W-E de grimpe en carrière.1°
Récit érotique écrit par Trial [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 13 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.3 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.4
- • L'ensemble des récits érotiques de Trial ont reçu un total de 113 505 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-01-2016 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 5 188 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
W-E de grimpe en carrière.1°
Il a déjà fait très chaud aujourd’hui mais ce soir on a fait un grand feu pour éclairer ceux qui veulent encore faire des voies de nuit. Or le cirque de pierre assez fermé revoie la chaleur. Il n’y a plus que nous sur le site. Les garçons grimpent alors à poil, les filles ne gardent que leur slip. De toute façon nous nous sommes tous déjà vu lorsqu’on se change de nos vêtements mouillés mais on en était toujours resté aux blagues potaches. Vers 23h des applaudissement sur la gauche. Julie vient de réussir une des voies les plus difficiles…de nuit, chapeau bas messieurs! On se lève tous pour l’applaudir. Elle est toute mignonne là haut en string. Après s’être assurée une nouvelle fois de sa sécurité, elle se jette dans le vide. Etant assurée dans le dos, elle descend face à nous…totalement nue comme chacun le remarque. Vision surréaliste que ce frêle corps blanc qui descend du néant de la nuit. Tous ne voient que deux choses un immense sourire et un sexe largement ouvert par les sangles de son baudrier. Kévin, qui l’assure, l’arrête à hauteur de nos visages. Nous nous précipitons pour la féliciter et l’embrasser. –Continuez, j’adore les bisous…et en plus je fête mes 19 ans ce soir ! -29 ans de moins que moi !- Aussitôt nous repartons à l’assaut mais cette fois les mains s’égarent, la touchent, la flattent, la caressent sur tout le corps. Dans la confusion nul ne sais qui lui a le premier touché les seins mais rapidement ils se sont fait ploter, les têtons étirés…Julie n’arrête pas de rire. Des mains lui touchent les fesses, les caressent, les massent. Elle aime, ferme les yeux, elle se sent merveilleusement bien. Je vois Yohan et Kevin descendre chacun sur un sein, tandis que Sara l’embrasse à pleine bouche ! Le corps juste suspendu à plus de 20m est comme en apesanteur. Je me glisse entre ses jambes. Ses genou a hauteur de mes oreilles, la vue est imprenable: deux fesses parfaitement musclées chapeautent le W sacré. Les grandes lèvres coincées par les sangles du harnais exposent le sexe de façon totalement impudique. La mouille qui coule de son vagin entrouvert avoue déjà une excitation avancée ! Mes index partent de ses genoux et suivent lentement la face interne, très tendre, de ses cuisses. Elle se cambre et l’espace d’un instant j’aperçois mes trois comparses en pleine action ! Yohan est accroupi sous Julie, la bouche scotchée à son mamelon, il bande comme un salaud ! Les filles se roulent une pelle et se caressent. Kévin a descendu le slip de Sara et la branle vigoureusement. Mes index ont contournés les sangles et remontent le sillon fessier avant d’en écarter les globes. Ah te voilà petit trou…tu n’as pas l’air trop farouche ! A ce moment le corps bascule en avant, je devine que les garçons désirent une fellation…et ont donc descendu ses lèvres à bonne hauteur… J’avance la tête, ma langue s’étire, visite longuement les petites lèvres en suit les crêtes mais sans jamais toucher le clito, puis s’insinue délicatement dans le vagin. Elle s’y enfonce le plus possible, s’enroule pour prendre la forme d’un pénis mais plus habile que celui-ci change encore de forme, de volume, de vitesse… Je m’enivre de cyprine, remonte en surface, replonge une fois encore, inlassablement. Je ne sais qui, de la langue ou du vagin, à le plus de récepteurs sensoriels mais ce soir ils sont tous hyper sollicités. Sa mouille me coule sur le menton. Pour me détendre un peu la nuque je la lape et la remonte la mouille entre ses fesses. Je reforme mon dard et pousse. Les plis se détendent et laissent ma langue violer l’entrée de son anus. Bien sur pour une pénétration plus profonde elle n’est pas assez rigide mais ca ne m’empêche pas d’y jouer. C’est vrai que la feuille de rose peu en répugner certains mais cette jeune fille n’a pas d’odeur particulière, et quand bien même elle semble tellement apprécier…ses sauts de carpe au bout de son fil en témoignent. Elle ne pense plus à son exploit mais vit pleinement l’instant présent et il vaut le coup apparemment!
Peu à peu on se calme tous, nous la détachons. Le feu s’éteint doucement et nous décidons d’aller nous coucher. Bien qu’officiellement dans des tentes séparées, je les aie entendu baiser la moitié de la nuit. Ils ont la santé ces p’tits jeunes.
A l’aube, je suis réveillé de la plus agréable des manières. Un fourreau chaud et doux couvre mon sabre réveillé bien avant moi me semble-t-il. Yeux fermés j’apprécie le cadeau à sa juste valeur. Je tend le bras jusqu’à toucher un sein, petit mais ferme…je n’aime pas les violenter comme le font beaucoup d’hommes qui vous pétrissent ça comme de la pâte à gâteau, moi j’aime suivre le contour du bout des doigts, empaumer affectueusement, caresser longuement et ils me le rendent bien. Ceux de Julie ont réagit très vite, les seins se sont durcis, les têtons érigés. Je la force à quitter ma queue pour me permettre de prendre ses admirables appendices féminins en bouche. Elle continue néanmoins à me masturber. Ses petits cris de jouissance et l’odeur de sexe ont rapidement envahi la petite tente.
– Allons dehors, me dit-elle ! –Si tu veux. Ce qu’elle fantasmais c’était de se retrouver suspendue comme cette nuit. Elle a remis son baudrier. Par contre au lieu de la rattacher a l’anneaux prévu pour, j’ai pris un gros mousqueton que j’ai passé directement dans la ceinture ce qui me permet de la positionner indifféremment sur le ventre ou sur le dos ! Je l’ai hissée à hauteur de mon bassin.
Il n’y a pas eu besoin de longs préliminaires nous étions encore brulants ! Je lui ai écarté les cuisses et l’ai pénétrée d’un coup jusqu’au couilles. Elle s’est cambrée, a crié, et a jouis instantanément !
Cette fille est d’une souplesse extraordinaire: ses jambes font carrément le grand écart. Ca me donne une idée : j’appuie sur le genou droit puis sur le gauche son corps vrille autour de ma verge, en plus l’apesanteur n'empêchent pas les mouvements d’avant en arrière ou de combiner le tout! J’entame alors une danse de son vagin autour de mon sexe. –Tu aimes ? –Ca me fait des trucs que je n’aurais jamais imaginé, vas-y plus fort. Je pousse sur sa cuisse et sans sortir mon sexe je la tourne sur le ventre. La vue de ses fesses m’excite et je redouble mes va et viens. Elle gueule de plus en plus fort et je vois Yohan sortir de sa tente. Il s’approche, la queue tendue, et la lui fout en bouche sans autre forme de procès. Nos deux hampes forment un pal autour duquel je la fais tourner comme un méchoui. La sensation est totalement inédite: la peau de nos verges ne coulisse plus seulement d’avant en arrière comme habituellement mais se fait tordre comme une vulgaire serpillère ! Johan jouis le premier et j’arrête la rotation. La bouche de Julie reste ouverte, la tête renversée, le corps tordu par un orgasme tellement puissant qu’elle expulse mon sexe. Libéré il vient frapper contre mon pubis. Je la repositionne sur le ventre, et écarte ses fesses entre mes pouces. Le cul relâché par l’orgasme me fait de l’œil. Il me laisse entrer assez facilement mais arrivé au fond il me resserre et me relâche en cadence…cette jeune fille a un savoir-faire inouïs, elle me pompe du cul de façon diabolique et je ne tarde pas à me vider tout au fond de son couloir étroit…Une fois calmé je me retire. Le moule de ma verge ne peut garder mon sperme qui s’échappe et descend sur la vulve et les cuisses. Je la détache et nous nous asseyons. Elle pose sa tête sur mon épaule. Je la caresse doucement, longuement…je m’attarde sur ses seins superbes, très fermes avec des têtons bien saillants, de ceux qui même à travers un pull attirent l’oeil du mâle. J’étale le sperme de Yohan qui y a coulé. Ma main apprécie sa taille d’adolescente, son petit nombril sensible aux caresses, le pubis ‘’épilé et non rasé’’…c’est tellement plus doux…Je descend plus bas, les chairs encore gonflées glissent lentement entre mes doigts serrés. En remontant mon majeur s’enfonce…un peu, dans son intimité, mais à peine le clito effleuré il replonge en compagnie de l’index dans sa grotte chaude et humide. Elle se couche, saisi mon poignet pour lui imposer un rythme approprié. Ses yeux se ferment. Sa bouche cherche l’air. Sa main gauche empoigne son sein. J’écarte les doigts, l’index se positionne sur le point G, le majeur stimule le fond du vagin. Son rythme s’accélère. De l’autre main je dégage son clitoris tout engorgé et brillant de mouille. Encore quelques instants… elle se cambre et feule puis gueule tandis qu’une pluie de foutre s’abat sur elle. Elle ouvre les yeux, elle ne les a pas entendu s’approcher…
Plus tard elle m’a avoué : -Tu sais j’étais encore vierge en rentrant dans ta tente ce matin, pas du cul mais devant oui -Oh je suis désolé je ne s…tu aurais du me dire, on aurais pu… -C’était magnifique rassure toi. Après les sensations dont tu m’as fait profiter hier soir j’ai su que serait avec toi. Et ce fut encore plus extraordinaire que ce que je m’étais imaginé, c’était vraiment inédit et incroyablement excitant !
Julie a rejoint le groupe il y a 3 ans… si on avait su qu’elle était si chaude on l’aurait initié plus tôt à d’autres formes de grimpe !
Peu à peu on se calme tous, nous la détachons. Le feu s’éteint doucement et nous décidons d’aller nous coucher. Bien qu’officiellement dans des tentes séparées, je les aie entendu baiser la moitié de la nuit. Ils ont la santé ces p’tits jeunes.
A l’aube, je suis réveillé de la plus agréable des manières. Un fourreau chaud et doux couvre mon sabre réveillé bien avant moi me semble-t-il. Yeux fermés j’apprécie le cadeau à sa juste valeur. Je tend le bras jusqu’à toucher un sein, petit mais ferme…je n’aime pas les violenter comme le font beaucoup d’hommes qui vous pétrissent ça comme de la pâte à gâteau, moi j’aime suivre le contour du bout des doigts, empaumer affectueusement, caresser longuement et ils me le rendent bien. Ceux de Julie ont réagit très vite, les seins se sont durcis, les têtons érigés. Je la force à quitter ma queue pour me permettre de prendre ses admirables appendices féminins en bouche. Elle continue néanmoins à me masturber. Ses petits cris de jouissance et l’odeur de sexe ont rapidement envahi la petite tente.
– Allons dehors, me dit-elle ! –Si tu veux. Ce qu’elle fantasmais c’était de se retrouver suspendue comme cette nuit. Elle a remis son baudrier. Par contre au lieu de la rattacher a l’anneaux prévu pour, j’ai pris un gros mousqueton que j’ai passé directement dans la ceinture ce qui me permet de la positionner indifféremment sur le ventre ou sur le dos ! Je l’ai hissée à hauteur de mon bassin.
Il n’y a pas eu besoin de longs préliminaires nous étions encore brulants ! Je lui ai écarté les cuisses et l’ai pénétrée d’un coup jusqu’au couilles. Elle s’est cambrée, a crié, et a jouis instantanément !
Cette fille est d’une souplesse extraordinaire: ses jambes font carrément le grand écart. Ca me donne une idée : j’appuie sur le genou droit puis sur le gauche son corps vrille autour de ma verge, en plus l’apesanteur n'empêchent pas les mouvements d’avant en arrière ou de combiner le tout! J’entame alors une danse de son vagin autour de mon sexe. –Tu aimes ? –Ca me fait des trucs que je n’aurais jamais imaginé, vas-y plus fort. Je pousse sur sa cuisse et sans sortir mon sexe je la tourne sur le ventre. La vue de ses fesses m’excite et je redouble mes va et viens. Elle gueule de plus en plus fort et je vois Yohan sortir de sa tente. Il s’approche, la queue tendue, et la lui fout en bouche sans autre forme de procès. Nos deux hampes forment un pal autour duquel je la fais tourner comme un méchoui. La sensation est totalement inédite: la peau de nos verges ne coulisse plus seulement d’avant en arrière comme habituellement mais se fait tordre comme une vulgaire serpillère ! Johan jouis le premier et j’arrête la rotation. La bouche de Julie reste ouverte, la tête renversée, le corps tordu par un orgasme tellement puissant qu’elle expulse mon sexe. Libéré il vient frapper contre mon pubis. Je la repositionne sur le ventre, et écarte ses fesses entre mes pouces. Le cul relâché par l’orgasme me fait de l’œil. Il me laisse entrer assez facilement mais arrivé au fond il me resserre et me relâche en cadence…cette jeune fille a un savoir-faire inouïs, elle me pompe du cul de façon diabolique et je ne tarde pas à me vider tout au fond de son couloir étroit…Une fois calmé je me retire. Le moule de ma verge ne peut garder mon sperme qui s’échappe et descend sur la vulve et les cuisses. Je la détache et nous nous asseyons. Elle pose sa tête sur mon épaule. Je la caresse doucement, longuement…je m’attarde sur ses seins superbes, très fermes avec des têtons bien saillants, de ceux qui même à travers un pull attirent l’oeil du mâle. J’étale le sperme de Yohan qui y a coulé. Ma main apprécie sa taille d’adolescente, son petit nombril sensible aux caresses, le pubis ‘’épilé et non rasé’’…c’est tellement plus doux…Je descend plus bas, les chairs encore gonflées glissent lentement entre mes doigts serrés. En remontant mon majeur s’enfonce…un peu, dans son intimité, mais à peine le clito effleuré il replonge en compagnie de l’index dans sa grotte chaude et humide. Elle se couche, saisi mon poignet pour lui imposer un rythme approprié. Ses yeux se ferment. Sa bouche cherche l’air. Sa main gauche empoigne son sein. J’écarte les doigts, l’index se positionne sur le point G, le majeur stimule le fond du vagin. Son rythme s’accélère. De l’autre main je dégage son clitoris tout engorgé et brillant de mouille. Encore quelques instants… elle se cambre et feule puis gueule tandis qu’une pluie de foutre s’abat sur elle. Elle ouvre les yeux, elle ne les a pas entendu s’approcher…
Plus tard elle m’a avoué : -Tu sais j’étais encore vierge en rentrant dans ta tente ce matin, pas du cul mais devant oui -Oh je suis désolé je ne s…tu aurais du me dire, on aurais pu… -C’était magnifique rassure toi. Après les sensations dont tu m’as fait profiter hier soir j’ai su que serait avec toi. Et ce fut encore plus extraordinaire que ce que je m’étais imaginé, c’était vraiment inédit et incroyablement excitant !
Julie a rejoint le groupe il y a 3 ans… si on avait su qu’elle était si chaude on l’aurait initié plus tôt à d’autres formes de grimpe !
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Trial
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Le texte serait encore plus délicieux s'il y avait plus de paragraphes afin d'en rendre la lecture plus facile. Mais l'histoire est délicieuse même en français Suisse :-)