Vive les sorties en vélo - histoire érotique

Ah les sorties en vélo !!
Faisant régulièrement du vélo seul ou avec groupe d’amis je varie mes parcours pour varier les plaisirs, si j’ose dire, samedi dernier je testais une nouvelle boucle et pris d’un envie urgente je m’arrête dans un bois que je traversais. Je m’engage dans un chemin pour m’éloigner de la route, pose mon vélo contre un arbre, baisse mon cuissard et pisse sans tenir ma queue, comme j’aime le faire, tout en soupirant d’aise. Le besoin satisfait je soupire d’aise et comme il fait beau que je suis détendu je me branle un peu quand soudain j’entends une voix derrière moi qui dit : faut pas se gêner ! Je me retourne queue raide à la main et là deux types en uniforme de la police municipale de Bxxxxxx. Je débande aussi sec et remonte mon cuissard. Je détaille les deux types, celui qui a parlé a environ 50ans, 1m75 légèrement ventripotent quand au second 35ans, 1m80, il est légèrement dodu. Ils s’approchent et le premier me dit sèchement : veuillez baisser votre short ! De suite ! Je réponds que je satisfaisais un besoin naturel et qu’il n’y a pas de panneau disant que je suis dans une propriété privée ni que cela est interdit. Il me dit non, uriner n’est pas interdit mais s’exhiber et se masturber oui ! Je suis alors un peu mal à l’aise et le second baisse mon cuissard avant que j’ai pu protester. Je suis là queue à l’air devant eux un peu embarrassé mais excité aussi par la situation et je commence à bander. Cela fait sourire le plus jeune qui a baissé mon cuissard et je constate qu’une bosse est apparue dans son pantalon. Mes yeux restent fixés dessus et je bande alors comme un âne. Le premier me sourit et ouvre et baisse son pantalon, apparaissant sans slip la queue raide sous son ventre et je sens les mains du second me caresser le cul. Comme je ne dis rien le premier s’avance vers moi et me tendant s queue il me dit : on va s’arranger à l’amiable, tiens suce !
Je me penche et comme à sucer sa queue assez longue et épaisse avec un gland très large, le tout sur une paire de couilles énormes, le tout bien lisse comme moi ! Le second a écarté mes fesses et me fait une langue fourrée des plus belles et puis je sens un doigt s’immiscer dans mon cul. Je suce lentement la queue du premier en lui malaxant doucement les couilles. Il a ouvert sa chemisette et se caresse les tétons qu’il a épais et longs pour un mec. Le second me branle l cul avec deux doigts maintenant et d’un coup il s’arrête et dit : vas y Maurice il est prêt. Maurice me demande de tourner mon cul vers lui et il m’enfile avec un soupir d’aise pendant que le second me tend sa queue à sucer. Il a une queue courte très épaisse avec une petite paire de couilles, je le suce et il ouvre sa chemisette et se tripote les tétons. J’ai le cul ramoné à fond et soudain la queue qui m’enfile sort et je sens du liquide chaud me couler sur les reins. Maurice vient d’éjaculer sur moi en soupirant d’aise, puis il me dit : tourne-toi que Robert puisse te baiser aussi ! Robert m’enfile passes ses mains sous mon maillot et triture mes tétons tout en s’activant entre mes fesses bientôt il gémit sort sa queue et je sens à nouveau du jus chaud couler sur mes reins. Sans un mot Maurice et Robert se réajustent puis Maurice en souriant me dit : bien je crois qu’on va pouvoir arranger cela, passez cet après midi, après 17h, au poste de police de Bxxxxxx je pense que j’aurai une bonne nouvelle pour vous concernant le délit. Ils tournent les talons et je baisse mon maillot remonte mon cuissard, le jus colle dans mes vêtements et je me demande ce qui va se passer ensuite. Je décide de rentrer, ne finissant pas le parcours prévu. Je prends une douche, déjeune avec Monique et Josiane qui est venue passer huit jours chez nous, Monique me voyant contrarié me demande si tout s’est bien passé, si j’ai souci. Je lui souris et réponds : non rien d’important. Après le café Monique me demande si j’ai besoin de quelque chose car elles font faire les courses. Je lui dis non rien et une fois qu’elles sont parties je me change, je mets un t-shirt ample et un short ample également sans rien dessous. Je guette l’heure et part pour être à 17 au poste de police de Bxxxxxx. Arrivé sur place je me gare un peu plus loin que le poste et y entre ensuite constatant que le poste ferme à 17h le samedi puis j’aperçois uniquement Maurice et Robert. Cela me fait sourire, cela sent le traquenard. Robert me sourit se lève et va fermer la porte à clé puis Maurice me dit : suivez moi et il me fait entrer dans une pièce à côté et Robert entrant derrière moi ferme alors la porte à clé. Je me demande où ils veulent en venir quand Maurice me dit sèchement : déshabille toi ! J’ôte rapidement t-shirt et short et constate que Maurice et Robert se mettent aussi à poil, je commence à être plus serein et souris. Robert vient vers moi et commence à me branler pendant que Maurice arrive nu vers moi queue raide en se branlant et me dit : suce moi salope. Je le suce lentement m’arrêtant pour lécher le gland et glisser le bout de ma langue dans le méat de sa queue, aspirant ensuite le gland dans ma bouche et tournant la langue autour en même temps. Rapidement il m’arrête car il est au bord de l’explosion. Il prend alors trois capote et nous les enfilons puis robert me fait allonger sur le dos sur le bureau et il m’enfile. Maurice se met au dessus de moi en 69 et il me suce pendant que j’en fais autant. Il explose assez vite dans la capote et me lâche la queue, se relève et vide la capote sur mon torse et me tartine les tétons avec son foutre en me les titillant. Robert qui vient de jouir sort de mon cul retire sa capote et vide son foutre sur mon ventre et l’étale doucement. Encore une fois je reste sans avoir jouit ! Mais alors que je vais me relever Maurice me dit de ne pas bouger et il vient s’empaler sur ma queue face à moi et il me chevauche en me torturant les tétons barbouillés de son foutre. Il me chevauche lentement, il monte en détendant son cul et serre les fesses en descendant puis passant la main dans son dos m’attrape le couilles et les tire et le malaxe. Putain que c’est bon je lâche tout en gémissant. Maurice sourit se lève et ôte ma capote sans rien perdre. Il regarde le foutre à l’intérieur et me dit : putain t’es une fontaine à foutre ! Puis il verse le contenu sur moi et l’étale sur tout mon corps avec le sien et celui de Robert. Ce dernier a ouvert une armoire et sort de quoi boire en disant : il fait soif ! On s’assied à poil pour siroter nos verres. Maurice me dit alors : ne t’inquiète pas pour ce matin c’était juste pour voir, tu aurais protesté on aurait laissé courir mais comme tu te branlais on s’est dit qu’il y avait peut être un coup à tenter. Même chose si après ce matin tu n’étais pas venu cet après midi on laissait tomber. Il ajoute : on fait cela de temps en temps quand on sent qu’il peut se passer quelque chose, quelque fois on a de bonnes surprises comme avec toi. Robert me demande alors si je suis sain car il m’explique qu’avec Maurice ils préfèrent sans capote et aiment boire le jus. Puis il ajoute : t’es marié ? Je réponds que oui et que ma femme et moi sommes bi très vicieux. Maurice sourit et me dit moi aussi je suis marié mais je la saute plus je préfère entre mecs maintenant, je pratique même le BDSM. Quant à Robert il a découvert bi avec moi mais il avait déjà été doigté et engodé par sa femme qui a des tendances à la domination puis elle a fini par le baiser avec un gode ceinture mais elle se sait pas qu’il baise avec des mecs. Je lui demande : et la tienne elle sait ? Il sourit et me dit oui depuis qu’elle m’a surpris avec un mec il y a quelques années, je te raconterai cela un jour. Robert regardant la pendule me dit : excuses moi je dois filer ma femme m’attend pour les courses. Maurice sourit et me dit on va rester tous les deux et s’approchant avec sa chaise il s’assied à côté de moi, me caresse doucement le ventre puis attrapant ma queue il me branle d’une main et se branle de l’autre. Il se penche alors et m’embrasse, j’ouvre la bouche et on se roule une pelle profonde. On a la gaule et là prenant l’initiative je le fait allonger sur le dos au bord du bureau et l’enfile tout de go. Il gémit et je commence à aller et venir à fond tout en lui branlant la queue. Il se triture les tétons en gémissant. Je lâche sa queue et l’enfile plus vigoureusement soudain la queue à moitié molle et gonflée il pisse du foutre sur son ventre en gémissant. Je lui crie : serre les fesses, dès qu’il l’a fait j’accélère et lâche ma purée au fond. Sortant alors de son cul je me mets en 69 au dessus de lui et il se met à sucer ma queue gluante. Moi-même je le suce en doigtant son cul pour masser sa prostate. Après un bon moment il lâche ma queue propre et luisante et se met à crier, sa queue pisse littéralement des tonnes de foutre dans ma bouche. Je continue il se tord et grimace, j’avale encore une flopée de jus mais en garde dans ma bouche et me retournant je lui roule une pelle profonde avec son propre jus. Quand je le laisse, il se redresse en me souriant et me dit : t’es vraiment un sacré vicieux et un gros baiseur. Il me demande ensuite quand on peut se revoir, je lui laisse mon numéro et lui demande le sien en lui disant : je t’appelle. Je lui demande alors : vous n’êtes que deux ? Il sourit : non nous sommes quatre et je suis le patron mais le samedi on n’est que deux par roulement et le dimanche si il y a un problème il faut s’adresser à la gendarmerie de Lxxxxxx. Je suis étonné car avant ici il y en avait une, Maurice me dit qu’ils l’ont supprimée car ils ont fait des regroupements administratifs pour faire des économies. Je demande si les autres savent et comment ils sont. Maurice sourit en me disant que les deux autres sont « normaux » et ne savent rien. Je m’habille et Maurice me fait sortir par derrière en me disant : n’oublie pas de m’appeler. Je rentre chez moi pour tout raconter à Monique et Josiane et j’envisage déjà des plans…….