginie ou les pièges de l'infidélité (3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-12-2009 dans la catégorie Dominants et dominés
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Virginie ou les pièges de l'infidélité (3)
Le moins que l’on puisse dire c’est que le retour de Virginie et Léopold chez eux fut glacial. Il l’avait vue se donner à trois hommes. Elle l’avait vu se donner à trois hommes. Ils dormirent néanmoins quelques heures puis ne surent trop que se dire. La tension était trop forte entre eux. Ils finirent par tomber dans les bras l’un de l’autre le soir et se firent divinement l’amour. Non, ils ne recommenceraient pas. Promis…
Promis… Seulement, Vincent rappela quelques jours plus tard. Vincent, son amant qui l’avait abandonnée. « Je te promets, je n’ai pas pu t’appeler. Un voyage d’affaires qui s’éternisait et avec le décalage horaire, tu comprends. » Elle ne le croyait pas mais bon, que faire ? Comment lui résister. D’autant que Léopold était lui-même reparti à l’étranger quelques jours non sans lui avoir fait promettre de bien se tenir. « Ce soir, chez des amis. Fais-toi belle.
- Des amis libertins ?
- Non, non, des amis tout court. J’ai besoin d’une cavalière, il y aura aussi des clients. »
Elle avait bien eu envie de lui dire de se trouver une escort girl si c’était juste pour faire bien à son bras qu’il avait besoin d’elle mais en fait elle était plutôt flattée de sa proposition. Il la retrouva le lendemain dans un café proche de l’appartement où ils devaient dîner. Elle ne voulait plus prendre le risque de le voir chez elle. Qu’il était beau. Grand, brun, musclé. 1m 90 si male pendant que son Léopold était si terne, si peu masculin à côté. Sa chatte s’était instantanément humidifiée en le voyant et elle savait qu’elle ferait n’importe quoi pour lui. Elle aurait tant aimé qu’il l’a prenne là, tout de suite, mais il lui dit : « Nous sommes en retard. Tu es très belle… » Elle l’était. Elle avait mis le paquet. Une robe noire très échancrée sur la poitrine qui laissait entre apercevoir son 95d. Des bas noirs eux aussi. Des talons aiguilles. Noirs. Seule touche de couleur son collier de perles. Blanches. La classe…
En arrivant chez les amis de Vincent, Virginie dut admettre que ses peurs de se retrouver livrée à des males dominateurs comme la fois précédente n’étaient pas fondés. L’assistance était au contraire très chic, faite de couples bien assortis et l’appartement des beaux quartiers parisiens était un écrin parfait pour ce dîner. « Je vous présente Virginie, une amie. » Très gentleman, Vincent la présentait à différents couples présents puis à des hommes d’origine allemande plus âgés– « mes clients » lui dit-il – mais fort séduisants. Elle engagea rapidement la conversation avec l’un deux : « Vous travaillez avec Vincent ?
- Non pas encore, mais nous sommes très intéressés par ses prestation. »
En fait, Virginie ne sait pas trop bien ce que Vincent faisait. Elle l’avait rencontré dans un cocktail lors du vernissage d’une exposition de peinture et il lui avait juste dit qu’il faisait des « affaires ». « Les quelles ?, demanda donc t-elle.
- Nous pensons lui acheter des tableaux. » Ah donc, il n’était pas à cette expo par hasard.
Et l’homme, un nommé Bernard, de renchérir : « Il semble qu’il sache bien choisir ses protégés peintres, mais aussi femmes. Vous êtes superbe, Virginie. » Elle en rougit presque. Il faut avouer qu’il était exactement comme elle aimait les hommes. Grand, mince. La cinquantaine évidemment mais quelle prestance. Et il parlait français comme vous et moi, sans une pointe d’accent.
La soirée s’était bien passée et c’était l’heure du départ. Assise entre Bernard et Vincent, Virginie avait été drôle, belle. Elle était contente d’elle et n’avait qu’une hâte que Vincent la prenne. Elle fut donc bien déçue en sortant qu’il lui dise qu’ils allaient encore boire un verre chez Bernard. Et encore plus quand Vincent lui dit de monter dans la voiture de Bernard parce qu’il était en scooter et n’avait qu’un casque. Alors qu’elle s’apprêtait à protester, une caresse sur les fesses lui fit vite renoncer. Elle s’installa donc confortablement à l’arrière de la grosse Mercedes, aux côtés de Bernard. Deux hommes étaient devant, qu’il lui présenta comme son chauffeur et son garde du corps. « Désolé, ils parlent très mal français. » Puis il se tut. La grosse berline sortit bientôt de Paris. « J’habite une grande maison à Sèvres, vous allez voir c’est très beau », lui expliqua encore Bernard.
Mais le portail de la demeure une fois ouvert, la voiture garée devant l’imposante bâtisse, les choses changèrent. « Allez vous préparer Virginie », lui intima-t-il à peine entré. « Vos affaires sont à côté. » Il ouvrit une porte et la fit entrer. Au milieu de la pièce il n’y avait qu’un corset, rouge. « Mettez le et rejoignez vous. Angela va vous aider à le lacer », dit-il encore en lui désignant une jeune femme brune pulpeuse habillée elle aussi d’un simple corset qui laissait voir ses seins et son sexe. « Mais non », essaya-t-elle de dire. « Voyons c’est bien ce qui était convenu avec Vincent. Voulez vous lui parler ?
- Bien sûr. » Elle prit donc le téléphone qu’il lui tendait et entendit tout de suite la voix de Vincent : « J’arrive mon amour. Fais ce que Bernard te dit. On va bien s’amuser je te le promets. Je serai là quand tu seras habillée. »
Habillée, déshabillée plutôt se disait elle en s’admirant néanmoins dans la glace. Trente ans, pas un poil de graisse, des seins à se damner, des jambes, juste le visage qu’elle trouvait un peu ingrat mais qui provoquait l’amour fou chez plus d’un homme. Angela lui laça fortement le corset qui faisait encore plus ressortir sa poitrine et l’accompagna au salon. Bernard et Vincent devisaient gaiement et sifflèrent d’admiration en voyant les deux femmes. « Vous êtes superbe ! » Angela n’avait toujours pas dit un mot et n’avait fait que mettre son doigt devant la bouche à chaque tentative de dialogue de Virginie. Elle s’asseya instantanément aux pieds de Bernard qui lui caressa doucement la tête avant d’accrocher une laisse au collier qu’elle portant. Il dit alors durement à Virginie : « Aux pieds de Vincent, qu’il vous mette aussi votre collier. Fascinée, elle s’approcha du grand canapé noir où Vincent était assis. Il lui mit alors un collier en métal qu’il ferma avec une petite vis. Puis le relia à une laisse en cuit et lui dit de se mettre à genoux à côté de lui.
La conversation continua entre les deux hommes. Ils buvaient tranquillement sans sembler faire attention à elles. Le temps commençait à sembler long à Virginie. Angela ne bougeait pas. Enfin Bernard leur dit de se mettre à quatre pattes. « Regardez Vincent comme elle mouille ». Bernard avait introduit son index dans le sexe d’Angela. Face à Virginie elle semblait déjà jouir. Vincent en fit autant avec elle et elle en fut également ravie. « Elle mouille moins, dit Vincent.
- C’est parce qu’elle n’est pas encore dressée », répondit Bernard. « Nous allons nous en occuper ? Vous êtes d’accord Virginie.
Pratiquement nue, à quatre pattes devant ces deux hommes, elle ne savait que répondre.
« Je vous préviens Virginie qu’une acceptation vaut pour toute cette nuit. Nous ferons de vous ce que nous voulons. Vos orifices seront livrés à qui nous le voudront et vos tentatives de rébellion sévèrement châtiées. Alors Virginie ? » Bernard la subjuguait encore plus que Vincent. Elle sentait son sexe couler littéralement d’excitation. Elle s’entendit dire : « Je ferai ce que vous voudrez.
- A qui parlez-vous ?, demanda Bernard
- A vous.
- On dit maître alors ? Répétez : « Je ferai ce que vous voudrez, maître »
- Je ferai ce que vous voudrez…maître.
- Bien. Mettez vous toutes les deux à quatre pattes sur ce canapé que nous inspections vos orifices. »
Les deux femmes se mirent donc cote à cote sur le canapé en cuir. Les deux hommes entreprirent de pénétrer leurs sexes, leur anus, faisant moult commentaires sur leur texture, leur ouverture. « La prochaine fois vous ferez un lavement Virginie », intima Bernard avant d’appeler : « Venez, elles vous attendent. » Virginie se retourna subrepticement, ce qui lui valut un coup de cravache sur la fesse. « On ne se retourne pas », ordonna Bernard. Elle avait quand même put voir entrer les deux hommes de la voiture, nus, leurs sexes imposants en érection. « Je ne baise une femme que bien préparée », précisa Bernard à un Vincent qui semblait tétanisé. Les deux hommes se présentèrent derrière les deux femmes et les enfilèrent d’un seul coup. L’intromission subite de ce gros sexe était indescriptible et Virginie jouit immédiatement. Angela en fit autant à côté d’elle. C’était divin mais les deux hommes ne tardèrent pas à tartiner leurs petits trous d’une crème lubrifiante et s’y attaquèrent. Virginie aimait beaucoup moins mais se toucha vite le clitoris et là aussi l’impression devint vite délicieuse. Les coups de boutoir continuaient, impérieux, le temps semblait dépassé. Les deux hommes jouirent dans leurs préservatifs. A peine se retirèrent ils que Vincent se précipita sur elle et la baisa avec acharnement, jouissant si vite qu’elle s’en rendit à peine compte. Elle était KO. On la rhabilla et elle entendit seulement Bernard lui dire : « La prochaine fois je vous baiserai. Venez avec votre mari… il paraît qu’il est charmant. »

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