Visite surprise... suite et fin ?
Récit érotique écrit par BijouX [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-10-2005 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Visite surprise... suite et fin ?
(suite...)
En entendant mon amant et sa femme s'exclamer sur mes avantages, je rougis en constatant que j’étais le centre de leurs convoitises, mais aussi d’excitation et de plaisir à les entendre déclarer leur désir pour moi de cette manière. En même temps, je réalisai que je perdais un peu, même beaucoup, mon indépendance, pour risquer de devenir la jeune et jolie sex toy que ce couple de cinquantenaires jetterait bien un jour ou l’autre, de lassitude.
Un peu énervée par leur attitude, je me dégageai souplement de leur étreinte combinée et me levai du lit, aucunement embarrassée par ma nudité complète. Cela faisait longtemps qu’il m’avait guérie de toute pudeur maladive.
« Bon, pendant que vous vous mettez d’accord sur mon nouveau statut, » fis-je en les interrompant un peu brusquement, « permettez-moi d’aller prendre également une douche. »
Je ne pouvais m’empêcher de me montrer rebelle, de laisser transparaître une certaine froideur et de l’agacement, pour essayer de retrouver un certain pied d’égalité avec eux. Sans attendre de réponse, je m’apprêtai à sortir de la pièce quand mon amant saisit mon bras et m’attira contre lui, me coinçant entre ses jambes, et me forçant à le regarder droit en face en s’emparant de mon menton. Je luttai contre moi-même pour ne pas réagir face à cette démonstration d’autorité virile qui savait si bien m’exciter.
« Qu’est-ce qu’il y a, ma douce, quelque chose ne te convient pas ? » me demanda-t-il d’une voix tranquille, mais qui avait une pointe de sévérité. « Il m’avait pourtant semblé que tu t’étais bien amusée toi aussi. » Il s’était mis à me caresser les fesses de l’autre main tout en parlant.
Me rebellant, je lui pris le poignet d’une main et me dégageai le visage de son étreinte, sans pourtant pouvoir reculer.
« J’ai pris mon pied, ça c’est clair, mais je n’aime pas vraiment qu’on discute comme ça de moi, comme si je n’étais pas là, et surtout qu’on essaye de me manipuler. » Je fronçai les sourcils. « Pour un peu, je croirais que tu avais tout prévu, que tu savais très bien qu’elle rentrerait maintenant, que tu tablais sur sa réaction, que dans le feu de l’action et mises devant le fait accompli, tant elle que moi on prendrait...
notre parti de la situation... Hmm ? » lui demandai-je en le regardant droit dans les yeux.
Derrière lui, elle s’exclama un peu et se redressa également, s’approchant de nous.
Quant à lui, son regard se voila et il fit une moue contrariée, démontrant que j’avais tout compris et que ça l’embêtait. Puis il se reprit et m’adressa un sourire carnassier tout en rigolant doucement.
« Hmm... encore une belle démonstration d’un raisonnement logique parfait et implacable, ma toute belle... j’aurais dû réaliser que ton intelligence si brillante ne se limite pas au domaine de la chimie! »
Je levai un sourcil sardonique et fit une moue hautaine.
« Merci de ton compliment, effectivement, chez moi les brumes du plaisir ont tendance à ne pas embrouiller trop longtemps mes méninges, mon cher... tu me connais, je suis une incorrigible cérébrale. Maintenant, si tu le permets » dis-je en me dégageant complètement de son étreinte, « je vais vraiment prendre une douche, et je vous laisse... mettre au net la situation. » Je fis deux pas et m’arrêtant, je lançai par dessus mon épaule. « Pensez-bien qu’un arrangement à l’amiable est possible... mais si vous pouviez penser à me demander mon avis avant, je ne serai pas forcée de dire non au final! »
Je ne regardai pas derrière moi, et en refermant la porte de la salle de bains, je pus l’entendre, elle, commencer à l’interpeler pour lui demander des éclaircissements sur son... triple jeu. Leurs arguments disparurent sous les bruits d’eau de la douche qui me nettoya consciencieusement, faisant disparaître toute trace de sécretions en tous genres.
J’étais satisfaite d’avoir su exprimer mes réticences et mon mécontentement à son égard. Je ne voulais pas qu’il croie que parce qu’il pouvait me baiser et m’enculer comme une bête, j’avais perdu ma fierté et que je ne méritais plus son respect, sur lequel il avait tant insisté au départ de notre relation. Une histoire à trois avec elle, ok. Mais pas sans mon accord et à n’importe quelle condition. Hors de question d’être leur jouet : je serais sur le même pied d’égalité qu’elle, que lui, je ne serais pas seulement utilisée, je les utiliserais aussi.
Toute à mes réflexions, je n’entendis pas la porte s’ouvrir, et je sursautai quand le rideau de douche fut tiré. Soudain, il m’étreignit par derrière, m’enveloppant dans ses bras, m’attirant contre lui et enfouissant son visage dans ma nuque.
« Alors... on est jalouse ? » me demanda-t-il dans un grondement qui me fit frissonner de plaisir et de peur mêlés. « Alors tu me voudrais pour toi toute seule, hmm ? » me dit-il d’un ton calme, mais où menaçait l’orage. « Pas de partage, pas vraiment, juste quand toi tu en auras envie, c’est ça ? » Sa voix se faisait de plus en plus dangereuse, froide, glaciale, et j’écarquillai les yeux.
« Mais si j’ai envie de vous regarder les deux vous faire jouir, si j’ai envie de vous prendre les deux en même temps, de vous gouter les deux ensemble, de te voir la lécher, de t’entendre gémir sous ses doigts, de voir votre passion primer sur votre jalousie mutuelle, as-tu le droit de me dicter tes règles? Est-ce que tu crois que quiconque peut m’interdire quoique ce soit ? » me demanda-t-il finalement, en collant sa bouche à mon oreille.
Il me retourna pour que je lui fasse face, puis prit ma tête dans ses mains et m’embrassa fougueusement, me repoussant contre le mur de la douche.
Complètement déboussolée, je me laissai faire, incapable de réagir dans un premier temps, me contentant de subir. Sa langue ravageait ma bouche, il était collé à moi, me plaquant contre le mur. Un gémissement monta du fond de ma gorge, telle une plainte, mêlée de soulagement et de désir. Me lâchant brusquement et me laissant haletante et déjà excitée, il posa ses mains des deux côtés de ma tête, s’imposant à moi de tout son corps.
Je fermai les yeux, et je déglutis. Jamais il n’avait laissé paraître ce côté de lui, et je crus pendant une fraction de seconde qu’il allait me frapper.
« Un de ces jours, tu devrais parler à Lucie, tu sais, pour apprendre tout ce dont je suis... capable... quand je suis un peu... en colère... » fit-il, en mordillant mon oreille, faisant battre mon coeur à un rythme débridé.
Avant que je puisse même ouvrir la bouche pour essayer de lui répondre d’une façon inventive qui saurait le titiller, il s’empara d’une de mes jambes, la leva et sans demander quoique que ce soit, il m’enfila brusquement, d’un coup, m’obligeant à m’accrocher à lui pour ne pas tomber. Dans un éclair de lucidité, je revis le moment où il avait avalé sa petite pilule bleue...
Je me mordis les lèvres presque jusqu’au sang pour ne pas laisser passer mon cri de douleur/plaisir intense. Il n’avait jamais été aussi brutal, aussi animal, comme s’il s’était senti obligé de me rappeler que quoique je dise, finalement j’étais à la merci de mes hormones et de sa queue en ce qui le concernait.
Ses coups de boutoir étaient énormes et je ne pouvais rien faire d’autre que de me tenir à lui, en attendant que ça se termine, que je jouisse et qu’il se déverse en moi.
Aucune tendresse dans son acte, aucune caresse, aucun baiser, rien que du pistonnage au fond de mon ventre, me faisant percuter le mur à chaque fois, à la limite du viol.
C’était terrible, c’était jouissif, c’était avillissant, c’était dégradant, c’était merveilleux venant de lui, et à chaque fois qu’il sortait pour mieux entrer, je sentais ma dépendance à son égard augmenter.
Enfin, il jouit violemment en moi, ce qui me poussa de l’autre côté de la barrière. Je m’agrippai à son cou tandis que je laissai mon corps exprimer mon orgasme. Il me soutint et j’enfouis mon visage dans sa nuque. Il nous fit glisser doucement au fond de la baignoire. Embriqués l’un dans l’autre, nous restâmes ainsi silencieusement.
Finalement, je m’écartai de lui pour lui faire face. Je comptai sur l’eau de la douche pour masquer les larmes qui semblaient avoir coulé toutes seules, mais c’était mal le connaître et sous-estimer sa capacité à me décrypter, car il les effaça des pouces, en me tenant le visage.
« Pardonne-moi, » me demanda-t-il d’une voix basse, « je me suis vraiment laissé emporter... je ne voulais pas te faire peur ou même te faire mal. »
Je lui souris un peu à travers mes larmes et lui caressait nuque et torse d’un seul mouvement.
« ça va, je t’assure... tu sais bien qu’un peu de brutalité et d’autorité ont plus tendance à me faire grimper aux rideaux que le contraire... » Je l’embrassai dans le cou.
« Je sais, je suis jalouse... un peu... beaucoup même... alors que j’en n’ai pas réellement le droit... je ne déteste pas ta femme, c’est juste que si je dois vraiment te partager, concrètement et pas seulement virtuellement... c’est un peu difficile à gérer. Mais je comprends tes désirs et je pense que je pourrais y trouver mon compte... si ça ne devient pas une règle systématique, s’entend ! »
Il me sourit voracement.
« Ah non, car je la connais, elle ne te lâcherait plus ! et moi non plus je n’ai pas tellement envie de te partager tout le temps... Mais on va bien s’amuser, tu ne penses pas ? »
Je lui roulai une pelle passionnée.
« Ooooh oui... ça va être très sympathique tout ça... »
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En entendant mon amant et sa femme s'exclamer sur mes avantages, je rougis en constatant que j’étais le centre de leurs convoitises, mais aussi d’excitation et de plaisir à les entendre déclarer leur désir pour moi de cette manière. En même temps, je réalisai que je perdais un peu, même beaucoup, mon indépendance, pour risquer de devenir la jeune et jolie sex toy que ce couple de cinquantenaires jetterait bien un jour ou l’autre, de lassitude.
Un peu énervée par leur attitude, je me dégageai souplement de leur étreinte combinée et me levai du lit, aucunement embarrassée par ma nudité complète. Cela faisait longtemps qu’il m’avait guérie de toute pudeur maladive.
« Bon, pendant que vous vous mettez d’accord sur mon nouveau statut, » fis-je en les interrompant un peu brusquement, « permettez-moi d’aller prendre également une douche. »
Je ne pouvais m’empêcher de me montrer rebelle, de laisser transparaître une certaine froideur et de l’agacement, pour essayer de retrouver un certain pied d’égalité avec eux. Sans attendre de réponse, je m’apprêtai à sortir de la pièce quand mon amant saisit mon bras et m’attira contre lui, me coinçant entre ses jambes, et me forçant à le regarder droit en face en s’emparant de mon menton. Je luttai contre moi-même pour ne pas réagir face à cette démonstration d’autorité virile qui savait si bien m’exciter.
« Qu’est-ce qu’il y a, ma douce, quelque chose ne te convient pas ? » me demanda-t-il d’une voix tranquille, mais qui avait une pointe de sévérité. « Il m’avait pourtant semblé que tu t’étais bien amusée toi aussi. » Il s’était mis à me caresser les fesses de l’autre main tout en parlant.
Me rebellant, je lui pris le poignet d’une main et me dégageai le visage de son étreinte, sans pourtant pouvoir reculer.
« J’ai pris mon pied, ça c’est clair, mais je n’aime pas vraiment qu’on discute comme ça de moi, comme si je n’étais pas là, et surtout qu’on essaye de me manipuler. » Je fronçai les sourcils. « Pour un peu, je croirais que tu avais tout prévu, que tu savais très bien qu’elle rentrerait maintenant, que tu tablais sur sa réaction, que dans le feu de l’action et mises devant le fait accompli, tant elle que moi on prendrait...
notre parti de la situation... Hmm ? » lui demandai-je en le regardant droit dans les yeux.
Derrière lui, elle s’exclama un peu et se redressa également, s’approchant de nous.
Quant à lui, son regard se voila et il fit une moue contrariée, démontrant que j’avais tout compris et que ça l’embêtait. Puis il se reprit et m’adressa un sourire carnassier tout en rigolant doucement.
« Hmm... encore une belle démonstration d’un raisonnement logique parfait et implacable, ma toute belle... j’aurais dû réaliser que ton intelligence si brillante ne se limite pas au domaine de la chimie! »
Je levai un sourcil sardonique et fit une moue hautaine.
« Merci de ton compliment, effectivement, chez moi les brumes du plaisir ont tendance à ne pas embrouiller trop longtemps mes méninges, mon cher... tu me connais, je suis une incorrigible cérébrale. Maintenant, si tu le permets » dis-je en me dégageant complètement de son étreinte, « je vais vraiment prendre une douche, et je vous laisse... mettre au net la situation. » Je fis deux pas et m’arrêtant, je lançai par dessus mon épaule. « Pensez-bien qu’un arrangement à l’amiable est possible... mais si vous pouviez penser à me demander mon avis avant, je ne serai pas forcée de dire non au final! »
Je ne regardai pas derrière moi, et en refermant la porte de la salle de bains, je pus l’entendre, elle, commencer à l’interpeler pour lui demander des éclaircissements sur son... triple jeu. Leurs arguments disparurent sous les bruits d’eau de la douche qui me nettoya consciencieusement, faisant disparaître toute trace de sécretions en tous genres.
J’étais satisfaite d’avoir su exprimer mes réticences et mon mécontentement à son égard. Je ne voulais pas qu’il croie que parce qu’il pouvait me baiser et m’enculer comme une bête, j’avais perdu ma fierté et que je ne méritais plus son respect, sur lequel il avait tant insisté au départ de notre relation. Une histoire à trois avec elle, ok. Mais pas sans mon accord et à n’importe quelle condition. Hors de question d’être leur jouet : je serais sur le même pied d’égalité qu’elle, que lui, je ne serais pas seulement utilisée, je les utiliserais aussi.
Toute à mes réflexions, je n’entendis pas la porte s’ouvrir, et je sursautai quand le rideau de douche fut tiré. Soudain, il m’étreignit par derrière, m’enveloppant dans ses bras, m’attirant contre lui et enfouissant son visage dans ma nuque.
« Alors... on est jalouse ? » me demanda-t-il dans un grondement qui me fit frissonner de plaisir et de peur mêlés. « Alors tu me voudrais pour toi toute seule, hmm ? » me dit-il d’un ton calme, mais où menaçait l’orage. « Pas de partage, pas vraiment, juste quand toi tu en auras envie, c’est ça ? » Sa voix se faisait de plus en plus dangereuse, froide, glaciale, et j’écarquillai les yeux.
« Mais si j’ai envie de vous regarder les deux vous faire jouir, si j’ai envie de vous prendre les deux en même temps, de vous gouter les deux ensemble, de te voir la lécher, de t’entendre gémir sous ses doigts, de voir votre passion primer sur votre jalousie mutuelle, as-tu le droit de me dicter tes règles? Est-ce que tu crois que quiconque peut m’interdire quoique ce soit ? » me demanda-t-il finalement, en collant sa bouche à mon oreille.
Il me retourna pour que je lui fasse face, puis prit ma tête dans ses mains et m’embrassa fougueusement, me repoussant contre le mur de la douche.
Complètement déboussolée, je me laissai faire, incapable de réagir dans un premier temps, me contentant de subir. Sa langue ravageait ma bouche, il était collé à moi, me plaquant contre le mur. Un gémissement monta du fond de ma gorge, telle une plainte, mêlée de soulagement et de désir. Me lâchant brusquement et me laissant haletante et déjà excitée, il posa ses mains des deux côtés de ma tête, s’imposant à moi de tout son corps.
Je fermai les yeux, et je déglutis. Jamais il n’avait laissé paraître ce côté de lui, et je crus pendant une fraction de seconde qu’il allait me frapper.
« Un de ces jours, tu devrais parler à Lucie, tu sais, pour apprendre tout ce dont je suis... capable... quand je suis un peu... en colère... » fit-il, en mordillant mon oreille, faisant battre mon coeur à un rythme débridé.
Avant que je puisse même ouvrir la bouche pour essayer de lui répondre d’une façon inventive qui saurait le titiller, il s’empara d’une de mes jambes, la leva et sans demander quoique que ce soit, il m’enfila brusquement, d’un coup, m’obligeant à m’accrocher à lui pour ne pas tomber. Dans un éclair de lucidité, je revis le moment où il avait avalé sa petite pilule bleue...
Je me mordis les lèvres presque jusqu’au sang pour ne pas laisser passer mon cri de douleur/plaisir intense. Il n’avait jamais été aussi brutal, aussi animal, comme s’il s’était senti obligé de me rappeler que quoique je dise, finalement j’étais à la merci de mes hormones et de sa queue en ce qui le concernait.
Ses coups de boutoir étaient énormes et je ne pouvais rien faire d’autre que de me tenir à lui, en attendant que ça se termine, que je jouisse et qu’il se déverse en moi.
Aucune tendresse dans son acte, aucune caresse, aucun baiser, rien que du pistonnage au fond de mon ventre, me faisant percuter le mur à chaque fois, à la limite du viol.
C’était terrible, c’était jouissif, c’était avillissant, c’était dégradant, c’était merveilleux venant de lui, et à chaque fois qu’il sortait pour mieux entrer, je sentais ma dépendance à son égard augmenter.
Enfin, il jouit violemment en moi, ce qui me poussa de l’autre côté de la barrière. Je m’agrippai à son cou tandis que je laissai mon corps exprimer mon orgasme. Il me soutint et j’enfouis mon visage dans sa nuque. Il nous fit glisser doucement au fond de la baignoire. Embriqués l’un dans l’autre, nous restâmes ainsi silencieusement.
Finalement, je m’écartai de lui pour lui faire face. Je comptai sur l’eau de la douche pour masquer les larmes qui semblaient avoir coulé toutes seules, mais c’était mal le connaître et sous-estimer sa capacité à me décrypter, car il les effaça des pouces, en me tenant le visage.
« Pardonne-moi, » me demanda-t-il d’une voix basse, « je me suis vraiment laissé emporter... je ne voulais pas te faire peur ou même te faire mal. »
Je lui souris un peu à travers mes larmes et lui caressait nuque et torse d’un seul mouvement.
« ça va, je t’assure... tu sais bien qu’un peu de brutalité et d’autorité ont plus tendance à me faire grimper aux rideaux que le contraire... » Je l’embrassai dans le cou.
« Je sais, je suis jalouse... un peu... beaucoup même... alors que j’en n’ai pas réellement le droit... je ne déteste pas ta femme, c’est juste que si je dois vraiment te partager, concrètement et pas seulement virtuellement... c’est un peu difficile à gérer. Mais je comprends tes désirs et je pense que je pourrais y trouver mon compte... si ça ne devient pas une règle systématique, s’entend ! »
Il me sourit voracement.
« Ah non, car je la connais, elle ne te lâcherait plus ! et moi non plus je n’ai pas tellement envie de te partager tout le temps... Mais on va bien s’amuser, tu ne penses pas ? »
Je lui roulai une pelle passionnée.
« Ooooh oui... ça va être très sympathique tout ça... »
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