Visite Médicale Scolaire – La Poire ‘Suite’
Récit érotique écrit par Ghandar699 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-02-2011 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Visite Médicale Scolaire – La Poire ‘Suite’
Je rentre chez moi, le cul en feu.
Trois jours ont passés depuis la visite médicale et toujours rien ! Mes nuits sont longues depuis cette visite médicale je ne pouvais arrêter ce flashback qui se répétait devant mes yeux. J’avais une envie folle de courir vers l’infirmerie déboutonnant mon pantalon en grimpant les deux étages qui nous séparaient. Chaque nuit je sentais les doigts du docteur me palper et s’introduire dans mon antre. Je désirai à tout prix que quelqu’un ou quelque chose remplisse ce vide ou éteigne ce feu qui naissait de plus en plus dans mon antre ; je cours vers la cuisine m’empare d’un gros concombre bien lisse que j’enfonce dans le cul apaisant ainsi mes besoins charnels.
Le quatrième jour enfin je reçois une note du docteur me demandant de passer à l’infirmerie à la fin de la journée. A l’heure précise, je me présente devant la porte, frappe, j’entends au loin des pas qui s’approchent et la porte s’ouvre. A ma grande surprise c’est l’adjoint du docteur qui ouvre la porte :
- Alors vous êtes M ….
- Oh, oui c’est moi.
- Entrez, on vous attend.
Je trouve le docteur assis derrière le bureau il me regarde en souriant, se lève me tend la main et m’invite à m’assoir :
- Nous avons reçu les résultats de vos analyses, rien de grave vous avez une inflammation prostatique que nous traiterons ici sur place à l’infirmerie. Passez dans l’autre bureau et préparez vous, mon adjoint vous aidera.
Puis il adressa la parole à son adjoint :
- As-tu fermé la porte à clef pour que personne ne nous dérange.
- Nous sommes à la fin de la journée donc personne ne viendra, nous avons tout notre temps.
Je passe dans le bureau et commence à me débarrasser des vêtements, nu comme un vers je me jette sur la couchette sur le côté droit présentant ainsi mon postérieur cambré et ma petite pastille aux yeux de l’adjoint. Sans attendre l’arrivé du docteur celui-ci mis une paire de gants, pris une pastille de gel et la présenta devant mon cul juste au moment où le docteur fit son entrée.
- Ecarte bien les fesses et au maximum s’il te plait, montre-nous ton petit trou du cul.
J'ouvris, trop lentement, mon fessier, les mains de l’adjoint étaient appliquées consciemment sur mes propres rotondités, le bout de ses doigts plongèrent dans mon sillon.
Il enfonça son doigt et fouilla lentement l'intérieur. Il sentit bientôt dans le fond de mon fondement la présence de matières naturelles.
- Houlà, tu n’as pas déposé ta croute ce matin?
- Non. Je suis constipé !
- Nous allons donc procéder en premier lieu à un lavement de ton fondement, dit le docteur en souriant à son collègue.
Sur les conseils des docteurs je me retrouve à quatre pattes, mon postérieur en l’air, les cuisses et les jambes largement écartées. Mon derrière était exposé ainsi à la hauteur des yeux et aux manipulations du docteur et son adjoint.
Le docteur sorti du bureau et revient avec un objet en latex qui ressemblait à un saucisson d’un centimètre de diamètre attaché à deux cordons en plastique dont l’un finissait par une poire l’autre par une grande bassine remplie d’eau chaude dont la partie inférieure portait un robinet, la bassine fut suspendue à un crochet fixé au mur.
- Tu verras ce n’est pas douloureux, bien au contraire.
Soudain, une phalange humide viola mon anus, puis tourna à l’intérieur.
- Je te prépare fit le docteur, j’ai mis un peu de vaseline.
Après avoir retiré son doigt, le corps étranger entra en contact de mes fesses, s’insinua comme un gros thermomètre sur au moins vingt centimètres.
Ce que je ressentais était bizarre et agréable.
Le docteur pompa trois fois sur la poire, l’embout enfoncé dans mon cul se gonfla au moins d’un centimètre.
- Comme cela, il ne partira pas, maintenant retourne toi, dit le collègue.
Je fis de nouveau face aux docteurs en me redressant, l’objet enfoncé dans mon cul me déstabilisait.
Le docteur tenait toujours la poire en main, immédiatement le collègue prit ma pine dans sa main.
- Jouons !!! dit-il
Aussitôt, sa langue se posa sur la base de ma tige remontée, me lécha sur toute la longueur en direction de mon nœud, sa langue s’y attarda et me titilla avec savoir.
A ce moment, la main du docteur pressa deux fois la poire, ce qui eu pour effet de faire grossir d’un demi cm la membrane dans mon cul.
Les lèvres de l’adjoint se posèrent sur mon gland, le pressèrent, coulissèrent en serrant très fort, jusqu’au plus profond de sa gorge, les joues creusaient, l’adjoint me pompait.
De nouveau, le docteur pressa deux fois, la poire médicale, j’avais l’impression d’avoir une bite dans le cul et j’en ressentais un plaisir étrange.
Vicieusement, le docteur pressa la poire encore trois fois, j’avais cette fois, le cul dilaté par la coque plongée dans mon anus et au même moment ouvrit le robinet de la bassine envoyant ainsi un déluge d’eau chaude qui se déversait dans mon fondement. Je hurlais
- HOOOOOOOOOHHHHHH ! ! ! ...AAAAAAAAAAAHHHHHHH ! !
Je ressentis une chaleur sourde remplir mes reins et mon ventre. En même temps le docteur toujours souriant appuya sur la soupape évacuant ainsi l’air emprisonné dans la canule. Cependant j’envoyais une demis litre de foutre dans la bouche experte de l’adjoint. La canule souillée fut retirée délicatement de mon cul ce qui me provoquas un long frissonnement je dus me retenir pour ne pas me soulager. J'avais trop honte et je serrais mes sphincters de toutes mes forces pour qu'aucune matière ne s'échappe.
- Oh non je vous en prie... ne continuez pas... s'il vous plait ce n'est plus agréable... Il y a trop d'eau dans mes fesses... j'ai l'impression que je vais éclater...
Je courus à toute vitesse vers les toilettes en fermant mon pauvre cul avec ma main pour vider les quantités d’eau et d’excréments que je retenais avec grande difficulté.
Cinq minutes plus tard je rentrai dans le bureau toujours nu comme un vers enfin soulagé devant les yeux rieurs des deux docteurs.
- M, tu repasses demain pour commencer ton traitement, à demain mais soit sûr de laisser tes excréments à la maison. Ha ha ha…….
(à suivre)
Trois jours ont passés depuis la visite médicale et toujours rien ! Mes nuits sont longues depuis cette visite médicale je ne pouvais arrêter ce flashback qui se répétait devant mes yeux. J’avais une envie folle de courir vers l’infirmerie déboutonnant mon pantalon en grimpant les deux étages qui nous séparaient. Chaque nuit je sentais les doigts du docteur me palper et s’introduire dans mon antre. Je désirai à tout prix que quelqu’un ou quelque chose remplisse ce vide ou éteigne ce feu qui naissait de plus en plus dans mon antre ; je cours vers la cuisine m’empare d’un gros concombre bien lisse que j’enfonce dans le cul apaisant ainsi mes besoins charnels.
Le quatrième jour enfin je reçois une note du docteur me demandant de passer à l’infirmerie à la fin de la journée. A l’heure précise, je me présente devant la porte, frappe, j’entends au loin des pas qui s’approchent et la porte s’ouvre. A ma grande surprise c’est l’adjoint du docteur qui ouvre la porte :
- Alors vous êtes M ….
- Oh, oui c’est moi.
- Entrez, on vous attend.
Je trouve le docteur assis derrière le bureau il me regarde en souriant, se lève me tend la main et m’invite à m’assoir :
- Nous avons reçu les résultats de vos analyses, rien de grave vous avez une inflammation prostatique que nous traiterons ici sur place à l’infirmerie. Passez dans l’autre bureau et préparez vous, mon adjoint vous aidera.
Puis il adressa la parole à son adjoint :
- As-tu fermé la porte à clef pour que personne ne nous dérange.
- Nous sommes à la fin de la journée donc personne ne viendra, nous avons tout notre temps.
Je passe dans le bureau et commence à me débarrasser des vêtements, nu comme un vers je me jette sur la couchette sur le côté droit présentant ainsi mon postérieur cambré et ma petite pastille aux yeux de l’adjoint. Sans attendre l’arrivé du docteur celui-ci mis une paire de gants, pris une pastille de gel et la présenta devant mon cul juste au moment où le docteur fit son entrée.
- Ecarte bien les fesses et au maximum s’il te plait, montre-nous ton petit trou du cul.
J'ouvris, trop lentement, mon fessier, les mains de l’adjoint étaient appliquées consciemment sur mes propres rotondités, le bout de ses doigts plongèrent dans mon sillon.
Il enfonça son doigt et fouilla lentement l'intérieur. Il sentit bientôt dans le fond de mon fondement la présence de matières naturelles.
- Houlà, tu n’as pas déposé ta croute ce matin?
- Non. Je suis constipé !
- Nous allons donc procéder en premier lieu à un lavement de ton fondement, dit le docteur en souriant à son collègue.
Sur les conseils des docteurs je me retrouve à quatre pattes, mon postérieur en l’air, les cuisses et les jambes largement écartées. Mon derrière était exposé ainsi à la hauteur des yeux et aux manipulations du docteur et son adjoint.
Le docteur sorti du bureau et revient avec un objet en latex qui ressemblait à un saucisson d’un centimètre de diamètre attaché à deux cordons en plastique dont l’un finissait par une poire l’autre par une grande bassine remplie d’eau chaude dont la partie inférieure portait un robinet, la bassine fut suspendue à un crochet fixé au mur.
- Tu verras ce n’est pas douloureux, bien au contraire.
Soudain, une phalange humide viola mon anus, puis tourna à l’intérieur.
- Je te prépare fit le docteur, j’ai mis un peu de vaseline.
Après avoir retiré son doigt, le corps étranger entra en contact de mes fesses, s’insinua comme un gros thermomètre sur au moins vingt centimètres.
Ce que je ressentais était bizarre et agréable.
Le docteur pompa trois fois sur la poire, l’embout enfoncé dans mon cul se gonfla au moins d’un centimètre.
- Comme cela, il ne partira pas, maintenant retourne toi, dit le collègue.
Je fis de nouveau face aux docteurs en me redressant, l’objet enfoncé dans mon cul me déstabilisait.
Le docteur tenait toujours la poire en main, immédiatement le collègue prit ma pine dans sa main.
- Jouons !!! dit-il
Aussitôt, sa langue se posa sur la base de ma tige remontée, me lécha sur toute la longueur en direction de mon nœud, sa langue s’y attarda et me titilla avec savoir.
A ce moment, la main du docteur pressa deux fois la poire, ce qui eu pour effet de faire grossir d’un demi cm la membrane dans mon cul.
Les lèvres de l’adjoint se posèrent sur mon gland, le pressèrent, coulissèrent en serrant très fort, jusqu’au plus profond de sa gorge, les joues creusaient, l’adjoint me pompait.
De nouveau, le docteur pressa deux fois, la poire médicale, j’avais l’impression d’avoir une bite dans le cul et j’en ressentais un plaisir étrange.
Vicieusement, le docteur pressa la poire encore trois fois, j’avais cette fois, le cul dilaté par la coque plongée dans mon anus et au même moment ouvrit le robinet de la bassine envoyant ainsi un déluge d’eau chaude qui se déversait dans mon fondement. Je hurlais
- HOOOOOOOOOHHHHHH ! ! ! ...AAAAAAAAAAAHHHHHHH ! !
Je ressentis une chaleur sourde remplir mes reins et mon ventre. En même temps le docteur toujours souriant appuya sur la soupape évacuant ainsi l’air emprisonné dans la canule. Cependant j’envoyais une demis litre de foutre dans la bouche experte de l’adjoint. La canule souillée fut retirée délicatement de mon cul ce qui me provoquas un long frissonnement je dus me retenir pour ne pas me soulager. J'avais trop honte et je serrais mes sphincters de toutes mes forces pour qu'aucune matière ne s'échappe.
- Oh non je vous en prie... ne continuez pas... s'il vous plait ce n'est plus agréable... Il y a trop d'eau dans mes fesses... j'ai l'impression que je vais éclater...
Je courus à toute vitesse vers les toilettes en fermant mon pauvre cul avec ma main pour vider les quantités d’eau et d’excréments que je retenais avec grande difficulté.
Cinq minutes plus tard je rentrai dans le bureau toujours nu comme un vers enfin soulagé devant les yeux rieurs des deux docteurs.
- M, tu repasses demain pour commencer ton traitement, à demain mais soit sûr de laisser tes excréments à la maison. Ha ha ha…….
(à suivre)
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
le lavement c'est "tabou" mais pour ceux qui n'en ont jamais reçu ou donné je vous
certifie que c'est une source de plaisirs inouîe.
il faut bien sur prendre son temps, etre trés calin et bien doux.
il y a quinze ans que je pratique et tous mes partenaires adorent çà.
certifie que c'est une source de plaisirs inouîe.
il faut bien sur prendre son temps, etre trés calin et bien doux.
il y a quinze ans que je pratique et tous mes partenaires adorent çà.
ce recit me semble veridique. je suis moi meme un partisan de ces traitements
therapeutiques.
therapeutiques.
J adore continu
Donner un lavement coquin ou le recevoir, c'est à mon avis le top des plaisirs avant la
jouïssance.
Tu as bien de la chance d'etre soigné ainsi et j'aimerais bien que celà m'arrive.
Et pourquoi pas a nous deux ?
jouïssance.
Tu as bien de la chance d'etre soigné ainsi et j'aimerais bien que celà m'arrive.
Et pourquoi pas a nous deux ?