Visite médicale imprévue
Récit érotique écrit par Jean-Pierre [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-02-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Visite médicale imprévue
Nous étions chez un ancien camarade de lycée, aujourd'hui médecin. Le repas était terminé, nous bavardions au salon. La conversation porta sur un examen médical pour un certificat nécessaire au travail de mon épouse. Mon copain s'exclama alors qu’il était parfaitement habilité à produire ce certificat ! et nous proposa de passer dans son cabinet attenant à l'appartement - Tu comprendras, qu'avant de signer ce certificat je doive procéder au moins à un examen sommaire de ta charmante épouse aussi dois-je demander à ta femme de se déshabiller.
- C'est une plaisanterie, Pas question ce n’est pas possible répond ma femme. Mais tu te rends comptes de ce qu'il me demande, et toi tu veux que je me déshabille devant lui ! me dit ma femme.
- Mais enfin il est médecin, c'est normal pour un examen. Il faut profiter de l'occasion d'avoir ce certificat, ce serait vraiment trop bête autrement.
Ma femme semblait ailleurs, puis elle demanda juste à mon copain si elle devait vraiment se déshabiller complètement, celui-ci sentant que peut-être ma femme allait se raviser et refuser définitivement cet examen, les yeux rivé sur son chemisier puis sur ses jambes lui répondit : - Rassures-toi, tu pourras garder ta culotte sans doute si je n'ai pas l'utilité d'un examen plus poussé.
Ma femme l'idée finalement d'offrir un strip-tease à mon copain et à sa femme eut comme un tremblement quand elle voulut défaire le premier bouton attaché de son chemisier.
- Non, ce n'est pas possible, vous êtes tous les trois à me regarder !
La femme de mon copain s'était levée devant ma femme. Elle avait aussitôt attaqué le premier bouton du chemisier, puis un a un, elle déboutonnait tout en ne quittant pas des yeux le visage de ma femme qui se décomposait je n'en revenais pas ! Elle se laissa faire. Les boutons sautèrent les uns après les autres et elle tira le vêtement le long des bras de ma femme dévoilant son buste serré dans le haut de la combinaison.
Après avoir tombé le chemisier elle s'attaquait déjà à la fermeture de la jupe. Ma femme était comme une marionnette, elle tourna la tête en se mordant la lèvre inférieure quand la femme de mon copain tira sur la jupe grise pour la faire tomber à ses pieds.
Ma femme était désirable en combinaison blanche, elle était offerte aux regards du couple dans cette fine lingerie, jusqu'à la lisière de fines dentelles au-dessus de ses genoux mon copain passait en revue toute sa silhouette il prenait son pied d'apercevoir au travers le collant qui épousait ses hanches de femme mûre et un flou blanchâtre qui laissait deviner une large culotte. Mon copain devait mieux distinguer la culotte assortie au soutien-gorge. Il ne put s'empêcher de faire un commentaire :- Ton épouse est vraiment charmante !
- Bon ! Alors, enlève le reste toute seule ! dit la femme de mon copain à ma femme.
Ma femme éclata presque en sanglots se pencha et attrapant la lisière de sa combinaison la remonta le long de son corps. Mon érection était à son comble, celle de mon copain aussi qui s'activait semblait-il sous le bureau les yeux fixés sur les cuisses qui se dévoilaient, puis sur le collant noir avec la large culotte blanche et chair, ma femme se retrouva à ce moment en collant et les bras engoncés dans la combinaison qu'elle tentait de faire passer par-dessus son soutien-gorge.
Mon copain lui se rassasiait de ce spectacle, puis ce fut au tour du soutien-gorge d'apparaître laissant mesurer la forte poitrine de ma femme. Enfin libérée de la combinaison, qu'elle fit tomber par terre en tremblant, ma femme se tenait là les bras ballant en collant noir et soutien-gorge blanc, laissaient toutefois deviner les bouts des seins visiblement durcis par l'émotion.
Les yeux fermés, offerte, elle était mortifiée de honte. Je n'avais jamais pu observer ma femme en sous-vêtements comme ça. Il y eu un long silence. C'est la femme de mon copain qui au bout d'un moment voyant que son mari se caressait sous son bureau est passé derrière ma femme pour dégrafer son soutien-gorge. La femme de mon copain avait d'un geste sec défait l'agrafe, ma femme a alors essayé de retenir les bonnets sur sa poitrine en croisant ses bras mais elle a tiré violemment sur le tissu élastique tout en criant : - Non ! non, les seins à l'air pour l'examen !
Cette phrase brutale a achevé ma femme qui a laissé partir son sous-vêtement, sa lourde poitrine s'est alors balancée et mon copain a laissé échapper un son rauque de plaisir, laissant présager une éjaculation. Celui-ci ne quittait plus des yeux les deux seins mis à nu, une poitrine toute en rondeur, ferme mais un peu tombante.
Comme un automate elle baissa son collant et le retira. Nous nous sommes regardés, mon copain sa femme et moi. Le couple échangea un sourire et la femme de mon copain murmura : « cette fois c'est elle qui a envie... » Mais ma femme avait surtout envie que tout cela finisse et après avoir retiré automatiquement son collant, elle attendait en culotte qu'on lui dise quoi faire, les bras croisés sur sa poitrine les yeux baissés comme soumise.
Après tous ces événements je pouvais à peine bouger tant mon sexe était dur. Mon copain sous prétexte d'une inspection mammaire lui fit mettre alors les mains sur la tête et sans aucune retenue il palpa ses seins tout se reculant pour la jauger des pieds à la tête s'arrêtant bien évidemment sur la culotte. la vue de ma femme seins nus en culotte, les mains sur la tête en train de se faire peloter par mon ami me fascinaient.
Ma femme était s'allonger sur la table d'auscultation amorphe, comme résignée... Mon copain continua à lui palper les globes des seins à pleines mains et faisait rouler les bouts sous ses doigts, sa femme lui souffla quelque chose à l'oreille... Il n'osait aller plus loin mais se résolu à dire : - Pour terminer il faudrait juste que je pratique un court examen gynécologique. Je n'osais comprendre mais ma femme qui avait compris sortit aussitôt de sa léthargie :
- Non, pas ça ...Chéri, ou es-tu ? je veux partir... me rhabiller...
La femme de mon copain qui avait senti sans doute que j'allais flanché avait à ce moment précis d'un coup sec tiré et descendu la culotte blanche et crème sur les cuisses de ma femme. Celle-ci plus que surprise hurla dans ma direction : - Ils m'ont baissé ma culotte. !
Des larmes jaillirent mais soudain elle eut un spasme... Je n'avais plus fait attention aux gestes de mon copain et sa femme depuis l'action surprise de la culotte baissée. J'avais juste aperçu le coup d'œil soutenu de mon copain sur la toison brune mise à jour, mais en regardant vers eux je les vis affairés entre les cuisses de leur patiente forcée, la femme de mon copain avait écarté les grandes et petites lèvres du sexe et mon copain la touchait au plus profond de son intimité. Elle tenta de se relever en se crispant. Elle dit cette phrase à son mari :
- Remplace-moi, elle est à point.
Je n'en croyais pas mes yeux. Elle avait plongé sa bouche dans le sexe de ma femme et sa langue fouillait l'intérieur. Je criais alors : - Arrêtez c'est dégueulasse ! ! !
Mais aucun des deux n'avait prêté attention à ma réaction et encore moins ma femme qui se cabra sous la caresse buccale en laissant échapper un long gémissement aigu et plaintif, elle se mit à glousser de plaisir tout en se contorsionnant sur la table d'auscultation. Je n'avais jamais vu ma femme dans un tel état. les yeux presque révulsés, la bouche entrouverte à gémir sous la précision de la caresse qu'on lui infligeait. La femme de mon copain avait relevé la tête avec un grand sourire et s'adressant à son mari : - Occupe-toi de ses nichons, elle ne fait plus la malheureuse à présent.
J'étais stupéfait ! Ma femme se cambrait le bassin en avant en murmurant me semblait-il ! « oui, encore, encore... » La femme de mon copain repris de plus belle tandis que son mari lui pinçait le bout des seins qu'elle dressait comme pour réclamer, ma femme gémissait à présent sans retenue et dans un sursaut ou son corps se tendit comme un arc elle eut un orgasme comme jamais je lui avais vu. Je n'en revenais pas, dépassé par la situation. Ils la laissèrent à demi-inconsciente.
La femme de mon copain avait baissé son jean pour demander à son mari de se mettre à genoux et lui donner du plaisir. J'aidais ma femme à se relever, remontais sa culotte et la conduisis vers le bureau ma femme avait de petits tremblements quand elle se rhabilla sans remettre ni la paire de collant ni sa combinaison. Elle ne disait pas un mot, les yeux baissés, piteuse, tandis que l'on entendait les râles de plaisir de la femme de mon copain. Ils revinrent avant que nous ayons eu le temps de nous éclipser. La femme de mon copain me dit : - Ton épouse a pris son pied comme jamais, tu vois !
Ma femme voulut la gifler, son mari s'interposa et c'est lui qui reçut la gifle. J'emmenais vite ma femme, nous sommes sortis dans la rue en nous demandant ce qu'il nous était arrivés. Après cette aventure ma femme a accepté que je me livre à quelques petits jeux érotiques avec elle du genre la faire mettre en culotte les mains sur la tête pour lui peloter la poitrine. Bien évidemment j'ai désormais droit aussi à des fellations même maladroites. Tout cela à cause d'amis que nous n'avons bien sûr jamais revu.
- C'est une plaisanterie, Pas question ce n’est pas possible répond ma femme. Mais tu te rends comptes de ce qu'il me demande, et toi tu veux que je me déshabille devant lui ! me dit ma femme.
- Mais enfin il est médecin, c'est normal pour un examen. Il faut profiter de l'occasion d'avoir ce certificat, ce serait vraiment trop bête autrement.
Ma femme semblait ailleurs, puis elle demanda juste à mon copain si elle devait vraiment se déshabiller complètement, celui-ci sentant que peut-être ma femme allait se raviser et refuser définitivement cet examen, les yeux rivé sur son chemisier puis sur ses jambes lui répondit : - Rassures-toi, tu pourras garder ta culotte sans doute si je n'ai pas l'utilité d'un examen plus poussé.
Ma femme l'idée finalement d'offrir un strip-tease à mon copain et à sa femme eut comme un tremblement quand elle voulut défaire le premier bouton attaché de son chemisier.
- Non, ce n'est pas possible, vous êtes tous les trois à me regarder !
La femme de mon copain s'était levée devant ma femme. Elle avait aussitôt attaqué le premier bouton du chemisier, puis un a un, elle déboutonnait tout en ne quittant pas des yeux le visage de ma femme qui se décomposait je n'en revenais pas ! Elle se laissa faire. Les boutons sautèrent les uns après les autres et elle tira le vêtement le long des bras de ma femme dévoilant son buste serré dans le haut de la combinaison.
Après avoir tombé le chemisier elle s'attaquait déjà à la fermeture de la jupe. Ma femme était comme une marionnette, elle tourna la tête en se mordant la lèvre inférieure quand la femme de mon copain tira sur la jupe grise pour la faire tomber à ses pieds.
Ma femme était désirable en combinaison blanche, elle était offerte aux regards du couple dans cette fine lingerie, jusqu'à la lisière de fines dentelles au-dessus de ses genoux mon copain passait en revue toute sa silhouette il prenait son pied d'apercevoir au travers le collant qui épousait ses hanches de femme mûre et un flou blanchâtre qui laissait deviner une large culotte. Mon copain devait mieux distinguer la culotte assortie au soutien-gorge. Il ne put s'empêcher de faire un commentaire :- Ton épouse est vraiment charmante !
- Bon ! Alors, enlève le reste toute seule ! dit la femme de mon copain à ma femme.
Ma femme éclata presque en sanglots se pencha et attrapant la lisière de sa combinaison la remonta le long de son corps. Mon érection était à son comble, celle de mon copain aussi qui s'activait semblait-il sous le bureau les yeux fixés sur les cuisses qui se dévoilaient, puis sur le collant noir avec la large culotte blanche et chair, ma femme se retrouva à ce moment en collant et les bras engoncés dans la combinaison qu'elle tentait de faire passer par-dessus son soutien-gorge.
Mon copain lui se rassasiait de ce spectacle, puis ce fut au tour du soutien-gorge d'apparaître laissant mesurer la forte poitrine de ma femme. Enfin libérée de la combinaison, qu'elle fit tomber par terre en tremblant, ma femme se tenait là les bras ballant en collant noir et soutien-gorge blanc, laissaient toutefois deviner les bouts des seins visiblement durcis par l'émotion.
Les yeux fermés, offerte, elle était mortifiée de honte. Je n'avais jamais pu observer ma femme en sous-vêtements comme ça. Il y eu un long silence. C'est la femme de mon copain qui au bout d'un moment voyant que son mari se caressait sous son bureau est passé derrière ma femme pour dégrafer son soutien-gorge. La femme de mon copain avait d'un geste sec défait l'agrafe, ma femme a alors essayé de retenir les bonnets sur sa poitrine en croisant ses bras mais elle a tiré violemment sur le tissu élastique tout en criant : - Non ! non, les seins à l'air pour l'examen !
Cette phrase brutale a achevé ma femme qui a laissé partir son sous-vêtement, sa lourde poitrine s'est alors balancée et mon copain a laissé échapper un son rauque de plaisir, laissant présager une éjaculation. Celui-ci ne quittait plus des yeux les deux seins mis à nu, une poitrine toute en rondeur, ferme mais un peu tombante.
Comme un automate elle baissa son collant et le retira. Nous nous sommes regardés, mon copain sa femme et moi. Le couple échangea un sourire et la femme de mon copain murmura : « cette fois c'est elle qui a envie... » Mais ma femme avait surtout envie que tout cela finisse et après avoir retiré automatiquement son collant, elle attendait en culotte qu'on lui dise quoi faire, les bras croisés sur sa poitrine les yeux baissés comme soumise.
Après tous ces événements je pouvais à peine bouger tant mon sexe était dur. Mon copain sous prétexte d'une inspection mammaire lui fit mettre alors les mains sur la tête et sans aucune retenue il palpa ses seins tout se reculant pour la jauger des pieds à la tête s'arrêtant bien évidemment sur la culotte. la vue de ma femme seins nus en culotte, les mains sur la tête en train de se faire peloter par mon ami me fascinaient.
Ma femme était s'allonger sur la table d'auscultation amorphe, comme résignée... Mon copain continua à lui palper les globes des seins à pleines mains et faisait rouler les bouts sous ses doigts, sa femme lui souffla quelque chose à l'oreille... Il n'osait aller plus loin mais se résolu à dire : - Pour terminer il faudrait juste que je pratique un court examen gynécologique. Je n'osais comprendre mais ma femme qui avait compris sortit aussitôt de sa léthargie :
- Non, pas ça ...Chéri, ou es-tu ? je veux partir... me rhabiller...
La femme de mon copain qui avait senti sans doute que j'allais flanché avait à ce moment précis d'un coup sec tiré et descendu la culotte blanche et crème sur les cuisses de ma femme. Celle-ci plus que surprise hurla dans ma direction : - Ils m'ont baissé ma culotte. !
Des larmes jaillirent mais soudain elle eut un spasme... Je n'avais plus fait attention aux gestes de mon copain et sa femme depuis l'action surprise de la culotte baissée. J'avais juste aperçu le coup d'œil soutenu de mon copain sur la toison brune mise à jour, mais en regardant vers eux je les vis affairés entre les cuisses de leur patiente forcée, la femme de mon copain avait écarté les grandes et petites lèvres du sexe et mon copain la touchait au plus profond de son intimité. Elle tenta de se relever en se crispant. Elle dit cette phrase à son mari :
- Remplace-moi, elle est à point.
Je n'en croyais pas mes yeux. Elle avait plongé sa bouche dans le sexe de ma femme et sa langue fouillait l'intérieur. Je criais alors : - Arrêtez c'est dégueulasse ! ! !
Mais aucun des deux n'avait prêté attention à ma réaction et encore moins ma femme qui se cabra sous la caresse buccale en laissant échapper un long gémissement aigu et plaintif, elle se mit à glousser de plaisir tout en se contorsionnant sur la table d'auscultation. Je n'avais jamais vu ma femme dans un tel état. les yeux presque révulsés, la bouche entrouverte à gémir sous la précision de la caresse qu'on lui infligeait. La femme de mon copain avait relevé la tête avec un grand sourire et s'adressant à son mari : - Occupe-toi de ses nichons, elle ne fait plus la malheureuse à présent.
J'étais stupéfait ! Ma femme se cambrait le bassin en avant en murmurant me semblait-il ! « oui, encore, encore... » La femme de mon copain repris de plus belle tandis que son mari lui pinçait le bout des seins qu'elle dressait comme pour réclamer, ma femme gémissait à présent sans retenue et dans un sursaut ou son corps se tendit comme un arc elle eut un orgasme comme jamais je lui avais vu. Je n'en revenais pas, dépassé par la situation. Ils la laissèrent à demi-inconsciente.
La femme de mon copain avait baissé son jean pour demander à son mari de se mettre à genoux et lui donner du plaisir. J'aidais ma femme à se relever, remontais sa culotte et la conduisis vers le bureau ma femme avait de petits tremblements quand elle se rhabilla sans remettre ni la paire de collant ni sa combinaison. Elle ne disait pas un mot, les yeux baissés, piteuse, tandis que l'on entendait les râles de plaisir de la femme de mon copain. Ils revinrent avant que nous ayons eu le temps de nous éclipser. La femme de mon copain me dit : - Ton épouse a pris son pied comme jamais, tu vois !
Ma femme voulut la gifler, son mari s'interposa et c'est lui qui reçut la gifle. J'emmenais vite ma femme, nous sommes sortis dans la rue en nous demandant ce qu'il nous était arrivés. Après cette aventure ma femme a accepté que je me livre à quelques petits jeux érotiques avec elle du genre la faire mettre en culotte les mains sur la tête pour lui peloter la poitrine. Bien évidemment j'ai désormais droit aussi à des fellations même maladroites. Tout cela à cause d'amis que nous n'avons bien sûr jamais revu.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Et bien je vois que les fantasmes de ce pauvre auteur continues maintenant c est le copain toubib qui y passe je devrais dire plutôt que c est sa femme qui y passe à la casserole.Pauvre cocu c est à pleurer de rire j aimerai bien que la mère de l auteur lise ce que sa chère tête blonde pense des femmes.